Retour au chapitre correspondant à cette note - Le Coran : Message Divin ? ou... Mensonge Bédouin ? - La réponse

Tract du Front National Belge

Un dessin extrait d'un tract pour un parti d'extrème droite qui, à défaut de proposer les bonnes solutions, sait poser les bonnes questions...
Un couple de belges se promène en belgique, au milieu d'une foule d'arabes.
Un arabe : tu as vu ces deux là ?
Un autre arabe : hé oui mon frère, il y a encore des belges qui refusent de s'intégrer.

Non, la Wallonie ne va pas mieux !

Dans l'euphorie de la victoire socialo-libérale-écolo, en juin 1999, la nouvelle majorité, par la voix de son sémillant porte-parole, Elio Pinocchio Di Rupo, annonçait aux Wallons des lendemains qui chantent.
La conjoncture internationale était favorable et le Hainaut bénéficiait d'une manne européenne évaluée à près de 100 milliards de francs, dans le cadre de l'objectif 1.
Cinq ans plus tard, force est de constater que le chômage frappe de plus en plus de familles wallonnes, avec un taux de 20% en Wallonie et des pics à 26,8% à Charleroi ou 27,1% à Mons, alors que la moyenne européenne n'est que de 8,8%.
De nombreux travailleurs de plus de 50 ans sont brusquement déclarés inaptes (!) au travail et condamnés à vivre, pour certains, de leurs seules indemnités de chômage, d'autres bénéficiant d'une prépension avec versement d'une prime de départ.
Des centaines de milliers de femmes de plus de 63 ans et d'hommes de plus de 65 ans vivent un véritable cauchemar !
Le Ministre Didier Reynders - MR - a insidieusement mis en place un cadastre des pensions qui lui permet d'ajouter, à la pension normale, des rentes fictives calculées en fonction des primes de départ et des capitaux extra-légaux perçus.
Ainsi tous ces retraités verront leur pension réduite, rabotée par le prélèvement d'un précompte professionnel, sans compter le maintien de la cotisation de solidarité que le MR s'était formellement engagé à supprimer dès 1999.
A ce triste bilan du gouvernement wallon arc-en-ciel et du fédéral violet, il faut ajouter la pauvreté qui s'installe durablement en Wallonie et celles et ceux qui n'ont pas encore atteint le seuil de pauvreté voient néanmoins leur pouvoir d'achat diminuer de mois en mois.

L'arc-en-ciel, ça devrait être : après la pluie, le beau temps !
En Wallonie PS - MR - ECOLO, c'est : après la pluie, la pluie !

La paille et la poutre

La presse serve grassement subventionnée a fait des gorges chaudes de l'aventure survenue à un habitant de Marchienne, qui s'était retrouvé, malgré lui, sur une liste de candidats du FN.
Cet aimable citoyen a tout simplement été victime, comme nous, d'un faussaire qui avait usurpé son identité. Contrairement à ce qu'il affirme, la plainte qu'il a déposée contre nous a eu une suite: un non lieu !
Que pèse cette erreur vénielle face aux grosses magouilles socialistes ? Vous avez dit pourris ?

Onkelinx et son plan Rosetta : 1 étranger vaut 2 Européens !

La loi Onkelinx, adoptée en juillet 2003, mise en application dès le début de cette année, impose aux entreprises d'engager un quota de Rosette - jeunes travailleurs de moins de 26 ans - Laurette Onkelinx a prévu, dans sa loi, que le fait d'engager un non-européen équivaut à l'engagement de deux travailleurs issus de l'Union Européenne.
Les quotas seront donc plus rapidement atteints dans les entreprises qui accordent une préférence aux étrangers non-européens, ce qui permettra aux patrons xénophiles... de réaliser de belles économies.
Pour Onkelinx, un étranger non-européen vaut deux Européens ! Marie Arena, sainte (?) patronne du Centre pour l'égalité des chances, va-t-elle porter plainte contre sa copine Laurette, pour discrimination raciale caractérisée ?

Non au droit de vote pour les non-européens !

La loi accordant le droit de vote aux étrangers non-européens fut votée, au Sénat et à la Chambre, à l'unanimité des partis francophones, à l'exception du FN, qui s'est battu jusqu'au bout contre cette loi inique et grotesque, l'argument essentiel étant qu'il n'y a aucune réciprocité pour les Belges vivant à l'étranger.
En effet, un citoyen de notre pays ne peut, en aucun cas, faire valoir son droit de voter, ni au Maroc, ni en Turquie, ni en Suisse.
Le FN introduira un recours en annulation de cette loi devant la Cour d'Arbitrage, au moment idoine.

Ni raciste, ni xénophobe, le FN dit non à la péférence étrangère !

Les professionnels de l'antiracisme - entendez : le Centre pour l'égalité des chances, le MRAX et la Ligue des droits de l'homme, tous financés par votre argent - grands inquisiteurs de la société plurielle et de la pensée unique, n'ont qu'une obsession : jeter Daniel Féret en prison.
Ils ont trouvé un allié inconditionnel : l'ex-procureur du Roi de Bruxelles, Benoît Dejemeppe, sévèrement critiqué par la commission d'enquête parlementaire dite Dutroux, pour sa négligence à tenter de retrouver la petite Loubna Benaïssa, qui, à ses yeux sans doute, n'était rien d'autre qu'une petite Marocaine sans importance. Savez-vous de quelle sanction Dejemeppe a finalement écopé ? Il est monté en grade et siège actuellement à la Cour de Cassation !
L'acharnement de son parquet à mon égard, pour tenter d'obtenir la levée de mon immunité parlementaire à Strasbourg a fait l'objet de ce commentaire des députés européens : Daniel Féret est victime de fumus persecutionis - odeur de persécution -
En revanche, nos ministres coupables de préférer les étrangers aux nationaux restent impunis !

Belgique, mon pays...

Rappelez-vous ! C'était il y a 15 ans, en 1989.
A l'occasion de la première élection du Conseil Régional de Bruxelles Capitale, le Front National éditait un tract, très remarqué, mettant en garde les Bruxelloises et les Bruxellois sur l'impossible intégration des immigrés non-européens. Le FN devait connaître son premier succès électoral.
Charles Picqué, devenu Ministre Président de la Région Bruxelloise, s'empressa de débloquer 100 millions de francs belges, afin de «mieux intégrer la communauté immigrée».
Antoinette Spaak - FDF - et Marie Nagy - ECOLO - estimaient alors qu'il fallait «doubler ces crédits alloués aux immigrés».
A Molenbeek-St-Jean, une part de cet argent a d'abord servi à organiser, pour les étrangers, des entraînements aux sports de combat et, pour les Belges, des cours de... danses turques.
On voit bien aujourd'hui que, pour les dirigeants de notre pays, il n'est plus question d'intégrer, mais de tenter de faire coexister des groupes ethniques, des communautés différentes.
Le Front National avait vu clair, quinze ans avant tout le monde.
Avoir raison quinze ans avant les autres, c'est passer pour un fou pendant quinze ans !
Charles Picqué, le 7 février 1990, déclarait à la tribune du Conseil Régional Bruxellois :
«J'ai souligné les convergences entre le discours fondamentaliste de certains milieux musulmans et le discours du Front National. Le refus du brassage, l'apologie du séparatisme rappellent certains discours (...) Je maintiens que l'intégration est avant tout le refus du développement séparé des communautés».
Le FN répondait : «L'onanisme intellectuel rendrait-il sourd ?»
Notre député Alain Michot venait de déclarer :
«Le bilan de l'immigration est globalement négatif. Nous ne proposons pas l'apartheid, mais le rapatriement des immigrés, car c'est la seule condition du maintien de notre identité européenne».
Charles Picqué poursuivait :
«Le Front National m'a interrogé sur le droit de vote. Il veut me faire dire ce que je n'ai jamais dit, car ma position n'a jamais varié en la matière. Le Parti Socialiste est en faveur du droit de vote pour les ressortissants des pays de la CEE mais non pour les immigrants d'origine différente.?»
Le 21 février 2004, soit 14 ans plus tard, Charles Picqué et Elio Di Rupo ont imposé, à des parlementaires résignés, qu'ils soient PS, MR, CDH ou ECOLO - eux, n'attendaient que ça - le droit de vote pour les non-européens !
De tous les partis francophones, seul le Front National a voté contre, en s'y opposant de toutes ses forces, au Sénat et à la Chambre.
Juste avant le vote, à la Chambre, Daniel Féret s'est adressé à Elio Di Rupo, pour lui dire : Ce qui nous différencie, c'est que moi, je fais le pari de l'intelligence des Wallons!

MR - PS : c'est kif kif !

«Il faut contrôler l'immigration existante en cessant de nous comporter comme des nigauds ou des jobards. Je pense à ces minimex versés à des péripatéticiennes ghanéennes domiciliées à Seraing et soulageant des marins d'Anvers au tarif de SOS Dépannage ! A quoi sert-il de dépenser des milliards pour une intégration dont les intéressés ne veulent pas ?»
Ce n'est pas Daniel Féret qui a dit cela, mais... Henri Simonet, ancien ministre PS puis PRL, dans une interview à Paris Match, le 21 novembre 1991.
Peu après, son fils Jacques, moins brillant, mais aussi suffisant que son papa, confiait au quotidien La Dernière Heure : «Disons-le clairement : je suis favorable à une politique qui tendrait à encourager le retour au pays. Prenons un chômeur complet indemnisé, qui émargerait au chômage depuis au moins six mois. Il faudrait lui proposer une prime de 400.000 francs - somme à laquelle on ajouterait 40.000 francs par enfant-pour qu'il rentre chez lui. S'il refuse, on diminuerait progressivement ses allocations de chômage, jusqu'à ce qu'il n'ait plus vraiment le choix...»
A l'époque, Jacques Simonet, comme auparavant Roger Nols et comme Daniel Ducarme - la politique d'intégration est un échec - servait de ramassette électorale à Louis Michel, pour tenter de capturer les voix des électeurs du FN.
Peine perdue. Le PRL singeant le FN a ramassé quelques pelles. Le MR est en chute libre dans les sondages, car les Bruxellois ne sont pas dupes : c'est bien un ministre libéral francophone - Antoine Duquesne - qui a régularisé des dizaines de milliers de sans papiers et c'est bien le MR qui manifestait la plus grande impatience d'accorder le droit de vote aux étrangers non-européens.
Seul le FN a dit NON à la régularisation des sans papiers et NON au droit de vote pour les non-européens.
A l'aube de la campagne électorale, la presse serve fait déjà ses choux gras de la guerre déclarée entre Elio le Rouge et Louis le Bleu.
Mais ce n'est qu'un combat virtuel, un duel d'opérette.
Ils sont tous deux dans le même camp, le camp de la préférence étrangère, le camp du chômage - qui ne cesse d'augmenter, pour atteindre 20% en Wallonie ! - le camp de l'insécurité des biens et des personnes et de l'insécurité sociale.
Michel - Di Rupo, c'est chou vert et vert chou.
Leurs promesses électorales n'engagent que ceux qui y croient.
Ils ne feront pas demain ce qu'ils n'ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier !

Quelle opposition ?

Vous le voyez bien, on ne peut pas dire que Joëlle Milquet incarne le changement, toute affairée qu'elle est d'installer son parti, le CDH, dans un gouvernement socialiste. L'extrême gauche écologiste a montré son savoir non faire.

La force d'avenir, c'est le FN !

Bruxelles, capitale de l'Europe. Pour combien de temps encore ?

Bruxelles partage, avec Strasbourg et Luxembourg, le siège des instances de l'Union Européenne.
Les parlementaires et les fonctionnaires européens apprécient notre ville, parce que, à la différence des deux autres, nous possédons un aéroport international.
En revanche, ils ont exprimé, à plusieurs reprises, leur grand sujet de mécontentement, qui est l'insécurité dont ils sont régulièrement victimes. Dans une récente pétition, 70% des députés européens se plaignaient d'avoir été, au moins une fois, agressés physiquement à Bruxelles.
Ceci survient au moment où des voix de plus en plus nombreuses se font entendre, disant qu'avec l'élargissement de l'Union Européenne, Bruxelles s'éloigne du centre géographique de l'Europe et qu'on verrait bien, à moyen terme, comme capitale, la ville de... Vienne !

Voter FN, ça sert à quoi ?

En 1996, à Strasbourg, un député européen, communiste espagnol, Abdel Kader Mohamed Ali, dépose un rapport réclamant, entre autres:
- l'enseignement obligatoire de la langue arabe dans toutes les écoles d'Europe,
- la construction, dans tous les pays européens, d'autant de mosquées qu'il y a d'églises,
- que toutes les fêtes religieuses musulmanes soient des jours fériés.
Avec l'excellente parlementaire Nana Mouskouri - elle ne fait pas que chanter ! -j'ai organisé la résistance à ce projet.
Devant la Commission des Droits de la Femme, dans laquelle je siégeais, Mohamed Ali réussit le tour de force de convaincre la majorité des membres que l'Islam avait toujours respecté les droits des femmes.
Au 2e round, devant la Commission de la Culture, Madame Mouskouri et moi-même avons été compris par une majorité de parlementaires, qui rejetèrent les points forts du rapport.
Et au 3e round, en séance plénière, Mohamed Ali s'avoua vaincu, reconnaissant, dit-il, que nous avions vidé son texte de toute sa substance. Voilà une première victoire !
Depuis 1999, je siège au Parlement fédéral. J'y ai tellement harcelé le Premier Ministre, le Ministre de la Justice, le Ministre de l'Intérieur, tant sous le précédent gouvernement que sous l'actuel, qu'à deux reprises ils ont décidé d'augmenter les moyens - encore très insuffisants à nos yeux - de la justice et de la police. Et devant les sondages favorables au FN, Di Rupo a déclaré qu'il fallait répondre... en faisant du social. Voilà une deuxième victoire !

Docteur Daniel Féret
Tête de liste au Parlement Européen
Magouilles socialistes :
il n'y a pas qu'Agusta !

IOS : une sale affaire pour les socialistes.
L'Intercommunale des Oeuvres Sociales - IOS - dirigée, depuis toujours, par les socialistes, a occasionné d'énormes dégâts humains et financiers, en terre carolorégienne.
Durant les années 80, les lourds déficits de l'IOS ont gravement perturbé les finances des communes affiliées à l'intercommunale - Charleroi, Fontaine l'Evêque, Courcelles, Pont-à- Celles, Montigny-le-Tilleul - qui se sont vu prélever des dizaines de millions de francs sur leurs comptes DEXIA.
Quand éclate l'affaire Cartier, on découvre les nombreuses malversations qui ont profité à leurs auteurs socialistes et au PS !
Cartier et ses copains coquins sont actuellement aux prises avec la justice, mais aucune des communes lésées ne s'est portée partie civile pour récupérer ce qu'on leur a volé !
Il faut savoir qu'il s'agit de communes socialistes, à l'exception de Montigny-le-Tilleul, où la bourgmestre, Véronique Cornet, se garde bien de porter le fer contre ses amis du PS.
Un pavé dans la mare rouge.
Dans notre mensuel Le National d'août 1990, le FN dénonçait déjà Richard Carlier, qui avait «cédé» au Centre de délassement de Clairefontaine, tous les pavés récupérés par la Province de Hainaut, lors de la modernisation des routes.
Ces pavés furent revendus au prix fort à des Hollandais.
Le directeur du Centre de Clairefontaine n'était autre que... le beau-frère de Carlier !
Dans un article du National de mars 1991, intitulé : Dernières nouvelles des socialauds, nous reparilons du député permanent socialiste Richard Carlier, pris en flagrant délit de détournement de subsides de la Communauté Française, pour un montant de 18 millions de francs.
Dans la même édition, nous évoquions les faits troublants dont plusieurs membres montois du PS (!) électeurs du FN, avaient tenu à nous faire part, faits observés par eux lors de l'incendie du DELTA Hainaut, le 7 août 1990, qui fit disparaître des tonnes de dossiers.
Les témoins avaient distinctement entendu une explosion avant l'apparition de fumée.
Les jours précédents le «drame», il fut rappelé avec insistance, à tout le personnel, la stricte interdiction de se trouver dans le bâtiment après 15 h 30 et les horaires de nettoyage furent reportés de 15h.30 à 17h. L'incendie se déclara à... 16h.40 et, en une heure, tout fut consumé.
Croyez-vous que nos informateurs aient été entendus par les enquêteurs ? Bien sûr que non !

Un journal Hollandais vous dit ce que la presse belge vous a caché !

Dans son édition du 9 juin 1999, le très sérieux quotidien hollandais NRC Handelsblad publiait, à la veille de nouvelles élections européennes, un hit parade du travail réalisé par les 626 députés des 15 pays de l'Union Européenne.
En tête : Daniel Féret, député NI - non inscrit, car le FN ne s'était pas intégré dans un groupe - qui obtenait 342 points !
Rien d'étonnant, puisque, alors que chaque parlementaire européen siège dans 2 commissions, notre Président avait décidé et obtenu d'être membre de 4 commissions : la culture, l'environnement et la santé publique, le budget et la commission des droits de la femme.
Par charité, nous ne donnerons pas le score des 24 autres députés européens belges !
Voilà, en tous cas, de quoi clouer le bec des journalistes aux ordres, qui n'hésitent pas à fouler aux pieds la déontologie journalistique, pour dire et écrire que nos élus travaillent finalement assez peu.
Dans un article du quotidien français Le Monde, paru en novembre 2002, un rédacteur indiquait que, dans notre pays, les journalistes subissaient de fortes pressions de Guy Verhofstadt, qui leur téléphonait, parfois dès 4 heures du matin, pour leur dicter ce qu'ils devaient dire et écrire !

Diminution des impôts :
encore un mensonge libéral !

Didier Reynders, jeune loup du MR et Ministre des Finances du Royaume, nous avait promis, dès son arrivée dans le gouvernement arc-en-ciel, en 1999, une réforme de la loi fiscale entraînant une forte diminution des impôts.
A la tribune de la Chambre, Daniel Féret l'avait qualifiée de réformette.
Le Président du FN avait raison : on voit bien aujourd'hui qu'elle ne profite qu'aux riches et pénalise les petits et moyens revenus, en particulier les retraités, comme vous l'expliquent, à la première page, le Président du FN et, à la page suivante, Charles Petitjean.

Qui est Charles Petitjean ?
par Daniel Féret - Président du FN -

Charles Petitjean est un pur produit wallon.
Il est né de Raoul Petitjean, prisonnier politique, décédé au camp de concentration de Dora, et de Julia Lecomte, résistante, Juste parmi les Nations.
Ses grands parents et sa tante ont aussi ce titre glorieux et son seul oncle a été tué à la guerre. Charles Petitjean entre très jeune en politique.
Alors qu'il n'est pas encore majeur, il préside la régionale de Luttre du parti libéral.
Cofondateur du PLP - PVV, comme Secrétaire Général des Jeunesses Libérales de Belgique, il appartient à la garde rapprochée d'hommes d'Etat, comme Orner Vanaudenhove, Pierre Descamps, Jean Rey.
Il est désigné comme membre du Bureau Directeur du PLP - PVV. Charles Petitjean a mis le pied à l'étrier de pas mal de leaders politiques actuels !
Il faut aussi rappeler qu'il a été le dernier Président National des Jeunesses Libérales de Belgique - de 1967 à 1970 - et que c'est suite à la scission des Jeunesses Libérales, qu'il avait prônée, que le PLP - PVV se divisa en trois structures politiques.
C'est l'époque où j'avais cru pouvoir défendre mes convictions de droite nationale, de libéralisme social - formule dont je revendique la paternité, par opposition au capitalisme sauvage et apatride - soutenir mes thèses populistes et imposer le choix de la préférence nationale, au sein du PLP. Charles et moi étions considérés - à juste titre - comme les rebelles de la fédération hennuyère du parti, que j'ai quitté très vite, dès l'arrivée de Jean Gol, en raison de la dérive affairiste que connaissait le mouvement libéral.
Charles est devenu Président de Cantonale, de District et membre des bureaux du PLP, du PLP Wallon, du PRL.
Il a occupé des postes prestigieux : Conseiller Provincial du Hainaut - chef de groupe - Bourgmestre de Luttre, puis de Pont-à-Celles, Député, Secrétaire du Conseil de la Communauté Française, Sénateur.
Charles Petitjean est en outre très engagé dans la mouvance associative - actions culturelles et humanitaires.
Comme parlementaire, il a déposé maintes propositions de loi et de décrets : référendum, consultation populaire, épargne-pension, protection des indépendants, mesures en faveur des démunis, etc...
Comme bourgmestre, il a dessiné la modernité de sa cité par de grands travaux : crèche, écoles, raccordement à l'autoroute, distribution d'eau, télédistribution, gendarmerie, maison communale, églises, poste, arborisation généralisée, amélioration de l'égouttage, voiries nouvelles, lotissements, etc...
Au plan carolo, ce parlementaire a été à la base de pas mal de projets, dont le centre de tri postal, la zone industrielle de Seneffe-Manage, l'implantation de Brutélé, la tournerie à roues...
Aujourd'hui, Charles Petitjean est conseiller communal - 969 voix aux dernières élections communales - membre du conseil de police, conseiller de la communauté urbaine de Charleroi - Val de Sambre.
Au plan international, il a été membre de l'internationale libérale et il s'investit, depuis plusieurs décennies, dans le tiers monde, porteur de projets qui luttent contre la pauvreté, pour la promotion de la femme et la protection infantile.
Il n'a jamais cumulé son mandat politique avec un mandat économique, tant dans le privé que dans le public !
C'est un homme populaire.
Comme moi, il est à l'écoute des gens, plus particulièrement des plus humbles.

Le MR ne fait pas mieux que le PS !
par Charles Petitjean
Tête de liste FN dans l'arrondissement de Charleroi, pour le Parlement Wallon
5e effectif au Parlement Européen

Pourquoi ai-je rejoint le FN ?
La question me vient d'un peu partout. Comment un homme, viscéralement attaché à un parti auquel il a tout donné, peut-il, non seulement le quitter, mais surtout rejoindre le FN ?
Les raisons sont multiples.
Après la disparition de Jean Gol, j'ai rapidement constaté la mainmise, sur le PRL, de quelques personnes engagées sous la même bannière philosophique.
La volonté d'Omer Vanaudenhove d'unir autour d'une doctrine admise par tous était définitivement abandonnée.
Ce sentiment fut confirmé par les accords régionaux, provinciaux et communaux conclus entre le PS et le MR, alors qu'auparavant, les libéraux incarnaient une opposition majeure à l'emprise socialiste sur la Wallonie et sur Bruxelles.
Cette association du MR au PS et à ECOLO, de 1999 à 2004, a fait échouer la réalisation de ses promesses électorales et enterré les priorités annoncées par les libéraux : emploi, sécurité, baisse de la fiscalité.
Au cours de ces 5 dernières années, le chômage n'a jamais cessé d'augmenter, atteignant des chiffres record, surtout dans les régions à forte densité de population : Charleroi, Mons, Liège et Bruxelles.
Cet accroissement du nombre de sans emploi conduit à la paupérisation d'une région.
En ce qui concerne la sécurité, nous devons faire un constat d'échec. La réforme des polices est un leurre. La violence est partout, dans les villes et les villages. On note l'émergence de délits perpétrés par des personnes de plus en plus jeunes, en raison, sans nul doute, de la difficulté d'assurer un enseignement de qualité, faute de moyens.
Avec la diminution de la fiscalité, Didier Reynders nous a bel et bien roulés.
Si la réforme fiscale profite effectivement aux gros, il n'en est rien pour les petits et moyens revenus, frappés par des taxes communales en nette hausse.
De plus, des milliers de retraités sont victimes d'une diminution de leur pension, due au prélèvement d'une cotisation de solidarité et au paiement anticipé d'un précompte professionnel.
En 1999, le MR avait solennellement promis de supprimer cette cotisation, qu'il jugeait... inique!
Et puis, il y a cet incroyable népotisme qui règne au MR.
Il n'y a pas un arrondissement qui n'offre un mandat de sénateur ou de député à un fils ou à une fille d'un notable du parti !
Il faut aussi déplorer que ce népotisme atteigne également des partis comme le PS et le CDH.
Dès lors, comme beaucoup, j'en ai eu marre de cette escroquerie permanente, de la manipulation de l'opinion par les médias à la solde des partis «traditionnels».
Le seul outil pour actionner une autre politique, qui tienne compte des aspirations des gens, c'est le FN.
Au Front National, j'ai rencontré des responsables courageux, qui n'ont pas la langue de bois, bien au fait des problèmes, avec la volonté de les résoudre, des hommes - et des femmes - qui veulent répondre à vos attentes, en agissant en symbiose avec vous, pour vous !