
Non, la Wallonie ne va pas mieux !
Dans l'euphorie de la victoire socialo-libérale-écolo, en juin 1999, la nouvelle
majorité, par la voix
de son sémillant porte-parole, Elio Pinocchio Di Rupo, annonçait aux Wallons
des lendemains
qui chantent.
La conjoncture internationale était favorable et le Hainaut bénéficiait d'une manne
européenne
évaluée à près de 100 milliards de francs, dans le cadre de l'objectif 1.
Cinq ans plus tard, force est de constater que le chômage frappe de plus en plus
de familles
wallonnes, avec un taux de 20% en Wallonie et des pics à 26,8% à Charleroi ou
27,1% à Mons,
alors que la moyenne européenne n'est que de 8,8%.
De nombreux travailleurs de plus de 50 ans sont brusquement
déclarés inaptes (!) au travail et condamnés à vivre, pour certains,
de leurs seules indemnités de chômage, d'autres bénéficiant d'une
prépension avec versement d'une prime de départ.
Des centaines de milliers de femmes de plus de 63 ans et
d'hommes de plus de 65 ans vivent un véritable cauchemar !
Le Ministre Didier Reynders - MR - a insidieusement mis en place
un cadastre des pensions qui lui permet d'ajouter, à la pension
normale, des rentes fictives calculées en fonction des primes de
départ et des capitaux extra-légaux perçus.
Ainsi tous ces retraités verront leur pension réduite,
rabotée par le prélèvement d'un précompte professionnel,
sans compter le maintien de la cotisation de solidarité que le MR
s'était formellement engagé à supprimer dès 1999.
A ce triste bilan du gouvernement wallon arc-en-ciel et du fédéral violet, il faut
ajouter la pauvreté
qui s'installe durablement en Wallonie et celles et ceux qui n'ont pas encore
atteint le seuil de
pauvreté voient néanmoins leur pouvoir d'achat diminuer de mois en mois.
L'arc-en-ciel, ça devrait être : après la pluie, le beau temps !
En Wallonie PS - MR - ECOLO, c'est : après la pluie, la pluie !
La paille et la poutre
La presse serve grassement subventionnée a fait des gorges chaudes de
l'aventure survenue à un habitant de Marchienne, qui s'était retrouvé, malgré
lui, sur une liste de candidats du FN.
Cet aimable citoyen a tout simplement
été victime, comme nous, d'un faussaire qui avait usurpé son identité.
Contrairement à ce qu'il affirme, la plainte qu'il a déposée contre nous a eu
une suite: un non lieu !
Que pèse cette erreur vénielle face aux grosses
magouilles socialistes ? Vous avez dit pourris ?
Onkelinx et son plan Rosetta : 1 étranger vaut 2
Européens !
La loi Onkelinx, adoptée en juillet 2003, mise en application dès le début de cette
année, impose
aux entreprises d'engager un quota de Rosette - jeunes travailleurs de moins
de 26 ans -
Laurette Onkelinx a prévu, dans sa loi, que le fait d'engager un non-européen
équivaut à
l'engagement de deux travailleurs issus de l'Union Européenne.
Les quotas seront donc plus rapidement atteints dans les entreprises qui
accordent une préférence
aux étrangers non-européens, ce qui permettra aux patrons xénophiles... de
réaliser de belles
économies.
Pour Onkelinx, un étranger non-européen vaut deux Européens !
Marie Arena, sainte (?) patronne du Centre pour l'égalité des chances, va-t-elle
porter plainte
contre sa copine Laurette, pour discrimination raciale caractérisée ?
Non au droit de vote pour les non-européens !
La loi accordant le droit de vote aux étrangers non-européens fut
votée, au Sénat et à la Chambre, à l'unanimité des partis
francophones, à l'exception du FN, qui s'est battu jusqu'au bout contre
cette loi inique et grotesque, l'argument essentiel étant qu'il n'y a
aucune réciprocité pour les Belges vivant à l'étranger. En effet, un
citoyen de notre pays ne peut, en aucun cas, faire valoir son droit de
voter, ni au Maroc, ni en Turquie, ni en Suisse. Le FN introduira un
recours en annulation de cette loi devant la Cour d'Arbitrage, au
moment idoine.
Ni raciste, ni xénophobe, le FN dit non à la péférence étrangère !
Les professionnels de l'antiracisme - entendez : le Centre pour l'égalité des
chances, le MRAX et
la Ligue des droits de l'homme, tous financés par votre argent - grands
inquisiteurs de la société
plurielle et de la pensée unique, n'ont qu'une obsession : jeter Daniel Féret en
prison.
Ils ont trouvé un allié inconditionnel : l'ex-procureur du Roi de Bruxelles, Benoît
Dejemeppe,
sévèrement critiqué par la commission d'enquête parlementaire dite Dutroux,
pour sa négligence
à tenter de retrouver la petite Loubna Benaïssa, qui, à ses yeux sans doute,
n'était rien d'autre
qu'une petite Marocaine sans importance. Savez-vous de quelle sanction
Dejemeppe a finalement
écopé ? Il est monté en grade et siège actuellement à la Cour de Cassation !
L'acharnement de son parquet à mon égard, pour tenter d'obtenir la levée de
mon immunité
parlementaire à Strasbourg a fait l'objet de ce commentaire des députés
européens : Daniel Féret
est victime de fumus persecutionis - odeur de persécution -
En revanche, nos ministres coupables de préférer les étrangers aux nationaux
restent impunis !
Belgique, mon pays...
Rappelez-vous ! C'était il y a 15 ans, en 1989.
A l'occasion de la première élection du Conseil Régional de Bruxelles Capitale,
le Front National
éditait un tract, très remarqué, mettant en garde les Bruxelloises et les Bruxellois
sur l'impossible
intégration des immigrés non-européens. Le FN devait connaître son premier
succès électoral.
Charles Picqué, devenu Ministre Président de la Région Bruxelloise, s'empressa
de débloquer 100
millions de francs belges, afin de «mieux intégrer la communauté immigrée».
Antoinette Spaak - FDF - et Marie Nagy - ECOLO - estimaient alors qu'il fallait
«doubler ces crédits
alloués aux immigrés».
A Molenbeek-St-Jean, une part de cet argent a d'abord servi à organiser, pour
les étrangers, des
entraînements aux sports de combat et, pour les Belges, des cours de...
danses turques.
On voit bien aujourd'hui que, pour les dirigeants de notre pays, il n'est plus
question d'intégrer, mais
de tenter de faire coexister des groupes ethniques, des communautés
différentes.
Le Front National avait vu clair, quinze ans avant tout le monde.
Avoir raison quinze ans avant les autres, c'est passer pour un fou pendant
quinze ans !
Charles Picqué, le 7 février 1990, déclarait à la tribune du Conseil Régional
Bruxellois :
«J'ai souligné les convergences entre le discours fondamentaliste de certains
milieux musulmans et
le discours du Front National. Le refus du brassage, l'apologie du séparatisme
rappellent certains
discours (...) Je maintiens que l'intégration est avant tout le refus du
développement séparé des
communautés».
Le FN répondait : «L'onanisme intellectuel rendrait-il sourd ?»
Notre député Alain Michot venait de déclarer :
«Le bilan de l'immigration est globalement négatif. Nous ne proposons pas
l'apartheid,
mais le rapatriement des immigrés, car c'est la seule condition du maintien de
notre identité
européenne».
Charles Picqué poursuivait :
«Le Front National m'a interrogé sur le droit de vote. Il veut me faire dire ce
que je n'ai jamais
dit, car ma position n'a jamais varié en la matière. Le Parti Socialiste est en
faveur du droit
de vote pour les ressortissants des pays de la CEE mais non pour les
immigrants d'origine
différente.?»
Le 21 février 2004, soit 14 ans plus tard, Charles Picqué et Elio Di Rupo ont
imposé, à des
parlementaires résignés, qu'ils soient PS, MR, CDH ou ECOLO - eux,
n'attendaient que ça - le
droit de vote pour les non-européens !
De tous les partis francophones, seul le Front National a voté contre, en
s'y opposant de toutes ses forces, au Sénat et à la Chambre.
Juste avant le vote, à la Chambre, Daniel Féret s'est adressé à Elio Di Rupo,
pour lui dire :
Ce qui nous différencie, c'est que moi, je fais le pari de l'intelligence des
Wallons!
MR - PS : c'est kif kif !
«Il faut contrôler l'immigration existante en cessant de nous comporter
comme des nigauds ou des jobards. Je pense à ces minimex versés à des péripatéticiennes ghanéennes domiciliées
à Seraing et soulageant des marins d'Anvers au tarif de SOS Dépannage ! A quoi
sert-il de dépenser des milliards pour une intégration dont les intéressés ne
veulent pas ?»
Ce n'est pas Daniel Féret qui a dit cela, mais... Henri Simonet,
ancien ministre PS puis PRL, dans une interview à Paris Match, le 21 novembre
1991.
Peu après, son fils Jacques, moins brillant, mais aussi suffisant que son papa,
confiait au quotidien La Dernière Heure : «Disons-le clairement : je suis favorable
à une politique qui tendrait à encourager le retour au pays. Prenons un
chômeur complet indemnisé, qui émargerait au chômage depuis au moins six
mois. Il faudrait lui proposer une prime de 400.000 francs - somme à laquelle on
ajouterait 40.000 francs par enfant-pour qu'il rentre chez lui. S'il refuse, on
diminuerait progressivement ses allocations de chômage, jusqu'à ce qu'il n'ait
plus vraiment le choix...»
A l'époque, Jacques Simonet, comme auparavant Roger Nols et comme Daniel
Ducarme - la politique d'intégration est un échec - servait de ramassette
électorale à Louis Michel, pour tenter de capturer les voix des électeurs du FN.
Peine perdue. Le PRL singeant le FN a ramassé quelques pelles. Le MR est en
chute libre dans les sondages, car les Bruxellois ne sont pas dupes : c'est bien
un ministre libéral francophone
- Antoine Duquesne - qui a régularisé des dizaines de milliers de sans papiers
et c'est bien le MR qui manifestait la plus grande impatience d'accorder le droit
de vote aux étrangers non-européens.
Seul le FN a dit NON à la régularisation des sans papiers et NON au droit
de vote pour les non-européens.
A l'aube de la campagne électorale, la presse serve fait déjà ses choux gras de
la guerre déclarée
entre Elio le Rouge et Louis le Bleu.
Mais ce n'est qu'un combat virtuel, un duel d'opérette.
Ils sont tous deux dans le même camp, le camp de la préférence étrangère, le
camp du chômage
- qui ne cesse d'augmenter, pour atteindre 20% en Wallonie ! - le camp de
l'insécurité des biens
et des personnes et de l'insécurité sociale.
Michel - Di Rupo, c'est chou vert et vert chou.
Leurs promesses électorales n'engagent que ceux qui y croient.
Ils ne feront pas demain ce qu'ils n'ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier !
Quelle opposition ?
Vous le voyez bien, on ne peut pas dire que Joëlle Milquet incarne le
changement, toute affairée
qu'elle est d'installer son parti, le CDH, dans un gouvernement
socialiste. L'extrême gauche écologiste a montré son savoir non faire.
La force d'avenir, c'est le FN !
Bruxelles, capitale de l'Europe. Pour combien de temps encore ?
Bruxelles partage, avec Strasbourg et Luxembourg, le siège des instances de
l'Union
Européenne.
Les parlementaires et les fonctionnaires européens apprécient notre ville, parce
que, à la différence
des deux autres, nous possédons un aéroport international.
En revanche, ils ont exprimé, à plusieurs reprises, leur grand sujet de
mécontentement, qui est
l'insécurité dont ils sont régulièrement victimes. Dans une récente pétition, 70%
des députés
européens se plaignaient d'avoir été, au moins une fois, agressés
physiquement à Bruxelles.
Ceci survient au moment où des voix de plus en plus nombreuses se font
entendre, disant
qu'avec l'élargissement de l'Union Européenne, Bruxelles s'éloigne du centre
géographique de
l'Europe et qu'on verrait bien, à moyen terme, comme capitale, la ville
de... Vienne !
Voter FN, ça sert à quoi ?
En 1996, à Strasbourg, un député européen, communiste espagnol,
Abdel Kader Mohamed Ali, dépose un rapport réclamant, entre autres:
- l'enseignement obligatoire de la langue arabe dans toutes les écoles d'Europe,
- la construction, dans tous les pays européens, d'autant de mosquées qu'il y a
d'églises,
- que toutes les fêtes religieuses musulmanes soient des jours
fériés.
Avec l'excellente parlementaire Nana Mouskouri - elle ne fait pas que
chanter ! -j'ai organisé la résistance à ce projet.
Devant la Commission des Droits de la Femme, dans laquelle je
siégeais, Mohamed Ali réussit le tour de force de convaincre la
majorité des membres que l'Islam avait toujours respecté les droits
des femmes.
Au 2e round, devant la Commission de la Culture, Madame Mouskouri
et moi-même avons été compris par une majorité de parlementaires,
qui rejetèrent les points forts du rapport.
Et au 3e round, en séance plénière, Mohamed Ali s'avoua vaincu, reconnaissant,
dit-il, que nous
avions vidé son texte de toute sa substance. Voilà une première victoire !
Depuis 1999, je siège au Parlement fédéral. J'y ai tellement harcelé le Premier
Ministre, le Ministre de la Justice, le Ministre de l'Intérieur, tant sous le précédent
gouvernement que sous l'actuel, qu'à deux reprises ils ont décidé d'augmenter
les moyens - encore très insuffisants à nos yeux
- de la justice et de la police. Et devant les sondages favorables au FN, Di Rupo
a déclaré qu'il fallait répondre... en faisant du social. Voilà une deuxième
victoire !
Docteur Daniel Féret
Tête de liste au Parlement Européen
Magouilles socialistes :
il n'y a pas qu'Agusta !
IOS : une sale affaire pour les socialistes.
L'Intercommunale des Oeuvres Sociales - IOS - dirigée, depuis toujours, par les
socialistes, a
occasionné d'énormes dégâts humains et financiers, en terre carolorégienne.
Durant les années 80, les lourds déficits de l'IOS ont gravement perturbé les
finances des
communes affiliées à l'intercommunale - Charleroi, Fontaine l'Evêque,
Courcelles, Pont-à-
Celles, Montigny-le-Tilleul - qui se sont vu prélever des dizaines de millions de
francs sur leurs
comptes DEXIA.
Quand éclate l'affaire Cartier, on découvre les nombreuses malversations qui ont
profité à leurs
auteurs socialistes et au PS !
Cartier et ses copains coquins sont actuellement aux prises avec la justice, mais
aucune des
communes lésées ne s'est portée partie civile pour récupérer ce qu'on leur a
volé !
Il faut savoir qu'il s'agit de communes socialistes, à l'exception de Montigny-le-Tilleul, où la
bourgmestre, Véronique Cornet, se garde bien de porter le fer contre ses amis
du PS.
Un pavé dans la mare rouge.
Dans notre mensuel Le National d'août 1990, le FN
dénonçait déjà Richard Carlier, qui avait «cédé» au
Centre de délassement de Clairefontaine, tous les
pavés récupérés par la Province de Hainaut, lors de
la modernisation des routes.
Ces pavés furent revendus au prix fort à des Hollandais.
Le directeur du Centre de Clairefontaine n'était autre que... le beau-frère de
Carlier !
Dans un article du National de mars 1991, intitulé : Dernières nouvelles des
socialauds, nous
reparilons du député permanent socialiste Richard Carlier, pris en flagrant délit
de détournement
de subsides de la Communauté Française, pour un montant de 18 millions de
francs.
Dans la même édition, nous évoquions les faits troublants dont plusieurs
membres montois du
PS (!) électeurs du FN, avaient tenu à nous faire part, faits observés par eux lors
de l'incendie
du DELTA Hainaut, le 7 août 1990, qui fit disparaître des tonnes de dossiers.
Les témoins avaient distinctement entendu une explosion avant l'apparition de
fumée.
Les jours précédents le «drame», il fut rappelé avec insistance, à tout le
personnel, la stricte
interdiction de se trouver dans le bâtiment après 15 h 30 et les horaires de
nettoyage furent reportés
de 15h.30 à 17h. L'incendie se déclara à... 16h.40 et, en une heure, tout fut
consumé.
Croyez-vous que nos informateurs aient été entendus par les enquêteurs ? Bien
sûr que non !
Un journal Hollandais vous dit ce que la presse belge vous a caché !
Dans son édition du 9 juin 1999, le très sérieux quotidien hollandais
NRC Handelsblad publiait, à la veille de nouvelles élections
européennes, un hit parade du travail réalisé par les 626 députés
des 15 pays de l'Union Européenne.
En tête : Daniel Féret, député NI - non inscrit, car le FN ne s'était pas intégré
dans un groupe
- qui obtenait 342 points !
Rien d'étonnant, puisque, alors que chaque parlementaire européen siège dans
2 commissions,
notre Président avait décidé et obtenu d'être membre de 4 commissions : la
culture, l'environnement
et la santé publique, le budget et la commission des droits de la femme.
Par charité, nous ne donnerons pas le score des 24 autres députés
européens belges !
Voilà, en tous cas, de quoi clouer le bec des journalistes aux ordres, qui
n'hésitent pas à fouler
aux pieds la déontologie journalistique, pour dire et écrire que nos élus travaillent
finalement
assez peu.
Dans un article du quotidien français Le Monde, paru en novembre 2002, un
rédacteur indiquait
que, dans notre pays, les journalistes subissaient de fortes pressions de Guy
Verhofstadt, qui leur
téléphonait, parfois dès 4 heures du matin, pour leur dicter ce qu'ils devaient
dire et écrire !
Diminution des impôts :
encore un mensonge libéral !
Didier Reynders, jeune loup du MR et Ministre des Finances du Royaume, nous
avait promis, dès
son arrivée dans le gouvernement arc-en-ciel, en 1999, une réforme de la loi
fiscale entraînant
une forte diminution des impôts.
A la tribune de la Chambre, Daniel Féret l'avait qualifiée de réformette.
Le Président du FN avait raison : on voit bien aujourd'hui qu'elle ne profite qu'aux
riches et
pénalise les petits et moyens revenus, en particulier les retraités, comme vous
l'expliquent, à la
première page, le Président du FN et, à la page suivante, Charles Petitjean.
Qui est Charles Petitjean ?
par Daniel Féret - Président du FN -
Charles Petitjean est un pur produit wallon.
Il est né de Raoul Petitjean, prisonnier politique, décédé au camp de
concentration de Dora, et
de Julia Lecomte, résistante, Juste parmi les Nations.
Ses grands parents et sa tante ont aussi ce titre glorieux et son seul oncle a été
tué à la guerre.
Charles Petitjean entre très jeune en politique.
Alors qu'il n'est pas encore majeur, il préside la régionale de Luttre du parti
libéral.
Cofondateur du PLP - PVV, comme Secrétaire Général des Jeunesses
Libérales de Belgique,
il appartient à la garde rapprochée d'hommes d'Etat, comme Orner
Vanaudenhove, Pierre Descamps, Jean Rey.
Il est désigné comme membre du Bureau Directeur du PLP - PVV.
Charles Petitjean a mis le pied à l'étrier de pas mal de leaders
politiques actuels !
Il faut aussi rappeler qu'il a été le dernier Président National des
Jeunesses Libérales de Belgique - de 1967 à 1970 - et que c'est suite
à la scission des Jeunesses Libérales, qu'il avait prônée, que le PLP
- PVV se divisa en trois structures politiques.
C'est l'époque où j'avais cru pouvoir défendre mes convictions de
droite nationale, de libéralisme social - formule dont je revendique
la paternité, par opposition au capitalisme sauvage et apatride -
soutenir mes thèses populistes et imposer le choix de la préférence
nationale, au sein du PLP.
Charles et moi étions considérés - à juste titre - comme les rebelles de
la fédération hennuyère du parti, que j'ai quitté très vite, dès l'arrivée de
Jean Gol, en raison de la dérive affairiste que connaissait le mouvement
libéral.
Charles est devenu Président de Cantonale, de District et membre des
bureaux du PLP, du PLP Wallon, du PRL.
Il a occupé des postes prestigieux : Conseiller Provincial du Hainaut - chef de
groupe - Bourgmestre
de Luttre, puis de Pont-à-Celles, Député, Secrétaire du Conseil de la
Communauté Française,
Sénateur.
Charles Petitjean est en outre très engagé dans la mouvance associative -
actions culturelles
et humanitaires.
Comme parlementaire, il a déposé maintes propositions de loi et de décrets :
référendum,
consultation populaire, épargne-pension, protection des indépendants,
mesures en faveur
des démunis, etc...
Comme bourgmestre, il a dessiné la modernité de sa cité par de grands travaux
: crèche, écoles,
raccordement à l'autoroute, distribution d'eau, télédistribution, gendarmerie,
maison communale,
églises, poste, arborisation généralisée, amélioration de l'égouttage, voiries
nouvelles, lotissements,
etc...
Au plan carolo, ce parlementaire a été à la base de pas mal de projets, dont le
centre de tri postal,
la zone industrielle de Seneffe-Manage, l'implantation de Brutélé, la tournerie
à roues...
Aujourd'hui, Charles Petitjean est conseiller communal - 969 voix aux dernières
élections
communales - membre du conseil de police, conseiller de la communauté urbaine
de Charleroi
- Val de Sambre.
Au plan international, il a été membre de l'internationale libérale et il s'investit,
depuis plusieurs
décennies, dans le tiers monde, porteur de projets qui luttent contre la pauvreté,
pour la promotion
de la femme et la protection infantile.
Il n'a jamais cumulé son mandat politique avec un mandat économique, tant dans
le privé que
dans le public !
C'est un homme populaire.
Comme moi, il est à l'écoute des gens, plus particulièrement des plus
humbles.
Le MR ne fait pas mieux que le PS !
par Charles Petitjean
Tête de liste FN
dans l'arrondissement de Charleroi, pour le Parlement
Wallon
5e effectif au Parlement Européen
Pourquoi ai-je rejoint le FN ?
La question me vient d'un peu partout.
Comment un homme, viscéralement attaché à un parti auquel il a tout donné,
peut-il, non
seulement le quitter, mais surtout rejoindre le FN ?
Les raisons sont multiples.
Après la disparition de Jean Gol, j'ai rapidement constaté la
mainmise, sur le PRL, de quelques personnes engagées sous la
même bannière philosophique.
La volonté d'Omer Vanaudenhove d'unir autour d'une doctrine
admise par tous était définitivement abandonnée.
Ce sentiment fut confirmé par les accords régionaux, provinciaux et
communaux conclus entre le PS et le MR, alors qu'auparavant, les
libéraux incarnaient une opposition majeure à l'emprise socialiste
sur la Wallonie et sur Bruxelles.
Cette association du MR au PS et à ECOLO, de 1999 à 2004, a
fait échouer la réalisation de ses promesses électorales et enterré
les priorités annoncées par les libéraux : emploi, sécurité, baisse
de la fiscalité.
Au cours de ces 5 dernières années, le chômage n'a jamais
cessé d'augmenter, atteignant des chiffres record, surtout dans
les régions à forte densité de population : Charleroi, Mons, Liège
et Bruxelles.
Cet accroissement du nombre de sans emploi conduit à la
paupérisation d'une région.
En ce qui concerne la sécurité, nous devons faire un constat d'échec. La
réforme des polices est un leurre. La violence est partout, dans les villes et les
villages. On note l'émergence de délits perpétrés par des personnes de plus en
plus jeunes, en raison, sans nul doute, de la difficulté d'assurer un enseignement
de qualité, faute de moyens.
Avec la diminution de la fiscalité, Didier Reynders nous a bel et bien
roulés.
Si la réforme fiscale profite effectivement aux gros, il n'en est rien pour les petits
et moyens
revenus, frappés par des taxes communales en nette hausse.
De plus, des milliers de retraités sont victimes d'une diminution de leur
pension,
due au prélèvement d'une cotisation de solidarité et au paiement anticipé d'un
précompte
professionnel.
En 1999, le MR avait solennellement promis de supprimer cette cotisation, qu'il
jugeait...
inique!
Et puis, il y a cet incroyable népotisme qui règne au MR.
Il n'y a pas un arrondissement qui n'offre un mandat de sénateur ou de député
à un fils ou à une
fille d'un notable du parti !
Il faut aussi déplorer que ce népotisme atteigne également des partis comme le
PS et le CDH.
Dès lors, comme beaucoup, j'en ai eu marre de cette escroquerie
permanente, de la
manipulation de l'opinion par les médias à la solde des partis «traditionnels».
Le seul outil pour actionner une autre politique, qui tienne compte des
aspirations des
gens, c'est le FN.
Au Front National, j'ai rencontré des responsables courageux, qui n'ont pas la
langue de bois, bien au fait des problèmes, avec la volonté de les résoudre, des
hommes - et des femmes - qui veulent répondre à vos attentes, en agissant en
symbiose avec vous, pour vous !
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