Retour au chapitre correspondant à cette note - Le Coran : Message Divin ? ou... Mensonge Bédouin ? - La réponse

Egorgement et traumatisme psychologique

égorgement d'un mouton, ou d'un homme ? Difficile de faire la différence

Un Marocain de 25 ans a égorgé son frère, le 22 janvier à Casablanca, avant d'expliquer aux enquêteurs qu'il avait pris la victime "pour un mouton", rapporte jeudi le quotidien "Aujourd'hui le Maroc". "J'ai égorgé le mouton ", a expliqué aux policiers un certain Abdesslam, tailleur de profession, en allant se dénoncer du meurtre de son frère Saïd, 20 ans, dans un commissariat de Casablanca.

Peu après ces aveux, la victime, qui partageait le logement de son frère, a été retrouvée égorgée dans son lit. "C'est un esprit qui m'a sollicité de liquider ce mouton allongé sur le lit", aurait affirmé Abdesslam aux enquêteurs.

Le journal... précise que les parents du meurtrier et de la victime ont affirmé qu'Abdesslam "était, de temps à autre, en proie à des troubles d'ordre psychiatrique". La justice marocaine a ordonné une expertise médicale pour évaluer la responsabilité pénale du jeune homme.

Ce fait divers insolite survient alors que les Marocains s'apprêtent à sacrifier dimanche près de six millions de moutons à l'occasion de la fête musulmane de l'Aïd el Kebir

Forum Le Parisien du jeudi 20 janvier 2005

 

Le quotidien "Al Hayat" relate un abominable crime commis par un islamiste koweïtien sur sa fille de 13 ans, pour l'aider à « aller au paradis ». Ce fonctionnaire du ministère des Affaires religieuses a effectué le pèlerinage de la Mecque, la semaine dernière.

De retour chez lui, il a convoqué sa fille de 13 ans, l'a attachée devant ses jeunes frères. Elle ne l'a pas cru lorsqu'il lui a dévoilé son intention. Puis, il a sorti un couteau et l'a égorgée. La lame n'étant pas assez longue pour la décapiter, il a sorti un autre couteau plus imposant, en lui demandant de prononcer la « Chahada » (la profession de foi musulmane : « il n'y a de Dieu qu'Allah, et Mahomet est le Prophète d'Allah »).

Les jeunes frères de la victime, terrorisés, sont alors sortis demander de l'aide aux passants dans la rue. Mais quand les secours sont arrivés, la jeune fille, décapitée, était déjà décédée.

Le père, Adnan Ali Maarouf, a reconnu aux enquêteurs qu'il voulait aider sa fille à aller au paradis. Déjà connu pour ses tendances islamistes extrémistes, Maarouf avait déjà été arrêté par le passé, mais, libéré, il avait été réintégré au ministère des Affaires religieuses.

janvier 2005

 

Menaces de mort en direct à la radio contre l'animateur David Abbasi lors de son émission Soleil de Perse du 29/03/05 sur la radio ICI ET MAINTENANT.

mp3
Ecouter l'extrait

mp3 - 142 Ko - 1'12"

mars 2005