Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Paradis & enfer
Paradis et enfer :
la carotte et le bâton
Le paragraphe reproduit ci-dessus est extrait dun ouvrage de Daniel Hourès. Cette « hadith » (parole ou acte attribué à Mahomet) dite « de Bukhari » est une sorte de résumé de ce que tout musulman est obligé de croire. Et parmi ces croyances « de base », il y a le fait de croire en lexistence dun paradis et dun enfer.
Il ny a là rien de bien original en soi puisque cette croyance est commune à de nombreuses religions. Dailleurs, le même Daniel Hourès a rappelé, dans son livre, que la religion inventée par Mahomet navait rien de bien original. Voici ce quil a écrit à ce propos :
Lislam sadressait initialement au peuple inculte des bédouins dArabie. Et pour mieux inciter ce peuple belliqueux à combattre au nom de son dieu unique, Mahomet le roublard usa de la bonne vieille technique de la carotte et du bâton, autrement dit du paradis et de lenfer. Mais là, il surpassat toutes les religions ayant existé et même à venir.
Son coran regorge de versets ayant trait au paradis quil promettait aux bons croyants et à lenfer où les impies sont supposés croupir jusquà la fin des temps. On sen convaincra en se reportant à létude analytique du coran qui constitue l'autre partie de la présente étude. Le paradis de Mahomet cest une sorte de Disneyland à la mode arabe, un vrai paradis de carton pâte quil na de cesse daméliorer de sourate en sourate.
Il va de soi que pour un pauvre bougre qui vit dans lune des régions parmi les plus désertiques de la planète, le paradis au mille fleuves et aux vierges aux seins arrondis peut vite devenir un véritable mythe, pour ne pas dire une réelle obsession.
Le paradis pourra dautant plus facilement fasciner que lenfer des impies ferait pâlir
de jalousie les disciples du marquis de Sade :
Sourate IV (4), verset 59 : Ceux qui refuseront de croire à nos signes, nous les approcherons du feu ardent. Aussitôt que leur peau sera brûlée, nous les revêtirons d'une autre, pour leur faire éprouver un supplice cruel. Dieu est puissant et sage.
Sourate XVIII (18), verset 28 : nous avons préparé pour les impies le feu, qui les entourera de ses parois. Quand ils imploreront du secours, on leur donnera de l'eau ardente comme le métal fondu, qui leur brûlera la figure.
Sourate XXII (22), versets 20 & 21 : les fidèles et les incrédules sont deux adversaires qui se disputent au sujet de Dieu ; mais les vêtements des infidèles seront taillés du feu, et l'eau bouillante sera versée sur leur tête.
Leurs entrailles et leur peau en seront consumées ; ils seront frappés de gourdins de fer.
etc... etc...
A contrario, quel bonheur pour le shahid ou martyr de la guerre sainte à qui lon ira jusquà promettre le paradis, quels que soient les péchés quil a pu commettre avant sa mort.
Et comme ça ne suffisait sans doute pas pour inciter les
bédouins à se faire tuer au nom dAllah, Mahomet
finira par promettre aux moudjahidins (combattants de la
guerre sainte contre les infidèles) de pouvoir intercéder
auprès de dieu en vue de la venue au paradis de 70 personnes
de leur choix !
Imaginez
donc : des milliers de musulmans faisant la queue devant la porte du
bureau dAllah Legrand & Cie avec leur liste à la main...
Daniel Hourès résume ainsi la carotte et le bâton :
Il faut être particulièrement naïf pour croire de telles fariboles. Il nen demeure pas moins que dans de nombreuses régions du monde soumises à lemprise de l'islam, des milliers de pauvres types, conditionnés par lenseignement coranique, sont prêts à se faire tuer et à tuer des dizaines, des centaines, voire même des milliers dinnocents sur la foi de ces calembredaines.
Et pourtant, on trouve des dizaines de ces prétendues « écoles coraniques » qui, au sein même de nos nations évoluées, distillent insidieusement ces mensonges grossiers et incitent une jeunesse désoeuvrée, déboussolée, sans véritables racines, à mourir en « martyrs de lislam ». A ces pauvres diables, nos dirigeants nont pas réussi à faire comprendre que lon ne construira pas le monde de demain sur les fantasmes des peuples dhier et davant-hier.
Cest une véritable honte, pour nos démocraties, que de laisser enseigner de telles âneries, de telles incitations au crime. Aucune forme de « liberté religieuse » ne peut justifier lincroyable laxisme dont bénéficient les « écoles » coraniques, foyers de sédition, dintolérance et de négation des droits les plus élémentaires dont nos démocraties se disent être les défenseurs inconditionnels.
Liberté de pensée, oui. Liberté pour lenseignement de lintolérance et du crime organisé, non !
Oui aux hommes qui décident et agissent en tout état de cause. Non aux moutons de lislam, à ceux et celles bêlant avec le troupeau et ne fonctionnant quà la carotte et au bâton !
Il est bien pauvre celui qui a besoin de la carotte pour faire le bien et du bâton pour sabstenir de faire le mal. Il est encore bien plus pauvre le « moudjahidin » qui tue des innocents en simaginant que cela va lui permettre daccéder à un paradis que personne na jamais vu et qu'il ne verra jamais !