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Drôle de « poisson d’avril » !

La légende mahométane veut que le dénommé Muhammad soit né un 1er avril.

Or, la tradition occidentale a fait du premier jour du mois d’avril un jour réservé aux plaisanteries. C’est le jour des « poissons d’avril ».

Historiquement parlant, la tradition du poisson d’avril aurait pris naissance vers la fin du XVIe siècle, à l’époque où l’année civile cessa de débuter en avril. C’est en effet en 1564 que le roi de France Charles XI rendit une ordonnance en vertu de laquelle le premier jour de l’année était fixé au 1er janvier. Par suite de ce changement, les étrennes se donnèrent le 1er janvier et l’on ne fit plus que des plaisanteries aux personnes qui regrettaient l’ancienne date. On s’amusa même à les mystifier avec des cadeaux factices ou par de faux messages. Et comme c’est au début d’avril que le soleil quitte le signe zodiacal des Poissons, on donna le nom de « poissons d’avril » à ces plaisanteries plus ou moins fines.

Le poisson est aussi l’un des symboles du christianisme (*) et il fut un temps celui de l’islam. Notons encore que l’on donne aussi le nom de « poisson d’avril » au maquereau, un poisson qui abonde en avril. Enfin, on nomme « poissons d’avril », les personnes nées un 1er avril.

Mahomet fut donc un « poisson d’avril », un maquereau à la manière arabe. Mais sur le plan de la plaisanterie, on devra admettre que si sa venue au monde fut une « blague divine », ce fut aussi et surtout une blague de très mauvais goût pour l’humanité. Une plaisanterie d’un goût plus que douteux qui produit encore des effets nocifs seize siècles après la naissance de cet individu (**).

Par un curieux hasard, on observe que le baron d’Avril, diplomate et écrivain français né à Paris en 1822, publia de nombreuses études dans la « Revue d’Orient ». Il a aussi publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels un livre intitulé «L’Arabie contemporaine » (1868) et un autre consacré aux « Femmes dans l’épopée iranienne » (1888).

(*) Pour les spécialistes de l’ésotérisme judéo-chrétien, Jésus (Ieoshouah en hébreu, ce qui signifie « secours de Yahvé »), descendant de David, est le nouveau dieu, souffrant et rédempteur, qui réclamait l’avènement de l’ère des Poissons, d’où ce symbole christique. De plus, Jésus était en grec « iesous chritous theos uios soter », Jésus Christ, fils de Dieu, le sauveur. En prenant les premières lettres de chaque mot cela donne I.CH.T.U.S, c'est à dire ichtus = poisson en grec.

(**) Pour d’aucuns, Mahomet personnifie l’Antéchrist, celui que Gougenot des Mousseaux décrivait comme « …un grand révolutionnaire qui ne connaître que sa propre volonté.. » (Mœurs et pratique des Démons – Paris 1865). De même, Josiane Charpentier, dans son « Livre des prophéties » (Ed. Robert Morel – 1971) dit, à propos de l’Antéchrist, qu’il doit être vu à l’échelle internationale, qu’il doit s’agir d’un chef d’armée, éponyme d’une nation qui renverserait tout sur son passage et n’hésiterait pas à massacrer tous ceux qui lui résisteraient. Elle précise qu’une loi naturelle, jamais démentie, veut que toute invasion vienne de l’Est (de l’Orient). Elle ajoute encore : « Evidemment, une persécution des chrétiens ne serait alors pas surprenante, ce serait la « grande persécution » annoncée par maintes prophéties, l’Initia dolorum des Ecritures. Le passage de ce fléau serait de courte durée, mais des années qui compteraient dans l’Histoire du Monde ! »

Plus étonnante encore est la prophétie de Sainte Hildegarde, une abbesse bénédictine née à Mayence vers l’an 1098, morte en 1179.