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(66) N’oublions pas que ce sont les terroristes palestiniens qui lancèrent la mode (si l’on peut dire) du piratage aérien. C’est au nom du djihad qu’il commencèrent à détourner des avions de ligne à la fin des années 60. C’est en effet le 26 décembre 1968 que deux Palestiniens tirèrent sur un appareil de la société El’Al, tuant un Israélien et mettant le feu à l’appareil. Le lendemain, des commandos héliportés israéliens clouaient 12 avions libanais au sol sur l’aérodrome de Beyrouth. Mais dès le 18 février 1969, un appareil d’El’Al était à nouveau attaqué (à Zurich). Le co-pilote de l’appareil et l’un des terroristes palestiniens furent tués au cours de cette action de guerre. Il s’ensuivit une escalade dans la terreur avec le détournement, le 23 juillet 1968, d’un Boeing d’El’Al au cours d’un vol Rome -Tel Aviv. L’appareil fut contraint de se poser à Alger. Dès le 24 juillet, le journal islamiste « El Moudjahid » assimilait l’avion à un « instrument de guerre ». Les derniers passagers du vol El’Al ne seront libérés que le 31 août.

Rares avant 1968, les actes de piraterie aérienne devinrent presque monnaie courante à partir de cette année-là. En effet, si l’on a dénombre 47 actes de ce type entre 1950 et 1967 (soit une moyenne de 2,6 détournement par an), on en dénombre 36 en 1968 et 81 en 1967 ! Actes isolés avant 1968, les attentats contre des avions civils deviennent des « actes de guerre » s’inscrivant dans la logique criminelle du djihad, dans la logique criminelle des Arabo-musulmans. Les attentats du 11 septembre 2001 résultaient de cette logique coranique qui permet de tuer les « infidèles » en usant de tous les moyens imaginables, y compris les plus lâches.