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(103) La « guerre sainte » menée actuellement par les réseaux islamistes nous met dans une situation qui rappelle la guerre qui opposa les catholiques de l’Ouest de la France (Vendéens et Chouans) aux forces armées républicaines. C’est l’adoption de la constitution civile du clergé, au cours de l’été 1790, qui avait mis le feu aux poudres. Le clergé et les aristocrates de la Vendée avaient été les premiers à organiser une opposition armée fondée sur des arguments religieux et antirépublicains. Il s’agissait donc d’une « guerre sainte » menée par des catholiques contre la république laïque (elle durera jusqu’en 1796, avec quelques soubresauts en 1799 et 1800, et fera plus de 350.000 victimes) et il n’est pas interdit d’établir un parallèle entre ce conflit politico-idéologique et celui que mènent les islamistes contre tout ce qui n’est pas musulman.

Notons que les actions menées par les catholiques de l’Ouest contre la république furent réprimées par les forces armées, les chefs vendéens (Bonchamps, Lescure, d’Elbée, La Rochejacquelein, de Charrette, Cadoudal,…) ayant été traités comme des terroristes passibles des peines prévues par la loi martiale.

La Rochejacquelein aux combats de Cholet, le 17 octobre 1793
(Peinture de Boutigny –Musée d’Histoire de Cholet)

La Rochejacquelein aux combats de Cholet, le 17 octobre 1793 (Peinture de Boutigny –Musée d’Histoire de Cholet). Par un curieux hasard, le peintre l’a représenté portant un habit vert (couleur de l’islam). La guerre sainte menée par les Vendéens et les Chouans fut terriblement sanglante mais demeura une guerre à peu près « normale » (au sens militaire du terme). Par contre, la « guerre sainte » menée par les islamistes est une guerre crapuleuse, une guerre de lâches que nous devons réprimer avec la plus grande sévérité.

Les dirigeants français de l’an 2000 sont-il moins soucieux de défendre la laïcité que ceux qui dirigèrent la France de 1790 à 1800 ? Ont-ils peur de réprimer la « terreur verte » ? Sont-ils moins courageux que leurs prédécesseurs qui firent tirer le canon de la république contre les insurgés de l’Ouest qui menaçaient les valeurs républicaines ? La « terreur verte » réussira-t-elle là où la « terreur blanche » a échoué ?