Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Libération ?
L’ islam : instrument de libération ?
Ce qui différencie assez fondamentalement lislam des autres religions monothéistes, cest que l'islam a été dès le départ un instrument destiné à conquérir le pouvoir, tant religieux que politico-militaire, puis à conserver ce pouvoir totalitaire, devenant alors un puissant outil de répression.
Dans le cas du christianisme, on observe que ce fut au départ une doctrine contestataire vis-à-vis du pouvoir. Le pouvoir religieux (celui des rabbins) et le pouvoir politico-militaire (celui de loccupant romain). Le christianisme fut dès ses débuts une religion « de libération » qui ne sera dévoyée quà partir du moment où le clergé sera devenu une puissante organisation ayant elle-même des préoccupations politiques. La plupart des schismes chrétiens furent essentiellement des mouvements de contestation à lencontre de lautocratie pontificale et des liens quelle entretenait avec les pouvoirs politiques en place. Les questions purement théologiques furent souvent dordre secondaire.
Dans le cas de lislam, la démarche fut toute autre. Pour Mahomet, une nouvelle religion devait permettre dunifier les tribus arabes et, par delà, de créer une « nation arabe » capable de simposer en tant que puissance dans toute la péninsule arabique et dans les contrées avoisinantes. Comme il a été dit dans le premier chapitre, Mahomet, consciemment ou inconsciemment, sinspira très largement des textes prétendument « divins » qui avait permis lunification des tribus hébraïques en un « peuple dIsraël ». Sa démarche visait à créer un « peuple dIsmaël » capable de sopposer au « peuple dIsraël » (qui lui servait de modèle mais qu'il haïssait). Cest ce qui lui vaudra parfois le surnom de « Moïse des Arabes ».
Et cest parce que l'islam fut, dès le départ, un instrument de pouvoir totalitaire et de répression que cette religion na pas évolué. Pour les khalifes, il ne pouvait être question de toucher à cet outil taillé à la mesure de leurs ambitions. Aujourdhui encore, ce nest pas le « petit peuple musulman » qui refuse de reconsidérer lislam, ce sont les rois et les « gardiens de la foi », autrement dit tous ceux dont le pouvoir petit ou grand repose entièrement sur les dictats théologiques et la répression coranique.
Dans un article publié dans son numéro du 18 juillet 2002, lhebdomadaire « LExpress » avait tenté, par la plume de Michel Faure, danalyser les « plaies du monde arabe ». Lauteur analysait un rapport intitulé « Arab Human Development Report 2002 », un document rédigé par un groupe dexperts et dintellectuels arabes (sous légide du Pnud des Nations-Unies) qui venait dêtre rendu public au Caire.
Ce rapport concernait 22 pays membres de la « ligue arabe » et les 280 millions de personnes vivant dans ces pays. Il relevait que la population y était jeune (par le fait dune natalité non maîtrisée et même encouragée par les milieux islamiques) 38% de la population ayant moins de 14 ans et très peu éduquée (65 millions dArabes étant analphabètes, les deux tiers de ces analphabètes étant des femmes). Cette population devrait atteindre la barre des 400 millions vers lannée 2020 sans que rien nait changé sur le plan de léducation, laquelle devrait demeurer limitée aux prétendues « écoles » coraniques.
Les populations les plus fortement islamisées sont pauvres (1 Arabe sur 5 vit avec moins de 2 euros par jour) et sous-employées (15% de la population active était au chômage en 1995 et lon friserait les 20 % en 2002). Et, bien entendu, les femmes sont systématiquement tenues à lécart de la vie sociale, économique et politique (sauf cas très rares comme dans la Libye de Kadhafi ou dans l'Irak de Saddam Hussein).
Et le journaliste de « LExpress » décrire : « Cette situation aboutit à un désastre qui aurait pu être évité, alors que la région est riche dune histoire, dune culture, dune religion (comment peut-on être « riche dune religion » ?, soit dit en passant), dune tradition, dune langue commune à tous ses habitants, autant de facteurs qui auraient dû lui permettre de jouer un rôle moteur dans le développement de ses échanges, de son économie et de son influence politique dans un monde globalisé. Elle est riche aussi en pétrole et en matières premières. Et pourtant, elle reste en dehors du progrès. »
Les auteurs (arabes) du rapport (consultable sur www.undp.org) admettaient eux mêmes que « Le monde arabe est plus riche que développé ». Il faudrait être aveugle pour ne pas sen rendre compte !
Mais personne ne semble avoir osé mettre le doigt sur la véritable raison de ce « déclin » du monde arabe : une incapacité à sadapter aux évolutions de plus en plus rapides du monde moderne. Cest tout juste si lon nous dit que 51% des adolescents et 45 % des jeunes interrogés exprimaient leur désir démigrer. Hélas, pour la toute grande majorité dentre eux, ils sont incapables de sadapter au monde moderne, aussi bien à létranger que chez eux.
La raison de cette inadaptabilité est parfaitement connue : lislam !
Cette religion qui na rien dune « richesse » - est la véritable plaie du monde arabo-musulman. Elle la empêché dévoluer et elle empêche la jeunesse islamisée de souvrir sur les autres cultures et sur les acquis de la science.
Daucuns (comme Bernard Lewis) sextasient encore sur la « richesse de la civilisation arabe ». Il est vrai quil y eut, jadis, un « âge dor » de lislam comme il y eut un « âge dor » des civilisations précolombiennes dAmérique du Nord. Le islamistes se gargarisent dailleurs de cette « richesse culturelle de lislam » en oubliant de préciser que cette culture arabo-musulmane fut essentiellement une culture d« assimilation » qui emprunta beaucoup de choses à des cultures non-arabes (comme les cultures perse et mésopotamienne, par exemple). Quoi quil en soit, un peuple ne vit pas de son passé mais de son présent. Et cela, les musulmans demeurent incapables de le concevoir. Ils sont beaucoup trop soumis aux méthodes de lavage de cerveau et de bourrage de crâne qui constituent la base de lenseignement coranique.
Plus Intéressante est la conclusion de Michel Faure : « Depuis longtemps, le monde arabe tend à chercher des coupables hors de chez lui des Mongols aux colonialistes français et britanniques en passant par les Turcs ou les Juifs, note Lewis. Aujourdhui, cependant, les Arabes sont de plus en plus nombreux à rechercher chez eux, dans leurs gouvernements ou dans le rôle de lislam dans leurs sociétés, la cause de leur déclin. Et pour le vieil historien anglais, la réponse est évidente : cest le « manque de liberté » qui est à la racine de tous les problèmes. « La liberté de lesprit - affranchi des contraintes et de lendoctrinement -, la liberté de questionner, de rechercher et de sexprimer, la liberté de léconomie hors du champ de la corruption et de lincompétence , la liberté des femmes hors de portée de loppression des hommes -, et la liberté des citoyens hors de lemprise de la tyrannie ».
La réponse est là, résumée en quelques lignes. Mais elle reste diffuse, pas assez clairement exprimée. Car la cause du déclin du monde arabo-musulman nest pas à rechercher dans les gouvernements « ou » dans lislam mais bien dans les gouvernements « et » dans lislam, les deux étant intimement liés. Et nous pensons quil est pour le moins optimiste de penser quaujourdhui les Arabo-musulmans seraient « de plus en plus nombreux » à rechercher chez eux les causes de leurs incapacités à évoluer comme le reste du monde. Ce nest en tous cas pas limpression qui se dégage des évènements actuels, lesquels indiquent une poussée de lintégrisme et du fondamentalisme, non une volonté dautocritique et damendement.
Une chose est cependant certaine, nous ne voulons plus recevoir en Europe les exaltés et les fanatiques en tous genres qui sortent à jet continu des « écoles » coraniques. Quel que soit leur niveau de vie dans leur pays dorigine, quils y restent !
Car il est évident que certains pays musulmans refusent systématiquement dévoluer pour pouvoir, dune part maintenir les insultants privilèges des castes au pouvoir et, dautre part, justifier lémigration des « fouteurs-de-merde » formés par les islamistes pour aller « conquérir le monde au nom dAllah ». Nous devons donc les refouler automatiquement et, pour ceux qui auraient réussi à sinfiltrer en Europe de façon illicite, les reconduire dans leurs pays dorigine aux frais de ceux-ci (ces frais étant à déduire daides éventuelles).
Ben Laden est un individu extrêmement dangereux mais il ne faut pas quil devienne larbre qui cacha la forêt. Des milliers de ben Laden en herbe sont formés dans les « écoles » coraniques et sont prêts à prendre la relève. Quant à la chaîne de télévision Al-Jazeera, elle sert de relais aux terroristes islamiques pour leur permettre de mieux manipuler lopinion et diffuser leurs messages. Quattend-t-on pour prendre des mesures à lencontre de cette « voix du terrorisme » ? Les Etats-Unis et les Britanniques, qui rêvent den découdre avec tout le Moyen Orient, sont-ils incapables de faire taire le « porte-voix islamique » implanté au Qatar ? La farce na que trop duré et nous devons prendre des mesures de rétorsion à lencontre des autorités de ce pays beaucoup trop « à lécoute » des « fous dAllah » et autres criminels du même acabit.
Pour les êtres humains sensés, libres de leurs pensées et bien dans leur tête, « dieu » nexiste pas. Cest une évidence. Cest lhomme qui a créé « dieu » (et d'abord les dieux), pas linverse. Et cest heureux pour « dieu ». Car si « dieu » existait, sil venait à se manifester, nous le ferions traduire illico devant le tribunal international pour crimes contre lhumanité !
Le plus grand assassin de toute lhistoire de lhumanité, le « serial killer » qui a fait périr des centaines de millions dêtre humains est un « assassin virtuel ». Il na jamais existé ! Mais des millions dhommes, de femmes et denfants mourront encore à cause de lui, voire pour lui, dans les années et les décennies à venir. Et ça, ce nest pas virtuel. Cest la triste réalité.
Dieu nexiste pas mais le démon, lui, il existe vraiment. Il porte un nom : homo sapiens ! Et dire que « sapiens » signifie « sage » en latin !
Lhomme est un loup pour lhomme. Cest un prédateur qui ne recule devant rien pour soctroyer la meilleure part du festin de la vie. Car les hommes ne sont pas et ne seront jamais égaux. Il y aura toujours les forts et les faibles, les malins et les naïfs, les cultivés et les ignares. Ce sont les malins, faibles ou forts, qui ont inventé « dieu » pour simposer aux naïfs et aux crédules, qu'ils soient plus faibles ou plus forts, pour dominer ceux qui nespérent rien de leur vie terrestre et à qui lon peut faire croire au « Paradis » dans une vie « céleste ».
Le fanatisme religieux na prise que sur les déséquilibrés et les désespérés. On retrouve ces deux catégories chez les « fous dAllah »; Les séides mahométans entraînent dans leur sillage les déshérités, les exclus de la société post-industrielle comme les chantres du national-socialisme entraînèrent - dans les années 20-30 du siècle dernier les perdants de la « grande guerre », les affamés de lAllemagne vaincue, les humiliés du Traité de Versailles.
Mais, derrière tout cela, il y a les « calculateurs ». Il y a les « hommes de lombre » qui tirent les ficelles. Ceux là ne sont ni fous, ni désespérés. Et dans le cas de lislam, ce sont les dirigeants politiques des nations qui se réclament du coran et de Mahomet.
Ceux-là sont nos véritables adversaires. Ceux-là sont les « hommes à abattre » !
Comme la France, la Grande-Bretagne et lAllemagne, la Belgique est devenue lune des bases de lactivisme et du terrorisme islamique, comme latteste cet article paru dans « Télépro » (septembre 2002). LUnion européenne sest bâtie sur les principes généreux et démocratiques de ses membres. Elle est, de ce fait, très vulnérable face à des individus qui ne respectent pas ces principes mais qui, au contraire, savent sen servir pour mettre en place des structures destinées à servir les thèses dangereusement anachroniques et antidémocratiques de lislam. LEurope doit se ressaisir au plus tôt car elle est menacée de lintérieur. Elle doit endiguer lislam et surtout ne lui accorder aucune reconnaissance officielle. Elle doit aussi adopter des lois communes et des structures policières adaptées à la lutte anti-islamique. Il faut des policiers capables de maîtriser les langues arabes, orientales et africaines mais non musulmans (naggravons pas la situation en incorporant des musulmans dans nos forces de police !). Il faut des structures spéciales pour linternement des islamistes ainsi quun système efficace dexpulsion des indésirables.
« Les
inquiétants émirs du Sahel »
Article
paru dans « LExpress » - 28 novembre 2002
Sil est vrai que la pauvreté fait le lit de lislamisme, il faut aussi admettre que des circonstances politiques favorables permettent à lislamisme de se propager sous le regard complaisant et presque compatissant des pays développés.
Pour les dirigeants « politiquement corrects » (autrement dit les faux culs et les pleutres de la politique), il ne faut pas « vexer » les islamistes en sattaquant à leurs convictions. Désolé, mais si les musulmans peuvent traiter les « infidèles » de « chiens », nous, nous pouvons les traiter de cons !
![]() |
![]() |