Source : http://www.radioislam.org/historia/hitler/testam/fra/testa.htm
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« LE TESTAMENT POLITIQUE DE HITLER », préface de Trevor-Roper, commentaire de François Poncet, a été publié en 1959 aux éditions Fayard.
In-8, broché, 191 pages.
Certaines personnes considèrent ce document comme altéré par rapport à ce qu'aurait dit Hitler.
[Arthur R. Butz - LA MYSTIFICATION DU XXe SIÈCLE : Il peut se faire aussi que le texte du testament ait été dénaturé car sa découverte par les autorités britanniques et américaines ne fut annoncée que le 29 décembre 1945 et seule la dernière page est signée. La machine à écrire et le papier qu'utilisait le secrétaire de Hitler auraient suffi pour effectuer une altération indétectable].
D'autres le considèrent comme un faux.
[Robert Faurisson - ECRITS REVISIONNISTES (1974-1998) : A la réflexion, cet ouvrage me paraît être un faux dont le responsable pourrait être François Genoud].
[David Irving : Hitler's Last Testament, with an Introduction by Professor Hugh Trevor-Roper, is a fake]
Tant Arthur R. Butz que Robert Faurisson ou David Irving sont des révisionnistes notoires qui n'hésitent pas à nier de nombreux aspects du génocide des Juifs par les nazis, mais toutefois il est exact que dans ce "testament politique" certaines déclarations de Hitler sont peu compatibles avec ce qu'il avait précédemment déclaré tout au long du conflit.
Que ce testament soit faux ou authentique, cela ne change toutefois rien au fait que c'est par sympathie de l'islam envers le nazisme que ce texte a été reproduit sur le site musulman où nous l'avons récupéré (voir source ci-dessus). Cela ne change non plus rien au texte : écrit par Hitler ou par des néo-nazis, ce texte exprime ouvertement la sympathie réciproque du nazisme envers l'islam et les musulmans. |
Dans ce document sont consignés les propos tenus par Adolf Hitler, du 4 février au 26 février 1945, dans le bunker de la Chancellerie à Berlin. Ces notes ont été prises et transcrites par le nazi Martin Bormann puis éditées après la guerre par le néo-nazi François Genoud.
Ne sont reproduits ici que les paragraphes qui font référence à l'islam et aux musulmans (avec les paragraphes qui les encadrent pour ne pas les isoler du contexte). On peut consulter l'intégralité de l'ouvrage sur le site musulman où nous l'avons récupéré (voir référence ci-dessus) et où il est de plus disponible en différentes langues (avec en prime Mein Kampf, en plusieurs langues lui aussi...)
Avertissement par François Genoud 1. 4 février 2. 6 février 3. 7 février 4. 10 février 5. 13 février 6. 14 février 7. 15 février 8. 15 février 9. 15 février 10. 17 février 11. 18 février 12. 20 février 13. 21 février 14. 24 février 15. 25 février 16. 26 février 17. 26 février 18. 2 avril |
Pitt et Churchill. - Pitt prépare la grandeur de l'Empire, Churchill creuse son tombeau. - L'Europe a perdu sa primauté. - La Grande-Bretagne aurait dû accepter une paix blanche. - Le Troisième Reich était condamné à faire la guerre. - Le mahleur et l'adversité, origine des grands relèvements.
Quartier Général du Führer,
4 février 1945.
(...)
Il lui était possible, si elle l'avait voulu, de mettre fin à la guerre au début de 1941. Elle avait affirmé sa volonté de résistance dans le ciel de Londres, elle avait à son actif les humiliantes défaites des Italiens en Afrique du Nord. L'Angleterre traditionnelle eût fait la paix. Mais les Juifs ne l'ont pas toléré. Ses hommes de main, Churchill et Roosevelt, étaient là pour l'empêcher.
Cette paix pourtant eût permis de tenir les Américains à l'écart des affaires de l'Europe. Celleci, sous la direction du Reich, se serait rapidement unifiée. Le poison juif éliminé, cela devenait chose facile. La France et l'Italie, battues à tour de rôle et à quelques mois de distance par les deux puissances germaniques, s'en seraient tirées à bon compte. L'une et l'autre auraient dû renoncer à une politique de grandeur hors de saison. Elles eussent renoncé du même coup à leurs prétentions en Afrique du Nord et dans le Proche-Orient, ce qui eût permis à l'Europe de faire une audacieuse politique d'amitié à l'égard de l'Islam. Quant à l'Angleterre, débarrassée de ses soucis européens,elle pouvait se consacrer entièrement au salut de l'Empire. L'Allemagne enfin, ses arrières étant assurés, pouvait se jeter à corps perdu dans ce qui constituait sa tâche essentielle, le but de ma vie et la raison d'être du national-socialisme: l'écrasement du bolchevisme. Cela entraînait comme conséquence la conquête des espaces, à l'Est, qui doivent assurer l'avenir du peuple allemand. |
Les lois de la vie comportent une logique qui ne se confond pas nécessairement avec notre logique. Nous étions disposés à des compromis, prêts à jeter nos forces dans la balance pour faire durer l'Empire britannique. Et tout cela alors que le dernier des Hindous m'est au fond beaucoup plus sympathique que n'importe lequel de ces insulaires arrogants. Les Allemands seront heureux plus tard de n'avoir pas contribué à la survie d'une réalité périmée que le monde futur aurait eu de la peine à leur pardonner. Nous pouvons prophétiser aujourd'hui, quelle que soit l'issue de cette guerre, la fin de l'Empire britannique. II est touché à mort. L'avenir du peuple anglais, c'est de mourir de faim et de tuberculose dans son île maudite.
(...)
2
Le dernier quart d'heure. - Volonté d'exterminer l'Allemagne. - Léonidas et ses trois cents Spartiates. - Mort miraculeuse de la tsarine Elisabeth. - La victoire au sprint. - La guerre a commencé le 30 janvier 1933.
3
Les entreprises coloniales épuisent les peuples. - Les nouveaux mondes ne sont que des excroissances de l'ancien. Echec des blancs. - Matérialisme, fanatisme, alcoolisme et syphilis. - Des fils dénaturés. - Une unique direction pour l'expansion allemande: l'Est. - L'Europe aux Européens. - Le trop-plein de l'Asie prolifique.
Quartier Général du Führer,
7 février 1945.
(...)
L'Espagne, la France et l'Angleterre se sont anémiées, dévitalisées, vidées dans ces vaines entreprises coloniales. Les continents auxquels l'Espagne et l'Angleterre ont donné la vie, qu'elles ont créés de toutes pièces, ont acquis aujourd'hui une vie propre et résolument égoïste. Ils ont perdu jusqu'au souvenir de leurs origines, sinon en paroles. Ce sont néanmoins des mondes fabriqués, auxquels il manque une âme, une culture, une civilisation originales. De ce point de vue-là, ils ne sont rien de plus que des excroissances.
L'on peut parler de la réussite des nouveaux peuplements dans le cas des continents pratiquement vides. Cela explique les États-Unis d'Amérique, cela explique l'Australie. Des réussites, d'accord. Mais uniquement sur le plan matériel. Ce sont des constructions artificielles, des corps sans âge, dont on ignore s'ils ont dépassé l'état d'enfance ou s'ils sont touchés déjà par la sénilité. Dans les continents habités; l'échec fut encore plus marqué. Là, les blancs ne se sont imposés que par la force, et leur action sur les habitants a été quasiment nulle. Les Hindous sont restés des Hindous, les Chinois des Chinois, les Musulmans des Musulmans. Pas de transformations profondes, sur le plan religieux moins que sur les autres et en dépit de l'effort gigantesque des missions chrétiennes. D'assez rares cas de conversions, et dont presque toujours l'on peut suspecter la sincérité, à moins qu'il ne s'agisse de simples d'esprit. Les blancs ont toutefois apporté quelque chose à ces peuples, le pire qu'ils pussent leur apporter, les plaies du monde qui est le nôtre: le matérialisme, le fanatisme, l'alcoolisme et la syphilis. Pour le reste, ce que ces peuples possédaient en propre étant supérieur à ce que nous pouvions leur donner, ils sont demeurés eux-mêmes. Ce qui fut tenté par la contrainte donna des résultats pires encore. L'intelligence commanderait de s'abstenir d'efforts de ce genre, quand on sait qu'ils sont vains. Une seule réussite à l'actif des colonisateurs: ils ont partout suscité la haine. Cette haine qui pousse tous ces peuples, réveillés par nous de leur sommeil, à nous chasser. Il semble même qu'ils ne se soient réveillés que pour cela! Qu'on me dise si la colonisation a fait augmenter le nombre des chrétiens par le monde! Où sont les conversions en masse qui font le succès de l'Islam? Je vois, çà et là, des îlots de chrétiens, de nom plus encore que de fait. Voilà tout le succès de cette magnifique religion chrétienne, détentrice de la suprême vérité! |
Tout bien considéré, la politique coloniale de l'Europe se solde par un échec complet. Je tiens compte d'une apparente réussite, et uniquement sur le plan matériel: je veux parler de ce monstre qui a nom États-Unis. Et c'est vraiment un monstre. Alors que l'Europe - leur mère - lutte désespérément pour éloigner d'elle le péril bolcheviste, les États-Unis, guidés par cet enjuivé de Roosevelt, ne trouvent rien de mieux que de mettre leur fabuleuse puissance matérielle au service des barbares asiatiques qui tentent de l'écraser. En ce qui concerne le passé, l'on ne peut exprimer que des regrets à l'idée des millions de bons Allemands qui se sont expatriés aux États-Unis et qui constituent maintenant la charpente de ce pays. Or ce ne sont pas seulement des Allemands perdus pour la mère-patrie. Ils sont devenus pour elle des ennemis, des ennemis pires que les autres. L'Allemand expatrié, s'il conserve ses qualités sur le plan du sérieux et du travail, ne tarde pas à perdre son âme. II n'y a rien de plus dénaturé qu'un Allemand dénaturé!
(...)
4
Fallait-il entraîner Franco dans la guerre? - Nous avons collaboré malgré nous à la victoire des curés espagnols. - Décadence irrémédiable des pays latins. - Il fallait occuper Gibraltar.
Quartier Général du Führer,
10 février 1945.
5
Le problème juif posé de façon réaliste. - L'étranger inassimilable. - Une guerre typiquement juive. - La fin du Juif honteux et l'avènement du Juif glorieux. - L'antisémitisme ne disparaîtra qu'avec les Juifs. - Contre les haines raciales. Faillite du métissage. - Juste orgueil des Prussiens. - Atticisme des Autrichiens. - Le type de l'Allemand moderne. Il n'y a pas à proprement parler de race juive. - Supériorité de L'esprit sur la chair! - J'ai été loyal à l'égard des Juifs.
Quartier Général du Führer,
13 février 1945.
6
Trop tôt et trop tard. - Le temps nous manque parce que l'espace nous manque. - Un Etat révolutionnaire fait une poli tique de petits bourgeois. - Erreur de la collaboration avec La France. - Nous devions émanciper le prolétariat français et libérer les colonies françaises. - J'avais raison dans Mein Kampf.
Quartier Général du Führer,
14 février 1945.
(...)
Notre devoir était de libérer la classe ouvrière, d'aider les ouvriers de France à faire leur révolution. Il fallait bousculer impitoyablement une bourgeoisie de fossiles, dénuée d'âme comme elle est dénuée de patriotisme. Voilà quels amis nos génies de la Wilhelmstrasse nous ont trouvés en France, de tout petits calculateurs, qui se sont mis à nous aimer quand l'idée leur vint que nous occupions leur pays pour défendre leurs coffres-forts - et bien résolus à nous trahir à la première occasion, pour peu que ce fût sans risques!
En ce qui concerne les colonies françaises, nous n'avons pas été moins stupides. Toujours l'œuvre de nos génies de la Wilhelmstrasse! Des diplomates du style classique, des militaires d'ancien régime, des hobereaux, voilà quels auxiliaires nous avons eus pour faire une révolution à l'échelle de l'Europe! Ils nous ont fait faire la guerre qu'ils eussent faite au xixe siècle. A aucun prix nous ne devions jouer la carte française contre les peuples qui subissaient le joug de la France. Nous devions au contraire les aider à se libérer de cette tutelle, les y pousser au besoin. Rien ne nous empêchait, en 1940, de faire ce geste dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Eh bien, notre diplomatie s'est appliquée à consolider le pouvoir des Français aussi bien en Syrie qu'en Tunisie, en Algérie et au Maroc. Nos gentlemen préféraient certainement entretenir des rapports avec des Français distingués plutôt qu'avec des révolutionnaires hirsutes, avec des officiers à badine qui ne songeaient qu'à nous flouer plutôt qu'avec les Arabes - qui eussent été pour nous de loyaux partenaires. Oh, le calcul de ces machiavels de profession ne m'échappe pas. Ils connaissent leur métier, ils ont des traditions! Ils n'ont pensé qu'au bon tour qu'ils jouaient ainsi aux Anglais, car ils en sont encore au fameux antagonisme traditionnel qui oppose Français et Anglais sur le plan colonial. C'est bien ce que je disais, ils se croient toujours sous le règne de Guillaume II, et dans le monde de la reine Victoria, dans celui de finauds qui s'appelaient Delcassé et Poincaré! Or cet antagonisme a cessé d'être fondamental. C'est beaucoup plus une apparence qu'une réalité, et parce que chez nos adversaires aussi il y a encore des diplomates de l'ancienne école. En fait, l'Angleterre et la France sont des associés dont chacun joue son jeu personnel avec âpreté, qui ne reculent jamais devant les entorses faites à l'amitié mais qui se retrouvent toujours à l'heure du danger. La haine tenace du Français à l'égard de l'Allemand a quelque chose d'autrement profond. Il y a là pour nous une leçon à retenir. |
De deux choses l'une en ce qui concerne la France. Ou bien elle abandonnait son alliée l'Angleterre, et en ce cas elle ne présentait aucun intérêt pour nous en tant qu'alliée éventuelle, car il est certain qu'elle nous eût abandonnés de même à la première occasion. Ou bien elle ne faisait que simuler par ruse ce changement de partenaire, et elle n'en était que plus redoutable pour nous. L'on a fait, de notre côté, des rêves absolument ridicules au sujet de ce pays. Il n'y avait véritablement qu'une formule souhaitable: adopter à l'égard de la France une politique de méfiance rigoureuse. Je sais que je ne me suis pas trompé en ce qui concerne la France. J'ai dit avec clairvoyance, dans Mein Kampf , ce qu'il fallait en penser. Et je sais très bien pourquoi, en dépit des sollicitations qui me furent faites, je n'ai jamais accepté de changer quoi que ce soit à mes propos d'il y a vingt ans.
7
La plus grave décision de cette guerre. - Pas de paix possible avec Les Anglais avant d'avoir anéanti l'armée rouge. - Le temps travaille contre nous. - Le chantage de Staline. - Règle ment du compte russe aux premiers beaux jours.
Quartier Général du Führer,
15 février 1945.
8
Un peuple qui d'instinct n'aime pas les entreprises coloniales. - Louisiane et Mexique.
Quartier Général du Führer,
15 février 1945.
9
Certains Français furent des Européens courageux. - Le prix de la clairvoyance et de la bonne foi.
Quartier Général du Führer,
15 février1945.
10
Une de mes erreurs: mon attitude à l'égard de l'Italie. L'allié italien nous a gênés presque partout. - Une politique ratée en ce qui concerne l'Islam. - Déshonorants échecs des Italiens. - Les Italiens auront contribué à nous faire perdre La guerre. - La vie ne pardonne pas à la faiblesse. |
Quartier Général du Führer,
17 février 1945.
(...)
L'intervention de l'Italie, en juin 40, pour donner le coup de pied de l'âne à une armée française en liquéfaction, a eu pour seul effet de ternir une victoire que nos vaincus avaient alors sportivement acceptée. La France reconnaissait qu'elle avait été régulièrement battue par les armées du Reich, mais elle ne voulait pas avoir été battue par l'Axe.
L'allié italien nous a gênés presque partout. C'est ce qui nous a empêchés, en Afrique du Nord, par exemple, de faire une politique révolutionnaire. Par la force des choses, cet espace devenait une exclusivité italienne, et c'est bien à ce titre qu'il fut revendiqué par le Duce. Seuls; nous aurions pu émanciper les pays musulmans dominés par la France. Cela aurait eu un retentissement énorme en Egypte et dans le Proche-Orient asservis par les Anglais. D'avoir notre sort lié à celui des Italiens, cela rendait une telle politique impossible. Tout l'Islam vibrait à l'annonce de nos victoires. Les Égyptiens, les Irakiens et le Proche-Orient tout entier étaient prêts à se soulever. Que pouvions-nous faire pour les aider, pour les pousser même, comme c'eût été notre intérêt et notre devoir. La présence à nos côtés des Italiens nous paralysait, et elle créait un malaise chez nos amis de l'Islam, car ils voyaient en nous des complices, volontaires ou non, de leurs oppresseurs. Or les Italiens, dans ces régions, sont encore plus haïs que les Français et les Anglais. Le souvenir des barbares représailles exercées contre les Senoussis y est toujours vivant. Et d'autre part la ridicule prétention du Duce d'être considéré comme le Glaive de l'Islam entretient encore le long ricanement qu'elle suscita avant la guerre. Ce titre qui convient à Mahomet et à un grand conquérant comme Omar, Mussolini se l'était fait donner par quelques pauvres bougres, qu'il avait payés ou terrorisés. Il y avait une grande politique à faire à l'égard de l'Islam. C'est raté - comme tant d'autres choses que nous avons ratées par fidélité à l'alliance italienne! Les Italiens, sur ce théâtre d'opérations, nous ont donc empêchés de jouer l'une de nos meilleures cartes: qui consistait à émanciper tous les protégés français et à soulever les pays opprimés par les Britanniques. Cette politique aurait suscité l'enthousiasme dans tout l'Islam. C'est en effet une particularité du monde musulman que ce qui touche les uns, en bien ou en mal, y est ressenti par tous les autres, des rives de l'Atlantique à celles du Pacifique. |
Sur le plan moral, l'effet de notre politique fut doublement désastreux. D'une part, nous avons blessé, sans avantage pour nous, l'amour-propre des Français. D'autre part, cela nous a contraints de maintenir la domination exercée par ceux-ci sur leur Empire, par simple crainte que la contagion ne s'étendît à l'Afrique du Nord italienne et que celle-ci ne revendiquât également son indépendance. Je puis bien dire que ce résultat est désastreux puisque, maintenant, tous ces territoires sont occupés par les Anglo-Américains. Notre absurde politique a même permis aux Anglais hypocrites de paraître en libérateurs en Syrie, en Cyrénaïque et en Tripolitaine.
(...)
11
Un prétexte en or pour Roosevelt. - Rien ne pouvait empêcher l'entrée en guerre des États-Unis. - L'obsession du péril jaune. - Solidarité avec Les Japonais.
Quartier Général du Führer,
18 février 1945.
12
Il fallait occuper Gibraltar en 1940. - Faiblesse congénitale des pays latins. - Les Anglais trompés par la France. - Malentendus avec le Duce. - La funeste campagne de Grèce.
Quartier Général du Führer,
20 février 1945.
13
Nécessité de la paix pour consolider le Troisième Reich. L'homme abstrait et les doctrines utopistes. - Le national socialisme est une doctrine réaliste, valable uniquement pour l'Allemagne. - La guerre, si elle avait eu lieu en 1938, eût été une guerre localisée. - Ce qui se serait passé. - Coup double pour les Occidentaux.
Quartier Général du Führer
21 février 1945.
14
.
Drame de la guerre avec l'Amérique. Contribution des Germains à la grandeur des États-Unis. - La faillite du New Deal et la guerre. - Possibilités de coexistence pacifique entre les États-Unis et l'Allemagne. - Les Américains deviendront antisémites. - Roosevelt, une fausse idole. - Pas de politique coloniale, une grande politique continentale.
Quartier Général du Führer,
24 février 1945
15
Les Allemands sont inévitablement pressés. - Les Russes ont le temps pour eux. - Un peuple au passé tragique. - Ni l'œuvre d'un homme, ni celle d'une génération. - Les Allemands n'ont cessé de lutter pour leur existence.
Quartier Général du Führer,
25 février 1945.
16
Churchill n'a pas su comprendre. - L'irréparable pouvait être évité. - Obligation d'attaquer les Russes afin de prévenir leur attaque. - Les Italiens nous empêchent d'entrer en campagne en temps utile. - Conséquences catastrophiques de notre retard. - Illusion d'une entente possible avec Staline.
Quartier Général du Führer,
26 février 1945.
17
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La dernière chance de l'Europe. - Napoléon et la conquête de la paix. - Les tourments de Napoléon et les miens. - L'Angle terre toujours en travers de notre route. - Ceux qui vivent des divisions de l'Europe.
Quartier Général du Führer,
26 février 1945
18
Une défaite qui ne saurait être que totale. - Image du Reich écartelé par ses vainqueurs. - Une Allemagne de transition. Résurrection de l'éternelle Allemagne. - Une règle de conduite pour les âmes fidèles. - Le premier peuple du continent. L'Angleterre et l'Italie si.... - Une France dégénérée et fatalement ennemie. - En attendant la montée des nationalismes asiatiques et africains. - Les États-Unis et la Russie face à face. - Une Russie dégagée du marxisme. - Labilité du colosse américain. - Le droit des peuples affamés. - Les chances de survie pour un peuple courageux.
Quartier Général du Führer,
2 avril 1945.
(...)
Reste la France. J'ai écrit il y a vingt-cinq ans ce que j'en pensais. La France demeure l'ennemie mortelle du peuple allemand. Sa déliquescence et ses crises de nerfs ont pu parfois nous porter à minimiser l'importance de ses gestes. Fût-elle toujours plus faible, ce qui est dans l'ordre des probabilités, cela ne doit rien changer à notre méfiance. La puissance militaire de la France n'est plus qu'un souvenir, et il est certain que de ce point de vue-là elle ne nous inquiétera plus jamais. Cette guerre, quelle que soit son issue, aura du moins le mérite de faire passer la France au rang de puissance de cinquième ordre. Si elle demeure néanmoins dangereuse pour nous, c'est par son potentiel illimité de corruption et par son art de pratiquer le chantage. Donc, méfiance et vigilance. Que les Allemands prennent garde de ne jamais se laisser endormir par cette sirène!
Si l'on ne peut, en ce qui concerne l'étranger, se tenir à des principes rigides, car il y a toujours lieu de s'adapter aux circonstances il est en tout cas certain que l'Allemagne recrutera toujours ses amis les plus sûrs parmi les peuples foncièrement résistants à la contagion juive. Je suis persuadé que les Japonais, les Chinois et les peuples régis par l'Islam seront toujours plus proches de nous que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l'esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive. |
En cas de défaite du Reich, et en attendant la montée des nationalismes asiatiques, africains et peut-être sud-américains, il ne restera dans le monde que deux puissances capables de s'affronter valablement: les États-Unis et la Russie soviétique. Les lois de l'histoire et de la géographie condamnent ces deux puissances à se mesurer, soit sur le plan militaire, soit simplement sur le plan économique et idéologique. Ces mêmes lois les condamnent à être les adversaires de l'Europe. L'une et l'autre de ces puissances auront nécessairement le désir, à `plus ou moins courte échéance, de s'assurer l'appui du seul grand peuple européen qui subsistera après la guerre - le peuple allemand. Je le proclame avec force: il ne faut à aucun prix que les Allemands acceptent de jouer le rôle d'un pion dans le jeu des Américains ou des Russes.
(...)
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