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(3) Si le christianisme – religion du Christ – a été à l’origine de l’antisémitisme, l’islam est à l’origine de l’anti-judaïsme. En effet, si les chrétiens reprochaient aux prêtres juifs d’avoir exigé que l’autorité romaine les débarrasse du prêcheur nazaréen qui osait remettre en cause les bases de leur pouvoir spirituel, les disciples de Mahomet n’avaient pas cette excuse. Bien que tourné en dérision dans les premiers temps de ses « révélations », Mahomet ne fut persécuté par personne : il se heurtera seulement à l'indifférence puis au mépris et enfin à l'hostilité du fait de ses agissements. A contrario, Mahomet persécutera des milliers de victimes lors de ses campagnes militaires, parmi lesquelles un très grand nombre de juifs qui furent passés par le fil de l’épée. Au cours de l’une de ses premières « campagnes », il fit tuer plus de 500 hommes valides de la tribu juive des Banou-Qoraïza, cependant que les femmes et les enfants étaient vendus comme esclaves. Mahomet les avait accusés d’ « intelligence avec l’ennemi » au cours de la guerre dite « du fossé ». Historiquement, cette malheureuse tribu fut la première de toutes celles que les islamistes obligèrent à choisir entre l’apostasie et la conversion à l'islam ou la mort. A partir de l’an 629, nombreux sont les juifs qui furent assassinés par les disciples de Mahomet ou qui furent contraints de se convertir à l’islam.

La rivalité entre les Arabes de souche sémitique et les tribus juives tient au fait que les juifs prétendaient être les gardiens de la seule religion « révélée ». Elle tenait aussi à de vieilles rivalités tribales entre peuples du Moyen-Orient. On ne peut évidemment pas parler d’ « antisémitisme » de la part d’Arabes qui sont eux-mêmes des Sémites. Il faut donc parler d’anti-judaïsme, ce qui constitue une approche religieuse et non pas ethnique du problème.

Hadj Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem et Heinrich Himmler

Une des dernières flambées comtemporaines de cet anti-judaïsme inhérent au coran et à l'exemple de Mahomet fut l'alliance entre Hadj Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem, et les nazis durant la seconde guerre mondiale.
On voit ici le mufti en compagnie du dignitaire nazi Heinrich Himmler, organisateur de l'extermination industrielle des Juifs. La photo est dédicacée par Himmler lui même "En souvenir au grand Mufti" (Source : mémorial de Yad Vaschem, Israël)

La première « ruée islamique » commença en l’an 632. Après la mort de Mahomet, le commandement des troupes avait été confié à Khâlid ibn al-Walîd, chef sanguinaire qui se faisait appeler « le sabre d’Allah ». Par la suite, la plupart des grands chefs musulmans furent des guerriers redoutables pour qui le coran était un excellent alibi, tout comme l’exemple du « prophète ». Depuis lors, les notions de chef spirituel, de chef militaire et de chef politique se confondent chez les musulmans. Le drapeau de l’Arabie saoudite illustre bien cette notion islamique puisque figurent sur ce drapeau (symbole politique) un verset du coran (symbole spirituel) et un sabre (symbole militaire).

un verset du coran et un sabre : drapeau de l'arabie Saoudite

Cet amalgame se fonde sur des interprétations du coran dont les mahométans tirèrent le principe de l’ « omma » (ou « oumma »), principe de la « communauté », lequel rend indissociables les notions de religion et d’état. Pour un musulman, l’état ne peut pas être laïque. Il doit être régi par les seules lois coraniques prétendument dictées par dieu. C’est un principe totalement anachronique qui dénie aux hommes le droit de légiférer en-dehors des lois prétendument « révélées ». C’est sous cet aspect, très présent dans les pays arabes - mais aussi au sein des communautés d’immigrés - que l’islam est une religion extrêmement dangereuse. En Europe, les musulmans radicaux (minoritaires mais très actifs), enseignent qu’un musulman a le droit de contrevenir aux lois en vigueur si elles ne sont pas conformes à la loi coranique. En France, certains d’entre eux en sont même arrivés à contester le droit, pour un enseignant non musulman, de juger le travail d’un élève musulman !

Ce sont là des dérives très graves qui portent atteinte à la souveraineté des nations. Des sanctions extrêmement sévères devront être prises contre les fauteurs de troubles, imams ou autres, qui incitent les musulmans implantés en Europe à adopter un comportement incivique. Il convient, par ailleurs, de rejeter catégoriquement la notion d’ « islam d’Europe » que ces mêmes fauteurs de troubles cherchent à imposer. L’Europe n’est pas une terre d’islam et ne devra jamais l’être, quoi qu’il arrive. Islam et Europe sont des mots incompatibles.