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La Belgique moderne (celle qui a été recrée en 1830 avec des provinces arrachées au royaume des Pays-Bas, pas la «Belgica » qui existait lors de l’invasion romaine et dont le territoire était considérablement plus vaste) a toujours été un pays politiquement malade, formé de collectivités linguistiques incompatibles entre-elles. Le problème s’est cependant considérablement aggravé depuis une vingtaine d’années et il ne cesse de s’amplifier de jour en jour. Les mœurs politiques belges, particulièrement décadentes, amplifient encore ce phénomène qui fait l’affaire des maffieux de toutes espèces. Le taux de criminalité est, en Belgique, beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Europe occidentale et l’incivisme s’y est banalisé de façon inquiétante.

Assassinats, attaques à main armée vols avec violence, rackets et autres crimes majeurs sont monnaie courante dans les grandes villes belges, surtout dans la région bruxelloise et dans la partie francophone du pays. Il suffit de lire la presse quotidienne belge pour en être convaincu. Mais bien loin de prendre les mesures qui s’imposent, les ripoux de la politique belge (socialistes en tête) continuent à adopter des attitudes clientélistes et purement démagogiques, notamment vis-à-vis des communautés immigrées dont les membres constituent l’essentiel des bandes qui terrorisent la population autochtone. La Belgique est loin, très loin, d’être un « gentil petit royaume » et de plus en plus de Wallons réclament le rattachement de leur région à la France.

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Ci-contre, article publié par le groupe « Sud Presse » (18 juin 2003). La région de Charleroi est, comme il est dit par ailleurs, l’un des plus criminogène d’Europe. Mais la voyoucratie politique qui impose sa dictature dans cette région continue à mettre de l’huile sur le feu, notamment en hébergeant sur ses listes des représentant(e)s du « parti républicain turc », véritable « cheval de Troie » au sein du monde politique belge. Et pourtant, il est bien connu que la communauté turque de Charleroi couvre les activités de toute une maffia qui a ses petites et ses grandes entrées dans les mosquées turques de la région. Or, JAMAIS les prétendus « socialistes turcs » n’ont osé condamner l’islam. Ce sont donc des socialistes de pure façade dont l’objectif réel consiste à défendre les intérêts des communautés musulmanes implantées en Belgique.

En France, par contre, les autorités politiques commencent à redresser la barre en usant de tous les moyens disponibles. Il était grand temps !

On peut comprendre, dès lors, que les belges francophones et francophiles – regroupés au sein d’un parti nommé « Rassemblement Wallonie France » (qui a fait un score intéressant lors des élections législatives du 18 mai 2003) - soient de plus en plus tentés de faire sécession et de retourner dans le giron de la « mère patrie », celle dont le compositeur 0rsini Dewerpe disait : « Oui mes enfants, il y a longtemps, que la France est notre Maman ! » (paroles extraites de « En Wallonie »).