Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Terrorisme page 4

Les mosquées : lieux de prière ?

Le terme de mosquée vient du mot arabe masjid, lieu de prosternation ou d'adoration. Le plan d'une mosquée est copié sur celui de la maison que Mahomet se fit construire à Médine après sa fuite de la Mecque. C'est une maison arabe traditionnelle avec une cour à ciel ouvert entourée de murs de briques crues sur laquelle donnent diverses pièces, dont l'appartement des femmes.
Mahomet voulut créer un espace ombragé destiné à s'entretenir avec ses compagnons. Il ajouta sur le côté un portique fait de troncs de palmiers couronnés de palmes et de terre : ainsi naquit la mosquée à cour. Une partie du long portique fut réservé aux nouveaux arrivants et réfugiés qui n'avaient ni toit ni moyen de subsistance, ceux qu'on appela les "gens du banc". Ce sont les souvenirs de ces "gens du banc", collectés plusieurs années après le mort de Mahomet, qui constituent de nombreux « dires du prophète », les hadiths.
Au fil du temps les troncs d'arbre devinrent des colonnes de pierre et des portiques furent aménagés de chaque côté, celui en direction de la Mecque offrant plusieurs rangs de colonnes supportant une toiture et constituant la salle destinée à la prière collective.

Un communiqué de l’Etat-major US d'octobre 2003 signale que les actions menées contre les troupes de la coalition anglo-américaine en Irak étaient décidées dans les mosquées lors des « prières du vendredi ». Elles sont ensuite « répétées » le samedi et mises à exécution les dimanches et les jours suivants.

Il n’y a, à cela, rien qui doive nous étonner puisque, de tous temps, les mosquées ont toujours été les lieux privilégiés de la sédition et de l’organisation des complots.

Article Sud Presse, Belgique, 7 janvier 2004, des mosquées relais du terrorisme
Sud Presse, Belgique, 7 janvier 2004

Le ministre président Hervé Hasquin appelle à porter le glaive dans ces "relais du terrorisme"
Hervé Hasquin a frappé. Fort. S'exprimant hier sur les ondes de Bel-RTL. le " patron " de la Communauté française s'est fendu d'une sortie plutôt fracassante sur l'épineux dossier des mosquées en Belgique : "Le monde politique s'honorerait en surveillant d'un peu plus près certaines mosquées", que le ministre président MR n'a pas hésité à qualifier de "relais internationaux du terrorisme " contre lesquels "il faut porter le glaive" (sic)...
Révélation ? Pas vraiment. Plutôt une confirmation, quelque peu brutale, des soupçons et des indices glanés par les agents de la lutte anti-extrémiste. À savoir : que certains lieux du culte en Belgique ne sont pas peuplés que d'enfants de chur... Hervé Hasquin évoque 5 à 6 % de mosquées au rôle douteux. S'appuyant sur les constats de la Sûreté de l'État, le prédécesseur de Laurette Onkelinx à la Justice, MarcVerwilghen, identifiait une trentaine de mosquées belges comme "radicales" car propageant des idées anti-occidentales et prônant le rejet de l'intégration des musulmans. Avec même. "dans certains cas très spécifiques et minoritaires, le fait qu'on y prêche la haine contre les non-musulmans".
Une trentaine de mosquées radicales sur quelque 300 lieux de culte musulman. Pas de quoi exagérer la menace. Pas de quoi la négliger non plus. D'autant que, relevait le rapport du Comité R consacré en 2001 à l'islamisme radical. " force est de constater que une trentaine de mosquées sont identifiées comme "radicales".
La plupart des mosquées, et non des moindres, proposées à la reconnaissance du ministre par l'Exécutif des musulmans de Belgique étaient bien connues par la Sûreté de l'État, soit pour leur orientation radicale, soit pour être financées par un pays étranger"...
Prêche dans le désert ?
À lire le rapport de l'organe de contrôle de nos services de renseignement. chaque courant y met du sien pour rappeler les fidèles des mosquées à leurs devoirs religieux menacés par l'Occident perverti. Le Front islamique du Salut (algérien) exerce son prosélytisme dans certaines mosquées "où ils diffusent leurs journaux et leur propagande, organisent des conférences, des expositions et des collectes d'argent". Le chiisme maghrébin pro-iranien "dispose de deux mosquées à Bruxelles". Enfin, last but not least, les salafistes, adeptes d'un Islam pur et anti-occidental, influents, voire dominants dans une quinzaine de nos mosquées. C'est là surtout, avait pu remarquer la Sûreté de l'État, que des imams et des fidèles se sont ouvertement ou de manière à peine voilée réjoui des attentats du 11 septembre. Certains imams soutiennent plus ou moins ouvertement ben Laden. Tchétchénie, Bosnie. Kosovo. Afghanistan... Autant de foyers de la cause islamique qui donnent souvent lieu à distribution de tracts, collecte de fonds, voire exhortation à se préparer à la " Guerre sainte ". II n'est pas dit que l'on y prêche toujours dans le désert :
"Dans un tel contexte, une fraction marginale mais grandissante de jeunes musulmans en mal de repères risque de rejoindre, tôt ou tard, des mouvances plus violentes " relevait le Comité R dans son rapport.
Hervé Hasquin y a sans doute été fort. Peut-être n'a-t-il pas tout à fait tort.
P.HX.

Cela pourrait paraître étonnant aux « bonnes âmes » qui s’imaginent très naïvement que les mosquées sont comme les églises catholiques (que des musulmans n’hésitent pas à « occuper » quand ils veulent faire pression sur les autorités occidentales) ou les temples protestants d’aujourd’hui : des lieux de paix et de prière, voire même des lieux d’asile .

Cette vision « idyllique » du monde musulman découle d'une part de la méconnaissance dont font preuve plus de 95% des Occidentaux en ce qui concerne l’islam et d'autre part de la désinformation dont les-dits occidentaux sont l’objet de la part des médias et de journalistes par trop « complaisants » (et parfois eux mêmes désinformés). Car les mosquées ne sont pas uniquement des lieux de prières, des « temples » au sens occidental, chrétien, du terme. Les mosquées sont simplement le point de ralliement de l’ « oumma », c'est à dire un lieu de rassemblement des communautés musulmanes considérées sous l’angle purement islamique. On y traite donc aussi bien de de questions purement religieuses que de tous les autres sujets concernant l’« oumma », que ces sujets soient politiques, sociaux, juridiques, moraux ou militaires.
C’est en cela que les mosquées constituent toujours des foyers potentiels d'insurrection.

Les mosquées ne sont d'ailleurs pas des lieux de « prière » car la « prière » musulmane ne correspond pas à la définition occidentale, judéo-chrétienne, du terme. Cette définition, on peut le vérifier sur n'importe quel dictionnaire, parle de paroles destinées à conjurer, honorer, demander, supplier etc... mais ne rend pas obligatoires des actes rituels. Les musulmans eux ne conjurent pas ni n'honorent pas dieu par des paroles, il n'adressent pas de supplication ni de demandes à leur « clément et miséricordieux » Allah Legrand : ils doivent procéder à un débarbouillage sommaire, se mettre sur leurs deux genoux, prononcer des formules déterminées et se prosterner jusqu'à faire toucher leur front par terre selon un rituel, en direction de La Mecque. L'ensemble de ces obligations ritualisées est très précisement établis une fois pour toutes depuis plus d'un millénaire. Point. C'est ce rituel qui est, par définition, la « prière » musulmane. Il n'existe pas, et ne peut pas exister, de « prières musulmanes » sous forme écrite comme il existe des prières chrétiennes.

La « prière » musulmane n'est qu'une démonstration de soumission par prosternations ritualisées.

Le Coran atteint rapidement la tête... Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergol Cette démonstration de soumission peut se faire n'importe où, seul, en famille, en petit groupe ou plus solennellement au sein d'une foule dans une mosquée. Dans ce dernier cas, les musulmans qui se rassemblent ne font que montrer, collectivement, leur soumission à l'ensemble de leur communauté, la fameuse « Oumma ».

La « prière » dans les mosquées se fait le vendredi. Si vous vous demandez « Pourquoi le vendredi ? », la réponse est fort représentative de la logique islamique.un musulman se prosterne dans une mosquée, son fusil à portée de main Les juifs avaient le samedi. Les chrétiens, qui se présentent comme les successeurs du judaïsme, ont choisi le jour qui succède au samedi, donc le dimanche, récupérant au passage à leur profit le « jour du soleil » des païens (en anglais, dimanche se dit sunday, Sun Day : le jour du soleil, tout comme en allemand : sonntag). Logiquement, les musulmans étant arrivés après les chrétiens auraient dû choisir comme jour de prière le jour suivant le dimanche, donc le lundi, d'autant que le lundi est le jour du culte de la lune qui est le symbole de l'islam (en anglais, lundi se dit monday, Moon Day : le jour de la lune, tout comme en allemand : montag). Mais les musulmans estimant avoir la « vraie » religion, « supérieure » à toutes les autres, ils ont « naturellement » choisi d'être les premiers et d'avoir la préséance sur les juifs et les chrétiens comme le leur enseigne le coran. Ils ont donc opté pour le jour avant le samedi, c'est à dire le vendredi, de sorte que les prières des juifs et des chrétiens, le samedi et le dimanche, viennent « logiquement » après les « prières » des musulmans...

Dans les mosquées, les musulmans peuvent aussi concocter toutes sortes de complots à l’abri des oreilles indiscrètes, notamment celles des femmes et des enfants. « O croyants, vos épouses et vos enfants sont souvent vos ennemis. Mettez-vous en garde contre eux… » (sourate LXIV - verset 14) !
C’est sans nul doute ce genre de « recommandation coranique » qui a incité les musulmans à élaborer leurs « mauvais coups », non dans des locaux privés mais entre les murs de leurs mosquées. Les crimes les plus atroces ont ainsi été mis au point, depuis près de 1500 ans, dans ce que la plupart des occidentaux pensent être des « maisons de dieu ».

Pour ceux et celles qui se montreraient sceptiques à ce sujet, nous avons jugé utile de reproduire un texte très édifiant qui a paru dans le numéro de juillet 1928 de la revue française « Lectures pour tous » (Hachette). Il faisait partie d’une série intitulée « Récits marocains », lesquels étaient dus à Mme Henriette Célarié, une femme de lettres qui connaissait particulièrement bien le Maghreb. Il s’agit d’un épisode de la vie marocaine au début du XXe siècle.

les justiciers
Cliquer dans le texte pour le lire en entier

Cette histoire sordide montre comment de « bons musulmans » ont pu traiter l’un de leurs « frères en religion » qui n’était pourtant coupable que d’un banal délit de prévarication. Cela ne se passait pas au Moyen Age mais au tout début du XXe siècle.

Or, le monde arabo-musulman est, par essence, un monde statique qui refuse d’évoluer. Ce genre de « mœurs barbares » appartiennent, non pas au passé, mais aux réalités musulmanes d’aujourd’hui : il suffit de se remémorer l'algérie et l'Afghanistan des années 80-90. Encore actuellement l'Arabie saoudite condamne à mort par caillassage et coupe des têtes ou des mains au sabre au nom d'Allah le clément et le très miséricordieux (pour ceux qui lui obéissent aveuglement exclusivement, sinon...). Ce n'est pas pour rien que le drapeau de ce pays est tel qu'il est !
On comprendra aisément que si de tels actes peuvent être commis, au nom du coran, par des musulmans à l’encontre d’autres musulmans, des actes encore bien plus horribles pourront être commis sans vergogne à l’encontre des « mécréants » et autres « incroyants » que nous sommes.

Des crimes horribles ont certes été commis au nom du christ mais d'une part cela a toujours été en totale contradiction avec les évangiles et, d'autre part, le christianisme a « viré sa cuti », s’est amendé et a même commencé à s’excuser pour les crimes commis par des chrétiens. Il en va tout autrement des musulmans qui, pour leur part, persistent et signent.

L’anecdote marocaine qui est relatée ci-dessus prouve, si nécessaire, que les mosquées sont bel et bien des lieux de sédition pour le moins potentiels. C’est d’abord pour cette raison que nous avons préconisé d’interdire les mosquées sur la totalité du territoire de l’Union européenne. Il ne s’agit aucunement de « racisme » mais d’une simple application du « principe de précaution », d’autant que la fréquentation des mosquées n’est pas une obligation religieuse pour les musulmans (en Europe occidentale, on considère que moins de 30% des musulmans déclarés fréquentent régulièrement une mosquée) et que l’on sait que ce sont les musulmans les plus fanatiques (donc les plus dangereux) qui constituent la clientèle habituelle des imams.

Fermer manu-militari les mosquées poserait sans nul doute, au moins à courte échéance, plus de problèmes que cela n'en résoudrait. (c'est pourtant ce qu'ont du faire temporairement les Britanniques avec la mosquée de Finnsbury Park en 2003 !). Une approche « à la musulmane » du problème pourrait être simplement d'interdire la construction de nouvelles mosquées dans les faits mais sans promulguer d'interdiction formelle. Les lois européennes d'urbanisme comportent suffisamment d'obligations à respecter pour rendre la construction d'une mosquée tout bonnement impossible, à moins d'en dénaturer à ce point l'aspect que le bâtiment ne sera plus reconnaissable comme étant une mosquée, ce qui est largement suffisant pour dissuader des musulmans de la construire. Si l'on considère le seul fait que les batiments neufs doivent respecter le style architectural des zones dans lesquelles ils s'implantent, tous les projets de mosquée peuvent être refusés ou dénaturés à ce seul motif, pour peu que chaque décideur, à chaque étape du permis de construire d'une mosquée, y mette de la « bonne » volonté...
Si, malgré tout, une mosquée se construit, il reste encore le rempart de l'assurance. Rappelons que l'assurance relève du domaine strictement contractuel et non commercial : un assureur assure qui il veut, au prix qu'il veut, sans avoir à justifier d'un tarif ou d'un refus. Le « refus de vente » ne saurait être invoqué, ni la tierce responsabilité. (Il y a une exception : l'assurance automobile. Si aucun assureur ne veut vous couvrir, il existe une procédure de recours qui fixe un assureur d'office, celui-ci étant libre de son tarif.) Un bâtiment destiné à recevoir du public DOIT être assuré, c'est la loi. Tant qu'il n'est pas assuré, il ne peut pas recevoir de public, à moins que son responsable décide de se mettre en infraction mais en ce cas, si un sinistre survient, ce sera lui le responsable, pas ceux qui n'ont pas voulu assurer sa mosquée. D'ailleurs, pas la peine d'attendre un sinistre : l'ouverture au public sans assurance est déjà en soi une infraction. A la première ouverture, il ne restera plus qu'au ministère public à constater l'infraction et à fermer la mosquée, en toute légalité.

Nous devons aussi cesser de croire naïvement que l'islam est une religion « comme les autres ». Tout démontre que les personnes déformées et infantilisées par un enseignement coranique qui ne vise qu’à priver les individus de leur libre arbitre, ne peuvent guère s’adapter à notre société avec ses séparations très strictes entre la religion – qui doit demeurer un fait strictement personnel – et les structures socio-politiques, obligatoirement laïques.

De même, les dirigeants des pays islamisés ne doivent pas être regardés comme des « dirigeants comme les autres ». Ils doivent être regardés pour ce qu’ils sont : des musulmans comme les autres !

Aussi longtemps que les musulmans prétendront se référer à ce livre infâme qu’est le coran et révèreront Mahomet et ses crimes, alors les musulmans resteront, dans leur grande majorité, inaptes à la démocratie. Nous devons donc placer les adeptes de Mahomet et du coran devant un choix clair et net : renier en bloc le coran, Mahomet et l’islam, s’ils veulent rester chez nous, ou quitter les lieux sans délai s’ils veulent rester « fidèles » aux divagations d’un chamelier ayant vécu au VIIe siècle et qui, selon toute vraisemblance, était atteint de troubles mentaux. Nos rapports politiques et de « coopération » avec le monde islamique doivent, eux aussi, être revus à la lumière des réalités. Les nations qui se réfèrent ouvertement à l'islam, dont les valeurs sont contraires à l’humanisme et à la démocratie, ne doivent bénéficier ni de notre « sympathie », ni même de notre aide. C'est une dure, très dure réalité, insupportable à notre éducation biblo-évangélique basée sur l'exemple du Christ mais il faut être conscient que la réciproque n'est pas vraie : agresser et opprimer les non-musulmans est vertueux selon le coran et l'exemple de Mahomet !

Implantation des lieux de culte musulman (mosquée ou salle de prière) en France, par département, fin 1999. Source : ministère de l'intérieur, CSA
(Cliquer dans l'image pour l'agrandir)

Implantation des lieux de culte musulman (mosquée ou salle de prière) en France, par département, fin 1999.
Source : ministère de l'intérieur, CSA

Présence musulmane : situation de la France dans l'Europe
Présence musulmane en Europe, milieu 2000.
Source : World Christian Encyclopedia

En tant qu’athées, nous n’avons pas de conseils à donner aux autorités chrétiennes. Il serait toutefois sage, de leur part, de reconsidérer leurs positions vis-à-vis de l’islam, d’un islam dont le but ultime demeure inchangé : s’imposer au monde entier après avoir éliminé, par la force ou la ruse, les autres religions (comme démontré tout au long de la présente étude) ainsi tous ceux et celles qui refuseraient de croire qu'« Il n'y a de Dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète ». Aucun dialogue digne de ce nom n’est possible avec les mahométans puisque nous savons qu’ils sont passés maîtres dans l’art du double langage et du double comportement et ne se plient que sous la contrainte, et non sous la raison à laquelle l'éducation coranique les rend étanches.

Mahomet, l'histoire et le révisionnisme. La Dépêche du Midi, mardi 20 janvier 2004
Mahomet, l'histoire et le révisionnisme
Alexandre Fallaci. Paris (Courriel).
Pour avoir dit dans un de ses cours : « Mahomet va se transformer en voleur et en assassin », le professeur d'un collège de Courbevoie (Hauts-de-Seine), Louis Chagnon, est accusé de racisme et convoqué devant la justice. Pourtant qui peut contredire sérieusement ce professeur ? Personne. Les faits historiques sont têtus et Mahomet n'était pas Jésus-Christ. Ainsi à Médine, il pratiqua pour sa communauté le pillage de caravanes des marchands de La Mecque. Il fit décimer, en 627, la tribu juive des Qoraïza, dont les 600 à 900 hommes furent décapités en une nuit. C'est un collectif de parents d'élèves rejoint par le Mrap et la Ligue des droits de l'homme (on croît rêver !),qui exige le renvoi de l'intéressé et sa condamnation pour provocation à la haine et à la violence racistes. Rien que ça ! Les professeurs d'histoire de ce pays vont-ils être condamnés à pratiquer, demain, le révisionnisme historique ?
(La Dépêche du Midi, mardi 20 janvier 2004)

Religion née dans la violence, éructée par un déséquilibré mental, violent et fourbe, qui a planifié des assassinats et des pillages, pronant la violence, la fourberie et l'apartheid, l'islam ne connaît et ne comprend véritablement qu’un seul langage : celui de la violence.
 
C’est de cette triste réalité que nous devons nous imprégner si nous voulons éviter que nos enfants et petits-enfants soient les innocentes victimes de notre naïveté et de notre candide aveuglement.

C'est ce qu'ont pu expérimenter les Britanniques après les attentats des jeudi 7 et 14 juillet 2005 à Londres, dont par miracle seul celui du 7 juillet a fait des victimes (52 morts, plus de 700 blessés). Début août 2005, face à la montée des représailles visant les musulmans de Grande Bretagne (augmentation de 600% depuis le premier attentat : agressions physiques, verbales et dégâts à la propriété, notamment contre des mosquées), les associations musulmanes anglaises ont demandé aux femmes de ne plus porter hijab, tchador et autres foulards islamiques. Là où des années de palabres, de conciliations, de médiations, de tolérance, de concertations, de discussions, de compromis, de compréhension, de dialogues etc... n'avaient abouti qu'à une présence de plus en plus arrogante de signes extérieurs d'islamisation, quelques actions violentes ont suffit pour, en moins de trois semaines, regagner une large part du terrain perdu et faire passer la communauté musulmane d'une attitude arrogante et agressive à une attitude de simple repli défensif. Nous ne justifions pas ici l'usage de la violence : nous constatons une réalité que nous déplorons mais qui s'avère totalement similaire à ce que l'histoire nous enseigne en ce qui concerne les relations entre l'islam et les sociétés non-islamiques au long des siècles.
Une autre constatation à déplorer c'est qu'au lieu d'envisager clairement et fermement une réforme de l'islam Britannique à l'occasion de ces attentats, un sondage montrait que 63% des musulmans vivant au Royaume Uni envisageaient ni plus ni moins que de quitter l'Angleterre si ces actes se poursuivaient, ce qui paradoxalement ne pouvait bien entendu qu'encourager leurs agresseurs.

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