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Article paru dans le numéro du 17 octobre 2003 de l’hebdomadaire « Télépro »

Si des élections libres étaient organisées demain et que nous avions le choix entre les princes au pouvoir et Ben Laden, Je voterais pour Oussama !» En une phrase, cet étudiant de l'Université de Riyad (capitale de l'Arabie saoudite) traduit les sentiments de nombreux jeunes Saoudiens.
Dans les mois qui ont suivi le 11 septembre 2001, l'Occident a ouvert les yeux sur ce pays dont l'obscurantisme nourrit aujourd'hui toutes les craintes. L'Afghanistan des taliban avait, lui aussi, soulevé de nombreuses questions après une longue période passée dans l'indifférence générale. Carrefour mondial du pétrole et du wahhabisme (la branche la plus radicale du sunnisme, courant majoritaire de l'islam), l'Arabie Saoudite est au centre d'un reportage sur France 2, dans «Un œil sur la planète».
En moins de deux ans, l'image de ce pays officiellement créé en 1932 s'est complètement modifiée. Du riche Saoudien quittant son immense palais pour rejoindre sa limousine, on ne retient plus, aujourd'hui, que quelques chiffres. Particulièrement marquants, il est vrai : 15 des 19 pirates de l'air du 11 septembre 2001 étaient saoudiens, tout comme Ben Laden (avant qu'il ne soit déchu de sa nationalité), des centaines de Saoudiens se sont battus en Afghanistan aux côtés des taliban, un tiers des prisonniers détenus à la base américaine de Guantanamo sont d'origine saoudienne...
Des familles de victimes des attentats de New York et Washington ont d'ailleurs déposé une plainte collective visant notamment d'importants responsables Saoudiens sous prétexte qu'ils se seraient compromis en finançant Al-QaÏda. Aujourd'hui, le pays est soupçonné d'être devenu le foyer principal de l'exportation du terrorisme islamique.
Des soupçons renforcés par une série de disparitions mystérieuses. Ainsi, des sympathisants d'Al-Qaïda mais aussi plusieurs princes saoudiens dépeints comme étant proches de Ben Laden sont décédés avant d'avoir pu être interrogés par la CIA et le FBI.
Comme le rapportait l'hebdomadaire américain Newsweek, le prince Ahmed est mort d'une crise cardiaque le 22 juillet 2002. Le lendemain, le prince Turli al-Saud décède dans un accident de la route. Une semaine plus tard, le prince Turki bin Saud al-Khabir est déclaré «mort de soif» à l'est de Riyad... Depuis près de soixante ans, les États-Unis sont étroitement liés à l'Arabie Saoudite par une équation aussi simple que solide : du pétrole (l'Arabie Saoudite détient à elle seule 25 % des réserves mondiales) contre une protection militaire. Et les Américains viennent de réaliser que leur allié n'est pas vraiment une démocratie, loin s'en faut.
La puissante police religieuse, la mutawa'a, dicte ses ordres à l'Etat. Elle interdit notamment aux personnes des deux sexes de marcher ensemble dans la rue, à moins d'être mari et femme. Dans une école en feu de La Mecque, 15 jeunes filles sont mortes parce que les gardiens de l'établissement, membres de cette police religieuse, n'ont pas voulu laisser entrer les sauveteurs : ceux-ci auraient pu lever les yeux sur les Jeunes filles dévoilées... La charia, la loi religieuse, régit absolument tout au pays de l'or noir. Pourtant, la famille royale saoudienne mène un train de vie qui est l'exact opposé de l'austérité religieuse qu'elle prétend incarner. Lorsqu'ils sont en vacances du côté de Marbella (Espagne), les princes de Riyad déboursent la coquette somme de 5 millions d'euros... par jour.
Sur place, les commerçants se frottent les mains et ne sont pas avares d'anecdotes. Comme ce pourboire à 1.500 € ou cette séance de shopping dans une boutique de luxe à 12.000 €, payés cash. Le fossé se creuse de jour en jour entre ces dirigeants et la population saoudienne confrontée à l'explosion de la démographie et du chômage.
Dans ces conditions, la famille régnante apparaît comme l'une des dernières institutions pro-occidentales et de nombreux jeunes (près de deux Saoudiens sur trois ont moins de 25 ans) se laissent tenter par les sirènes de l'islamisme radical.
La présence de soldats américains en Arabie Saoudite depuis la première guerre du Golfe déchaîne également les passions. Pour cette raison notamment, le pays est devenu lui aussi une cible pour Al-Qaïda. Le 13 mai 2003, un triple attentat suicide perpétré par 15 kamikazes à Riyad faisait 34 morts dont 8 Américains. Et ce jour-là, l'Arabie Saoudite connut son propre 11 septembre, résultat d'un double jeu qui ne plaît à personne.
Laurent SMITZ

L’article reproduit ci-dessus démontre parfaitement le caractère criminel de la prétendue « loi divine » (shari’a) dont nous savons qu’elle est née dans le cerveau malade de ce dangereux maniaque de Mahomet. Une loi criminelle dont Laurent Smitz nous dit aussi que les dirigeants arabes ont toujours su la contourner pour mieux l’enfreindre. C’est ce que nous avons nous même démontré dans plusieurs chapitres de la présente étude.
Qui donc aura le courage d’assigner les dirigeants des nations islamiques – et leurs complices, comme les oulémas et les mutawas – devant une juridiction internationale ? Quand donc aurons-nous le courage de faire publiquement et ouvertement le procès de l’islam ? Quand il sera trop tard ?
Les malheureuses jeunes filles qui sont mortes dans l’incendie de la Mekke sont les victimes, parmi tant d’autres, de la plus stupide et de la plus criminelle de toutes les religions que l’esprit humain ait pu concevoir. Mais elles ont aussi été les victimes de l’aveuglement, de la cupidité et de la veulerie des dirigeants occidentaux, ceux-là même qui refusent de condamner l’islam et se font les complices de toutes atrocités qui se commettent de par le monde au nom du coran, de Mahomet et d’un dieu qui, s’il existait vraiment, serait le plus immonde personnage de la « création » !