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(70) La stratégie de la coalition anglo-saxonne consiste sans doute à établir en Irak un régime favorable aux Etats-Unis afin que ce pays puisse servir de base pour les opérations ultérieures. Ces opérations consisteraient à éviter la prise du pouvoir en Arabie saoudite par les oulémas wahhabites et à faire pression sur l’Iran des ayatollahs. Les USA pourraient aussi, depuis l’Irak, influer sur le déroulement de la guerre en Palestine et tenter de renverser le régime en place en Syrie. Mais le but ultime de l’opération, à échéance de 15 à 30 ans, est de débarrasser le monde des extrémistes musulmans et de tous les régimes politiques qui leurs sont favorables. Cette grande opération de contrôle du Moyen Orient s’inscrit elle-même dans un cadre beaucoup plus large de lutte contre l’islamisme. Elle doit se dérouler en parallèle avec les opérations menées depuis l’Afghanistan et depuis les Philippines. Quant à la lutte contre l’islamisme en Europe, elle demeure encore timide et mal structurée car chaque nation européenne veut tirer la couverture à sa manière sans tenir compte de ses voisins et sans concertation digne de ce nom.

Si un pays comme la France a refusé de s’engager résolument aux côtés des Américains et des Britanniques, c’est sans doute par peur des réactions que cet engagement n’aurait pas manqué de provoquer au sein de la minorité musulmane qui réside en France. Mais c’est aussi parce que la France a l’expérience de la guerre contre des populations islamisées. La guerre d’Algérie, longue et meurtrière, a laissé des souvenirs indélébiles dans la mémoire des Français. La « vieille Europe » a, sur la « jeune Amérique », l’avantage… d’être vieille ! Un pays comme la France possède une expérience irremplaçable en matière de lutte contre des peuples soumis à l’endoctrinement islamique et aux principes du fascisme mahométan.

le général Tommy Francks, commandant en chef
des forces US au Moyen Orient, en conversation avec Abdallah ibn
Abdul Aziz, successeur désigné de l’actuel roi
d’Arabie saoudite ( qui n’est plus en état d’assumer
ses fonctions)

Le général Tommy Francks, commandant en chef des forces US au Moyen Orient, en conversation avec Abdallah ibn Abdul Aziz, successeur désigné de l’actuel roi d’Arabie saoudite ( qui n’est plus en état d’assumer ses fonctions)

De tous les ennemis de l’occident et de la liberté, les oulémas wahhabites – qui se cachent derrière les puants roitelets du pétrole – sont sans conteste les plus dangereux. Les Américains le savent mais sont dans l’incapacité d’attaquer directement l’Arabie saoudite. Ils ont donc élaboré un plan en plusieurs étapes dont la réalisation pourrait s’étaler sur plusieurs décennies. On voit ici le général Tommy Francks, commandant en chef des forces US au Moyen Orient, en conversation avec Abdallah ibn Abdul Aziz, successeur désigné de l’actuel roi d’Arabie saoudite ( qui n’est plus en état d’assumer ses fonctions). La « bande à Saoud » sait que ses jours sont comptés et essaye de tergiverser. En fait, les criminels qui dirigent l’Arabie - depuis l’accession au pouvoir du clan des Saoud – devraient être assignés devant les tribunaux internationaux pour crimes contre l’humanité, atteintes aux droits de l’homme et complicité active dans des actions relevant du terrorisme international.