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Le syndrome de Stockolm

Le comportement aberrant connu sous le nom de « syndrome de Stockolm » consiste, pour une victime, à défendre son bourreau afin qu'il puisse l'opprimer plus longtemps et plus facilement.

Ce type de comportement aberrant, et inconscient, à un double but :
- diminuer la contradiction psychologique dont souffre la victime.
- espérer transformer une souffance courte et brutale en une souffrance plus longue mais plus légère.

En plus de ses souffrances physiques, la victime souffre d'un contradiction psychologique : la victime sait qu'elle pourrait espérer diminuer sa souffrance, voire la supprimer, en se défendant, mais la victime s'estime lâche de ne pas se défendre. Que la victime soit effectivement lâche ou qu'elle soit objectivement dans l'incapacité de se défendre n'entre pas en ligne de compte. Le point de départ du syndrome de Stockolm est que la victime a honte des violences qu'elle subi. Cette souffrance psychologique peut disparaître si la victime DECIDE que c'est POUR SON BIEN que son bourreau la fait souffrir. C'est ainsi que la victime invente, dans un premier temps, des excuses à son bourreau puis, dans un deuxième temps, transforme son bourreau en héros ayant eu pour but originel de libérer les victimes mais ayant été contraint, par des circonstances extérieures indépendantes de la volonté de ce bourreau, de brutaliser les victimes.

Ce syndrome a été baptisé "syndrome de Stockolm" car un cas parfait en a été observé lors d'une prise d'otage à Stockolm dans les années 70 : les otages se sont ralliés à leurs ravisseurs allant jusqu'à se battre contre la police et, pour certaines, à se marier par la suite avec eux.

Plus la violence du bourreau est élevée et longue, plus la personnalité de la victime est faible (ce qui n'a RIEN à voir avec ses capacités intellectuelles) alors plus le syndrome de Stockolm peut se révèler profond, et parfois définitivement ancré dans le psychisme de la victime au point parfois de faire disparaître totalement sa personnalité d'origine, trop faible pour résister à la pression destructrice de la personnalité de son oppresseur.

C'est ce syndrome qui fait, par exemple, que certaines femmes, victimes chroniques de l'islam, voient dans Mahomet... le premier et le plus grand féministe démocrate !