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Mahomet connaissait probablement les rudiments de la lecture et de l'écriture :

  • Il avait été caravanier et commerçant, homme de confiance de Khadidja, sa première épouse richissime (et plus agée que lui).

  • Sa biographie rapporte deux épisodes démontrant qu'il savait écrire :
    - Lors de la rédaction du traité de Hodeybia,
    il ordonna à Ali d'écrire : "Telles sont les conditions auxquelles Mahammed, apôtre de Dieu, fait la paix.". Les Mecquois contestèrent : le traité se faisait justement parce qu'ils ne lui reconnaissaient pas ce titre. Le Mecquois Sohaïl demanda qu'on écrive simplement le nom de Mahomet et celui de son père. Mahomet accepta, mais ayant dit à Ali d'effacer "apôtre de Dieu", Ali refusa de commettre une telle « profanation ». Mahomet, prenant la plume, raya ces mots, et écrivit a leur place : "Mahammed, fils d'Abd-Allah", oubliant qu'officiellement il ne savait ni lire ni écrire. Le fait passa pour un miracle...
    - durant son agonie,
    il s'écria : « Apportez-moi, de l'encre et du papier, afin que j'écrive un livre qui vous empêchera de retourner jamais à l'erreur ! ».
    Certains parmi ceux qui l'entouraient dirent : « Le prophète est dans le délire, N'avons-nous pas le Coran ? Ce livre divin nous suffit. » tandis que d'autres voulaient qu'on lui apporte ce qu'il demandait. Finalement Mahomet, indisposé de ces atermoiements, renvoya tous le monde.

    Ces deux épisodes sont cités dans l'Abrégé de la vie de Mahomet, par Savary (1751).
    Les biographies plus récentes, particulièrement celles écrites par des musulmans, censurent ces détails fort gênant pour la réputation du prophète « illettré »…

En fait Mahomet ne devait pas savoir lire et écrire suffisamment bien pour rédiger sans faute ou lire un texte complexe, d'autant qu'à son époque l'écriture était plus un système de notation destiné à servir d'aide mémoire ultérieur pour celui qui écrivait et non pas un système de transmission de sens. (Cette transmission se faisait oralement).

Voici comment un analphabète aurait mis par écrit le paragraphe ci-dessus :
maomé savé sandout'unpeu la lektur et de lécritur caril avétété caravanié et comerssan, hom de confianss de kadija, sa premier fem tré rich (mé plu vieil). parkontr y devé pa savoir lir é ekrir sufizamen bien pour rédijé san fots ou lireun text complex etc...

Si tout ce site internet était rédigé "komssa", le sens serait identique mais pourtant vous n'y accorderiez pas la même attention que s'il était rédigé comme il l'est actuellement, c'est à dire par des gens qui savent écrire (à peu près) correctement. On imagine aisément que pour propager la parole de Dieu, Mahomet l'analphabète préférait sagement ne rien mettre par écrit lui-même afin de ne pas s'attirer les moqueries du genre :
"Alors le « prophète », Gabriel t'as pas encore apporté ton kit de conjugaisons à l'imparfait du subjonctif ?"

C'est le genre de désagrément auquel doit faire face le similo-mahomet « prophète » Raël : son « Livre qui dit la vérité » comporte, dans toutes ses éditions, pas mal de coquilles relativement indignes d'un texte soi-disant dicté par des Extra-Terrestres ayant 25.000 ans d'avance technologique. La plus grossière et la plus visible s'étale sur la couverture de l'édition 2004 : le slogan "La science remplace enfin la religion" est orthographié : "La SIENCE remplace enfin la religion" !