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(17) Les quelques documents qui suivent sont relatifs aux incidents qui se sont produits dans l’agglomération d’Anvers après que la Ligue Arabe Européenne ait décidé d’organiser des « patrouilles islamiques » pour « surveiller » les forces de police. Ces incidents ont fait un mort et plusieurs blessés. La presse belge les a longuement commentés mais ils ont été assez peu (ou mal) répercutés à l’étranger.

Dyab Abou
Jahjah

Jahjah, actuel président de la LAE, est licencié en sciences politiques de l’Université Libre de Bruxelles mais aussi de l’Université catholique de Louvain. Son profil est celui de l’agent d’influence venu spécialement en Belgique pour y infiltrer la communauté musulmane et créer un réseau d'activistes.

Autorisé à résider en Belgique en qualité d’étudiant boursier, Jahjah épouse très vite une ressortissante belge dont il divorcera peu de temps après son mariage. Tout porte à croire qu’il s’agissait là d’un « mariage blanc » ayant pour seul but de lui conférer la nationalité belge et de lui permettre de continuer à résider sur le territoire de l’Union européenne. On devrait donc pouvoir prononcer la nullité de cette union douteuse, lui retirer son passeport et l’expulser.

Toujours dissimulé derrière ses lunettes noires, Dyab Abou Jahjah est un personnage plus que douteux, un dangereux agitateur très habile dans l’art de « victimiser » les musulmans.

C’est le type même du parasite qui sait se servir des déficiences et des insuffisances du système démocratique européen pour servir les intérêts arabes et favoriser une politique de « colonisation larvée » de l’Union européenne par les musulmans.

Il est inadmissible qu’aucune mesure n’ait encore été prise en vue d’expulser cet indésirable hors du territoire de l’Union européenne mais aussi en vue de démanteler son organisation.

Selon diverses sources, la LAE entretiendrait des relations politiques avec certains partis d’extrême-gauche, en particulier le PTB (Parti des Travailleurs de Belgique), groupuscule connu pour ses méthodes subversives. La vraie gauche, laïque, démocratique et humaniste, ne saurait cautionner la LAE et ses larbins.

patrouille islamique (Photo Groupe Sud Presse)

Vêtus de noir, comme les ayatollahs iraniens, les petits caïds de la LAE parcourent les rues de l’agglomération d’Anvers pour « surveiller la police ». Ils sont équipés de caméras, d’appareils photos et de téléphones portables. A quand les battes de base-ball et les armes à feu ? Ce sont pourtant ces individus qui devraient être surveillés de près, de très près !

Quand donc allons-nous être débarrassés de cette vermine islamique qui rappelle d’autres « milices noires » de très sinistre mémoire, celle des nazillons flamands et wallons de la seconde guerre mondiale ?
Il existe pourtant, en Belgique, une loi « anti milices privées » (loi de 1936 toujours en vigueur) qui n’attend qu’à être appliquée avec un maximum de rigueur. Si aucune mesure n’est prise rapidement, on risque de revoir, dans les grands centres urbains de Belgique, des combats de rues comme ceux qui opposèrent, entre 1933 et 1936, les milices fascistes et les contre-milices organisées par le Parti Ouvrier Belge (socialiste) et le Parti communiste (notamment les « Milices de Défenses Ouvrières » ou MDO). La LAE est une menace pour la démocratie et la tranquillité publique. Elle doit disparaître, tout comme les écoles coraniques et, à terme, les mosquées. L’Europe occidentale n’est pas peuplée de soumis, ce n'est pas une « terre d’islam », et elle ne doit pas le devenir.

12
juillet 1942. Sur la grand-place de Bruxelles, le VNV (Vlaamse
Nationaal Verbond) organisait une grande manifestation « de
masse ».

12 juillet 1942. Sur la grand-place de Bruxelles, le VNV (Vlaamse Nationaal Verbond) organisait une grande manifestation « de masse ». On voit ici les « hommes en noir » du VNV écoutant religieusement, le petit doigt sur la couture du pantalon, les discours démagogiques de leurs dirigeants. Si nous n’y prenons pas garde, ce sont les « hommes en noir » de la LAE qui prendront bientôt leur place et viendront parader sur nos places. Ils paradent déjà dans nos rues !

Les premières milices ultra-nationalistes du début des années 30 se voulaient rassurantes. Elles n’avaient pas d’armes et prétendaient seulement « maintenir l’ordre et protéger les adhérents de leurs partis contre leurs adversaires » (c’est aussi ce que disent les dirigeants de la LAE). Moins de dix ans plus tard, ces même milices défilaient avec chars et canons !

Nous devons couper les ailes au fascisme islamique grandissant. Nous devons interdire les mouvements de toutes natures qui se réclament de l'islam, y compris ceux qui se présentent comme de simples « associations à but culturel ». Nous devons interdire le financement public de tous ces centres de lavage de cerveaux baptisés « écoles » coraniques. Nous devons comdamner au pénal et sans sursis les auteurs de prêches criminogènes et bellicistes dans les mosquées.
Nous devons expulser les fauteurs de troubles récidivistes. Nous devons mettre au ban des nations l’Arabie des Saoud comme nous l'avons fait pour l'Afghanistan des Talibans.

Ce combat peut avoir des connotations de « croisade » mais il ne s’agit pourtant pas d’appeler à la 9ème croisade. Il ne s’agit plus de partir à le reconquête d’une prétendue « terre sainte » (qui serait plutôt la terre de tous les malheurs de l’humanité) mais seulement de préserver la nôtre contre un envahisseur sournois qui entre aujourd’hui chez nous comme « étudiant », « demandeur d’asile » ou « clandestin ». Nous devons préserver notre société occidentale de la gangrène islamique et de son cortège d’anachronismes qui portent atteinte aux libertés les plus fondamentales.


Extraits d’articles parus dans la presse périodique belge – 20 novembre 2002. Voir aussi le bel article paru dans l’hebdomadaire français « L’Express » (Islam : ce que l’on n’ose pas dire – n°2671 – 12 septembre 2002)

Aujourd’hui, ce sont les agitateurs islamistes qui filent les policiers communaux !Le monde à l’envers (ou à l’Anvers !)

Autrefois, c’était les flics qui « filaient » les opposants politiques, notamment ceux de gauche, qui étaient suivis jour et nuit par des patrouilles de policiers communaux à la solde du pouvoir politique en place (souvent de gauche lui aussi).
Aujourd’hui, ce sont les agitateurs islamistes qui filent les policiers communaux !
Ils profitent des nombreux scandales qui ont entaché la réputation de la police et de la gendarmerie pour se poser en « redresseurs de torts » et défier les autorités.
La Belgique n’en finira donc jamais de subir les conséquences de la déliquescence de ses mœurs politiques ?
Les islamistes, eux, ont bien compris que le régime politique belge était un régime faible et corrompu, donc vulnérable. Et ils sont bien décidés à exploiter le filon !
Bruxelles, capitale de l’Europe, peut-elle tomber entre leurs mains ? Ce n’est pas impossible si aucune mesure n’est prise en vue d’éradiquer cette vermine.

ce sont les agitateurs islamistes qui filent les policiers

Drôle d’ambiance dans les rues d’Anvers (Sud Presse) !

Drôle d’ambiance dans les rues d’Anvers
(Sud Presse) !
Presse quotidienne belge – 28 novembre 2002.

Comme il fallait s’y attendre, le comportement inconséquent et irresponsable des membres de la LAE n’a pas tardé à faire des victimes.
Dès le 26 novembre, les troubles ont éclaté dans les rues de la métropole flamande et, le 27 du même mois, un jeune professeur d’origine maghrébine était tué.
Tel est le premier bilan. Mais ce ne sera malheureusement pas le seul car les élections approchent en Belgique !
Il ne faut pas être « prophète » pour deviner ce qui risque de se passer dans un tel climat !
Qu’attend-t-on pour arrêter Jahjah et ses acolytes ? Ne sont-ils pas à l’origine de ces désordres et de leurs funestes conséquences ?
Il ne faut toutefois pas oublier de dénoncer l’inquiétant laxisme des autorités belges lesquelles paraissent incapables de réagir avec la vigueur et la fermeté nécessaire.
On ne cesse de nous répéter qu’il faut respecter les règles de l’ « état de droit ». N’est-ce pas faire preuve d’une incroyable naïveté et d’une navrante faiblesse que de parler d’état de droit face à des individus qui ne respectent même pas les droits les plus élémentaires des personnes, qui bafouent quotidiennement ces règles et qui appellent à la désobéissance civique ? Ils nous ont déclaré la guerre et, dans ces conditions, c’est le code martial qui leur est applicable !

Scène
d’Intifada dans les rues de Borgerhout (Anvers)

Scène d’Intifada dans les rues de Borgerhout (Anvers). Un jeune musulman jette des pierres contre un car de police (27 novembre 2002).

La LAE a obtenu ce qu’elle cherchait : exporter la djihad en Europe occidentale. On sait, en effet, que la choix d’Anvers n’est pas dû au hasard. La police n’y est pas plus raciste qu’ailleurs mais, selon certaines déclarations de Jahjah, la ville d’Anvers serait un « foyer du sionisme international » (ce qui n’est pas totalement faux). L’extrême-droite y est aussi très active et il était évident qu’il serait facile d’y opposer la communauté musulmane aux extrémistes de tous poils, qu’ils soient sioniste ou nazillons.

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La nouvelle Gazette ( Charleroi) Courrier des lecteurs – 30 décembre 2002

La nouvelle Gazette ( Charleroi)
Courrier des lecteurs – 30 décembre 2002

Fin janvier 2003, la police fédérale belge a arrêté l’un des animateurs d’une station de radiodiffusion (Radio Salam) émettant en langue arabe dans la région de Bruxelles

Cet individu avait retransmis une fatwa incitant les musulmans à entrer en guerre sainte contre les non musulmans. Notons, à ce propos, que, dès les années 80, le directeur d’une radio libre de Charleroi (Charleroi n°1, station dont le président d’honneur était le député socialiste André Baudson) avait tenté de faire interdire les stations de radiodiffusion qui émettaient dans d’autres langues que celles qui sont officiellement reconnues par l’Etat belge (Français, Néerlandais et Allemand). Il estimait, en effet, que des dérives étaient possibles. Les récents évènements de Bruxelles prouvent qu’il avait raison. Mais, dans les années 80, le président de la Communauté française de Belgique (Philippe Moureaux) refusa d’interdire les émissions en langues étrangères et les dérives prévues par le directeur de Charleroi n°1 ne tardèrent pas à se manifester. Elles ont atteint leur paroxysme avec les radios supposées « indépendantes » qui sont, en fait, contrôlées par des mouvances islamistes.