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Charleroi : petites et grandes crapules, maquereaux et ministres…

Khalid Odda « Sud
Presse » en date du 22 octobre 2003CHARLEROI CORRECTIONNELLE
Khalid Odda s'en tire bien:
trois ans de prison au lieu d'une " mise à disposition "
À 35 ans, Khalid Odda a déjà une "carrière" bien remplie avec plusieurs condamnations à son actif. Depuis 1989, le Marcinel-lois totalise 21 ans de prison ! Et. entre 1989 et 1996. il a été condamné chaque année.
Voilà qui laisse rêveur ; et on se demande presque comment il est possible que le gaillard se soit trouvé en liberté de juin 2002 à janvier 2003. période durant laquelle on lui reproche les nouveaux faits mis à sa charge et pour lesquels il vient d'être condamné à trois ans de prison.
Viol, extorsion, prostitution
II s'agit de faits particulièrement peu sympathiques, pour lesquels il a d'ailleurs comparu sous les liens du mandat d'arrêt, ce dont il doit avoir l'habitude.
Le Parquet de Charleroi lui reprochait des extorsions sous la menace d'arme sur plusieurs femmes travaillant dans les bars de la Ville-Basse. le viol de trois de ces filles, des coups et blessures sur sa concubine et deux autres femmes, une violation de domicile ainsi que des faits liés aux stupéfiants : détention, acquisition, vente et facilitation de l'usage à autrui... Bref, la totale. Vu son palmarès antérieur et la gravité des faits, le substitut Vincent Fiasse, en charge du dossier au Parquet de Charieroi, avait requis une peine particulièrement sévère ainsi qu'une mise à disposition du gouvernement. Cette disposition légale est très rare : elle a pour conséquence que le condamné, vu sa dangerosité et les risques de récidive, n'est pas libéré au terme de sa peine, mais il reste détenu -en prison ou en institution psychiatrique- jusqu'à ce que le gouvernement (le ministère de la justice) donne le feu vert pour sa libération. Odda a échappé à cette restriction sévère. Il faut dire que son avocat. Me Pierre Hustin. avait mis en avant la minceur des preuves à son encontre. Il a été largement suivi par la présidente de la 6e Chambre correctionnelle. Catherine Evaidre : celui que l'on surnomme, paraît-il, " le nouveau mac de la Ville-Basse " a en effet été acquitté des faits de viols et d'exploitation de la prostitution. Il a été reconnu coupable des faits d'extorsion (sans arme cependant), de violation de domicile, de stupéfiants et de coups. Pour un total de trois ans de prison. Reste à savoir si le Parquet ira en appel.
AN.D.

L’article reproduit ci-dessus a été publié par le groupe « Sud Presse » en date du 22 octobre 2003. Il illustre parfaitement la situation qui s’est instaurée dans les grandes villes belges (essentiellement dans la partie francophone du pays) où diverses maffia arabo-musulmanes exercent leurs coupables activités sans qu’aucune mesure sérieuse ne soient prises à leur encontre par les autorités compétentes.

Il est clair qu’une crapule telle que le dénommé Khalid Odda aurait dû être expulsée du territoire européen depuis fort longtemps et ce, à titre définitif. Mais au lieu de cela, on trouve encore des avocats assez complaisants pour mettre leurs talents au service de tels individus et des magistrats laxistes qui n’osent pas prendre leurs responsabilités. D’autant que l’on sait que les ordures de cette espèce continuent à nuire à la société pendant la durée de leur séjour en prison. En outre, les impôts des citoyens honnêtes ne sont pas destinés à l’entretien de ces indésirables.

Il est en tous cas urgent de revoir les modalités d’application des peines pour les récidivistes irrécupérables qui ne sont pas originaires des pays de l’Union européenne, y compris ceux qui ont réussi, d’une manière ou d’une autre, à acquérir la nationalité de l’un de ces pays. L’expulsion définitive semble la mesure la plus adéquate. Les expulsés qui tenteraient de remettre les pieds sur le sol européen devraient être internés dans des camps spéciaux, du genre « punishment park ». Quant à la déchéance de nationalité, elle devrait être prononcée automatiquement à partir d’un certain nombre de condamnations ou lorsqu’un récidiviste aurait été condamné à plus de 10 ans de prison (cumul des condamnations).

Une Europe forte ne peut se concevoir que sur des bases saines. Et aucune société ne peut se dire « saine » lorsqu’elle laisse de tels voyous exercer leurs sinistres activités, soit directement, soit par personnes interposées. Elle ne peut pas, non plus, se dire « saine » lorsque ses dirigeants politiques et ses magistrats tolèrent une telle situation. Et sur ce plan-là, la région de Charleroi est sans nul doute l’une des régions parmi les plus malsaines d’Europe occidentale. Le taux de criminalité y est très supérieur à ce qu’il est dans d’autres agglomérations de même taille.

Ce n’est donc pas un hasard si, depuis une vingtaine d’années, Charleroi a été rebaptisée « Chicago-sur-Sambre ». La montée en flèche de la violence dans cette grande agglomération belge fut le résultat de la mise en place d’une maffia politique qui n’a pas hésité, dans bien des occasions, à recourir aux « services » des malfrats de la région. On comprend, dès lors, que ces malfrats se soient sentis « chez eux » dans une région où certaines forces de police passaient plus de temps à faire la chasse aux opposants politiques qu’à réprimer le criminalité. Ce n’est donc pas un « pur hasard » si le nommé Marc Dutroux, et ses complices, sont originaires de la région de Charleroi.

L’ouverture toute récente du procès des assassins de l’ancien ministre André Cools nous permet aussi de rappeler que les commanditaires de cet assassinat crapuleux appartenaient au même parti politique que leur victime : le PARTI SOCIALISTE. Quant aux assassins, on sait qu’il s’agit de deux Tunisiens actuellement détenus dans leurs pays d’origine. Or, c’est ce même parti socialiste qui exerce le pouvoir, de façon quasi dictatoriale, dans la région de Charleroi et ce, depuis plusieurs décennies.

Nous vous laissons le soin de conclure et nous nous limiterons à un seul conseil : évitez Charleroi et son agglomération si vous tenez à la vie et si vous n’avez rien d’important à y faire !

Saddek Benmenni « Sud Presse » - 28 octobre 2003 MONS BENMENNI AUX ASSISES DU HAINAUT
"Je ne suis pas un monstre "
Le procès de Saddek Benmenni, accusé d'avoir assassiné son épouse, Naïma Aidi. durant la nuit du 10 au 11 juin 2000. a débuté hier. Détenu à Mons depuis de nombreux mois. Benmenni, d'origine algérienne et domicilié en France, nie toute responsabilité dans la mort de cette femme qui lui a donné un fils, âgé de sept ans, et qui attendait un deuxième enfant depuis trois mois. "Je ne suis pas un monstre, a-t-il souligné lors de l'instruction d'audience. Jamais je n'aurais voulu la rendre malheureuse". Les interrogatoires des premiers témoins ont permis de revenir sur les faits tels qu'ils se sont produits à partir de la découverte du corps jusqu'à l'arrestation de l'accusé.
Le lundi 12 juin 2000. Armand Thomas (68 ans) s'arrête sur le parking de l'autoroute à Maisières où il a l'habitude de promener ses chiens. Il y fera la macabre découverte d'un corps de femme inerte et égorgé. Des larves de mouche ont été pondues dans ses narines. Aucun document ne permettra d'identifier la victime. Aucun indice n'aidera la juge destruction à ouvrir son enquête. Seul le gérant du snack situé sur le parking expliquera avoir aperçu un conducteur au comportement bizarre quelques heures auparavant. Ce n'est que le 22 juin. en examinant le revêtement intérieur des chaussures de la victime, qu'un inspecteur découvrira, dissimulé sous les rebords des semelles internes, des morceaux de papier avec des mentions manuscrites. dont le nom de Benmenni. Retrouvé dans la région parisienne, l'accusé est connu des services de police français pour avoir séquestré et porté des coups à Naïma, le 15 mai 2000. soit quelques jours avant sa disparition. "Oui, je l'ai giflée, a affirmé Benmenni. mais cela n'a pas été plus loin. Je l'ai ensuite confiée à ma deuxième femme en compagnie de mon fils ". L'accusé est décrit comme une personne affirmée dans son respect de la culture, estimant normal qu'un homme ait plusieurs femmes et admettant la violence dont il a usé envers la victime peu de temps avant son décès. Naïma l'aurait soi-disant trompé avec un voisin, surnommé "Le black ".
Le procès s'annonce complexe. Me Discepoli, conseil de l'accusé, a d'ailleurs tenu à s'exprimer, à ce sujet, face au jury. "Nous devons être vigilants car les faits remontent à trois ans et demi et parce qu'il existe de nombreuses contradictions dans le dossier. J'aimerais également insister sur le fait que nous ne faisons pas ici le procès d'une culture différente. Chacun doit mettre ses a priori de côté et accepter, notamment, le principe de polygamie"
CHARLES SPERLICH

Article paru dans les quotidiens du groupe « Sud Presse » - 28 octobre 2003.

Benmenni a parfaitement raison de dire qu’il n’est pas un monstre car, en fait, il n’est rien d’autre qu’une personne reconnaissant qu'il n'y a de Dieu qu'Allah et que Mahomet est son prophète, ce qui l'oblige à admettre que le coran est la parole de Dieu à respecter en toutes circonstances et que Mahomet est un modèle à suivre. En bref, Benmenni est un pieux musulman ordinaire. Un musulman que la presse belge décrit comme « une personne affirmée dans son respect de la culture (sic), estimant normal qu’un homme ait plusieurs femmes et admettant la violence dont il a usé envers la victime… » ce qui est parfaitement logique puisque le coran prône, noir sur blanc, de battre les femmes et que Mahomet, modèle à suivre, était polygame. Cet Algérien, pour qui l’Europe occidentale est le « dar al sulh » - la « maison » où il importe d’imposer les « valeurs » de l’islam – ne peut concevoir un seul instant qu’il soit « anormal » de battre sa femme et même de la tuer. Pourquoi donc cela serait-il « mal » puisque c’est autorisé par la loi coranique , loi venant en droite ligne de Dieu par le coran et le prophète Mahomet, loi qui, seule, peut dire ce qui est bien ou mal ?
Il faut bien comprendre le fait suivant : pour Saddek Benmenni, et ses semblables, les lois occidentales ne sont que des lois temporaires, des lois de circonstances, des lois humaines imparfaites susceptibles de changer, de s'améliorer et dont il importe d'orienter le changement, par l'exemple ou la force, vers la seule loi qui ait une réelle valeur : La loi d'Allah, la Sharia, telle que définie par le coran et précisée aux hommes par l'exemple de la vie du prophète Mahomet.

On notera, en passant, le discours hypocrite de l’avocat de Benmenni. « Ne faisons pas ici le procès d’une culture différente… », c'est à dire : « Ne faisons pas ici le procès d’une culture centrée sur une religion basée sur un livre, le coran, qui prône de battre les femmes et de suivre le modèle de la vie d'un homme, Mahomet, criminel polygame de l'an 600 : Mieux vaut continuer à pratiquer la très confortable "politique de l’autruche" en fredonnant "Tout va très bien, Madame la marquise, tout va très bien, tout va très bien" plutôt que de soulever un sujet qui risque de provoquer dans une part de la population des émeutes que l'on serait difficilement en mesure de réprimer »...

La presse quotidienne relate, à longueur de pages et quasi quotidiennement, les méfaits et crimes commis par des musulmans qui se comportent déjà comme si l’Europe était devenue un état islamique régi par la seule loi coranique. Les quelques extraits de presse que nous avons cru utile de reproduire ne constituent aucunement une recherche exhaustive. Ce ne sont là que des exemples recueillis au hasard de nos lectures.

Voici d’ailleurs un autre article, daté du 24 octobre 2003, qui relate des faits à peu près similaires : enfants battus, femmes battues, tyrannie domestiques,… autrement dit le lot quotidien des « pieuses » familles musulmanes. Mais gardons-nous de faire le « procès d’une culture différente ». Tout cela ne nous regarde pas, comme semblait l’insinuer Me Discepoli. Cela se passe chez nous, dans nos murs, mais cela ne nous regarde pas. Ben voyons !

Saddek Benmenni « Sud Presse » - 28 octobre 2003 CHARLEROI TRIBUNAL CORRECTIONNEL
Violation de domicile
Mustapha K. est resté fidèle à ses principes. Il a été condamné récemment à une peine de quatre ans de prison pour maltraitance envers son fils de cinq ans à qui il a fait subir de véritables tortures. Le dossier est en appel. Mais il avait tout nié en bloc. Cette fois, il devait répondre de coups, de harcèlement et de violation de domicile. Il nie toujours. Il avait pourtant été condamné à huit mois de prison pour les scènes de coups, et à un an pour les faits de harcèlement, violation de domicile et autres scènes de violence envers son ex-compagne. Une condamnation prononcée par défaut et contre laquelle il a fait opposition. Une des scènes de coups, c'était dans un bistrot. Il est entré et s'est approché d'un client, voulant qu'il lui paie un verre. Refus du client, qui a reçu d'emblée des coups. Mustapha s'est énervé, s'en prenant à d'autres personnes, brisant des chaises. Plusieurs témoins confirment la scène d'une manière unanime, mais il nie.
L'avocate s'en tiendra aux dénégations de son client. Dénégations persistantes à propos d'autres faits reprochés au prévenu, à propos de sa compagne. Le contexte familial de-vait baigner dans une nervosité permanente et le couple battait de l'aile. Le gaillard n'a rien trouvé de mieux que d'aller badigeonner les murs de l'école des enfants en y inscrivant des insanités. Comme il l'a fait aussi sur la porte du garage de la maison où résidait son ex-compagne. Il a réussi à y entrer, d'où la prévention de violation de domicile. Sans compter une autre scène de coups envers son ex.
Le magistrat du Parquet n'a pas manqué de relever les dénégations du prévenu : "Pas besoin de longs débats pour constater que les dénégations sont infondées". Et, en demandant la confirmation du jugement, a rappelé "le flot ininterrompu de condamnations depuis 1988". Le jugement sera prononcé le 20 novembre.
P.ANT.

Mais attention. Les musulmans adorent jouer au « redresseur de torts » et en « donneurs de leçons de morale » (la leur, pas la nôtre évidemment). Après avoir joué les tyrans domestiques, pas mal d’entre eux rêvent de tyranniser la terre entière au nom d’Allah, de cette fripouille de Mahomet et de son manuel anti non-musulmans, le coran.

Dans le centre d’une ville comme Charleroi (aujourd’hui rebaptisé « La Mecque-sur-Sambre »), des groupes de jeunes musulmans se permettent déjà d’insulter des jeunes filles et des jeunes femmes qui circulent dans les rues ou font des achats dans les boutiques, essentiellement lorsque leur tenue est supposée « choquer » la susceptibilité de ces individus (qui ne tolèrent les filles « sexy » que quand elles travaillent pour eux comme putains). Si aucune mesure radicale n’est adoptée pour endiguer cette montée de l'islam au cœur même des villes européennes, on verra bientôt ces mêmes musulmans arrogants s’ériger en « justiciers d’Allah », au même titre que les SA et le SS du régime hitlérien qui se voulaient les représentants et justiciers de l’ « Ordre Nouveau ». Car rien ne diffère l’Ordre nouveau des nazis du « Nouvel ordre islamique » que prêchent les oulémas wahhabites mais aussi d'autres « prédicateurs du vendredi ».

FARID ACHOUR DÉCÈS La bande aux cagoules noires FARID ACHOUR DÉCÈS
La bande aux cagoules noires
Farid Achour (24 ans) est mort dimanche soir dans un accident de moto à Châtelineau. Il était en compagnie d'une jeune fille. Najib M. décédée elle aussi. Le Lodelinsartois, malgré son jeune âge, avait déjà connu pas mal de problèmes avec la justice et avait déjà été inculpé à plusieurs reprises. En juin dernier encore, il avait été placé sous mandat d'arrêt pour une affaire d'extorsion mais, faute d'éléments probants, il venait d'être libéré début juillet. Cette récente affaire d'extorsion est cependant quasiment une broutille en regard des chefs d'inculpation qui pèsent sur lui depuis septembre 2001 !
Six arrestations
Fin septembre 2001, en effet, c'est une opération quasi-militaire qui est menée contre lui et sa bande. Les enquêteurs de la police fédérale ont acquis la certitude que le jeune homme (il n'a que 22 ans à l'époque) est mêlé à toute une série de carjackings commis dans la région de Charleroi et de la Basse-Sambre en juin 2001. Le jour de son interpellation, la police fédérale de Charleroi intervient avec le SJA de Charleroi mais aussi avec l'ESl (escadron spécial d'intervention) et le POSA (peloton d'observation, surveillance et arrestation) tant la bande est considérée comme dangereuse. Une douzaine de perquisitions sont opérées simultanément et Achour et ses amis sont interpellés rue de la Brouche-terre à Charleroi, chez un comparse. Ils sont tous très jeunes :ilyalà Farid Achour (22). Radouane NaÏm (20). Abderahim Najmi (27), Ali Durna (21), Charles Boyoko (20) et Gaylord Kimbuta Kasadi (18). Ils sont inculpés d'organisation criminelle. de vols avec violence et de recels.
Carjackings à gogo
Dans un box de garage de Monceau-sur-Sambre. les enquêteurs retrouvent alors une BMW M3. des armes de guerre, des armes de poing, des gilets pare-balles, des scanners...La BMW vient d'être volée quelques heures plus tôt à Fosses-la-Ville, au patron du restaurant San Daniele. Les braqueurs lui ont tiré dessus à la mitraillette, le patron a riposté, blessant Achour à l'épaule. En tout ce sont une quinzaine de carjackings très violents qu'on leur reproche alors (à Courcelles, Fontaine...), généralement commis par quatre hommes déterminés et dissimulés sous des cagoules noires. La bande est restée en préventive durant 15 mois avant d'être libérée par la Chambre des Mises en accusation en février dernier. La mort de Achour le prive malheureusement de procès (de même que les victimes). Restent ses complices présumés...

La justice belge avait remis de dangereux criminels en liberté mais Allah-le-miséricordieux a rappelé le chef de la bande dans son paradis pour crapules islamiques. Qu’il en soit remercié.

Dans la région de Charleroi, où le taux de criminalité est l’un des plus élevés d’Europe occidentale, il est connu que des mosquées servent de repères pour des bandes organisées. Mais personne, à ce jour, n’a osé demander la fermeture de ces foyers de criminalité.

Mohammed Dica « Sud Presse » - 4 novembre 2003 GRANDE-BRETAGNE
Séropositif: il infectait sciemment
A l'issu de son procès le mois dernier Mohammed Dica avait été reconnu coupable de coups et de blessures pour avoir transmis sexuellement le virus du sida. Hier, le tribunal l'a condamné à huit ans de prison. Le séropositif de 38 ans avait persuadé deux femmes, une divorcée et une mère de deux enfants, d'avoir des rapports non protégés.

Il ne faudrait pas croire qu'il n'y ait que des pays francophones comme la Belgique ou la France à être concernés...
Sud Presse – 4 novembre 2003

En France, les politiciens de gauche ont décidé purement et simplement de cacher l'ampleur du problème à la population en contraignant par divers moyens (et notamment la loi du 13 juillet 1990 du communiste Gayssot) les journalistes à ne quasiment jamais mentionner les noms de coupables lorsque ceux çi ont une consonnance arabo-musulmane. Par contre, si Pierre Dupond ou Paul Durand commet la moindre pécadille, il aura droit à son nom sur cinq colonnes à la une avec sa photo en prime. Les politiciens français de droite sont d'ailleurs bien contents eux-aussi de ce que les journalistes aient « pris le pli ». Il semble qu'il n'y ait guère que la population française qui ne soit pas trop satisfaite de ces dispositions si l'on en croit l'arrivée triomphale du leader d'extrème-droite Jean-Marie Le Pen au deuxième tour des élections présidentielles du 21 avril 2002.