(85) Quoi que l’on puisse parfois penser, l’esclavagisme n’appartient pas au passé. Bon nombre d’hommes, de femmes et d’enfants sont encore, de nos jours, astreints au travail forcé. Parmi les pays où l’on pratique encore l’esclavage, on trouve une majorité de pays – ou régions - où l’islam est la religion dominante (dont L’Arabie saoudite). En Afrique, on rencontre encore de nombreux cas d’esclavage au Bénin, en Côte d’Ivoire, au Ghana, au Togo, au Cameroun, au Nigeria, en Mauritanie et au Soudan. L’esclavage se pratique bien sûr en Arabie (Arabie saoudite, émirats, Yémen) ainsi qu’en Irak, au Liban, en Inde, au Pakistan, au Népal, au Bengladesh, au Myanmar, aux Philippines, en Thaïlande, en Chine, en Afrique du Sud, en Haïti, en république dominicaine, au Brésil, dans les pays du Maghreb et même dans certains pays d’Europe (Grande-Bretagne, France, Belgique,… où des milliers de domestiques, privés de salaire et de papier, sont obligés de travailler pour des diplomates ou des résidents originaires d’Arabie. Au Portugal, on découvre encore des cas d’enfants employés clandestinement dans des fabriques). Cette triste liste n’a rien d’exhaustif mais l’on remarque que les pays musulmans y sont largement majoritaires, ce qui est logique vu la lourde tradition esclavagiste des musulmans depuis les débuts de l'islam. Pour un « bon musulman », l’esclavage ne peut pas être une mauvaise chose puisqu’il n’est pas interdit par le coran et que Mahomet lui-même avait des esclaves. En outre, on trouve des « enfants esclaves » au paradis des mahométans. Dès lors - pour un musulman - si un être humain est esclave, c’est que « Allah l’a voulu » !