Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Accommoder
L'art
d'« accommoder » le coran
Les musulmans
ont, de tous temps, été des esclavagistes très
actifs (85). Sous le règne des Abbassides et malgré
les timides recommandations du coran lesclavage devint
une véritable institution dans le monde arabo-musulman. Rares,
très rares, furent les « fidèles »
qui firent « acte de piété » en
affranchissant un ou plusieurs esclaves. On ne se limita même
plus aux esclaves « importés » des
régions non musulmanes. Il y eu des esclaves musulmans et, en
sus, les Arabes inventèrent le principe de lesclavage
héréditaire. Considéré comme un bien
mobilier, lesclave était la pleine propriété
de son maître. Ce bien était transmissible par héritage
ou par vente. Assez bien traités lorsquils entraient au
service dune famille aisée, les esclaves subissaient,
par contre, les effets dune exploitation éhontée
lorsquils appartenaient à lEtat. Confiés à
des fonctionnaires sans scrupules qui jouissaient dune
impunité totale ils étaient battus, astreints à
des travaux pénibles et mal nourris. Et pourtant, selon la loi
coranique, lEtat était censé être
lémanation de lislam !
Le droit islamique permettait, certes, à tout esclave de se « racheter » en versant une somme convenue à lavance (et en fonction de la tête du client !). Mais combien y en eut-il de ces esclaves qui parvinrent à réunir la somme nécessaire ? Bien peu en vérité. En outre, lesclave affranchi (maulâ) entrait doffice dans la tribu de son ancien maître qui demeurait son tuteur légal.
Les serviteurs du palais khalifal et de la grande aristocratie étaient essentiellement recrutés parmi les peuples non musulmans et majoritairement en Afrique. On ne dira jamais à quel point ils eurent à souffrir des caprices et des vices des castes dirigeantes, bien vite corrompues par le pouvoir et la richesse. Rien quà Baghdad, on comptait des milliers deunuques, noirs et blancs. En 917 de notre ère, le khalîfe Al-Moqtabir en fit défiler plus de 7.000 devant les envoyés du basileus de Bysance. Comme tous les eunuques, ils étaient attachés au service du harem.
Vers la même époque, en occident, il y avait certes des seigneurs qui régnaient de façon féodale sur des serfs taillables et corvéables à merci, mais il faut remonter aux romains pour trouver une pratique généralisée de l'esclavage. Quand on nous rabat les oreilles avec la prétendue « dette » de l'occident vis à vis de la civilisation musulmane, on peut sourire...
On sait, dautre part, que certains esclaves de sexe mâle spécialement choisis tenaient le rôle de « mignon » (ghilmân en Arabe) dans le cadre de relations homosexuelles. A ce titre, ils bénéficiaient de faveurs spéciales. Ils étaient richement habillés, se parfumaient et entretenaient leur corps avec grand soin. Notons, à ce propos, que le coran ne condamne pas formellement lhomosexualité masculine, laquelle a toujours fait bon ménage avec lislam, nen déplaise aux musulmans « rigoristes ».
Cest ainsi que le verset 20 de la sourate IV peut se traduire ainsi : « Si deux individus parmi vous commettent une action infâme, punissez-les tous les deux. Mais sils se repentent et samendent, laissez-les tranquilles car dieu aime à pardonner et il est miséricordieux ». Compte tenu du verset qui précède, « si vos femmes commettent l'action infâme, l'adultère,... », l « action infâme » dont parle le coran nest autre qu'un adultère entre deux personnes mais sans qu'aucune femme n'y participe, donc un adultère entre hommes seulement, c'est à dire soit l'homosexualité soit la pédérastie. Et lon voit que pour les hommes, les recommandations sont beaucoup, beaucoup plus que clémentes en cette matière car le verset 19 (celui qui précède) recommande, pour les femmes adultères de les enfermer dans des maisons jusquà ce que la mort les visite (ou que dieu leur procure un moyen de salut) ! ! !
Il est un fait que lavilissement de la femme avait, sur la société musulmane, de très fâcheuses répercussions, notamment en matière de murs. Dans les « Mille et une nuits » - ce grand classique de la littérature arabe, la femme est désignée comme lennemi. Elle est la cible dune forme particulière de misogynie née de la guerres des sexes imposée par lislam. Sous le règne des khâlifes Hâroun ar-Rachid et Al-Amine (fils du précédent), les homosexuels tiennent carrément le haut du pavé. Ils se commettent au vu et au su de tout le monde en compagnie des « ghilmân » et les poètes adressent leurs vers à des éphèbes encore imberbes. Car lhomosexualité islamique se teinte souvent de pédophilie, exemple du prophète oblige, lui qui avait pris parmi ses épouses une fillette de six ans !
Al-Amine, encore lui, sentoure non seulement de ses mignons (parfois très jeunes) mais il ne dédaigne pas ses « pagesses », de très jeunes filles qui shabillent en garçon et portent cheveux courts et turbans. On trouve donc, à la cour des califes, des hommes habillés comme des femmes et des filles habillées en garçons. Quand au khalîfe Al-Motawakkil, on ne lui prête pas moins de quatre milles concubines qui, selon la tradition orale, partageaient toutes sa couche !
Selon le droit islamique, la société se décompose en plusieurs classes sociales dictées, comme on sen doute, par des considérations strictement religieuses. En premier, viennent les musulmans, libres ou esclaves. En seconde place, on trouve les « gens du livre », non musulmans « tributaires » (payant tribu. Le terme moderne est : « rackettés ») qui bénéficient du statut de « dhimmi ». Ce sont des Juifs et des chrétiens qui acceptent de se soumettre à la domination musulmane et jouissent, de ce fait, du « privilège »... de ne pas être tués. Du fait de leurs compétences, ils peuvent occuper une position assez enviable dans la vie sociale, mais ils sont cependant considérés comme des inférieurs par les musulmans. On les retrouve fréquemment dans ladministration, les finances ou les professions que lon qualifie aujourdhui de « libérales ». Bien que détestés sur le plan théologique, les Juifs furent souvent épargnés du fait de ce statut et de leurs aptitudes pour le commerce, le droit et les affaires dargent. Cest ainsi que la tradition veut que ce soit un Juif nommé Isaac qui servit dinterprète lors de la rencontre qui eut lieu, en 797, entre lambassade de lempereur Charlemagne et le khalife Hâroun ar-Rachîd. Cest lui qui, toujours selon la tradition, aurait ramené à Aix-la-Chapelle léléphant offert par le calife, ses chefs étant morts en cours de route.
Lhistoire nous enseigne même quen Egypte, de 1044 à 1047, le vizir nétait autre que le Juif Ben Sahl, favori de la mère du sultan. Ce qui fera dire à un satiriste de lépoque : « Egyptiens ! Ecoutez le conseil que je vous donne : devenez Juifs car le ciel lui-même est devenu Juif ! ».
De tels exemples de « réussite sociale » demeurent cependant exceptionnels. Les dhimmis, ces Juifs et ces Chrétiens qui avaient refusé de se convertir à lislam, formaient surtout le gros des populations paysannes car les Arabes (les vrais, pas les peuples « arabisés ») ont, de tous temps, été réfractaires aux travaux agricoles. Ce sont des guerriers nomades à la rigueur des commerçants mais pas des agriculteurs(86), qu'ils méprisent.
Les musulmans sintéressèrent dailleurs dautant mieux au commerce que Mahomet lui-même avait été commerçant (après avoir épousé sa première femme, veuve dun riche négociant mekkois).
Le « prophète » navait jamais condamné lenrichissement par le commerce. Il ne sen était pris quaux pratiques frauduleuses. Il ny a donc pas incompatibilité, pour un musulman, à faire du commerce tout en se rendant en pèlerinage à la Mekke. Il désignera même ses gains commerciaux sous le nom de « Grâce de dieu ». Et la sunna en rajoute en faisant dire à Mahomet : « Le marchand sincère et de confiance sera, au Jugement dernier, parmi les prophètes, les justes et les martyrs ». Omar, le « compagnons de route du prophète » aurait été encore plus loin en déclarant : « Je ne puis en aucun lieu être aussi agréablement saisi par la mort que là où je traite des affaires, des marchés pour ma famille en achetant ou en vendant ».
Aujourdhui encore, l'arabo-musulman est regardé comme un « marchand né ». Quant aux « pratiques frauduleuses » proscrites par le coran, elles ne concernent que les échanges entre musulmans. Il nest pas interdit, en islam, de « rouler un infidèle ». Il en résulte que, chez les commerçants musulmans, les prix sont habituellement « à la tête du client ». Indépendamment de la tradition du « marchandage », les prix de départ sont toujours plus élevés pour les « mécréants ».
Lexpansion économique arabe a accompagné et parfois même précédé les conquêtes militaires et politiques. Et lon peut dire que cest aux citadins et aux commerçants, bien plus quà ses guerriers, que lislam doit sa propagation rapide. Mieux vaut s'en souvenir.
On notera aussi que le développement du commerce entraîna des dérives dans le domaine de la loi coranique. Cest ainsi que le coran condamne une pratique nommée « ribâ », terme qui désigne laccroissement de la fortune par le prêt. Il ne sagissait cependant pas dun simple « intérêt » mais du doublement pur et simple de la somme prêtée en cas de non remboursement à la date de léchéance. Cette coutume nétait pas spécifiquement Arabe. Elle était également pratiquée par des prêteurs Juifs et chrétiens. Et Mahomet, dans son coran, de fustiger les Juifs qui transgressaient leurs lois interdisant lusure. ll nempêche que, malgré les prescriptions du coran, des prêteurs musulmans continuèrent à pratiquer la ribâ et, à fortiori, le prêt à intérêts. Ils se conformèrent un temps aux prescriptions de leur « livre », abandonnant aux Juifs et aux chrétiens la pratique des prêts à intérêts. Mais, lattrait du profit fut plus fort que le respect du coran et ils contournèrent le problème en usant de stratagèmes juridico-religieux.
A la longue, les prêteurs musulmans se révélèrent même nettement moins scrupuleux que les dhimmis. Eternellement soucieux de la « Loi », mais aussi et surtout de tous les moyens permettant de la contourner, ils devinrent des maîtres incontestés du prêt à intérêt et de lusure. A tel point que, dès le IXe siècle, la cité musulmane bénéficiera dun statut autonome qui est en parfaite contradiction avec le principe islamique de lomma. Elle passera petit à petit sous le contrôle des banquiers qui avaient la haute main sur lensemble des activités économiques. Ils instaurèrent ainsi contre lesprit et la lettre de la « Loi » - un système purement capitaliste, le premier du genre, quils exporteront ensuite en Europe.
Nous avons aussi vu, dans les précédents chapitres, comment Mahomet et les chefs musulmans ont toujours su saccorder des « dérogations divines » leur permettant de contourner les « interdits » du coran.
Certains dogmes coraniques ne furent pratiquement jamais respectés par aucun musulman. Cest le cas pour celui qui stipule que, de sa naissance à sa mort, le « bon musulman » na besoin que dun seul livre : le coran. Cest en se référant à ce dogme que le calife Omar lun des disciples de Mahomet avait donné ordre de brûler toutes les bibliothèques (notamment lors de la prise dAlexandrie par ses troupes). Mais, concrètement, rares, très rares, sont les musulmans qui se sont conformés à ce dogme imbécile. Heureusement car, sans cela, il ny aurait jamais eu de littérature arabo-musulmane.
Les « islamistes purs et durs » sont en contradiction avec leurs principes lorsquils éditent des livres, des brochures ou des journaux. Sils étaient les « parfaits croyants » quils prétendent être, ils sen tiendraient au coran et rien quau coran, non ? Que dire de ces « centres islamiques », tel celui de Genève, qui sont obligés déditer des « bulletins » pour expliquer le coran (à leur façon, bien évidemment) ?
Dautres « prescriptions
fondamentales du coran » sont régulièrement
transgressées par les roublards et les petits malins.
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Tel est le cas pour les interdits alimentaires et notamment linterdiction de consommer tout ce qui provient du porc (87). Nous verrons que les dirigeants religieux qui sont à lorigine du commerce dit « halal » savent contourner les problèmes et camoufler les entourloupes de mille et une manières.
Comme quoi, quand ils le veulent (ou
quand ils le peuvent), les musulmans savent fort bien « accommoder »
les prescriptions du coran. Ils sont comme les
adeptes des autres religions monothéistes qui jouent les
bigots devant leurs coreligionnaires et leur clergé mais se
vautrent dans le « péché » quand
ils sont loin de chez eux ! Il ny a
que les plus intransigeants donc les plus bêtes
parmi eux qui prétendent sen tenir à une
application stricte et inconditionnelle des prescriptions
anachroniques du « livre inimitable » !
« Inimitable », le coran lest
certainement par son incroyable archaïsme et, pour tout dire,
par son incohérence et sa stupidité. La bible na
certes jamais été un parfait exemple de limpidité
et de logique mais, à part quelques petits groupes dilluminés
et de demeurés, dont les plus connus sont les Témoins de Jehovah, on ne trouvera plus de communauté
chrétienne qui soit encore assez stupide pour prétendre
que ce livre doit être interprété et observé
« à la lettre ». Par contre, pour des
dizaines de millions de musulmans, le coran demeure « la
parole de dieu » que nul ne peut contester ou
transgresser. Et cest là que le bât blesse !
En tant que tel, le coran est un redoutable instrument de pouvoir entre les mains des petits et gros malins qui savent sen servir pour manipuler les masses tout en contournant habilement les interdits lorsque cela les arrange. Ce fut le cas jadis pour le christianisme mais, de ce côté là, les choses se sont quelque peu arrangées. Aujourdhui, le problème ne se pose plus guère quavec lislam et, de ce côté-là, les problèmes risquent dêtre beaucoup plus difficiles à résoudre. Notons enfin que les « princes arabes » ne sont pas les derniers dans le domaine des magouilles sordides. Il a été démontré au chapitre 6 que les dirigeants saoudiens, bien loin dêtre des « seigneurs du désert » nétaient que des voyous, des profiteurs et des manipulateurs.
Récemment, le prince Nayef bin Sultan bin Fawwaz alShaalan époux dune « princesse de sang royal » (sic) et banquier (installé en Suisse comme il se doit pour un banquier saoudien) sest retrouve impliqué dans un trafic de drogue international. Cest lui qui aurait fait transiter par la France deux tonnes de cocaïne destinées à être revendues dans toute lEurope. Laffaire se passait en mai 1999 et la drogue avait été dissimulée dans un avion protégé par limmunité diplomatique (voir le n° 2524 de « LExpress » - 18 novembre 1999). Le Saoudien se retrouve impliqué dans ce trafic par le biais dune prétendue « femme daffaires » nommée Doris Mangeri (actuellement sous les verrous en Floride).
Al-Shaalan et Doris Mangeri sont considérés, par la « Drug Enforcement Administration » (DEA = administration américaine de lutte contre la drogue) comme les têtes pensantes dun réseau de passeurs qui devait permettre à la cocaïne colombienne dentrer en Europe (voir « LExpress » du 26 décembre 2002). Ils se connaissent depuis quils ont fréquenté la même université de Floride, dans les années 70. Lun joue de son statut diplomatique, lautre de sa double nationalité (colombienne et américaine). Selon le dossier établi par la DEA, al-Shaalan aurait dû percevoir 20 millions de dollars pour le transport des deux tonnes de cocaïne qui ont été saisies en France. Cest à son domicile saoudien, à Riyad, que les « réunions de travail » auraient été organisées en vue de ce transport. Selon certains témoignages, le Saoudien aurait même été présenté personnellement aux « patrons » du cartel colombien, en septembre 1998. Les policiers américains on pu reconstituer le trajet suivi par les deux tonnes de cocaïne, depuis le Venezuela jusquà Paris en passant par lArabie saoudite. Dissimulée dans des valises, la drogue arriva à laéroport du Bourget le 16 mai 1999. Elle fut ensuite acheminée vers un pavillon de la banlieue parisienne (Noisy-le-sec) où elle devait être répartie entre les différents passeurs et revendeurs. Cest là quelle fut saisie par la police française (informée par un indicateur). Sur la base de 60 à 70 euros le gramme, les deux tonnes de « poudre » auraient pu produire un bénéfice plus que substantiel !
Si la police américaine a pu remonter jusquau « prince » saoudien, cest grâce aux aveux de quatre « repentis » interpellés en 1999 dans le cadre dune opération de grande envergure (opération « millénium »). La responsabilité dal-Shaalan fut confirmée par le colombien Gustavo Gonfrier arrêté à Noisy-le-Sec puisquil déclara que « le coup était monté par un haut dignitaire saoudien chargé de soccuper des mouvements dargent pour son pays ». Cette version fut accréditée par la présence, dans les valises contenant la drogue, de bouteilles deau minérale « Al-Qassim » et de dattes provenant dArabie saoudite.
![]() Ci-contre, un des pains de cocaïne colombienne qui ont été saisis en juin 1999 à Noisy-le-Sec. Ils avaient été introduits en France grâce à lavion dAl-Shaalan. On remarque nettement la « marque de fabrique » qui figure en relief sur le pain : une croix gammée ! Pour les Arabo-musulmans, le trafic de drogue serait une excellente arme pour amoindrir lOccident ! |
Il nempêche que, malgré les lourdes preuves qui pèsent sur lui, al-Shaalan est toujours libre de ses mouvements. Il sest même entouré des meilleurs avocats du barreau de Genève (Maîtres Haissly et Gully-Hart) pour défendre ses intérêts. Ceux-ci admettent que leur client avait déjà été impliqué dans un trafic de stupéfiants en 1984 mais, bien entendu, ils prétendent qual-Shaalan nest pour rien dans le trafic de 1999 et quaucune suite ne sera donnée à la plainte déposée contre lui. La « crapule princière » pourra donc continuer à mener ses « petites affaires » tout à son aise sans être inquiété par qui que ce soit et en continuant à être couvert par limmunité diplomatique. On sait, par ailleurs, quune délégation saoudienne a tenté de rencontrer le juge dinstruction de Bobigny qui soccupe du dossier. Tentative dintimidation ou de corruption ?
Car, du côté du régime saoudien, il nest pas question dincriminer le gendre de lhéritier du trône (dautant quun frère dal-Shaalan a épousé une autre fille de lhéritier royal). Cest ainsi quune « commission denquête » saoudienne a, bien évidemment, conclu à linnocence de ce trafiquant de haut vol. Dans cette affaire, ce sont les « sous-fifres » et les porteurs de valise qui trinqueront tandis que le « gratin » sen tirera avec les honneurs. Et pourquoi pas avec les excuses des polices américaines et françaises tant quon y est ?
En attendant, une cinquantaine dexécutions capitales ont eu lieu au pays de ben Laden en 2002. Toutes ont été prononcées en vertu de la « charia », parfois pour des délits mineurs. Plusieurs de ces condamnations concernaient des ventes de drogue. Mais la charia ne sapplique pas à tout le monde. Elle ne sappliquait pas à Mahomet et à ses successeurs (les califes). Elle ne sapplique pas, non plus, aux roitelets du désert. Elle ne sapplique quaux petits, aux sans grade. Ca, cest une chose que lon napprend pas dans les « écoles » coraniques. Les petits musulmans ne savent pas que si on leur impose une totale soumission aux « lois coraniques », leurs dirigeants, eux, se fichent de la charia comme de leur premier thé à la menthe !
Dans nos écoles à nous, on nous enseigne une fable de Jean de la Fontaine. Une fable qui dit « Selon que tu seras puissant ou misérable, etc., etc ». Nous, au moins, on est prévenu !
Nous avons vu par ailleurs au chapitre 7 que les musulmans étaient très habiles dans lart de contourner les interdits à caractère sexuel. Outre ce qui a été dit au début du présent chapitre, on a vu que des « lectures subtiles » du coran permettaient de faire, avec la bénédiction du coran, ce que ce même livre interdisait par ailleurs.
Nous avons également souligné que si le coran interdit aux musulmans de se voler entre eux, il ninterdit nullement aux mahométans de voler les « infidèles ». Pour pas mal dentre eux, cest même devenu une sorte de sport. Et cest finalement en vertu des « lois coraniques » que des musulmans trouvent « normal » de tuer les « incroyants », de voler les non musulmans (et même les musulmans qui nappartiennent pas à la même branche de lislam), de pratiquer la traite des être humains (esclavage, prostitution, ), de sadonner aux trafics de drogues, etc Il est bien pratique ce coran, non ?
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Ils sont de plus en plus nombreux les musulmans qui, à présent, se réfugient derrière des alibis « religieux » pour tenter de justifier des délits et des crimes qui relèvent du droit commun. Larticle reproduit ci-dessus (groupe Sud Presse mardi 22 avril 2003) nous parle dun certain « Muhammad » dont le comportement est pour le moins « ambigu » et qui appartient, sans nul doute, à la catégorie des pseudos terroristes qui, tout en rêvant de tuer des personnalités américaines ou de faire sauter la bourse de Bruxelles (?), nen sont pas moins de minables voleurs à la petite semaine !
En Belgique comme ailleurs, de très nombreux arabo-musulmans se sont « spécialisés » (si lon peut dire) dans les vols en tous genres, souvent avec violence. Atavisme, sans doute ? On les retrouve très souvent dans des affaires de « home jacking » ou de « car jacking » (vols à domicile et vols de voiture avec violence). En Belgique, plus des deux tiers des délits de ce genre sont commis par des ressortissants étrangers parmi lesquels de nombreux musulmans.
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Décidément les « Muhammad » se suivent et se ressemblent. On comprend mal pourquoi de tels individus ne sont pas expulsés définitivement hors du territoire européen. En plus davoir à subir leur violence et leur incivisme incurable, les citoyens européens doivent, en outre et cest un comble supporter les frais de procédure judiciaire et ceux qui découlent de leur incarcération !
Dans un article publié par le groupe Sud Presse en date du Mercredi 23 avril 2003, un autre Muhammad a assassiné sa femme nommée Khadidja ! La pauvre ne devait pas être aussi riche que la première femme du « prophète » !.
Outre les aspects spécifiques d « accommodement » de la loi coranique qui viennent dêtre évoqués, on se reportera au chapitre 2bis de la présente étude pour les aspects historiques qui ont contribué à forger la pseudo législation qui conditionne la vie des musulmans. Ils permettent de mieux comprendre les dérives de cette législation et les « astuces » qui ont été utilisées par les musulmans pour contourner les interdits coraniques et ce, dès les premiers temps de lislam.
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