Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Fanatisme page 2

Les mouvements de fourniture de pétrole et de gaz naturel dans le monde

Les mouvements de fourniture de pétrole et de gaz naturel dans le monde. On constate que le pétrole arabe est surtout vendu à l’Asie et à l’Europe, le troisième acheteur (en volume) étant les USA. Le pétrole va d’Arabie en Europe par le nord (via la Méditerranée) ou en contournant l’Afrique par le sud. Les Américains ne sont donc plus les principaux acheteurs du pétrole arabe.

Il est paradoxal de constater que les Occidentaux – qui sont la principale cible des dirigeants wahhabites – continuent à acheter massivement le pétrole produit par les Saoudiens. Ils pourraient pourtant le remplacer par du pétrole extrait des réserves irakiennes ! Mais de cela, les Américains ne veulent pas entendre parler car ils soutiennent Israël dans sa lutte contre le régime de Saddam Hussein. On comprend, dès lors, pourquoi les USA veulent à tout prix faire la guerre à l’Irak. Ils veulent contrôler la production de pétrole irakien afin de réduire l’influence de leurs « alliés » saoudiens, lesquels ne sont plus en odeur de sainteté à Washington depuis le 11 septembre 2001. Une fois encore, c’est par la guerre qu’ils comptent corriger leurs erreurs et leur manque de discernement en matière de géopolitique.


Sur cette carte extraite d’un atlas pour classes terminales, on remarque que les pays très islamisés se situent dans les régions du monde où le taux d’analphabétisme est très important (+ de 55%). En Afrique du Nord, les seuls pays qui échappent à cette triste règle sont la Libye du colonel Khadafi et la Tunisie du général Ben Ali, deux pays qui ont dû restreindre certaines libertés individuelles pour endiguer l’intégrisme et le fondamentalisme prôné par les Arabes. La quiétude de leurs habitants et des touristes est à ce prix. Même remarque pour l’Irak de Saddam Hussein. Les régimes politiques « dangereux » ne sont pas ceux que l’on pense !

On remarque, par ailleurs, que les pays de la péninsule arabique (dont l’Arabie saoudite) sont très peu alphabétisés malgré le niveau élevé des revenus (Yémen excepté). Les Saoudiens sont riches mais demeurent analphabètes ! Seuls les « princes » ont droit à une éducation correcte.

L’islam (comme l’hindouisme) ne peut guère s’implanter durablement que dans des pays à très faible niveau d’alphabétisation. Et nous savons que les islamistes radicaux (comme le furent les « talibin » ou « zélés croyants ») interdisent toute autre forme d’éducation que celle qui découle de l’enseignement du Qor’ân. Ils craignent la véritable connaissance qui ne peut que mettre en évidence les incohérences de leur « livre sacré » et des règles socio-politiques qui en découlent. C’est la raison pour laquelle le Qoran doit être lu dans sa version arabe, y compris par des peuples qui ne comprennent pas cette langue !

Pour les musulmans, la politique est indissociable de la religion. L’Etat ne peut donc se concevoir que dans le cadre de l’islam, ce qui interdit toute forme de laïcité. En islam, le devoir religieux des dirigeants est considéré comme une fin en soi, une fin qui renferme tout ce qui peut ou doit être accompli en faveur de l’islam pris comme religion ou comme système socio-politique. C’est ce qu’enseigne l’ « omma » (« communauté » en Arabe), notion sur laquelle se fonde le comportement des musulmans (avec la « sunna » ou « conduite »). C’est au nom de l’ « omma » qu’ils ont décrété le « djihhad » car l’islam se veut religion universelle et se donne pour objectif final de conquérir le monde entier afin d’en faire le « dar-al-salam » (« pays de la paix » ! ! !), le monde entièrement soumis aux lois (shari’a) rétrogrades et antidémocratiques de l’islam.

Notons encore que l’Arabie saoudite vient en tête de liste de l’ONU pour l’ « aide au développement ». Elle y consacre, en effet, plus de 3% de son PIB (contre 0,25% pour les USA et moins de 1 % pour la plupart des pays européens). Mais il faut savoir que cette aide consiste, de façon quasi exclusive, dans une forme particulièrement insidieuse de prosélytisme visant à promouvoir le wahhabisme. Curieuse façon de concevoir l’aide au développement !

zone d’influence de l’Islam

Reproduction partielle d’une carte figurant dans l’atlas géopolitique et culturel édité par « Le Robert » en collaboration avec l’hebdomadaire français « L’Express » (édition de 2001). On voit très bien que la zone d’influence de l’Islam (en vert) tend à s’étendre dans toutes les directions (flèches vertes) et notamment vers l’Europe occidentale et l’ex-URSS. L’Islam est, en ce début du XXIe siècle, la seule religion qui affiche ostensiblement sa volonté de coloniser l’ensemble du monde. Et partout où cette hégémonie s’exprime librement, elle est source de conflits et de troubles sociaux.

La quasi-totalité des pays dits « musulmans » ou « islamiques » sont des états où la démocratie est inexistante ou bafouée. Dans un très grand nombre de cas, ces nations sont en guerre avec d’autres nations ou en état de guerre intérieure. Il ne peut donc être nié que l’Islam soit une religion extrêmement dangereuse pour la paix dans le monde. Agressive et belliqueuse par ses origines et sa nature, l’Islam veut profiter de l’affaiblissement des autres religions pour s’implanter partout où cela peut s’avérer possible grâce à l’immigration et aux mutations politiques (comme celles qui s’opèrent au sein de l’Union européenne).

Cette religion ne doit donc, en aucune façon, être « agréée » par les états européens. De même, l’Union européenne se doit impérativement de rejeter les demandes d’adhésion de pays où l’Islam possède le statut de religion « officielle » (comme la Turquie et certain états balkaniques). Il y va de la survie de l’Union, de la tranquillité de ses citoyens et de la paix dans le monde. Car les prétendus « réformateurs » de l’islam (dont les wahhabites) ont la prétention de « réformer » le monde entier, en commençant par l’Europe !


L’implantation des communautés religieuses en Asie, telle qu’elle était dans le courant des années 70. On distingue bien les zones géographiques où se situait traditionnellement l’influence des musulmans sunnites et des musulmans chiites.

Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, la zone d’influence de l’islam s’est considérablement étendue dans la région des Balkans et dans les anciennes républiques soviétiques où la pratique de l’islam avait persisté. C’est un important facteur de déstabilisation et de conflits dans toutes ces régions qui sont à présent très infiltrées par les agitateurs islamistes financés par les Saoudiens.


Les Arabes - qui tentèrent jadis de coloniser l’Europe par l’Espagne et la France (où ils furent battus, devant Poitiers, par les troupes de Charles Martel) puis par les Balkans (où ils furent arrêtés par les Autrichiens en 1683, après avoir assiégé Vienne) – n’ont jamais renoncé définitivement à imposer l’islam au reste du monde. Leurs nombreuses tentatives d’invasion de l’Europe sont autant de témoignages historiques qui attestent de cette réalité. Aujourd’hui, ils se servent de l’extrême perméabilité des frontières et des facilités de transport pour infiltrer l’Europe (et les autres parties du monde) d’une manière plus « subtile ». Ils sont touristes, étudiants, hommes d’affaires, immigrants ou demandeurs d’asile. Cette tactique de pénétration, très efficace, est difficile à contrecarrer dans une Union européenne en pleine mutation et qui ne s’organise que par à-coups.

Les islamistes ont parfaitement perçu cette affaiblissement des structures européennes. Il savent qu’il durera aussi longtemps que l’Union n’aura pas fixé ses frontières de manière définitive et ils entendent bien en profiter. Il conviendrait donc de mettre en place une structure policière supranationale qui aurait pour mission particulière de surveiller les milieux islamistes et les communautés musulmanes implantés en Europe. Mais ne nous trompons pas d’objectifs. Le véritable ennemi n’est pas nécessairement le boutiquier arabe du coin de la rue ou l’ouvrier musulman de chez Renault (sauf s’il exerce des activités subversives en dehors de ses activités professionnelles ou familiales). Les vrais activistes se trouvent dans les ambassades, les « écoles » coraniques et les mosquées.

Ne renouvelons pas les erreurs d’hier en incitant les citoyens européens à faire « la chasse à l’Arabe » ou aux musulmans. Ne nous rendons pas coupables des mêmes errements que ceux qui appelèrent à la « chasse aux Juifs » et firent périr les pauvres bougres sous prétexte de débarrasser l’Europe de la « juiverie internationale ». Les vrais coupables (les banquiers juifs) eurent tout le temps de se réfugier à l’étranger (généralement aux Etats-Unis) et ce sont les « petits » qui payèrent la note !


Nos ennemis d’aujourd’hui, nos véritables ennemis, s’appellent Fadh ben Abd el-Aziz, roi d’Arabie saoudite ou Abdallah (son fils, chef du gouvernement saoudien). Ils sont princes, émirs, diplomates, banquiers et dirigeants d’entreprises. Ils sont aussi dangereux que le sinistre Ussama ben Laden. Ce sont aussi les très dangereux « oulémas » wahhabites – ennemis sans nom et sans visage – qui manipulent toute cette engeance et produisent des ben Laden en série. Enfin, ce sont nos propres politiciens, nos dirigeants européens - corrompus et lâches - qui refusent d’assumer leurs responsabilités face à la menace islamique. Car il ne faut pas toujours aller chercher le mal ailleurs. Il peut aussi se trouver très près et sous l’apparence d’un ministre, d’un sénateur ou d’un député apparemment « bon enfant ». La lâcheté, l’incompétence et l’opportunisme de certains politiciens occidentaux est, soyons-en bien conscients, aussi dangereuse que l’agressivité des musulmans radicaux.

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