Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Tolérance ? page 2

Secouée par l’affaire des « patrouilles arabes », la presse belge est quelque peu sortie de sa torpeur et de se « réserve ». Les politiciens aussi si l’on en juge d’après les déclarations du ministre de l’Intérieur. Du coup, les dirigeants de la LAE – Jahjah en tête – ont entamé une prudente « marche arrière ». Ils ne parlent plus d’étendre leur scandaleuse initiative à l’ensemble de la Belgique, voire de l’Europe. Quant à leur revendication visant à faire reconnaître la langue arabe comme « 4e langue nationale belge », ils en font à présent une « piste théorique » dans le contexte de la convention-cadre sur les « minorités nationales ». Ce qu’ils oublient – ou font semblant d’oublier - c’est que cette convention européenne s’applique aux minorités « nationales » - au sens strict du terme – et non aux communautés d’origine étrangère installées en Europe, lesquelles n’ont rien de « nationales ».

La marche arrière de la LAE est cependant purement stratégique. Il est certain que les islamistes fondamentalistes reviendront à la charge dès que l’opinion publique et la presse baisseront à nouveau la garde.

Ne perdons jamais de vue que ces individus sont dangereux, très dangereux !

Affrontements entre la police
d’Anvers et un groupe de partisans de la lAE

Affrontements entre la police d’Anvers et un groupe de partisans de la lAE. A l’avant-plan, bras levé, Ahmed Azzuz, l’un des dirigeants de la ligue islamiste.

Hier encore, les gouvernement européens se voulaient « modérés » et « conciliants » vis-à-vis des revendications illégitimes des musulmans, comme le montre cet article de la presse quotidienne belge daté du 20 septembre 2002 à propos du foulard islamique.

L’affaire d’Anvers et de la LAE oblige à présent les politiciens belges à reconsidérer – tout au moins dans l’immédiat – leur façon de voir les choses. Car l’électorat (surtout à l'approche d'élections) comprendrait fort mal qu’aucune mesure sérieuse ne soit prise à l’encontre de cette voyoucratie islamique.

Il va donc falloir « déterrer » les dossiers, y compris celui du soi-disant « voile islamique ». Sans quoi, l’extrême-droite (qui se frotte les mains depuis les incidents d’Anvers) le fera à notre place !

On connait le sort réservé aux infidèles... mais connait-on le sort réservé aux autruches ? Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergolEt même s’ils ont « la trouille », il faudra bien que nos peu courageux politiciens européens prennent position et annoncent la couleur de leur jeu.
Le temps est passé où ils pouvaient se réfugier dans une confortable « politique de l’autruche ». Dorénavant, il faudra qu’ils prennent leurs responsabilités et leur courage à deux mains ou qu’ils disparaissent de la scène politique.
Nous ne leur laisserons d’autre alternative.

A peine extrait de sa cellule, Jahjah a tenu une conférence de presse au cours de laquelle il a continué à se poser en victime. Il a affirmé avoir fait l’objet de menaces de mort « sérieuses ». C’est tout-à-fait possible mais, en admettant que ce soit vrai, il les a bien cherchées. Ceci étant dit, rien ne sert d’en faire un « martyr de la cause islamique » en l’éliminant physiquement. Comme les autres individus de son espèce, il mérite un autre genre de châtiment : voir échouer son rêve d'un islam planétaire.

Compte tenu de ce qui vient d’être dit, on peut avoir du mal à comprendre les motifs qui peuvent pousser un Européen de souche à se convertir à l’islam. Qu’un Algérien ou un Turc accepte de se soumettre à la dictature du culte musulman peut se comprendre. Il le fait sous la pression de sa famille, de sa communauté, voir même du pouvoir politique. Mais qu’un sujet non issu d’une communauté musulmane se convertisse à l’islam relève de la bizarrerie et de l’incohérence. C’est aussi paradoxal que pour ces quelques dizaines de milliers d’Européens non germains qui allèrent se battre sous l’uniforme Allemand pendant la seconde guerre mondiale.

On peut comprendre (mais pas admettre) que des peuples d’origine germanique (comme les Scandinaves, les Hollandais ou les Flamands) aient pu être séduits par les thèses « pangermaniques » d’Adolf Hitler. Mais que dire des 400 sujets de « Sa Très Gracieuse majesté » qui combattirent pour le compte de l’Allemagne ?

Il y aura toujours des « paumés » qui, pour assouvir leurs rancoeurs personnelles, seront prêts à faire n'importe quoi au service de n'importe qui. Ce sont des individus de ce genre que l’on retrouve parmi les terroristes de l’islam. Certains d’entre eux sont des criminels qui, sous couvert de terrorisme islamique, assouvissent leur bas instincts. D’autres sont des déséquilibrés, des esprits faibles qui se sont laissés embrigader par des propagandistes musulmans. Le Britannique Richard Reid (77) fait partie de ce lot de répugnants personnages.

En France, en Belgique, en Allemagne et en Grande-Bretagne, les islamistes sont de plus en plus actifs, de plus en plus subversifs. Ils se croient déjà les maîtres de l’Europe et du monde et ils rêvent de faire défiler les peuples au son de l’hymne saoudien avec, au bout du bras tendu, le « petit livre vert », de Mahomet. Mais ils devraient se remémorer la fable d’Icare. Comme lui, ils veulent s’élever au-dessus des autres, voler haut, de plus en plus haut. Mais le soleil les guette et à force de s’en approcher, ils pourraient retomber de très haut et se fracasser contre la terre ferme. Les Arabes ont eu grand tort de s’attaquer aux Etats-Unis d’Amérique. Car les Américains sont toujours prêts, eux aussi, à partir en guerre. Non point pour complaire à Allah mais pour faire tourner leur machinerie économique. Le terrorisme islamique va leur donner une bonne excuse pour remettre de l’ordre dans la pétaudière du Moyen-Orient. Leur stratégie est claire comme l’eau de roche : d’abord prendre le contrôle de l’Iraq et de ses immenses ressources pétrolières puis mettre au pas la « bande à Saoud », ces anciens « alliés » qui sont devenus franchement « infréquentables » !

Fayçal, second fils d’Abdul Aziz ibn Séoud lors d’une réunion officielleFayçal, second fils d’Abdul Aziz ibn Séoud en prièreFayçal, second fils d’Abdul Aziz ibn Séoud – que l’on voit ici en prière et lors d’une réunion officielle – était un personnage retors, brutal et autocrate. S’il n’avait bénéficié de la « haute bienveillance » des dirigeants occidentaux à la solde du grand capitalisme, il aurait mérité d’être mis au banc de l’humanité, comme tous les dictateurs de son espèce. Il en va de même pour ses successeurs. Le régime saoudien est un régime politiquement et humainement abject. En cela, il est le parfait reflet de la religion sur laquelle il repose : l’islam.

Les « fous d’Allah » - notamment ceux du réseau al Qaïda – pourront, certes, faire du dégât (et de malheureuses victimes) pendant quelques temps encore mais leurs jours sont comptés, inexorablement comptés. Ils ont contre eux la terre entière et leurs ressources financières, bien qu’importantes, ne sont pas inépuisables. Ils n’auront eu qu’un seule mérite : celui de nous faire prendre conscience de la réalité de l'islam, de l’incroyable audace d’une communauté qui persiste à vivre selon des principes vieux de quatorze siècles tout en se dressant contre les nations les plus évoluées sur le plan technologique. En Arabe, on appelle ça un « baroud ». Mais celui que livrent actuellement les islamistes n’a rien d’honorable. C’est le « baroud des imbéciles » !

Des musulmans chez les « curés » ?

Compte tenu de ce que nous savons de l’extrême intolérance des musulmans, nous devrions nous étonner du fait que lorsqu’ils sont « dans la merde » (excusez l’expression ), ils se réfugient, non pas dans les mosquées mais… dans les églises !

En juillet 2003, plus de 300 Afghans – tous musulmans – se sont installés dans une église d’Ixelles (Bruxelles) pour y réclamer leur « régularisation » en tant que réfugiés politiques. Il y a toujours quelque chose d’incongru et de choquant dans l’occupation d’un lieu de culte catholique par des personnes – parmi lesquelles de nombreuses femmes portant le voile islamique – qui se revendiquent d’une religion qui demeure en lutte ouverte avec le christianisme. Pourquoi ces musulmans ne se sont-ils pas installés dans l’une des nombreuses mosquées de la région bruxelloise ? N’ont-ils pas confiance dans la « solidarité islamique » ? Préfèrent-ils perturber les lieux de culte de leurs ennemis ancestraux plutôt que ceux qui sont fréquentés par leurs « frères » ?

Il est étonnant qu’à ce jour aucun journaliste n’ait jugé utile de leur poser ces questions élémentaires. Il est aussi étonnant que le clergé catholique ne se soit pas posé ces mêmes questions.

Des femmes musulmanes, portant le voile dit « islamique », dans une église catholique

Des femmes musulmanes, portant le voile dit « islamique », dans une église catholique. Ce qui choque, dans cette affaire, n’est pas tant que le clergé catholique fasse preuve de trop de tolérance, c’est l’absence totale de réciprocité. Car le droit d’asile n’existe pas dans les mosquées. Des non musulmans qui voudraient se réfugier dans une mosquée seraient, au mieux, chassés des lieux à coups de babouches dans le cul ou de caillasses dans la tronche. Au pire, ils seraient livrés aux autorités, emprisonnés, éventuellement torturés comme dans les prisons saoudiennes ou plus simplement massacrés sur place. (Que ceux qui haussent les épaules devant ces affirmations prennent un billet d'avion pour le Pakistan, l'Afghanistan ou l'Arabie saoudite et aillent faire l'expérience : ils sont certains de faire un "scoop" dans Paris Match)
Pour ces motifs, il devrait être interdit, à des musulmans pratiquants, de s’installer dans des lieux de cultes non musulmans pour y mener leurs campagnes de chantage vis-à-vis des gouvernement occidentaux.

Nous pouvons voir, devant leurs écrans, certains internautes qui froncent les sourcils et s'indignent de la précédente affirmation : cher internaute, tu devrais comprendre que le fait d'accepter la non-réciprocité c'est accepter le fait que tu es inférieur aux musulmans.
Internaute non-musulman, accepter qu'un musulman ait le droit de faire telle ou telle chose et accepter que ce même musulman te refuse ce même droit que tu lui accordes, c'est la première étape du processus psychologique de ta transformation en dhimmi.

article La Dépêche du Midi, 05 février 2004

J'ai travaillé au Maroc pendant de nombreuses années, et je peux vous dire comment on traite là-bas les étrangers : c'est la discrimination dans la vie quotidienne et la discrimination sur le lieu du travail.
Savez-vous que pour demander la nationalité marocaine il faut d'abord se convertir à l'islam ? Savez-vous que la femme étrangère, mariée avec un Marocain, n'a le droit à rien en cas de divorce ou veuvage, si elle ne s'est pas convertie à l'islam ? Une femme qui n'est pas musulmane, n'a pas le droit de garde de ses propres enfants. Et voilà, que les Marocains (ou Algériens, ou Iraniens) arrivent en France pour vivre beaucoup mieux que dans leur propre pays, et commencent par crier : "Ah, le racisme ah, la discrimination !" On nous parle de l'intégration, force est de constater que beaucoup de gens refusent catégoriquement de s'intégrer... La question du voile islamique est apparue, accompagnée de comportements spécifiques, comme le refus de se faire examiner par un médecin-homme... En arrivant en France, les musulmans font semblant de découvrir qu'ils vivent dans un pays laïque. Ils ne comprennent pas que les mauvais comportements poussent les électeurs à voter pour le Front national. Nous n'avons pas besoin de revivre les événements du 21 avril 2003.
... Qui a déjà vu un Chinois délinquant ? Qui connaît un bouddhiste poseur de bombes ? Les étrangers qui se comportent d'une façon honorable sont bien acceptés par tout le monde. Oui, la France a besoin de l'immigration, mais on a besoin de gens qui savent s'intégrer, de vivre dans le respect des autres, sans agressivité... L'exemple de l'Iran, du Soudan, de l'Afghanistan ne suffit-il pas ? Nous ne voulons pas récolter un Etat islamique à l'intérieur de l'État français.
La position de certains journalistes est ahurissante. Hier ils décriaient le sort des femmes afghanes, et aujourd'hui, j'entends à la radio : "En Angleterre, le port du voile islamique ne dérange personne et est même encouragé". (!!!)
En France, la religion est séparée de l'État depuis 1905. Alors, les médias doivent soutenir la tendance qui est juste.

S’il est vrai que quelques Afghans ont pu bénéficier de l’asile politique en Europe occidentale, la plupart de ces prétendus « réfugiés » se servent de l’alibi politique pour s’incruster chez nous et profiter des aides sociales. Il s’agit là de réfugiés « économiques » et non « politiques », sans parler des agitateurs islamistes qui se mêlent à ces candidats migrants pour participer au « djihad »en terre européenne. Nos autorités politiques ne doivent, EN AUCUNE FACON, céder à de tels CHANTAGES, notamment en « régularisant » les demandes d’asile sans avoir procédé à un examen approfondi des dossiers. Les dirigeants politiques qui prônent une politique laxiste au nom de considérations prétendument « humanitaires » font le jeu des fauteurs de troubles et de tous ceux qui veulent déstabiliser les fragiles démocraties européennes. Nous voulons bien nous comporter en démocrates et en être humains mais pas en idiots disposés à brader la sécurité de nos familles et l’avenir de l’Europe !

Des musulmans chez les « anars » ?

Notre attention a été attirée par un curieux tract qui circule dans les milieux qui prétendent se rattacher à la tradition « anarcho-libertaire ». Il s’agit d’un « appel » lancé par un certain Ali Khalid Abdullah, un citoyen américain qui est emprisonné pour « activisme politique ».

Le tract s’intitule « Pourquoi y a-t-il si peu de personnes de couleur dans le mouvement anarchiste ? ». Ali Khalid Abdullah est en effet de race noire et, sans que cela soit précisé dans le texte, il se pourrait qu’il soit de ces noirs américains qui ont subi une « islamisation » au contact des groupes activistes tels que les « Blacks muslims ». On note d’ailleurs que le tract ne fait pas la moindre allusion à l’influence pernicieuse des religions, ce qui est assez étonnant chez un prétendu « anarchiste ». On sait aussi que d’aucuns considèrent les « Blacks muslims » (et les différents mouvements qui en ont découlé) comme étant de nature anarchique. Or, il n’en est rien. Ces mouvements ne peuvent, en aucune façon, être rattachés à la tradition anarchique puisque leur essence est… religieuse !

Il ne faut pas oublier que la devise de l’anarchie est « Ni dieu, ni maître » et qu’un anarchiste se doit d’être un farouche opposant à TOUTES les formes de religion. La présence, au sein de groupes dits « anarchistes », d’individus qui sentent l’islam à plein nez est donc nécessairement suspecte. Il en va de même pour les relations douteuses que certains groupuscules trotskystes (ou plutôt pseudo- trotskystes) entretiennent avec des activistes musulmans. Un trotskyste véritable, pas plus qu’un anarchiste authentique, ne peut faire cause commune avec des individus qui menacent la paix dans le monde au nom d’un dieu dont Trotsky et les anarchistes ont toujours nié l’existence !

Les groupes dits « anarchistes » - par le fait même qu’ils sont allergiques à toute forme de structure un tant soit peu sérieuse – sont très perméables aux manœuvres d’infiltration. Il n’est donc pas étonnant que l’on puisse y retrouver des musulmans qui n’ont aucunement renié leur profession de foi. Fort heureusement, ces groupes sont très inefficaces. Ils sont même passés maîtres dans l’art de dépenser un maximum d’énergie pour un minimum de résultats. Il n’y a donc pas grand-chose à craindre d’un éventuel noyautage des groupes anarcho-libertaires par des islamistes.

Il nous appartenait cependant de mentionner des faits qui tendent à prouver que les islamistes cherchent à s’infiltrer partout où cela s’avère possible.

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