Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Fanatisme page 4

positionnement géographique des principaux conflits religieux
qui agitent le monde en ce début du XXIe siècle
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Positionnement géographique des principaux conflits religieux qui agitent le monde en ce début du XXIe siècle de l’ère dite chrétienne. (carte extraite de l’atlas géopolitique et culturel édité par « Le Robert » et « L’Express »)

Si l’on excepte le conflit qui oppose les chrétiens irlandais les uns aux autres –ainsi qu’un petit nombre de conflits très localisés (comme l'occupation du Tibet par la Chine) TOUS les autres conflits recensés sont imputables à la volonté de propagation de l’islam, autrement à la djihad ou aux conflits entre factions musulmanes (Turquie, Irak,…).

Des guerres très meurtrières et sans fin sont ainsi menées contre les chrétiens ou les hindouistes par des mouvement islamiques armés. Le cas de la Tchétchénie est l’un des plus fragrants. Il ne s’agit pas, comme on pourrait le croire, d’une « guerre d’indépendance » mais bel et bien d’une guerre religieuse, d’une djihad menée contre la Russie par des terroristes armés par les pays arabes. On a vu, lors de la dramatique prise d’otage de Moscou, à quel point ces terroristes sont déterminés à faire périr des innocents pour la « gloire d’Allah ». Pour un « bon musulman », la vie terrestre est sans grande importance. Il méprise sa propre vie et donc aussi, hélas, celle des autres !

Le mépris de l’opinion et de la vie d’autrui est une constante de l’islam. Elle conditionne le comportement quotidien du musulman, conformément aux prescriptions du coran (voir l'étude analytique de ce texte). Le « bon musulman » doit être hermétique aux opinions d’autrui et à tout ce qui va à l’encontre de ses convictions religieuses. C’est ce refus systématique du dialogue qui rend illusoire les tentatives de « conciliation » et de « consensus » auxquels certains occidentaux veulent encore se raccrocher. En cela, ils démontrent qu’ils sont incapables de se mettre « à la place de l’autre », autrement dit de raisonner comme un musulman.

Il n’y a guère que la méthode trotskyste qui puisse s’opposer valablement à la pensée musulmane car elle impose, précisément, d’être en mesure de raisonner à la manière de l’adversaire et de le combattre avec ses propres armes.

Pour combattre efficacement l’islamisme, il faut donc connaître la mentalité musulmane, l’histoire de la conquête arabo-musulmane et, bien évidemment, le coran. Ce n’est qu’après avoir acquis les connaissances nécessaires que l’on peut s’attaquer, à armes égales, à ces redoutables adversaires que sont les musulmans.

Au moment même où les présentes lignes sont rédigées (début décembre 2002), l’affaire des « milices islamiques » ne cesse de remuer l’opinion publique belge. Elle est le révélateur du profond malaise que des autorités laxistes et inconscientes ont laissé se développer sans qu’aucune mesure sérieuse n’ait été prise, d’autant qu’à présent, la plupart des politiciens ont peur – au sens strict du terme – des communautés musulmanes qui se sont installées dans les pays de l’Union européenne. Ils ont peur des représailles, peur des attentats, peur d’être pris personnellement pour cible par les activistes de l’islam et autres « fous d’Allah ».

Il n’empêche que l’affaire d’Anvers a obligé les autorités à réagir.

Toujours à propos des Saoudiens, il convient de mettre en évidence les trafics d’armes en tous genres qui se font par l’intermédiaire, et sous le contrôle, de leur gouvernement. Ces armes vont à des pays en guerre mais aussi, depuis pas mal de temps, aux terroristes musulmans.

Ces trafics n’ont rien de récents et ils se sont faits avec la complicité des Occidentaux  (Britanniques, Américains, Français, Belges, Suisses,…) et des pays appartenant à l’ancien bloc communiste. Pendant très longtemps, ils ont été très officiellement organisés par un ressortissant saoudien nommé Adnan Khassogi, un « homme d’affaires » qui a fait fortune en servant d’intermédiaire entre les vendeurs et les acheteurs.

C’est ainsi qu’en 1969, le saoudien a permis à la France de vendre à l’émir de Bahreïn une quantité impressionnant de matériel militaire : 1.000 camions Berliet, 300 transporteurs AMX, 300 véhicules amphibies, 20 hélicoptères SA330, 54 chars AMX13 dotés de canons de 105, 80.000 fusils automatiques, 100.000 grenades et 80.000 obus de mortier. Le tout pour la coquette somme de 148 millions de dollars (de l’époque) dont le versement a été effectué par le canal de la banque de l’Union européenne, place Gaillon à Paris.

Comment expliquer la vente d’un tel arsenal à un émirat qui n’est, en fait, qu’une île de 598 km² dont la population, en 1969, ne dépassait pas 220.000 habitants ?

Des masses colossales d’armes ont ainsi été vendues en Arabie ou dans les émirats voisins en passant par des personnages tels que Adnan Khassogi, Antoine Kamouth, Akram Ojjeh, Walid Koraytem ou les frères Mattossian. Bien souvent, ces armes ne voyaient même pas le sol arabe. Elles étaient déchargées en mer et transférées sur un bateau en partance pour une destination inconnue. C’est ainsi que les Occidentaux, par Arabes interposés, contournèrent la législation internationale qui interdit, pour un même fournisseur, d’approvisionner simultanément deux pays en guerre. Les armes étaient vendues directement (donc légalement) à l’un des belligérants et indirectement (donc illégalement) à l’autre. En Belgique, la FN de Herstal ou Mécar (Petit Roeulx lez Nivelles) ont eu fréquemment recours à ce stratagème.

Dans ce panier aux crabes, Adnan Khassogi fut sans nul doute l’un des plus importants trafiquants du monde arabe.

presse

ÉTATS-UNIS
Des missiles pour le réseau Al-Quaïda
Trois hommes, deux Pakistanais et un Américain, ont été inculpés en Californie pour avoir voulu vendre des missiles Stinger au réseau d'Oussama ben Laden. La justice les soupçonne.d'avoir voulu acheter cette arme qui s'apparente à un lance-roquettes antichar avec le produit de la vente de 600 kg d'héroïne et 5 tonnes de haschich.

Ce court article (7 novembre 2002) est révélateur d’une situation qui dégénère de plus en plus. Les réseaux islamistes, qui disposent de moyens financiers considérables, achètent tout ce qui peut se trouver dans le domaine des armes, du fusil à l’arme nucléaire (voir article de « L’Express » - 19 septembre 2002) en passant par les missiles sol-sol et sol-air (comme le « stinger », équivalent américain du SAM 7 soviétique). Quant aux armes bactériologiques que l’Iraq pourrait détenir, les Américains ont d’autant plus de raisons d’être inquiets qu’ils ont fourni, au régime de Saddam Hussein, les équipements permettant de les fabriquer  (voir article qui suit). Quand donc inculpera-t-on les fabricants et trafiquants d’armes pour « crimes contre l’humanité » ?

presse

ÉTATS-UNIS ARMES BACTÉRIOLOGIQUES

C'est Washington qui a fourni Bagdad

Si les États-Unis craignent tant, aujourd'hui, l'armement de l'Irak, c'est parce qu'ils sont bien placés pour savoir ce qu'il y a dans l'arsenal de Saddam Hussein : c'est en effet Washington qui a livré de quoi fabriquer des armes bactériologiques à Bagdad, révèle l'hebdomadaire Newsweek qui sort aujourd'hui. L'affaire se passait dans les années 80, au plus fort de la guerre Iran-Irak : " Les États-Unis ont décidé d'aider l'Irak et ont commencé à fournir au dictateur Saddam Hussein des ressources et matériels militaires, y compris des cargaisons de "bactéries, champignons, protozoaires " à la commission irakienne à l'énergie atomique ", selon Newsweek. Ces produits pourraient permettre de produire des armes biologiques, notamment au bacille du charbon. Aujourd'hui, "la plus grande inquiétude" de l'administration Bush réside dans ce que Saddam pourrait faire de ses armes de destruction massive, selon un haut responsable américain actuelle ment en poste. "Saddam pourrait essayer le chantage, mena cer de répandre la variole ou un autre virus abominable dans une ville américaine en cas d'invasion des forces, américaines. Ou, comme un chien acculé, il pourrait déchaîner un dernier spasme de violence, asperger d'armes chimiques les forces américaines, remettre ses armes biologiques aux terroristes", écrit l'hebdomadaire en décrivant les scénarios les plus sombres étudiés parles responsables américains. En attendant la résolution de FONU, Washington multiplie les signes de sa détermination. Quelque 600 hommes et un QG mobile vont rejoindre le Qatar. dans le Golfe, pour des exercices militaires en novembre. Et selon un hebdomadaire portugais, les États-Unis ont déj à réservé vingt corridors aériens au-dessus de l'Océan Atlantique afin de transporter de grandes quantités de matériel léger et de personnel militaire.

Presse quotidienne belge – 16 septembre 2002

Article du 19 septembre 2002 (L’Express)Article du 19 septembre 2002 (L’Express)
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Article du 19 septembre 2002 (L’Express).

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