Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Femmes page 2

planche « costumes »
du Larousse du XXe siècle (édition de 1933)
planche « costumes »
du Larousse du XXe siècle (édition de 1933)
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Ces dessins - extraits des planches « costumes » du Larousse du XXe siècle (édition de 1933)- prouvent (si besoin est) que le port du voile n’est pas systématique dans le monde musulman. En haut (costumes d’Asie), la femme Palestinienne ne porte pas le voile. En bas, on trouve des femmes non voilées en Algérie et en Tunisie. Il s’agit pourtant de régions d’Afrique du Nord islamisées de longue date. Le port du voile ou du foulard n'est donc pas une obligation religieuse musulmane absolue.

La « répudiation » - qui fait l’objet d’un certain nombre de versets du coran – était un mode de dissolution du mariage commun à tous les peuples d’origine sémitique. Chez les Israélites, le Deutéronome permettait au mari de répudier sa femme sans grandes formalités. Cette coutume persista très longtemps chez les Juifs, à tel point que le Grand Sanhédrin – réuni en 1807 sur ordre de Napoléon Ier – fut sommé de mettre fin à ce genre de pratique qui permettait les mariages à répétition. Dans bon nombre de pays musulmans, l’homme peut toujours répudier quatre femmes sans avoir à se justifier. Chez les musulmans sunnites, le mari a de plus le droit de revenir sur sa décision, c'est bien pratique pour pouvoir faire n'importe quoi !

L’islam couvre aussi de son autorité quantité de pratiques honteuses, pour ne pas dire criminelles. C’est le cas pour la pratique de l’excision qui demeure très répandue en Afrique noire islamisée.

Au Mali, comme dans d’autres pays d’Afrique, les imams entendent s’opposer à la loi pour perpétuer des pratiques honteuses telles que l’excision des femmes, véritable mutilation allant à l’encontre des droits les plus élémentaires de la personne humaine Comme nous l’indique un article de « L’Express » (8 août 2002), 94% des femmes maliennes âgées de 15 à 49 ans sont encore excisées malgré les lois adoptées par le gouvernement. C’est la « Limala » (Ligue malienne des imams et des érudits pour la solidarité islamique) (sic) qui s’est le plus directement opposée à la loi interdisant l’excision bien que, selon son porte-parole, l’excision soit « facultative  dans la religion musulmane ». Autrement dit, il s’agit d’une coutume – couverte par l’islam – qui s’applique « à la tête du client » sans aucune nécessité véritable. Encore une incohérence criminelle parmi d’autres.
Remarquons au passage que l'excision musulmane n'est à nouveau qu'un plagiat, celui d'une mutilation sexuelle rituelle juive : la circoncision. Là où les juifs mutilent sexuellement les hommes, les musulmans ont choisi de mutiler les femmes. Bonnet blanc et blanc bonnet...

Notons, en passant, qu’une « déclaration islamique des droits de l'homme » a été proclamée à Paris (Unesco) le 19 septembre 1981 par un certain Salem Azzam (secrétaire-général d’un « conseil islamique »). Ce simple fait montre que la déclaration des droits de l'homme, dans sa forme d'origine, est INCOMPATIBLE avec l'islam. Composée de 23 articles, la « déclaration islamique des droits de l'homme » devrait – en principe – être respectée par tous les pays régis par l’islam. Outre le droit à la vie, elle reconnaît le droit à la liberté et à l’égalité et prohibe toute forme de discrimination. Elle implique le droit à la justice et à un procès équitable. Ses 13 articles relatifs aux droits politiques et sociaux instauraient le droit d’asile, les droits des minorités, les droits de participation à la conduite et à la gestion des affaires publiques, le droit à la liberté de croyance, le droit de pensée et de parole, le droit de libre association, la protection des biens, la protection des travailleurs, le droit à la sécurité sociale, le droit à l’éducation et le respect de la vie privée.

Ce texte n’a, en fait, jamais été respecté par les nations régies par la loi coranique, tout simplement parce qu'il ne PEUT PAS l'être : La plupart des droits reconnus par cette « convention » sont en opposition avec les prescriptions du coran et, par la même occasion, incompatibles avec l’islam. Cette « convention » est un chiffon de papier comme le furent des tas d’autres « traités » signés par des musulmans. La notion même de « convention islamique des droits de l'homme » est une aberration, une vue de l’esprit destinée uniquement à jeter de la poudre aux yeux des Occidentaux naïfs. Quant aux « droits de la femme », c'est une notion qui n'existe pas dans l’islam !

tenues féminines
dites « traditionnelles » en Afghanistan

Dans les pays musulmans en guerre (comme ci-dessus en Afghanistan), le port des tenues féminines dites « traditionnelles » est très pratique lorsqu’il s’agit de faire transporter des armes, des explosifs, des tracts subversifs, des faux papiers et autres objets illicites. L’armée française avait déjà été confrontée à cette tactique pendant la guerre d’Algérie. En Afghanistan, des milliers de femmes ont ainsi été obligées de servir de « passeurs » pour les différentes factions qui participent au conflit. Aujourd’hui encore, elles continuent à collaborer – le plus souvent de force – avec ce qui subsiste de l’ancien pouvoir taliban et pour les islamistes à la solde de l’Arabie saoudite.

Femmes turques portant le
tchador pour aller voter (octobre 2002)
Femmes turques portant le tchador pour aller voter (octobre 2002).

Si l’on excepte les femmes âgées, les femmes franchement laides et celles dont le comportement est entaché de masochisme (il y en a !), rares sont les musulmanes qui sont réellement attachée à ce type de vêtement qui les transforme en autant de sacs anonymes. Elles ne portent ces vêtements dégradants que par obligation et sous la contrainte des « traditions » imposées par les hommes. C’est particulièrement vrai dans les pays qui conservent encore un semblant de laïcité (Turquie, Irak,…) et où le port des tenues « islamiques » n’est pas rendu obligatoire par la loi.

Les pays occidentaux doivent être très attentifs à ce problème et sanctionner le port des tenues musulmanes qui masquent le visage. Il suffit pour cela d'appliquer la loi telle qu'elle existe. Rappelons que les tenues de carnaval sont interdites en dehors justement des périodes de carnaval. Une tolérance existe pour les artistes de rue mais il est aisé de faire la différencec entre un artiste accomplissant un spectacle et une femme musulmane, même pour des policiers peu au courant des us et coutumes de l'islam ! Comme n'importe quel contrevenant, toute femme se promenant dans la rue en étant masquée devrait être, de facto, verbalisée, voire emmenée dans un commissariat de police si elle refuse d'enlever son masque. (C'est en appliquant une législation de ce type que les Américains ont réussi à faire que, désormais, les militants du Ku-Klux-Klan ne portent plus leurs masques quand ils défilent.)
Il s’agirait là de mesures préventives et dissuasives et non de mesures à connotation raciste ou xénophobe. La sécurité de nos populations doit passer avant toute autre considération.

De très nombreux auteurs ont critiqué l’islam pour son iniquité vis-à-vis des femmes. C’est ainsi que Gauthier écrira que : « Il y a, en islam, guerre déclarée entre les sexes, sans trêve, sans merci. L’homme a contre soi, non seulement ses femmes, mais toutes les femmes ». Cet antagonisme permanent a fini instaurer une vision bicéphale de l’univers (en parfait complémentarisme du manichéïsme séparant les musulmans des non-musulmans mécréants). En terre d’islam, il y a l’univers des hommes et celui des femmes. Et ces deux univers ne se rencontrent guère qu’au moment des rapports sexuels.

Le profond mépris pour les femmes qui anime les musulmans s’est souvent manifesté dans les milieux de la prostitution. Les musulmans pouvant règner en despotes sur les femmes de leurs familles, c'est naturellement qu'ils sont amenés à exploiter les femmes ne bénéficiant pas de la tutelle d'un homme. En Europe occidentale, on a connu plusieurs générations de « maquereaux » maghrébins et, tout récemment encore, un consul de Belgique, a été compromis dans une affaire de visas accordés illégalement à des femmes marocaines que des proxénètes maghrébins voulaient mettre sur nos trottoirs. Depuis quelques temps, les proxénètes maghrébins ont dû céder du terrain devant les voyous originaires des anciens pays de l’Est. Mais, ici encore, les pires exploiteurs de femmes sont les maffieux albanais, pour la plupart musulmans.

C’est sans nul doute vis-à-vis des femmes que l’islam révèle pleinement son anachronisme et ses aspects les plus inégalitaires. En donnant au coran un caractère immuable, les musulmans perpétuent des us et coutumes qui n’ont plus cours dans les autres communautés depuis des siècles. Bornés mais habitués à ruser depuis des siècles pour conserver leur anachronisme, les musulmans de sexe masculin ne veulent pas admettre que les règles énoncées dans le coran valaient pour les tribus nomades de l’Arabie du VIIe siècle, et qu'elles n'ont plus aucune raison d'être pour les sociétés citadines et sédentaires de notre époque. En cela, ils sont rejoints par les Juifs «ultraorthodoxes », ceux-là même qui constituent le noyau dur de la droite israélienne. On ne connaît que trop bien les méthodes fascisantes de cette droite extrémiste, belliqueuse et raciste. Des méthodes qui s’apparentent très directement à celles des factions islamistes les plus radicales. Ce sont ces fascistes religieux qui ont revendiqué (et obtenu !) des bus « kasher » (avec compartiments séparés pour les hommes et pour les femmes) et nul doute qu’un jour viendra où les islamistes voudront, eux aussi, imposer des transports en commun « halal » . Avec de tels cinglés, il faut s’attendre à tout !

Presse
	belge – 14 septembre 2002

Presse belge – 14 septembre 2002

Tous les politiciens belges ne sont pas idiots ou anesthésiés par la peur. On trouve aussi, en Belgique, des juristes intelligents et honnêtes qui ne se laissent pas influencer par les prétendus « bien pensants » qui bêlent avec le troupeau.

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