Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Femmes page 3

La porte d’entrée
d’un Harem (palais de Topkapi)

La porte d’entrée d’un Harem (palais de Topkapi). Comme Mahomet, les califes, les sultans et autres « chefs » musulmans s’accordèrent de nombreuses « dérogations religieuses », notamment en ce qui concerne leurs épouses et leurs concubines. Certains d’entre-eux enfermèrent des centaines de femmes dans un « harem » (de l’arabe « haram » : chose sacrée ou chose réservée) qui était gardé par des hommes émasculés (eunuques) dont le chef était appelé « kislir aghasi » (chef des filles). Parmi ces femmes, il n’était pas rare de trouver des non musulmanes qui avait été capturées lors de razzias ou pendant les guerres. Ces captives n’avaient la vie sauve que si elles acceptaient d’entrer dans le harem de celui qui les détenaient. Pour un musulman de stricte observance, la femme n’est rien d’autre qu’une esclave qui doit la plus totale obéissance à son « maître ».

Le mahométisme a toujours affiché le plus profond mépris pour les droits de la personne, surtout s’il s’agit d’une femme. Pour le musulman, la femme est taillable et corvéable à merci, comme l’étaient les serfs de notre moyen Age. Chez les bédouins, son statut est parfois moins enviable que celui des bêtes de somme, chameaux et chevaux. Si cette vision des choses a persisté jusqu’à nos jours dans les pays islamisés, c’est évidemment à cause du coran, donc de celui qui en fut l’auteur, ce Mahomet qui commença par jouer les gigolos coureur de dot avant de finir pédophile.

C’est au coran que se réfèrent les musulmans lorsqu’ils sont accusés d’enfreindre les droits de l’homme, de la femme et des enfants. Il s’y réfèrent même lorsqu’ils commettent des crimes qui auraient fait pâlir d’envie Jack l’Eventreur !

C’est ainsi que la justice iranienne a fini par condamner à mort (et exécuter) un certain Saeed Hanaei, un ouvrier du bâtiment âgé de 39 ans (lors de son procès en octobre 2001) qui avait assassiné seize prostituées dans la ville « sainte » de Machad (nord de l’Iran). Cette affaire a fait l’objet d’un reportage qui a été diffusé par la chaîne de télévision « France 3 » en mars 2003.

Entre 2000 et 2001, les prostituées de Machad vécurent dans la terreur à cause de ce tueur en série. En tout, dix-neuf femmes furent étranglées, seize par Hanaei et trois par des inévitables « imitateurs ». Le « serial killer » fut démasqué lorsque l’une de ses victimes parvint à s’échapper et à trouver refuge dans un commissariat de police. Sa méthode était simple : il se faisait passer pour un client, il attirait sa victime dans un coin tranquille, il la « consommait » puis il l’étranglait avec... son voile islamique !

Saeed Hanaei

Saeed Hanaei était un malade à tendance mystique mais aussi un pervers sexuel puisqu’il « consommait » avant de tuer.

Les refoulements sexuels, chez les mystiques (toutes religions confondues) ont souvent pour effet d’induire des comportements per-vers. C’est l’une des conséquences néfastes de l’enseignement religieux lorsqu’il est prodigué par des fanatiques ou des ignorants (chose fréquente dans le monde arabo-musulman).

On prétend de l’épouse du serial-killer aurait approuvé la conduite de son mari et qu’elle le vénère comme un « héros ». Mais il ne s’agit sans doute que d’une attitude « de façade », une attitude destinée à ne pas contredire la position de la famille du meurtrier, cette belle-famille dont dépend sa veuve.

Saeed Hanaei expliquera qu’il avait agi de la sorte parce qu’un homme avait abordé sa femme alors qu’elle traversait un quartier mal famé. Il l’avait prise pour une prostituée. Hanaei se serait senti « souillé » et aussitôt « investi d’une mission divine ». Il devait chasser les femmes « impures » de la ville sainte ! On est là devant un cas classique d’aliénation mentale qui puise ses racines dans le mysticisme religieux. D’autres ont agit de même dans des pays catholiques ou protestants, ou encore dans des communautés juives. On notera d’ailleurs que des religieux iraniens ont prêché ouvertement en faveur de ce cinglé, estimant qu’il n’avait jamais « versé le sang d’innocents » !

Pour les chiites les plus fanatiques, Hanaei est ainsi devenu une sorte de « chevalier de dieu ». Il a bénéficié de nombreuses marques de sympathie lors de son arrestation et sa famille, très fière, vénère sa mémoire comme celle d’un « saint homme » !

Comme l’indiquait fort bien un article paru dans l’hebdomadaire « Télépro » ( mars 2003), ce fait divers sordide met en lumière un Iran toujours aussi malade de ses excès mystiques. Les prostituées qui furent massacrées par Hanaei et ses « copieurs » n’avaient pas vraiment choisi de racoler. La plupart d’entres elles avaient été mariées très jeunes. L’une d’elles n’avait que 10 ans quand elle avait été contrainte au mariage (toujours le fâcheux exemple du prophète pédophile !). Répudiée à 20 ans par son mari, elle avait été contrainte d’élever seule ses cinq enfants. La prostitution – sujet tabou au pays des ayatollahs – avait été l’unique issue pour cette femme qui avait été « légalement abandonnée » avec sa progéniture. Et c’est ce genre de mère courageuse que les musulmans osent qualifier de « femme impure », alors même que c’est son mari qui était un salopard !

Et pourtant, on n’entend guère les autorités occidentales s’élever contre les lois et les coutumes scélérates qui persistent dans le monde arabo-musulman en ce début du IIIe millénaire de l’ère dite « chrétienne ». C’est une forme de lâcheté qui ne nous honore pas, mais alors, pas du tout. Quand donc les juridictions internationales (comme la Cour de Justice Internationale) auront-elles le courage de faire comparaître les dirigeants des nations islamiques et ce, pour « crimes contre l’humanité » (puisque, jusqu’à preuve du contraire, les femmes font partie de l’humanité, n’en déplaise aux « muslims » !).

Le monde libre et supposé démocratique ne pourra se regarder dans la glace que le jour où les membres de la « bande à Saoud », les ayatollahs, les mollahs et les imams seront amenés, menottes aux poignets, devant les juges de l’ICC.


Compte tenu de tout ce qui vient d’être dit à propos de la misérable condition de vie des femmes musulmanes, on pourra s’étonner du fait que, depuis quelques temps, on puisse voir figurer des jeunes femmes au rang de « martyr de la cause palestinienne ».

Le problème vient d’être évoqué dans un ouvrage intitulé « Shahidas, les femmes kamikazes de Palestine » (de Barbara Victor aux éditions Flamarion. Un résumé des arguments de Barbara Victor a paru dans les pages du magazine « Télépro » en janvier 2003). L’auteur a analysé le cas des quelques femmes qui ont participé à des actions terroristes au nom du djihad. On apprend notamment qu’il a fallut une fatwa (décret religieux) pour légitimer des actes qui sont en contradiction avec la loi coranique. Et comme le note l’auteur de l’article (Viviane Bourdon), le martyre est devenu le seul avantage (façon de parler) social et culturel qui ait été consenti aux femmes dans la société islamique palestinienne.


C’est le 27 janvier 2002 que Yasser Arafat a déclaré, depuis son camp retranché de Ramallah : « Vous êtes mon armée de roses qui écrasera les tanks israéliens. Shahida juqu’à Jérusalem ». Il venait d’inventer un mot (shahida) qui n’existait pas dans la langue arabe avant qu’il ne prononce ce discours. Il l’a créé en féminisant le mot « Shehide » (martyr), un mot exclusivement masculin. C’est ce discours qui a incité plusieurs femmes à mourir plutôt qu’à demeurer des parias de la société musulmane. Dès l’après-midi du 2 janvier 2002, Wafa Idris était déjà passée à l’acte. Répudiée par son mari parce qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants, elle avait voulu retrouver un semblant de respectabilité en se transformant en bombe vivante : une forme de suicide échappant à la vindicte religieuse.


Pour ces femmes, la mort est une libération. Darine Abou Aïcha, brillante étudiante de l’université de Naplouse – qui se fera sauter avec sa bombe devant un poste de contrôle israélien - n’avait elle pas déclaré à ses parents qu’elle refusait de se marier « pour ne pas devenir une esclave » ! Arafat, par son discours de janvier 2002, lui a donné, à elle et à quelques autres, la possibilité de mourir sans déshonorer leur famille. Mais c’est une façon honteuse et criminelle d’exploiter la détresse des femmes. Arafat n’a pas à être fier de son « armée de roses ». La Palestine non plus !

Si ce n’était la gravité du sujet, les non musulmans seraient tentés de sourire lorsqu’ils apprennent que l’islam n’aurait jamais vu le jour…sans une femme !

Cette femme, ce fut Khadidja, sa première épouse. Veuve et riche, elle permit au jeune Muhammad de s’ériger en propagandiste du « dieu unique » et de devenir « prophète professionnel ». Sans l’argent de Khadidja, Muhammad el-Mottalib n’aurait jamais pu armer ses premières bandes et courir le désert pour y répandre sa « foi » à grands coups de sabre. Sans le savoir – et sans doute sans le vouloir – cette femme a contribué au malheur de son sexe en favorisant l'ascension sociale et politique de ce sinistre individu.

Notons encore que la presse a fait état des « inquiétudes » du clergé chiite d’Iran à propos de l’entrée de plus en plus massive des jeunes filles dans les universités. En effet, en 2002 – et pour la quatrième année consécutive – le nombre de filles accédant à la première année des universités publiques a dépassé largement celui des garçons. Selon l’une des rares femmes élues au parlement iranien, les étudiantes seront bientôt plus nombreuses que les étudiants. Elle estime, par ailleurs, que c’est parce qu’elles n’ont pas droit aux autres moyens d’expression que les jeunes filles s’adonnent aux études avec autant d’enthousiasme. Mais selon un théologien chiite, cet état de chose serait de nature à encourager « la corruption des mœurs » et serait responsable de 70 % des échecs chez les jeunes iraniens ! 
Pauvre machos complexés !

On hésite aussi entre rire et pleurer quand on voit que des femmes contribuent encore de nos jours à favoriser et encourager leur propre oppression en voyant dans Mahomet... le premier et le plus grand féministe démocrate de tous les temps !
Le Coran, premier et plus grand manifeste féministe de tous les temps !  Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergolDe tels monuments d'âneries et d'aveuglement renforcent les musulmans dans leur opinion que les femmes sont inférieures aux hommes : Comment expliquer sinon qu'il se trouve des femmes pour être si stupides ?

En fait, l'islam est une idéologie à ce point aliénante que l'on trouve de nos jours des femmes intelligentes et indépendantes ayant subi toutes les humiliations et les violences autorisées par l'islam, ayant réussi à s'en libérer mais qui, malgré les évidences aveuglantes de la responsabilité directe de l'islam et du modèle de Mahomet dans la situation catastrophique des femmes en pays musulman, continuent à clamer que le véritable islam est fait de « compassion » (c'est particulièrement flagrant dans le livre de Mouna Ayoub). Devant un tel aveuglement, que l'on pourrait effectivement attribué à une supposée stupidité inhérente aux femmes, on en viendrait facilement à penser que les femmes sont effectivement inférieures aux hommes... si l'on ne connaissait pas les troubles engendrés par le syndrôme de stockolm et qui provoqueraient exactement le même type de comportement aberrant chez un homme victime de la même situation.

presse belge –
5 décembre 2002

Cet article (presse belge – 5 décembre 2002) est typiquement tendancieux. Il vise à laisser croire que toutes les musulmanes qui portent le « voile islamique » ont fait ce choix délibérément. Or, dans l'immense majorité des cas, elles ne portent cet accessoire que sous la contrainte familiale et communautaire. Quant à celles qui ont fait ce choix en toute liberté, elles doivent accepter de supporter les conséquences de ce refus caractérisé d’intégration.

femme yéménite, bien que musulmane et arabe,
ne portant pas le foulard islamique, ni aucun voile

Cette femme yéménite, bien que musulmane et arabe, ne porte pas le foulard islamique, ni aucun voile. Elle porte seulement la coiffure traditionnelle de sa tribu. C’est une preuve supplémentaire du fait que la loi islamique n’a jamais imposé le port d’un voile, d’un foulard ou de quoi que ce soit d’autre.

Achaït,
épouse du pharaon Mentouhotep II

Qu’elle soit reine (comme Achaït, épouse du pharaon Mentouhotep II, ci-contre) ou simple servante, la femme de l’Egypte antique est omniprésente dans l’art. Elle apparaît comme une femme qui participe à tous les aspects de la vie quotidienne, y compris les aspects politiques et religieux. Dans l'Egypte des Pharaons, une égalité fondamentale régissait les rapports entre les sexes. Nombreux sont les historiens qui estime que, jamais aucune civilisation antique n’eut plus d’estime pour la femme que la civilisation égyptienne.

Depuis l’islamisation de l’Egypte, le statut de la femme est celui de toutes les femmes musulmanes. Il est bien loin le temps de Cléopatre, reine d'Egypte !

L’islam n’a pas fait avancer ce pays d’un pouce. Bien au contraire, les Arabes ont ravalé la nation égyptienne au rang de nation sous-développée et arriérée. Et l’on sait ce qu’il est advenu des dirigeants égyptiens qui on tenté de sortir ce pays de l’ornière islamique : ils ont tous été assassinés, comme au bon vieux temps du prophète !
Ce sont les « Frères musulmans » qui furent les instigateurs de l’attentat perpétré contre le colonel Nasser ainsi que du meurtre du président Sadate.

Les islamistes n’ont jamais caché leur mépris du progrès et de la paix. Leur credo est d’une simplicité attristante : vivre comme « au temps du prophète », mener la « guerre sainte » et imposer la « loi coranique ». Joli programme en vérité !

Dalia et Norma Khouri, deux jeune
femmes qui vivaient à Amman, en Jordanie
Dalia et Norma Khouri, deux jeunes femmes qui vivaient à Amman, en Jordanie.
Dalia porte le voile islamique tandis que Norma, de confession chrétienne, ne le porte pas.

Dalia a été sauvagement assassinée (12 coups de poignard en pleine poitrine) à l’âge de 26 ans pour avoir fréquenté un jeune officier catholique (major dans la Garde Royale). Ses assassins ne sont autres que son père et ses frères. Et pour avoir osé traiter ces hommes d’assassins, son amie Norma a dû quitter précipitamment la Jordanie et se réfugier en Grèce (où elle a écrit un livre intitulé « Pour l’honneur de Dalia ». Il est édité chez JC Lattès). Cela se passait en 1996.

Dans la plupart des pays où sévit la loi coranique, les hommes peuvent, en toute impunité, assassiner leurs filles ou leurs soeurs qui ne se soumettraient pas aux injonctions du coran et notamment celles qui fréquentent des hommes non musulmans. C’est le cas en Arabie mais aussi en Jordanie, en Palestine, en Turquie, en Iran, et dans presque tous les autres pays fortement islamisés.

Les gouvernements qui tolèrent de tels comportements doivent être mis au banc de l’humanité et dénoncés haut et fort par tous les moyens dont nous disposons.

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