Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Dhimmitude page 2
Notons bien que tout ce qui est dit dans ces articles concernant l'islam est rigoureusement exact. Dès lors, si nous devions appliquer aux musulmans le principe de réciprocité, nous devrions, en toute équité, leur appliquer les lois qui sont en usage dans leurs pays dorigine. Au lieu de leur accorder des allocations en tous genres et toutes sortes davantages sociaux, nous devrions les soumettre à cette forme de racket arabo-musulman quest la « djizya », cette « capitation » qui leur assurerait la « tranquillité ».
Les rebelles du groupe Abu Sayaf ont décapité deux des six otages chrétiens philippins qu'ils détiennent. "Ceux qui ne croient pas à Allah subiront le même sort", disait une note retrouvée près d'une des deux têtes qui affirmait que "cette action relevait du jihad". Mais qui se soucie encore de cela parmi nos politiciens? |
Et, toujours dans l'hypothèse d'appliquer aux musulmans le principe de réciprocité, nous aurions le droit dassassiner sans procès tout musulman qui se mêlerait de politique, critiquerait notre mode de vie et nos lois ou se livrerait à une forme quelconque de prosélytisme religieux, en commençant par les plus « blasphémateurs », à savoir les « imams » et autres prédicateurs islamologue du genre des "Dupont et Dupond coraniques" Hani et Tariq Ramadan.
Mais voilà, à la différence des aspirants à la loi islamique, nous sommes des humanistes respectueux de la personne humaine, de ses droits et de ses opinions. Nous ne sommes pas arriérés et bornés.
Cest notre faiblesse et nous devons en être conscients. Car cette faiblesse risque fort, à terme, de nous entraîner à nouveau vers les abîmes de lobscurantisme et du totalitarisme !
Si lon excepte le bouddhisme, discipline spirituelle sans dieu et parfaitement pacifique, les religions nont été que des prétextes pour asservir les hommes et les femmes au nom dun dieu quelconque. Elles ont servi à assouvir les plus bas instincts et à excuser les crimes les plus odieux.
Mais dans ce domaine, lislam bat tous les records. Cest, sans conteste, la plus infâme de toutes les utopies qui ont pu naître dans lesprit fantasque et dérangé des êtres humains. Cest une religion inventée sur-mesure par une brute mentalement dérangée, à une époque barbare, et pour de primitives meutes de bédouins brutaux comme lui. Elle na pas sa place dans un pays civilisé et respectueux des êtres humains.
Cela il faut le dire et le redire car cest la réalité !
Toujours à propos de la notion de « dhimmitude », nous trouvons quelques informations utiles dans louvrage que René Kalisky a consacré à lislam. On les trouve au chapitre IX, celui qui a pour titre « Le monde musulman après la conquête » (sous chapitre : conversion et classes sociales).
Cet auteur, excellent spécialiste du monde arabo-musulman, situe dabord le problème en ces termes : « Il avait effacé (lislam) à coups de sabre quelques siècles de christianisme, mais les peuples quil avait libérés de maîtres honnis étaient loin de se douter quil allait également conquérir leur âme. Ils ignoraient que lislam allait simplanter au point quils se réclameraient un jour de sa présence, à lexclusion de toute autre civilisation ».
Il nous apprend ensuite que la société musulmane se divise en quatre classes : « La première, celle qui jouit dune préséance de droit sur toutes les autres, est constituée par les conquérants arabes. Ensuite, viennent les nouveaux convertis qui, ayant fait profession de foi islamique, devraient en principe pouvoir vivre sur un pied dégalité avec la classe des gouvernants. En pratique, sous les Omayyades en tous cas, cette promesse naura reçu quun commencement dapplication. Les Arabes ne mettaient en effet aucun enthousiasme à la satisfaire et, ne voulant pas se priver dune source de revenus, ils réduisirent maintes fois les néophytes à la condition de clients. Cette politique chauvine et opportuniste suscita un vif ressentiment chez les nouveaux convertis qui formaient la couche inférieure de la société musulmane .
La troisième classe était composée des chrétiens, des juifs, des zoroastriens et des sabéens. Contraints de payer tribu, les « dhimmis » se voyaient accorder en échange la protection de lislam. Le complexe juridique que le droit musulman conçut et instaura leur permit de vivre en communauté, de pratiquer leur culte, de jouir de leurs entiers droits civils, sous la protection de lislam, sous la garantie de sa « conscience », de la « dhimma » des musulmans (doù le terme de « Ahl-Dhimma », « gens de la conscience », appliqué aux « Gens du Livre », « Ahl al-Kitab »).
Les esclaves se situaient tout en bas de léchelle sociale. La conquête en augmenta considérablement le nombre, ce qui nalla pas sans créer des difficultés de principe. En effet, le Qoran défendait à tout musulman de réduire en servitude lun de ses frères en religion, mais lEtat, comme toujours, était surtout sensible aux intérêts des couches sociales et ethniques privilégiées ; il y eut donc des esclaves musulmans. Mahomet navait pas imagine quun jour des généraux arabes enverraient au Commandeur des Croyants des dizaines de milliers desclaves. Selon la tradition, Moussa aurait fait jusquà 300.000 captifs en Afrique du Nord don t il en aurait envoyé 60.000 eu khalife. En Espagne, larmée musulmane aurait razzié 30.000 vierges rien que parmi la noblesse visigothique. Cette main-duvre gratuite fit lobjet dun commerce dans tout lempire. Et le commerce des esclaves, devenu très vite une activité des plus lucratives, fut élevé au rang dune institution dans tous les pays musulmans . » .
Telles sont les bases de la structure sociale de la société musulmane, bases qui sont demeurées inchangées par le fait même de limmobilisme islamique. Comme le dit René Kalisky, lislam qui aurait dû, en vertu du Coran, adoucir et améliorer les conditions des esclaves a poussé à un degré inimaginable le concept de lexploitation de lhomme par lhomme.
La société arabo-musulmane a donné un caractère légal - et pour tout dire « divin » - aux razzias, aux guerres de conquête, au racket et à lesclavage à grande échelle. Et dire que daucuns osent encore prétendre que la société musulmane est « égalitaire », que lislam est la « religion des opprimés » ! ! !
Il faut être le dernier des imbéciles pour émettre de telles conneries !
Le statut des « dhimmis » a dailleurs été dune extrême précarité malgré les rançons payées par eux. Tout dépendait, en fait, de lhumeur et du caractère du pouvoir en place. Les dirigeants arabes ne se sont pratiquement jamais intéressés quaux profits quils pouvaient tirer de leur position. Cétait le cas à laube de lère musulmane et ce lest encore aujourdhui. Cest ainsi que lorsquil entre en vainqueur dans Constantinople (le 21 décembre de lan 641 de notre ère), le général arabe Amr fait envoyer un message au calife Omar qui réside à Médine. Il dit notamment : « Jai conquis une ville qui défie toute description. Il me suffira de dire que jai conquis là 4.000 villas avec 4.000 bains et aussi 40.000 juifs payant capitation et 400 résidences princières ». On voit que pour ces « pieux musulmans de lâge dor », ce qui prime cest le butin. Et parmi ce butin, Amr noublie pas de mentionner les 40.000 juifs obligés de se soumettre à son racket.
Cessons donc de nous complaire dans les dénominations « politiquement correctes » et dans les artifices de langage propres à la langue arabe.
Le « dhimmi » nétait rien dautre quun demi esclave (pour ne pas dire un « dhimmi esclave ») qui devait accepter de payer une rançon pour jouir dune semi liberté et vivre relativement paisiblement dans son ghetto. Car ce sont les Arabes qui, bien avant les Vénitiens, imaginèrent de regrouper les dhimmis dans des quartiers qui leurs étaient réservés. Cest dailleurs à leur contact que les navigateurs de la « sérénissime république » imaginèrent den faire autant et créèrent le ghetto juif de Venise, le premier du genre avec port dun signe distinctif ( un disque jaune) et portes fermées la nuit.
Si les musulmans nexterminèrent pas les dhimmis (du moins ceux qui respectaient les lois qui leurs étaient spécifiques), cest uniquement par intérêt. Il ne faut voir là aucune manifestation dune soi disant « générosité musulmane ».
Ce qui vient dêtre dit illustre aussi, de façon concrète, la manière dont les musulmans ont toujours sur « accommoder » la loi coranique. Ils nont pas hésité à enfreindre les « interdits » les plus fondamentaux, comme celui qui interdisait de réduire un « frère » en esclavage. Aujourdhui encore, des milliers de musulmans sont traités en esclaves par leurs « frères en religion ».
Lislam est dailleurs, par essence, une religion de la soumission, donc de lesclavage. Car quiconque se soumet à une volonté autre que la sienne est, par définition, un « esclave ». Esclave dun dieu invisible, impalpable et résolument muet, le musulman, sil nappartient pas aux castes « supérieures » (dirigeants religieux et politiques) est condamné à passer sa vie entière dans la condition desclave du coran. Un esclave qui tentera bien souvent de se venger de sa piètre condition en sattaquant à ceux et à celles qui vivent en individus libres (ou presque). Car rien ne dérange plus le musulman « pur et dur » que la liberté !
Le musulman, homme ou femme, est un esclave d'Allah à ce point soumis quau lieu daspirer à retrouver la liberté, il rêve de réduire en esclavage ceux et celles qui ont su, en brisant les chaînes du passé, trouver le chemin de la liberté.
Question de mots :
Il est important dinsister sur le fait que la « dhimma » nest pas une « capitation » au sens classique du terme. Les auteurs occidentaux qui usent de ce terme pour désigner la dhimma usent et abusent du « double langage », tout comme les Arabo-musulmans.
Nous rappellerons donc, à ce stade de notre analyse, que le mot « capitation » désigne, de façon très générale, toutes les formes dimposition qui sapplique « par tête » (du latin « capitatio » tiré de « caput » : tête) et non collectivement.
En droit féodal, la capitation consistait dans un impôt payé par les serfs à leur « seigneur », mais uniquement lorsque celui-ci mariait ses enfants ou lorsque ses fils étaient reçus chevaliers. Les Arabes ont repris cette très vieille notion en lappliquant, de façon permanente, aux « gens du livre » quils ont, de fait, réduits en servitude. On est là, en présence dune forme dimposition qui va bien au-delà de la capitation romaine ou féodale, voire de la capitation instaurée sous Louis XiV pour financer les guerres et qui était donc ce que lon nomme aujourdhui un « impôt de guerre » payable par TOUS les citoyens, lesquels payaient limpôt selon le niveau de leurs revenus (ils étaient répartis en 22 classes). Même le clergé était soumis à la capitation (il en fut déchargé en 1710 moyennant le paiement dune somme forfaitaire sélevant à 24 millions).
En Turquie, terre musulmane, la « capitation coranique » (kharadji) avait été « supprimée de nom » (selon les termes employés par le dictionnaire Larousse de 1910) en 1856 mais rétablie de fait comme « taxe militaire » (impôt de guerre) à la charge des seuls NON MUSULMANS.
Aujourdhui encore, la « dhimma kharadhi » est perçue, officiellement ou officieusement, par les autorités des pays soumis à lislam.
Ce qui vient dêtre énoncé permet de distinguer la dhimma des différentes formes de « capitation ». La dhimma va bien au-delà de la capitation. Cest une forme d « extorsion de fonds par intimidation et violence », pas un impôt. Or, la définition qui vient den être donnée est celle dune pratique qui a pour nom « racket ». Cest celle qui figure dans tous les dictionnaires lorsque lon recherche le sens de cet américanisme.
Il sagit même dune forme aggravée du « racket » puisquelle se fonde sur la discrimination religieuse. On peut, de ce fait, arriver à cette définition finale de la « dhimma » : « Extorsion de fonds par intimidation et violence fondée sur la discrimination religieuse qui se pratique dans les régions du monde soumises à la loi coranique. Cest une forme aggravée de racket qui tombe sous le coup des lois internationales réprimant le grand banditisme.
On nomme « dhimmis » les personnes, non musulmanes, qui sont tenues de payer la dhimma pour bénéficier de la « protection » des autorités politico-religieuses de lislam. Cette « protection » permet aux dhimmis de bénéficier dun minimum de droits civils. Ils peuvent exercer une profession et pratiquer leur culte plus ou moins librement mais il leur est interdit, sous peine de mort, de sadonner au prosélytisme religieux ou de critiquer lislam de quelque manière que ce soit.
Ce statut sapplique exclusivement aux « gens du livre », autrement dit aux adeptes des religions monothéistes qui découlent de lAncien Testament : juifs, chrétiens, zoroastriens et sabéens (encore que de façon très limitée pour les zoroastriens et les sabéens qui, de toute façon, ont pratiquement disparus de nos jours). Cest le statut qui est notamment appliqué aux religieux juifs et chrétiens en terre dislam. Régulièrement, des représentants du clergé catholique ou des églises réformées sont assassinés dans des pays musulmans sous prétexte de navoir pas payé la dhimma ou de sêtre rendus coupables de prosélytisme religieux.
Cest en partie grâce à la dhimma que lislam a pu accroître rapidement son influence dans les régions conquises par les armées réunies sous sa bannière. Nombreux furent les « dhimmis », juifs ou chrétiens, qui finirent pas se convertir afin de ne plus être soumis à cet imposition inique et crapuleuse. »
Cette formulation est la seule qui puisse être regardée comme correcte. Cest celle qui devrait figurer dans tous les dictionnaires, dans toutes les encyclopédies.
Comme indiqué dans cette définition, la « dhimma » tombe sous le coup des lois internationales réprimant le grand banditisme (comme toutes les formes de racket). Les juridictions internationales sont donc fondées à se saisir des dirigeants des pays islamisés qui couvrent, au nom de la « loi coranique », cette forme aggravée de racket. Ils peuvent être arrêtés lorsquils effectuent des visites officielles ou privées dans les pays occidentaux et traduits devant les tribunaux pour y répondre de leurs crimes et délits.
Nous recommandons denvisager très sérieusement cette voie de procédure qui permettrait, en fonction des lois et des conventions internationales existantes, de montrer les autorités islamiques sous leur véritable apparence et de pouvoir, dans la foulée, faire le procès public de lislam et du Coran. Les plaintes peuvent être déposées à titre personnel (par toute personne ayant fait lobjet de ce racket à caractère religieux ou par les proches des victimes) ou à titre collectif (par les instances dirigeantes dorganismes humanitaires, par les autorités des religions persécutées ou par les gouvernements).
Il faudra bien, un jour ou lautre, que souvre le procès de lislam, de Mahomet, du Coran et de leurs zélateurs. Ce sera, en quelque sorte, le « Nuremberg des musulmans », le procès du monde libre contre celui de lobscurantisme, de lintolérance, du fanatisme aveugle et du crime organisé sous couvert de religion.
Ce jour-là, et ce jour-là seulement, les hommes et les femmes dignes de ce nom pourront se regarder fièrement dans leur miroir. Ils auront su dominer leurs craintes pour relever la tête et porter bien haut la bannière des DROITS IMPRESCRIPTIBLES ET UNIVERSELS DE LHUMANITE !
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