Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Sainte Vehme
Vers une renaissance de la
« Sainte Vehme » ?
Lextrême arrogance des musulmans fondamentalistes risque fort de réactiver les guerres de religion au sein même de lUnion Européenne.
Dans les milieux chrétiens les plus radicaux, on parle de la résurgence dorganisations que lon croyait mortes à jamais. Cest notamment le cas pour une société secrète qui fut très active du milieu du XIIIe siècle jusquau début du XIXe et qui se nommait la « Chevalière et Sainte Vehme ». Au plus fort de son existence, elle regroupait plus de cent mille « initiés » et disposait de plusieurs centaines de « tribunaux secrets » qui jugeaient les méfaits au nom de la communauté chrétienne.
On ne connaît pas le sens exact du mot « vehme ». Selon daucuns, il dériverait du latin « fama » (renommée, réputation) tandis que selon dautres, il sagirait dune forme spécifique de lAllemand « Fehm » (drapeau, bannière), voire même de lArabe « Fehm » (sagesse), lequel aurait été rapporté des Croisades par les chevaliers teutoniques. Il est certain que les procédures « judiciaires » de la Vehme rappelaient les méthodes expéditives des Croisés et des armées arabes qui sopposèrent pendant plusieurs siècles pour le contrôle de la prétendue « terre sainte ».
Il semble, cependant, que les tribunaux aient rendu la justice avec une certaine équité. Cest la cruauté avec laquelle les sentences étaient appliquées qui a heurté les historiens modernes.
La « sainte » Vehme était ainsi nommée parce quelle sétait donnée pour objectif de défendre les Dix Commandements et les principes fondamentaux de la foi chrétienne. En cela, elle ne différait guère des tribunaux islamiques dont elle était le pendant chrétien.
Née en terre germanique (en Westphalie), cette puissante organisation secrète étaient, selon un document datant de 1490, déterminés à poursuivre et condamner :
Ceux qui révélaient les « secrets de Charlermagne » ( ?)
Ceux qui pratiquaient ou introduisaient lhérésie
Ceux qui sécartaient de la foi et tombaient dans le paganisme
Ceux qui commettaient un parjure
Ceux qui pratiquaient la sorcellerie et la magie ou qui passaient un pacte avec le Malin
Ceux qui révélaient les secrets de lorganisation
En outre, les tribunaux de la Vehme jugeaient les délits suivants :
Dégradations volontaires commises dans des églises, des chapelles ou des cimetières
Vols
Viols
Violences envers des femmes en couches
Trahison publique
Brigandage
Tyrannie
Homicides cachés ou publics
Vagabondage
Sacrilèges
La « sainte » Vehme se comportait donc comme une branche occulte de la Sainte Inquisition, une branche qui ne relevait pas de lautorité cléricale. Son organisation préfigure celle des loges maçonniques (qui napparaîtront quau XVIIIe siècle) et plus particulièrement de la « maçonnerie noire ».
Au sein de cette « société », le groupe le plus actif était celui des « Schoppen », lesquels étaient recrutés par un haut dignitaire du Tribunal et initiés dune manière particulière. Avant dêtre admis à titre définitif, le recruté passait par les stades de l « Ignorant » puis par celui de «Sage » ou « Connaissant »(Wissende). Pour son initiation, le candidat devait se présenter tête nue devant le Tribunal et répondre aux questions portant sur sa probité et ses qualifications. Puis, genou à terre, le pouce et lindex posés sur la lame dune épée et sur un hart, il prêtait le « Grand Serment » en présence du « Comte » de la société.
Les tribunaux vehmiques se déplaçaient dune région à une autre. Dans certains cas, leur venue était annoncée et les habitants qui se savaient coupables dun délit grave ou dun crime avaient le droit de quitter le pays dans les vingt-quatre heures qui suivaient louverture du procès public. Mais sils étaient toujours là à lexpiration du délai, le pasteur leur administrait les sacrements et ils étaient froidement exécutés par le bourreau (généralement par pendaison). Les sentences allaient de la proscription à la mort en passant par la dégradation publique. Les corps des pendus étaient abandonnés aux corbeaux et aux bêtes de proie tandis que leurs biens étaient confisqués. Les prévenus qui prenaient la fuite avant de comparaître étaient déclarés « Fehmbar » (punissables par le Vehme). Tout groupe de trois initiés qui venait à le rencontrer avait le droit, et même le devoir, dexécuter la sentence. On retrouve le même principe dans la « fatwa » islamique. Une fois lancée, il est un devoir pour tout « bon musulman » den être lexécuteur.
Les juges secrets de la Vehme vivaient au milieu de la population et certains dentre eux avaient la réputation dêtre « très humains ». Ils nétaient pas autorisés à prévenir quelquun verbalement, ou par écrit, des poursuites dont il allait être lobjet mais, bien souvent, ils sarrangeaient pour lui indiquer, par signes, quil était placé sous surveillance. Un vieux livre de droit expose les méthodes de la Cour vehmique du duché de Brunswick. On y apprend que des « Fehmenotes » (informateurs de la Vehme) étaient sélectionnés pour surveiller les citoyens et fournir des renseignements sur les agissements des suspects (à la manière des « patrouilles arabes » dAnvers). Cest sur la base de ces rapports que la Cour vehmique décidait de se transporter à tel ou tel endroit pour juger tel ou tel individu ou groupe dindividus, voire lensemble de la population.
Lun des sceaux utilisés par les tribunaux de la Vehme. |
Les tribunaux secrets de la Vehme ne furent jamais totalement abolis par les autorités. Tout au plus furent-ils « réformés » par certains monarques. Et lon prétend que les « loups garous » nazis (groupes qui refusèrent la capitulation et continuèrent à harceler les troupes doccupation jusquà la fin des années 40), tout comme les « organisations de résistance à loccupation communiste » (en Allemagne de lEst) étaient des résurgences de la « Chevalière et Sainte Vehme ».
Aujourdhui, de telles groupes se réorganiseraient en vue de « bouter lArabe » hors dAllemagne et hors de lEurope.
On parle, non seulement dune renaissance de la Vehme (en Allemagne) mais aussi de la mise sur pied de milices de gauche qui seraient nommées « Justice de MAI » (MAI = Milice Anti Islamique), notamment en France et dans le Benelux.
Une chose est en tous cas certaine : les milieux dextrême-droite attendent quune occasion propice soffre à eux pour justifier la réactivation de leurs milices privées, lesquelles sentraînent depuis plusieurs décennies et sont prêtes à « casser de lArabe ». Le très dangereux comportement de la LAE est une occasion rêvée pour ces activistes racistes et xénophobes. On vient de le voir à Anvers.
Ne pas sanctionner ce comportement serait donner raison à une extrême-droite européenne dont on a toujours dit, non sans raison, quelle posait les vrais problèmes mais fournissait les mauvaises solutions !
La Grande-Bretagne, pays traditionnellement « ouvert » et foncièrement attaché à la libre expression, berceau de la Franc-Maçonnerie, semble avoir pris conscience de la gravité de la situation. Les mesures qui ont été prises au Royaume-Uni à l'encontre de la mosquée de Finsbury Park (perquisition et fermeture) doivent être regardées comme « historiques » et comme un avertissement pour le reste de lEurope. De son côté, la France tente de réagir mais beaucoup plus « timidement ». Et pour cause puisque, dans ce pays, la communauté musulmane a profité depuis longtemps de la faiblesse des institutions, minées par « lesprit de mai 68 », entre autres, (78) pour organiser ses ghettos et instaurer des « zones de non-droit » où la loi coranique et la loi du plus fort ont supplanté les lois civiles et laïques de la république. En Belgique, le pouvoir politique inopérant et corrompu semble encore plus incapable de réactions radicales et saines que si lon considère la situation française et, dans lUnion européenne, les peuples anglo-saxons et germaniques seront sans doute plus « réactifs » que les francophones et les latins, laxistes et permissifs par habitude.
De tous les pays francophones, la Suisse est actuellement le seul qui soit en mesure de réagir efficacement (compte tenu de son système politique spécifique impliquant la «démocratie directe ») mais il ne sagit pas dune nation strictement francophone mais dun pays dominé par la pensée germanique (comme une bonne partie de la Belgique).
Il est en tous cas essentiel que les Européens réagissent très rapidement, avant que ninterviennent les décisions relatives à l « élargissement ». En effet, si les Polonais catholiques indécrottables viendront grossir les troupes des « anti islamiques », on ne peut avoir quune confiance très limitée dans les pays de lancienne Europe de LEst qui hébergent des communautés musulmanes. Quant à la Turquie dont le cas a déjà été évoqué ce doit être un « niet » pur et simple. Et il ny a guère quune pression très vive de lopinion publique qui puisse contrebalancer, auprès des décideurs politiques, linfluence prépondérante des technocrates opportunistes et corrompus qui défendent les intérêts du grand capitalisme et du libéralisme « mondialiste ».
« Humanistes de tous les pays, unissez-vous contre le fascisme islamique » ! Cest en paraphrasant le slogan cher aux communistes (du moins aux quelques survivants...), que nous terminerons ce chapitre qui, nous lespérons, vous aura convaincu de la pertinence de nos arguments et de la qualité de nos intentions.
Attachés aux Droits fondamentaux de lHomme et du Citoyen (mais aussi de la Femme et de la Citoyenne) ainsi quau principe de la laïcité, nous ne pouvons pas demeurer sur la défensive face à une situation qui dégénère de jour en jour. Nous devons prendre part au combat, à la lutte contre les oppresseurs musulmans et contre leur bras armé : le terrorisme international dinspiration islamique.
Nous devons combattre ben Laden et sa bande de criminels. Mais nous devons aller bien au-delà de ce combat de première urgence. Nous devons couper définitivement les ailes à lislamisme et pour tout dire à lislam. Nous devons débarrasser le monde de cette religion dangereusement rétrograde. Nous devons dénoncer le coran pour ce quil est : un livre dangereux, très dangereux. Tel sera notre combat fondamental, notre « lutte finale ». Camarades, groupons-nous et demain, nous sauverons le genre humain !
A la « Ligue Arabe Européenne » - et autres foyers de la sédition islamique opposons notre « Ligue Européenne Contre le Terrorisme REligieux », ligue humaniste ouverte à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté qui refusent lintolérance, le harcèlement moral et la dictature religieuse.
Ensemble, nous vaincrons les forces du mal et de lobscurantisme !
Lhomme qui a besoin des « injonctions divines » - ou autres « révélations » - pour organiser sa vie est un bien piètre individu. Il ne vaut guère mieux que lâne qui obéit à la loi de la carotte et du bâton. Car cest bien de cela quil sagit. En promettant le « royaume des cieux » aux « bons croyants » et la damnation éternelle aux « impies », les prêtres et les « docteurs de la foi » ne font quappliquer aux humains la loi de la carotte et du bâton. Ils les traitent comme des animaux. La carotte se nomme « paradis » tandis que le bâton se nomme « enfer ».
Et il est bien pauvre celui qui a besoin dune carotte pour faire le bien et dun bâton pour sabstenir de faire le mal !
Le « Juste », le vrai Juste, cest lhomme libre qui fait le bien parce quil estime devoir le faire en son âme et conscience, non pour « obtenir une récompense ». Cest lathée qui ne craint ni dieu ni diable mais qui sabstient de faire le mal par simple respect dautrui et de lui-même. Celui-là et celui-là seulement est un homme digne de ce nom.
Quant aux criminels qui torturent ou tuent leurs semblables en invoquant un dieu quel quil soit -, ils ne méritent pas dêtre appelés « hommes ». Le pauvre cafard et la malheureuse araignée méritent notre respect, pas les « fous dAllah » et autres cinglés du même acabit. Ceux-là, nous devons les éliminer comme nous éliminons les animaux dits « nuisibles ». Et puisqu'ils le revendiquent, accordons leur que la loi des hommes ne leur est pas applicable (79).
In Memoriam Les pauvres gens qui périrent dans les attentats du 11 septembre furent les innocentes victimes de la folie furieuse des islamistes mais aussi de laveu-glement et de la cupidité des dirigeants américains.
De F-D. Roosevelt, à G.W. Bush, les présidents américains furent le soutien du régime saoudien et de la faction musu-lmane la plus intégriste, celle des wahhabites, celle de ben Laden et dal Qaïda, celle des milices fascistes de la LAE. |
Attention, cet individu est très dangereux. Il se cache sous l’identité de l’émir Ussama ben Laden alias Ussama ben Ahor-Dhur ben Haïm-Ondiz. |