Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Sainte Vehme

chapitre 9
Vers une renaissance de la
« Sainte Vehme » ?

L’extrême arrogance des musulmans fondamentalistes risque fort de réactiver les guerres de religion au sein même de l’Union Européenne.

Dans les milieux chrétiens les plus radicaux, on parle de la résurgence d’organisations que l’on croyait mortes à jamais. C’est notamment le cas pour une société secrète qui fut très active du milieu du XIIIe siècle jusqu’au début du XIXe et qui se nommait la « Chevalière et Sainte Vehme ». Au plus fort de son existence, elle regroupait plus de cent mille « initiés » et disposait de plusieurs centaines de « tribunaux secrets » qui jugeaient les méfaits au nom de la communauté chrétienne.

On ne connaît pas le sens exact du mot « vehme ». Selon d’aucuns, il dériverait du latin « fama » (renommée, réputation) tandis que selon d’autres, il s’agirait d’une forme spécifique de l’Allemand « Fehm » (drapeau, bannière), voire même de l’Arabe « Fehm » (sagesse), lequel aurait été rapporté des Croisades par les chevaliers teutoniques. Il est certain que les procédures « judiciaires » de la Vehme rappelaient les méthodes expéditives des Croisés et des armées arabes qui s’opposèrent pendant plusieurs siècles pour le contrôle de la prétendue « terre sainte ».

Il semble, cependant, que les tribunaux aient rendu la justice avec une certaine équité. C’est la cruauté avec laquelle les sentences étaient appliquées qui a heurté les historiens modernes.

La « sainte » Vehme était ainsi nommée parce qu’elle s’était donnée pour objectif de défendre les Dix Commandements et les principes fondamentaux de la foi chrétienne. En cela, elle ne différait guère des tribunaux islamiques dont elle était le pendant chrétien.

Née en terre germanique (en Westphalie), cette puissante organisation secrète étaient, selon un document datant de 1490, déterminés à poursuivre et condamner :

En outre, les tribunaux de la Vehme jugeaient les délits suivants :


La « sainte » Vehme se comportait donc comme une branche occulte de la Sainte Inquisition, une branche qui ne relevait pas de l’autorité cléricale. Son organisation préfigure celle des loges maçonniques (qui n’apparaîtront qu’au XVIIIe siècle) et plus particulièrement de la « maçonnerie noire ».

Au sein de cette « société », le groupe le plus actif était celui des « Schoppen », lesquels étaient recrutés par un haut dignitaire du Tribunal et initiés d’une manière particulière. Avant d’être admis à titre définitif, le recruté passait par les stades de l’ « Ignorant » puis par celui de «Sage » ou « Connaissant »(Wissende). Pour son initiation, le candidat devait se présenter tête nue devant le Tribunal et répondre aux questions portant sur sa probité et ses qualifications. Puis, genou à terre, le pouce et l’index posés sur la lame d’une épée et sur un hart, il prêtait le « Grand Serment » en présence du « Comte » de la société.

Les tribunaux vehmiques se déplaçaient d’une région à une autre. Dans certains cas, leur venue était annoncée et les habitants qui se savaient coupables d’un délit grave ou d’un crime avaient le droit de quitter le pays dans les vingt-quatre heures qui suivaient l’ouverture du procès public. Mais s’ils étaient toujours là à l’expiration du délai, le pasteur leur administrait les sacrements et ils étaient froidement exécutés par le bourreau (généralement par pendaison). Les sentences allaient de la proscription à la mort en passant par la dégradation publique. Les corps des pendus étaient abandonnés aux corbeaux et aux bêtes de proie tandis que leurs biens étaient confisqués. Les prévenus qui prenaient la fuite avant de comparaître étaient déclarés « Fehmbar » (punissables par le Vehme). Tout groupe de trois initiés qui venait à le rencontrer avait le droit, et même le devoir, d’exécuter la sentence. On retrouve le même principe dans la « fatwa » islamique. Une fois lancée, il est un devoir pour tout « bon musulman » d’en être l’exécuteur.

Les juges secrets de la Vehme vivaient au milieu de la population et certains d’entre eux avaient la réputation d’être « très humains ». Ils n’étaient pas autorisés à prévenir quelqu’un verbalement, ou par écrit, des poursuites dont il allait être l’objet mais, bien souvent, ils s’arrangeaient pour lui indiquer, par signes, qu’il était placé sous surveillance. Un vieux livre de droit expose les méthodes de la Cour vehmique du duché de Brunswick. On y apprend que des « Fehmenotes » (informateurs de la Vehme) étaient sélectionnés pour surveiller les citoyens et fournir des renseignements sur les agissements des suspects (à la manière des « patrouilles arabes » d’Anvers). C’est sur la base de ces rapports que la Cour vehmique décidait de se transporter à tel ou tel endroit pour juger tel ou tel individu ou groupe d’individus, voire l’ensemble de la population.

L’un
des sceaux utilisés par
les  tribunaux de la Vehme.

L’un des sceaux utilisés par les tribunaux de la Vehme.

Les tribunaux secrets de la Vehme ne furent jamais totalement abolis par les autorités. Tout au plus furent-ils « réformés » par certains monarques. Et l’on prétend que les « loups garous » nazis (groupes qui refusèrent la capitulation et continuèrent à harceler les troupes d’occupation jusqu’à la fin des années 40), tout comme les « organisations de résistance à l’occupation communiste » (en Allemagne de l’Est) étaient des résurgences de la « Chevalière et Sainte Vehme ».

Aujourd’hui, de telles groupes se réorganiseraient en vue de « bouter l’Arabe » hors d’Allemagne et hors de l’Europe.

On parle, non seulement d’une renaissance de la Vehme (en Allemagne) mais aussi de la mise sur pied de milices de gauche qui seraient nommées « Justice de MAI » (MAI = Milice Anti Islamique), notamment en France et dans le Benelux.

Une chose est en tous cas certaine : les milieux d’extrême-droite attendent qu’une occasion propice s’offre à eux pour justifier la réactivation de leurs milices privées, lesquelles s’entraînent depuis plusieurs décennies et sont prêtes à « casser de l’Arabe ». Le très dangereux comportement de la LAE est une occasion rêvée pour ces activistes racistes et xénophobes. On vient de le voir à Anvers.

Ne pas sanctionner ce comportement serait donner raison à une extrême-droite européenne dont on a toujours dit, non sans raison, qu’elle posait les vrais problèmes mais fournissait les mauvaises solutions !

La Grande-Bretagne, pays traditionnellement « ouvert » et foncièrement attaché à la libre expression, berceau de la Franc-Maçonnerie, semble avoir pris conscience de la gravité de la situation. Les mesures qui ont été prises au Royaume-Uni à l'encontre de la mosquée de Finsbury Park (perquisition et fermeture) doivent être regardées comme « historiques » et comme un avertissement pour le reste de l’Europe. De son côté, la France tente de réagir mais beaucoup plus « timidement ». Et pour cause puisque, dans ce pays, la communauté musulmane a profité depuis longtemps de la faiblesse des institutions, minées par « l’esprit de mai 68 », entre autres, (78) pour organiser ses ghettos et instaurer des « zones de non-droit » où la loi coranique et la loi du plus fort ont supplanté les lois civiles et laïques de la république. En Belgique, le pouvoir politique – inopérant et corrompu – semble encore plus incapable de réactions radicales et saines que si l’on considère la situation française et, dans l’Union européenne, les peuples anglo-saxons et germaniques seront sans doute plus « réactifs » que les francophones et les latins, laxistes et permissifs par habitude.

De tous les pays francophones, la Suisse est actuellement le seul qui soit en mesure de réagir efficacement (compte tenu de son système politique spécifique impliquant la «démocratie directe ») mais il ne s’agit pas d’une nation strictement francophone mais d’un pays dominé par la pensée germanique (comme une bonne partie de la Belgique).

Il est en tous cas essentiel que les Européens réagissent très rapidement, avant que n’interviennent les décisions relatives à l’ « élargissement ». En effet, si les Polonais – catholiques indécrottables – viendront grossir les troupes des « anti islamiques », on ne peut avoir qu’une confiance très limitée dans les pays de l’ancienne Europe de L’Est qui hébergent des communautés musulmanes. Quant à la Turquie – dont le cas a déjà été évoqué – ce doit être un « niet » pur et simple. Et il n’y a guère qu’une pression très vive de l’opinion publique qui puisse contrebalancer, auprès des décideurs politiques, l’influence prépondérante des technocrates opportunistes et corrompus qui défendent les intérêts du grand capitalisme et du libéralisme « mondialiste ».


« Humanistes de tous les pays, unissez-vous contre le fascisme islamique » ! C’est en paraphrasant le slogan cher aux communistes (du moins aux quelques survivants...), que nous terminerons ce chapitre qui, nous l’espérons, vous aura convaincu de la pertinence de nos arguments et de la qualité de nos intentions.

Attachés aux Droits fondamentaux de l’Homme et du Citoyen (mais aussi de la Femme et de la Citoyenne) ainsi qu’au principe de la laïcité, nous ne pouvons pas demeurer sur la défensive face à une situation qui dégénère de jour en jour. Nous devons prendre part au combat, à la lutte contre les oppresseurs musulmans et contre leur bras armé : le terrorisme international d’inspiration islamique.

Nous devons combattre ben Laden et sa bande de criminels. Mais nous devons aller bien au-delà de ce combat de première urgence. Nous devons couper définitivement les ailes à l’islamisme et – pour tout dire – à l’islam. Nous devons débarrasser le monde de cette religion dangereusement rétrograde. Nous devons dénoncer le coran pour ce qu’il est : un livre dangereux, très dangereux. Tel sera notre combat fondamental, notre « lutte finale ». Camarades, groupons-nous et demain, nous sauverons le genre humain !

A la « Ligue Arabe Européenne » - et autres foyers de la sédition islamique – opposons notre « Ligue Européenne Contre le Terrorisme REligieux », ligue humaniste ouverte à tous les hommes et à toutes les femmes de bonne volonté qui refusent l’intolérance, le harcèlement moral et la dictature religieuse.

Ensemble, nous vaincrons les forces du mal et de l’obscurantisme !


L’homme qui a besoin des « injonctions divines » - ou autres « révélations » - pour organiser sa vie est un bien piètre individu. Il ne vaut guère mieux que l’âne qui obéit à la loi de la carotte et du bâton. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. En promettant le « royaume des cieux » aux « bons croyants » et la damnation éternelle aux « impies », les prêtres et les « docteurs de la foi » ne font qu’appliquer aux humains la loi de la carotte et du bâton. Ils les traitent comme des animaux. La carotte se nomme « paradis » tandis que le bâton se nomme « enfer ».

Et il est bien pauvre celui qui a besoin d’une carotte pour faire le bien et d’un bâton pour s’abstenir de faire le mal !

Le « Juste », le vrai Juste, c’est l’homme libre qui fait le bien parce qu’il estime devoir le faire en son âme et conscience, non pour « obtenir une récompense ». C’est l’athée qui ne craint ni dieu ni diable mais qui s’abstient de faire le mal par simple respect d’autrui et de lui-même. Celui-là – et celui-là seulement – est un homme digne de ce nom.

Quant aux criminels qui torturent ou tuent leurs semblables en invoquant un dieu – quel qu’il soit -, ils ne méritent pas d’être appelés « hommes ». Le pauvre cafard et la malheureuse araignée méritent notre respect, pas les « fous d’Allah » et autres cinglés du même acabit. Ceux-là, nous devons les éliminer comme nous éliminons les animaux dits  « nuisibles ». Et puisqu'ils le revendiquent, accordons leur que la loi des hommes ne leur est pas applicable (79).

les twin towers du world trade center

In Memoriam

Les pauvres gens qui périrent dans les attentats du 11 septembre furent les innocentes victimes de la folie furieuse des islamistes mais aussi de l’aveu-glement et de la cupidité des dirigeants américains.

ce qu'en pense un musulman

J'ai oublié de vous dire !! Vous parlez du 11 septembre 2001 .... Vous nous accusez donc d'être les auteurs de cet attentat ? Donc j'ai bien raison quand je vous dis que vous êtes manipulés par les médias car moi j'ai bien suivi cette affaire et j'ai même entendu les infos disant que Bush avait la preuve irréfutable que c'était Oussama qui en avait décidé ainsi . Mais depuis le jour où cela s'est passé je n'ai jamais vu cette preuve .... Peut-être que vous, vous l'avez cette preuve ? Parce que c'est bien beau de dire que c'est lui qui est l'auteur de passer des cassettes le montrant avec un fusil etc.... mais pour moi ça n'est pas une preuve parce que moi je peux en faire autant avec mon voisin, lui confier une arme et lui faire dire qu'il a perpétrer les attentats du 11 septembre . Mais je sais déja ce que vous allez me répondre "selon Mr X qui travaille avec Mr Z qui a eu un enfant avec Mme W c'est Ben Laden qui a tout organisé ...." Merci d'avance !!

De F-D. Roosevelt, à G.W. Bush, les présidents américains furent le soutien du régime saoudien et de la faction musu-lmane la plus intégriste, celle des wahhabites, celle de ben Laden et d’al Qaïda, celle des milices fascistes de la LAE.

wanted
on recherche
mort ou vif
ben ladeniznogoud



Attention, cet individu est très dangereux.
Il se cache sous l’identité de l’émir Ussama ben Laden
alias Ussama ben Ahor-Dhur ben Haïm-Ondiz.


  page précédente   page suivante