Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Argent
Doù
vient largent ?
Même si lon sait que les arabo-musulmans ont toujours été doués pour le commerce (y compris celui de la drogue), il est évident que ce nest pas en vendant des tapis et des loukoums quils financent les activistes et les terroristes. On peut donc légitimement se demander doù vient largent !
Dans son édition du 28 novembre 2002, lhebdomadaire français « LExpress » a fourni un certain nombre de réponses à cette question. Le dossier sintitule « Largent de lislam » et il est remarquablement documenté. On y apprend notamment que les communautés musulmanes implantées en France sont financées par les Etats du Maghreb, dArabie et du Golfe persique mais aussi par les deniers publics (malgré les dispositions de la loi française), le commerce « halal » et, très accessoirement, par les dons des fidèles.
Car si les musulmans de Toulouse ont pu acheter lancien château de Tabar pour en faire une mosquée, ce ne fut pas uniquement avec le « denier du culte ». Acquis pour la somme de 1,67 million de francs français (254.600 €) en 1987, il a dû être rénové et aménagé à grands frais avant de devenir la mosquée Es-Salam, la plus grande de la région Midi-Pyrénées. Au moment de lachat, la Ligue islamique mondiale (LIM dont la LAE semble être une émanation) avait déjà versé 9% du prix dachat du bâtiment, soit 180.000 FF (env. 27.440 €). Cest, en tous cas ce quavoue le trésorier de lAMT (Association musulmane de Toulouse).
Or, la LIM est une « ONG » saoudienne qui se montre de plus en plus active dans le domaine du financement des mosquées et des écoles coraniques, un peu partout en Europe et surtout dans le secteur des Balkans (ex-Yougoslavie et Albanie). Et lon sait que la LIM est le principal promoteur du wahhabisme (voir le chapitre six) dans le monde, donc de la « guerre sainte » et de la conquête de la planète par le « bon islam » !
A Toulouse, lislam mène grand train mais « oublie » de payer le fisc. Cest ainsi que lAMT doit 12.200 euros darriérés de taxe foncière. Sil sagissait dun citoyen « lambda », il aurait fait, depuis longtemps, lobjet dune saisie. Mais à Toulouse, les politiciens ne sont pas plus courageux quailleurs. Ils laissent leur ville subir la contamination islamiste sans réagir. Ils sont même allés jusquà prêter des bâtiments préfabriqués pour abriter lécole coranique après la catastrophe dAZF. « Il faut être conciliant » répète-t-on au Capitole (Mairie de Toulouse) où le nouveau maire (Philippe Douste-Blazy, ancien maire de Lourdes) semble confondre Mahomet et Bernadette Soubirou ! L AMT est toutefois une exception car elle est lune des rares associations islamiques ayant accepter de montrer ses livres de compte à des journalistes, lesquels se sont dailleurs rendus compte à quel point il était difficile de sy retrouver. Car dès que lon parle gros sous, les portes des « centres islamiques » se referment immédiatement. Les imams naiment pas que lon sintéresse à leurs sources de financement. Et pour cause !
Le fait dêtre financés par des états très peu démocratiques nest évidemment pas en lhonneur des musulmans implantés en Europe. Que penserait-on dun bouddhisme qui serait « arrosé » par le régime de Pékin ou de Pyongyang ?
Les mosquées qui émargent des mêmes caisses que les talibans et la « bande à ben Laden » nont donc aucun intérêt à sen vanter.
Viennent ensuite les crédits publics que versent des collectivités locales alors même que la loi française linterdit. Ici encore, on nen parle guère car il nest pas bon de rappeler que largent des contribuables de toutes confessions (ou sans confession) se retrouve dans les caisses dassociations qui prêchent lislamisation de lEurope et la guerre sainte (puisquelles enseignent le coran !).
En France, la loi de 1905 relative à la séparation de léglise et de lEtat est pourtant claire à ce sujet : « La république ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ». Mais les arabo-musulmans ont toujours su contourner les lois, les leurs dabord et ensuite celles des autres. Partant du principe que lomma ne permet pas de différencier la communauté musulmane de lEtat, ils se comportent en Europe comme dans les pays islamisés. Pour eux, une mosquée ou une école coranique est tout autant un « lieu culturel » quun « lieu cultuel ». Ils se constituent donc en association à caractère culturel (loi de 1901), ce qui leur permet de demander des aides matérielles et des subsides, ce que les autres religions infiniment plus honnêtes ne peuvent pas faire. Ici encore, lextrême mauvaise foi des musulmans savère payante.
En attendant, il y a là un fait évident de discrimination. Evidemment, les musulmans vous diront que la plupart des églises catholiques sont entretenue à laide de fonds publics. Sans doute, mais pas en tant que lieu de culte seulement au titre de patrimoine architectural et historique. Et jusquà preuve du contraire, les mosquées et les écoles coraniques ne font pas partie du patrimoine européen !
le coran conseille aux musulmans de se comporter « avec modestie » mais lislam aime afficher sa présence et sa « puissance » par des constructions très coûteuses, y compris dans des pays très pauvres.
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