Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Double langage page 2
Le langage islamique
Il existe chez les Arabo-musulmans un art oratoire que l'on désigne sous le nom de « takiyye ». La signification de ce mot est « art de la dissimulation » ce qu'en bon Français on traduit par « langue de bois ». Depuis plus d'un millénaire, discourir en jonglant sur une gamme qui va du mensonge pur et simple à un subtil mélange de fourberie, dhypocrisie, de semi-vérité, d'omissions délibérées et de non-dits savamment distillés fait partie intégrante de la mentalité arabo-musulmane.
Faire confiance à un musulman sur la seule base de ses déclarations c'est être le dernier des imbéciles et un parfait pigeon puisque la religion musulmane, depuis sa création, enseigne à ses adeptes lart d'avancer masqué et de promouvoir l'islam par la dissimulation.
Un exemple concret et récent de « takkiyye » nous est donné par les membres de lactuel gouvernement turc, ces anciens « islamistes purs et durs » qui essayent de se faire passer pour des défenseurs de la démocratie et de la laïcité.
Cest ce qui transparaît dun article publié par lExpress (30 octobre 2003) sous le titre « La conversion des islamistes turcs » dont un extrait est donné ci-dessous.
La formation qui avait triomphé en novembre 2002, était le fruit d'une alliance de circonstance, à l'idéologie incertaine, regroupant des transfuges des partis de centre droit et des islamistes. L'AK Parti se prétendait à l'époque « musulman-démocrate ». Après une année aux affaires, c'est un visage bien différent qu'il présente lors de ce congrès refondateur. Sur l'estrade, le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan est accueilli par une formidable ovation aux cris de : « La Turquie est fière de toi ! » Tranquillement, il énonce la ligne du mouvement, désormais privée de toute référence à la religion. « Nous sommes un parti conservateur démocrate. Notre formation ne repose ni sur des bases religieuses, ni sur des bases ethniques. » L'ancien islamiste se paie même le luxe de citer Kemal Atatùrk, le général qui, dans les années 1920-1930, a imposé, contre l'islam, la laïcité : « Nous avons pour objectif de faire que la Turquie fasse partie du monde civilisé » - entendez : occidental. Et de promettre une Turquie démocratique et « libérée des approches idéologiques » - comprenez encore : du laïcisme strict hérité d'Atatùrk, sur lequel veillent jalousement les généraux du pays. Dans la salle, les délégués écoutent avec attention. Les femmes sont rares, mais c'est commun à tous les partis turcs. La plupart d'entre elles portent un foulard sur les cheveux, mais pas toutes. Surtout, à la différence des congrès des partis islamistes d'antan, hommes et femmes ne sont désormais plus séparés. Faut-il prendre au sérieux cette mutation idéologique de l'AK Parti, ou n'y voir qu'un cosmétique destiné à masquer une cause islamiste à laquelle les dirigeants de l'AKP n'auraient pas renoncé ? Sur les bords du Bosphore, un mot, en vogue, résume l'interrogation des élites libérales : Erdogan pratique-t-il le takiyye, l'art de la dissimulation en islam - en clair, l'hypocrisie ? Au congrès, il a répondu : « Je n'ai ni agenda ni programme secret. » « Il ne faut pas avoir peur, renchérit Eyùp Fatsa, député (et l'un des fondateurs) d'AK Parti. Nous sommes sincèrement occupés à établir une vraie démocratie en Turquie. La religion doit rester un choix personnel et en aucun cas une obligation. » Cet élu de la mer Noire se livre à un éloge sans faille du pluralisme. « la démocratie, c'est gérer la variété. Le port de la minijupe, c'est un choix personnel. Autoriser le foulard islamique à l'université ? Ce n'est pas la priorité du peuple. La priorité, ce sont les 11 millions de chômeurs. La Turquie compte des musulmans, des juifs, des alévis [une branche modérée et ana-tolienne de l'islam chiite, proche des laïques], des athées. Tous sont turcs et l'Etat doit être neutre et laïque... » II reconnaît le virage opéré : « La politique, c'est comme la technologie, elle doit s'adapter au monde qui change. Aujourd'hui, notre priorité, c'est de rejoindre l'Europe en démocratisant la Turquie. Nous faisons notre objectif des critères exigés par l'Union européenne au sommet de Copenhague. » « L'islamisme est un mauvais calcul » L'islam politique se serait-il enfin dissous dans le bain démocratique ? L'AK Parti se veut libéral en économie et conservateur sur les questions de société. Au congrès d'Ankara, le Britannique Graham Watson, président du Parti libéral démocratique européen, et le Grec Costas Caramanlis, au nom du Parti populaire européen - les deux formations de droite au Parlement de Strasbourg - saluaient « chaleureusement » un parti qui a, selon les mots du Grec, « reçu un mandat pour réformer ». Comment mieux dire qu'on est prêt à ouvrir les bras ? « L'islamisme est une fiction et un mauvais calcul, soutient Murât Mercan, un autre député AKP Oui, nous avons changé parce que nous avons compris que les Turcs ne veulent pas que la religion soit instrumentalisée par les hommes politiques. Le Coran ne résout pas les problèmes de la société. Il professe juste des valeurs : ne pas tuer, ne pas commettre d'adultère, ne pas voler, etc. » II n'y a guère, ces propos étaient inimaginables dans la bouche d'un islamiste. L'interdiction, sous la pression de l'armée, du parti islamiste Fazilet en 2001 ; l'emprisonnement d'Erdogan et son inélégibilité momentanée pour « propos séditieux » ; l'ampleur de la victoire en novembre dernier d'un parti qui découvre qu'il peut déborder un électoral islamiste confiné à 10 % et avoir vocation majoritaire sont autant de raisons qui peuvent expliquer cette conversion. La menace que faisait peser l'islamisme sur le régime a été tant utilisée par l'armée et la bureaucratie pour freiner le mouvement de démocratisation que beaucoup de démocrates veulent croire en cette sécularisation de l'islam politique. « Nous vivons la dernière étape d'un mouvement de domestication de l'islam politique, soutient ainsi Murât Belge, professeur de littérature à l'université Bilgi. Notre tradition ancienne d'occidentalisation, de multipartisme, de constitutionnalisme les a obligés à évoluer. Ils ont compris que la société turque, par son histoire différente du monde arabe, est imperméable au fondamentalisme. » Et d'ironiser : « Quand j'entends un de leurs dirigeants, Mehmet Aydin, déclarer : "Le plus grand projet de Dieu était l'homme et on doit admettre qu'il a échoué", je me dis qu'un musulman qui parle ainsi ne me fait pas vraiment peur... » Pour cet intellectuel laïque et de gauche, la vraie menace sur la démocratisation en cours reste l'armée, capable, à l'en croire, de saboter le processus. |
Dès que l'on connait un tant soit peu le Coran, il est aisé de mettre en évidence un mensonge grossier dans les déclarations du député Murat Mercan et montrer ainsi que le langage des dirigeants de lAKP relève directement la « takiyye », la langue de bois à la façon islamique destinée à avancer masqué en manipulant son interlocuteur.
Prétendre que le Coran professe de « ne pas tuer » ou de « ne pas voler » cest prendre les Occidentaux pour des imbéciles de première catégorie ! Car si l'on peut trouver de rares passages où il est dit plus ou moins directement « de ne pas tuer » ou « de ne pas voler », il est d'autres passages, bien plus nombreux, qui eux appellent directement au meurtre et au pillage. N'oublions pas qu'il existe dans le Coran, livre où il serait soi-disant expliqué qu'il ne faut pas tuer ni voler, un chapitre intitulé « le butin » et qui précise, entre autres préceptes soi-disant pacifiques, les choses suivantes :
66. 0 prophète ! excite les croyants au combat. Vingt braves d'entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n'ont point de sagesse.
67. Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d'entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides.
68. Il n'a jamais été donné aux prophètes de faire des prisonniers sans commettre de grands massacres sur la terre. Vous désirez le bien de ce monde, et Dieu veut vous donner ceux de l'autre. Il est puissant et sage.
69. Si la révélation faite précédemment n'avait pas semblé vous y autoriser. Dieu vous aurait fait expirer par des châtiments douloureux la rançon des captifs à Badr.
70. Nourrissez-vous des biens licites enlevés aux ennemis et craignez le Seigneur. Il est clément et miséricordieux.
71.0 prophète ! dis aux prisonniers qui sont entre vos mains : si Dieu voit de la droiture dans vos cœurs, il vous donnera des richesses plus précieuses que celles qu'on vous a enlevées, et ils vous pardonnera, parce qu'il est clément et miséricordieux.
On conviendra que dans le genre instructions spécifiant de « ne pas tuer », ou de « ne pas voler » c'est assez étrange !
Ce qu'il faut savoir c'est que les passages « pacifiques et tolérants » correspondent aux périodes où Mahomet était en état d'infériorité militaire et où il ne pouvait rien faire d'autre que d'être pacifique et tolérant. Les passages incitant au meurtre et au pillage correspondent aux périodes où ce même Mahomet était en position de force et pouvait imposer sa dictature par la violence. Or l'islam, c'est exactement cela : la paix quand on n'est pas en position d'imposer l'islam par la force, afin de se placer en position de force pour imposer l'islam.
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Les Occidentaux ont, hélas, une facheuse tendance à effectivement être des imbéciles de première catégorie, avec palmes et diamants, quand il s'agit du Coran, de l'islam et de Mahomet, puisque l'immense majorité non seulement n'a jamais lu une seule ligne du Coran et ignore absolument tout de l'histoire de Mahomet mais l'immense majorité des occidentaux REFUSE de se renseigner. Pour les occidentaux « Tous le monde il est beau, tous le monde il est gentil, le Coran est forcément un peu comme la bible, pas besoin de le lire, Mahomet a forcément de nombreux points communs avec Jésus, inutile de se renseigner sur lui, l'islam est une religion comme les autres, il ne sert à rien d'en savoir plus, et les musulmans sont forcément finalement peu différents des chrétiens, pas la peine de creuser la question »... Tout cela est une absurdité sans fond mais est tellement plus confortable intellectuellemement que de devoir considérer que l'Occident a été aveugle et sourd à la réalité et qu'il va maintenant falloir faire face à un problème dont la résolution sera longue et douloureuse, d'autant plus longue et douloureuse que l'on s'y prendra tardivement.
Laptitude à user dun double langage et dun double comportement est à ce point ancrée dans la mentalité arabo-musulmane que la majorité des Occidentaux se laissent abuser et berner par eux.
Il n'est d'ailleurs pas nécessaire de se référer à la Turquie pour trouver des exemples qui parlent d'eux mêmes.
![]() ![]() Voici ce que le recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, écrit quand il s'exprime sur l'une des pages du site internet de sa mosquée : « La règle qu'il (L'islam) donne est d'une large portée: elle inclut les domaines sociaux, économiques, politiques, métaphysiques, moraux et spirituels... » Mais quand il s'exprime en dehors du site de sa mosquée, il écrit un livre qui dit… le contraire : « Non ! L'islam n'est pas une politique » En condensé, cela donne : L'islam n'est pas une politique : la règle qu'il donne inclut le domaine politique. En clair, ce qu'il faut donc comprendre c'est en fait : L'islam n'est pas SEULEMENT une politique. C'est effectivement particulièrement subtil, si subtil qu'il n'y a guère que les musulmans rompus à l'art de la « takiyye » qui comprennent… |
Un autre exemple de double-langage islamique est copieusement diffusé chaque semaine sur la chaine de télévision France 2, le dimanche matin, dans le cadre de l'émission religieuse Les chemins de la Foi. Faites l'expérience de regarder, et d'écouter attentivement, l'émission consacrée à l'islam : vous pourrez vérifier la plupart de ce qui est affirmé sur cette page concernant la magistrale aptitude des Mahométans dans l'art de faire croire le contraire de la réalité, comme par exemple que l'islam est une religion « de paix et de tolérance », que Mahomet fut le plus parfait, le plus pacifique et le plus tolérant de tous les hommes, que les mosquées ne sont que des havres de paix et de tolérance... ou que les élèves qui fréquentent les « écoles » coraniques sont aussi les meilleurs élèves dans les écoles républicaines.
Toujours concernant cette émission, il est aussi une autre application, fort judicieuse, de l'art de la dissimulation. Regardez votre programme télé du dimanche matin pour France 2 : vous constaterez que les musulmans dissimulent presque systématiquement le sujet de leur émission, contrairement à toutes les autres religions qui, elles, jouent carte sur table.
Mensonge et dissimulation : tel est le credo de l'islam de France le dimanche matin, ce qui n'est guère que l'application de l'islam EN France.
La méconnaissance du monde arabe et de lislam est telle, dans nos contrées, que même les dirigeants politiques se font « mener en bateau » par les musulmans. Ils se fient aux déclarations et aux écrits sans se rendre compte du fait que la réalité est toute autre.
Que dire, en effet, de cette prétendue « déclaration islamique des droits de lhomme », adoptée par les pays islamisés, qui énonce toute une série de « droits »... en précisant sournoisement que ces droits ne peuvent sexercer que dans les limites des prescriptions coraniques ? Concrètement, cela signifie que ces « droits » sont... inapplicables ! Cest un leurre pour Occidentaux naïfs !
Et que penser de la constitution des E.A.U. (Emirats Arabes Unis) qui dit notamment que : « Légalité, la justice sociale, lordre et la sécurité sont les fondements dune société dont la famille est le pivot central » en affirmant par ailleurs quelle doit « servir dexemple au monde arabe et linciter à sunir pour jouer dans le monde le rôle qui lui revient de par son histoire, sa culture et ses ressources ». Ici encore, tout est dit sans être dit et il faut savoir lire ce qui n'est pas écrit et comprendre ce qui n'est pas exprimé :
Où est l« égalité » et la « justice sociale » dans le monde arabo-musulman et principalement en Arabie et dans les émirats, pays où la disparité est maximale entre, dune part, un peuple analphabète et pauvre et, dautre part, une oligarchie richissime qui détient un pouvoir quasi absolu par le seul fait de la religion détat et de sa sinistre conséquence : la shariah ?
De tout ce fatras, on ne doit guère retenir que les mots « ordre » et « sécurité » qui sont à la base du comportement inconséquent des polices contrôlées par les autorités religieuses bien plus que par les autorités civiles. On doit surtout retenir la volonté dimposer le modèle arabe en vue dune union des arabo-musulmans qui doit conduire à renforcer leur influence dans le monde entier et, in fine, favoriser la relance du « djihad ».
On
ne parle évidemment pas du djihad dans la constitution des
émirats mais cette notion est indissociable de lislam,
religion détat des nations islamiques. Il sagit
là, dune notion « sous entendue »,
tout comme celle du « dar el Sulh ». Avec les textes émanant des pays musulmans, lire ce qui est écrit ne
suffit pas. Pour comprendre valablement un texte rédigé par un arabo-musulman, il faut, comme lui, être imprégné
de cette prétendue « culture islamique »
- on devrait plutôt parler d « inculture »
- à laquelle la constitution des E.A.U. fait référence.
Il faut connaître le coran et lislam qui sont les seuls
« éclairages » permettant de décrypter
ces textes ambigus, rédigés par des spécialistes
de la langue de bois qui auraient fait pâlir denvie les
meilleurs experts du KGB de lex Union soviétique.
Cest pour cela que tant doccidentaux, même très cultivés, se sont laissés « rouler dans la farine » par les dirigeants du monde arabo-musulman.
Hormis le bouddhisme, aucune religion na concrètement véhiculé un véritable message de paix. Cest surtout vrai pour les religions monothéistes découlant de lAncien testament des Hébreux. Car, à partir du moment où une communauté prétend adorer le « vrai » dieu et détenir la « vérité révélée », elle ne peut que devenir intolérante. De lintolérance à lenvie déliminer tout ceux et celles qui ne pensent pas de la même manière, il ny a quun pas toujours vite franchi, même par le christianisme qui proclame pourtant « Aimez-vous les uns les autres ». Alors dans le cas du coran qui, lui, proclame « Tuez les infidèles partout où vous les trouverez » et autres maximes de « paix et de tolérance » on comprend aisément lextrême dangerosité de ce texte et de la religion qui en découle, lislam.
Si le
bouddhisme a échappé à cette très
fâcheuse tendance, cest dabord parce que son
message est strictement athée. Ce nest pas nous
qui formulons cette affirmation, cest une évidence
reconnue par tous les spécialistes des religions et des
cultures orientales. Cest ainsi que dans le « Grand
Mémento » en deux volumes des éditions
Larousse, on peut lire (tome 1, page 473), la mention
suivante :
«
Le bouddhisme est « athée »,
il nadmet que des dieux temporaires. Tel homme, accumulant
du mérite, renaît comme dieu ; lorsque son
mérite est épuisé, il meurt dans le ciel et
renaît dans une destinée inférieure. Le moteur de
lunivers et de la transmigration nest pas un dieu
créateur-providence mais seulement lacte, bon ou
mauvais, de chacun des êtres vivants
Cest une
« religion de joie » (J. Przyluski) en dépit
du « pessimisme » qui entraîne les moines
dans les voies du nirvâna. La plus grave erreur de nos
devanciers a été de penser que le nirvâna de
lancien bouddhisme est lanéantissement. le moine
sefforce vers le nirvâna comme le chrétien vers la
vie éternelle, avec joie et espérance
».
Une telle vision du « divin » ne peut être que pacifique et tolérante. Elle soppose radicalement à la volonté de domination qui anime les monothéistes retranchés derrière leur alibi commode mais indéfendable. Comme le disait si bien Przyluski, le bouddhisme est une « religion de joie » mais aussi de paix intérieure et de paix universelle. A linverse, lislam est une « religion de tristesse », une religion de guerre et de mort.
Les moines bouddhistes sont de vrais ascètes qui se passent parfaitement des gadgets de la vie dite « moderne ». Mais ils ne se comportent pas de manière hypocrite. Ils ne dénoncent pas le « progrès satanique » un jour pour sen servir en douce le lendemain. Le dalaï-lama, « dieu vivant » des bouddhistes tibétains, se comporte humblement et modestement, comme nimporte quel moine. Il ne dénonce ni la photographie, ni le cinéma, ni la télévision mais ny attache pas une grande importance. La voiture qui le transporte est modeste, juste confortable. Certains chômeurs ou Rmistes musulmans de France ou de Belgique se pavanent de façon ostentatoire dans des véhicules bien plus luxueux. Le dalaï-lama est un dieu vivant mais cest aussi et surtout un exemple vivant. Rien à voir avec lorgueilleux Mahomet et ses « successeurs ».
Nous sommes dautant plus à laise pour émettre ces réflexions que nous sommes athées au sens le plus strict du terme (et non dans le sens bouddhiste que ce mot peut recouvrir). Nous navons pas pour objectif de comparer les mérites et les inconvénients des religions mais den démontrer les mensonges et les effets pervers, tant pour lindividu que pour lhumanité toute entière.
Cependant, puisquil apparaît que, de tous temps, lêtre humain a tenté dendiguer ses angoisses vis-à-vis de la vie et de la mort en sinventant des divinités en tous genres, nous prenons acte du fait et nous conseillons à ceux et celles qui seraient « en manque de spiritualité », de se tourner vers le bouddhisme. Cest la seule pratique spirituelle qui, à défaut de prouver quoi que ce soit (les religions nont jamais rien prouvé du tout et ne reposent que sur des dogmes invérifiables), a au moins le mérite dêtre une « religion de joie et de paix », une religion positive, bienfaisante et parfaitement inoffensive. Le dalaï-lama na jamais fait de prosélytisme mais, sur ce point-là de notre analyse, il ne nous contredira certainement pas.
Conséquence
de ce conseil : citez les passages du coran dont jamais les musulmans ne font mention, exposez les notions que l'islam dissimule soigneusement (dhimmitude, Dar El sulh, etc...), expliquez qui fut réellement mahomet, révélez la face cachée de l'esclavage en terres d'islam, dénoncez les outrances et la dangerosité de lislam auprès
de vos parents, amis et connaissances ; expliquez ce que sont les « écoles » coraniques où est inculquée la « culture islamique »...
Et refusez de voter pour les partis et les personnalités
politiques qui, par crasse ignorance, par idiotie ou par pur opportunisme
(comme les prétendus « socialistes » ,
les « verts » et les « gauchistes »
de mauvais aloi), déroulent le tapis rouge aux adeptes du coran, de la
sharia et du djihad qui ne rêvent que
dune seule chose : anéantir la démocratie et lhumanisme !
Le député Belge Benoît Cerexhe (nous le citons lui mais nous aurions tout aussi bien pu en citer kyrielle d'autres) a beau appartenir au parti CDH qui se qualifie d« humaniste » (sans doute à juste raison sous bien des aspects de son programme), il a quelque peu tendance à confondre « humanisme » et « bêtise humaine » : il n'a rien trouvé de plus « humaniste » que de proposer linstauration, en Belgique, dun jour férié pour le ramadan... alors que le ramadan dure un mois et qu'il n'y a pas de jours fériés de ramadan dans les pays musulmans !.
Pas d'accord d'instaurer un jour férié pour le Ramadan |
Nous conseillons à ce député bruxellois de lire et relire le coran, de la première à la dernière page (ce quil na certainement jamais fait puisquil est catholique). Ca lui éviterait de passer pour un ignorant ou de sombrer dans la basse démagogie électorale. En tous cas, Benoît Cerexhe est de ceux qui sont prêts à ouvrir bien grandes les portes de la bergerie au loup qui attend patiemment l'opportunité d'égorger les moutons que nous sommes trop souvent !
En Belgique, le fossé ne cesse de saccroître entre la population qui refuse le vote des étrangers à une très grande majorité et une classe politique corrompue et opportuniste qui, par pur calcul électoraliste, spécule sur les voix qui pourraient être « récupérées » auprès des « non autochtones ». Cette classe de politiciens « ripoux » sefforce de minimiser les risques, pourtant bien réels et bien connus, que le vote des étrangers essentiellement ceux qui sont de confession musulmane ferait courir à nos démocraties fragilisées par lincompétence et la corruption.
« Sud Presse » - 27 octobre 2003
Selon un sondage, 70 % des Belges et 56,9 % des francophones refuseraient le vote étranger |
Une partie de la population étrangère est correctement intégrée mais il nest pas possible, légalement, dadopter une loi qui accorderait le droit de vote aux non musulmans et le refuserait aux zélateurs du coran. Une telle loi serait discriminatoire, donc illégale.
En Europe, il n'y a pas de moyens légaux d'accorder le droit de vote aux seules personnes issues de communautés qui ont une solide tradition démocratique : nous devons donc refuser le droit de vote à tous les ressortissants de pays hors communauté européenne.
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