Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Double langage page 2

Le langage islamique

Il existe chez les Arabo-musulmans un art oratoire que l'on désigne sous le nom de « takiyye ». La signification de ce mot est « art de la dissimulation » ce qu'en bon Français on traduit par « langue de bois ». Depuis plus d'un millénaire, discourir en jonglant sur une gamme qui va du mensonge pur et simple à un subtil mélange de fourberie, d’hypocrisie, de semi-vérité, d'omissions délibérées et de non-dits savamment distillés fait partie intégrante de la mentalité arabo-musulmane.

Faire confiance à un musulman sur la seule base de ses déclarations c'est être le dernier des imbéciles et un parfait pigeon puisque la religion musulmane, depuis sa création, enseigne à ses adeptes l’art d'avancer masqué et de promouvoir l'islam par la dissimulation.

Un exemple concret et récent de « takkiyye » nous est donné par les membres de l’actuel gouvernement turc, ces anciens « islamistes purs et durs » qui essayent de se faire passer pour des défenseurs de la démocratie et de la laïcité.

C’est ce qui transparaît d’un article publié par l’Express (30 octobre 2003) sous le titre « La conversion des islamistes turcs » dont un extrait est donné ci-dessous.

La formation qui avait triomphé en novembre 2002, était le fruit d'une alliance de circonstance, à l'idéologie incertaine, regroupant des transfuges des partis de centre droit et des islamistes. L'AK Parti se prétendait à l'époque « musulman-démocrate ». Après une année aux affaires, c'est un visage bien différent qu'il présente lors de ce congrès refondateur. Sur l'estrade, le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan est accueilli par une formidable ovation aux cris de : « La Turquie est fière de toi ! » Tranquillement, il énonce la ligne du mouvement, désormais privée de toute référence à la religion. « Nous sommes un parti conservateur démocrate. Notre formation ne repose ni sur des bases religieuses, ni sur des bases ethniques. » L'ancien islamiste se paie même le luxe de citer Kemal Atatùrk, le général qui, dans les années 1920-1930, a imposé, contre l'islam, la laïcité : « Nous avons pour objectif de faire que la Turquie fasse partie du monde civilisé » - entendez : occidental. Et de promettre une Turquie démocratique et « libérée des approches idéologiques » - comprenez encore : du laïcisme strict hérité d'Atatùrk, sur lequel veillent jalousement les généraux du pays. Dans la salle, les délégués écoutent avec attention. Les femmes sont rares, mais c'est commun à tous les partis turcs. La plupart d'entre elles portent un foulard sur les cheveux, mais pas toutes. Surtout, à la différence des congrès des partis islamistes d'antan, hommes et femmes ne sont désormais plus séparés.

Faut-il prendre au sérieux cette mutation idéologique de l'AK Parti, ou n'y voir qu'un cosmétique destiné à masquer une cause islamiste à laquelle les dirigeants de l'AKP n'auraient pas renoncé ? Sur les bords du Bosphore, un mot, en vogue, résume l'interrogation des élites libérales : Erdogan pratique-t-il le takiyye, l'art de la dissimulation en islam - en clair, l'hypocrisie ? Au congrès, il a répondu : « Je n'ai ni agenda ni programme secret. » « Il ne faut pas avoir peur, renchérit Eyùp Fatsa, député (et l'un des fondateurs) d'AK Parti. Nous sommes sincèrement occupés à établir une vraie démocratie en Turquie. La religion doit rester un choix personnel et en aucun cas une obligation. » Cet élu de la mer Noire se livre à un éloge sans faille du pluralisme. « la démocratie, c'est gérer la variété. Le port de la minijupe, c'est un choix personnel. Autoriser le foulard islamique à l'université ? Ce n'est pas la priorité du peuple. La priorité, ce sont les 11 millions de chômeurs. La Turquie compte des musulmans, des juifs, des alévis [une branche modérée et ana-tolienne de l'islam chiite, proche des laïques], des athées. Tous sont turcs et l'Etat doit être neutre et laïque... » II reconnaît le virage opéré : « La politique, c'est comme la technologie, elle doit s'adapter au monde qui change. Aujourd'hui, notre priorité, c'est de rejoindre l'Europe en démocratisant la Turquie. Nous faisons notre objectif des critères exigés par l'Union européenne au sommet de Copenhague. »

« L'islamisme est un mauvais calcul »

L'islam politique se serait-il enfin dissous dans le bain démocratique ? L'AK Parti se veut libéral en économie et conservateur sur les questions de société. Au congrès d'Ankara, le Britannique Graham Watson, président du Parti libéral démocratique européen, et le Grec Costas Caramanlis, au nom du Parti populaire européen - les deux formations de droite au Parlement de Strasbourg - saluaient « chaleureusement » un parti qui a, selon les mots du Grec, « reçu un mandat pour réformer ». Comment mieux dire qu'on est prêt à ouvrir les bras ? « L'islamisme est une fiction et un mauvais calcul, soutient Murât Mercan, un autre député AKP Oui, nous avons changé parce que nous avons compris que les Turcs ne veulent pas que la religion soit instrumentalisée par les hommes politiques. Le Coran ne résout pas les problèmes de la société. Il professe juste des valeurs : ne pas tuer, ne pas commettre d'adultère, ne pas voler, etc. » II n'y a guère, ces propos étaient inimaginables dans la bouche d'un islamiste. L'interdiction, sous la pression de l'armée, du parti islamiste Fazilet en 2001 ; l'emprisonnement d'Erdogan et son inélégibilité momentanée pour « propos séditieux » ; l'ampleur de la victoire en novembre dernier d'un parti qui découvre qu'il peut déborder un électoral islamiste confiné à 10 % et avoir vocation majoritaire sont autant de raisons qui peuvent expliquer cette conversion.

La menace que faisait peser l'islamisme sur le régime a été tant utilisée par l'armée et la bureaucratie pour freiner le mouvement de démocratisation que beaucoup de démocrates veulent croire en cette sécularisation de l'islam politique. « Nous vivons la dernière étape d'un mouvement de domestication de l'islam politique, soutient ainsi Murât Belge, professeur de littérature à l'université Bilgi. Notre tradition ancienne d'occidentalisation, de multipartisme, de constitutionnalisme les a obligés à évoluer. Ils ont compris que la société turque, par son histoire différente du monde arabe, est imperméable au fondamentalisme. » Et d'ironiser : « Quand j'entends un de leurs dirigeants, Mehmet Aydin, déclarer : "Le plus grand projet de Dieu était l'homme et on doit admettre qu'il a échoué", je me dis qu'un musulman qui parle ainsi ne me fait pas vraiment peur... » Pour cet intellectuel laïque et de gauche, la vraie menace sur la démocratisation en cours reste l'armée, capable, à l'en croire, de saboter le processus.

Dès que l'on connait un tant soit peu le Coran, il est aisé de mettre en évidence un mensonge grossier dans les déclarations du député Murat Mercan et montrer ainsi que le langage des dirigeants de l’AKP relève directement la « takiyye », la langue de bois à la façon islamique destinée à avancer masqué en manipulant son interlocuteur.

mensonge de l'AKP à propos du coran

Prétendre que le Coran professe de « ne pas tuer » ou de « ne pas voler » c’est prendre les Occidentaux pour des imbéciles de première catégorie ! Car si l'on peut trouver de rares passages où il est dit plus ou moins directement « de ne pas tuer » ou « de ne pas voler », il est d'autres passages, bien plus nombreux, qui eux appellent directement au meurtre et au pillage. N'oublions pas qu'il existe dans le Coran, livre où il serait soi-disant expliqué qu'il ne faut pas tuer ni voler, un chapitre intitulé « le butin » et qui précise, entre autres préceptes soi-disant pacifiques, les choses suivantes :

66. 0 prophète ! excite les croyants au combat. Vingt braves d'entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n'ont point de sagesse.
67. Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d'entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides.
68. Il n'a jamais été donné aux prophètes de faire des prisonniers sans commettre de grands massacres sur la terre. Vous désirez le bien de ce monde, et Dieu veut vous donner ceux de l'autre. Il est puissant et sage.
69. Si la révélation faite précédemment n'avait pas semblé vous y autoriser. Dieu vous aurait fait expirer par des châtiments douloureux la rançon des captifs à Badr.
70. Nourrissez-vous des biens licites enlevés aux ennemis et craignez le Seigneur. Il est clément et miséricordieux.
71.0 prophète ! dis aux prisonniers qui sont entre vos mains : si Dieu voit de la droiture dans vos cœurs, il vous donnera des richesses plus précieuses que celles qu'on vous a enlevées, et ils vous pardonnera, parce qu'il est clément et miséricordieux.

On conviendra que dans le genre instructions spécifiant de « ne pas tuer », ou de « ne pas voler » c'est assez étrange !
Ce qu'il faut savoir c'est que les passages « pacifiques et tolérants » correspondent aux périodes où Mahomet était en état d'infériorité militaire et où il ne pouvait rien faire d'autre que d'être pacifique et tolérant. Les passages incitant au meurtre et au pillage correspondent aux périodes où ce même Mahomet était en position de force et pouvait imposer sa dictature par la violence. Or l'islam, c'est exactement cela : la paix quand on n'est pas en position d'imposer l'islam par la force, afin de se placer en position de force pour imposer l'islam.

danse arabe du sabre Chez les arabo-musulmans, nombreuses sont les activités sociales qui se rattachent à la guerre, par exemple la « danse des épées » que les hommes pratiquent encore en Arabie lors de certaines festivités. Les danseurs font tournoyer leurs lames pour simuler un combat contre les « djinn », ces « esprits malins » hérités des croyances préislamiques. En Afrique du Nord, les « fantasias » ont aussi un caractère spécifiquement guerrier. Elles évoquent les « razzias » (ghazou), ces attaques faites par surprise qui constituent la principale tactique guerrière des bédouins.

Les Occidentaux ont, hélas, une facheuse tendance à effectivement être des imbéciles de première catégorie, avec palmes et diamants, quand il s'agit du Coran, de l'islam et de Mahomet, puisque l'immense majorité non seulement n'a jamais lu une seule ligne du Coran et ignore absolument tout de l'histoire de Mahomet mais l'immense majorité des occidentaux REFUSE de se renseigner. Pour les occidentaux « Tous le monde il est beau, tous le monde il est gentil, le Coran est forcément un peu comme la bible, pas besoin de le lire, Mahomet a forcément de nombreux points communs avec Jésus, inutile de se renseigner sur lui, l'islam est une religion comme les autres, il ne sert à rien d'en savoir plus, et les musulmans sont forcément finalement peu différents des chrétiens, pas la peine de creuser la question »... Tout cela est une absurdité sans fond mais est tellement plus confortable intellectuellemement que de devoir considérer que l'Occident a été aveugle et sourd à la réalité et qu'il va maintenant falloir faire face à un problème dont la résolution sera longue et douloureuse, d'autant plus longue et douloureuse que l'on s'y prendra tardivement.

L’aptitude à user d’un double langage et d’un double comportement est à ce point ancrée dans la mentalité arabo-musulmane que la majorité des Occidentaux se laissent abuser et berner par eux.

Il n'est d'ailleurs pas nécessaire de se référer à la Turquie pour trouver des exemples qui parlent d'eux mêmes.

livre de Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris : Non, l'islam n'est pas une politique ! La démocratie locale selon le conseil français du culte musulman : une marianne avec un voile sur les yeux

Voici ce que le recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, écrit quand il s'exprime sur l'une des pages du site internet de sa mosquée :

« La règle qu'il (L'islam) donne est d'une large portée: elle inclut les domaines sociaux, économiques, politiques, métaphysiques, moraux et spirituels... »

Mais quand il s'exprime en dehors du site de sa mosquée, il écrit un livre qui dit… le contraire :

« Non ! L'islam n'est pas une politique »

En condensé, cela donne :

L'islam n'est pas une politique : la règle qu'il donne inclut le domaine politique.

En clair, ce qu'il faut donc comprendre c'est en fait :

L'islam n'est pas SEULEMENT une politique.

C'est effectivement particulièrement subtil, si subtil qu'il n'y a guère que les musulmans rompus à l'art de la « takiyye » qui comprennent…

logo hedomadaire Télé ZUn autre exemple de double-langage islamique est copieusement diffusé chaque semaine sur la chaine de télévision France 2, le dimanche matin, dans le cadre de l'émission religieuse Les chemins de la Foi. Faites l'expérience de regarder, et d'écouter attentivement, l'émission consacrée à l'islam : vous pourrez vérifier la plupart de ce qui est affirmé sur cette page concernant la magistrale aptitude des Mahométans dans l'art de faire croire le contraire de la réalité, comme par exemple que l'islam est une religion « de paix et de tolérance », que Mahomet fut le plus parfait, le plus pacifique et le plus tolérant de tous les hommes, que les mosquées ne sont que des havres de paix et de tolérance... ou que les élèves qui fréquentent les « écoles » coraniques sont aussi les meilleurs élèves dans les écoles républicaines.
Toujours concernant cette émission, il est aussi une autre application, fort judicieuse, de l'art de la dissimulation. Regardez votre programme télé du dimanche matin pour France 2 : vous constaterez que les musulmans dissimulent presque systématiquement le sujet de leur émission, contrairement à toutes les autres religions qui, elles, jouent carte sur table.
Mensonge et dissimulation : tel est le credo de l'islam de France le dimanche matin, ce qui n'est guère que l'application de l'islam EN France.

La méconnaissance du monde arabe et de l’islam est telle, dans nos contrées, que même les dirigeants politiques se font « mener en bateau » par les musulmans. Ils se fient aux déclarations et aux écrits sans se rendre compte du fait que la réalité est toute autre.

Que dire, en effet, de cette prétendue « déclaration islamique des droits de l’homme », adoptée par les pays islamisés, qui énonce toute une série de « droits »... en précisant sournoisement que ces droits ne peuvent s’exercer que dans les limites des prescriptions coraniques  ? Concrètement, cela signifie que ces « droits » sont... inapplicables ! C’est un leurre pour Occidentaux naïfs !

Et que penser de la constitution des E.A.U. (Emirats Arabes Unis) qui dit notamment que : « L’égalité, la justice sociale, l’ordre et la sécurité sont les fondements d’une société dont la famille est le pivot central… » en affirmant par ailleurs qu’elle doit «  …servir d’exemple au monde arabe et l’inciter à s’unir pour jouer dans le monde le rôle qui lui revient de par son histoire, sa culture et ses ressources ». Ici encore, tout est dit sans être dit et il faut savoir lire ce qui n'est pas écrit et comprendre ce qui n'est pas exprimé :

Où est l’« égalité » et la « justice sociale » dans le monde arabo-musulman et principalement en Arabie et dans les émirats, pays où la disparité est maximale entre, d’une part, un peuple analphabète et pauvre et, d’autre part, une oligarchie richissime qui détient un pouvoir quasi absolu par le seul fait de la religion d’état et de sa sinistre conséquence : la shar’iah ?

De tout ce fatras, on ne doit guère retenir que les mots « ordre » et « sécurité » qui sont à la base du comportement inconséquent des polices contrôlées par les autorités religieuses bien plus que par les autorités civiles. On doit surtout retenir la volonté d’imposer le modèle arabe en vue d’une union des arabo-musulmans qui doit conduire à renforcer leur influence dans le monde entier et, in fine, favoriser la relance du « djihad ».

On ne parle évidemment pas du djihad dans la constitution des émirats mais cette notion est indissociable de l’islam, religion d’état des nations islamiques. Il s’agit là, d’une notion « sous entendue », tout comme celle du « dar el Sulh ». Avec les textes émanant des pays musulmans, lire ce qui est écrit ne suffit pas. Pour comprendre valablement un texte rédigé par un arabo-musulman, il faut, comme lui, être imprégné de cette prétendue « culture islamique » - on devrait plutôt parler d’ « inculture » - à laquelle la constitution des E.A.U. fait référence.
Il faut connaître le coran et l’islam qui sont les seuls « éclairages » permettant de décrypter ces textes ambigus, rédigés par des spécialistes de la langue de bois qui auraient fait pâlir d’envie les meilleurs experts du KGB de l’ex Union soviétique.

C’est pour cela que tant d’occidentaux, même très cultivés, se sont laissés « rouler dans la farine » par les dirigeants du monde arabo-musulman.

Hormis le bouddhisme, aucune religion n’a concrètement véhiculé un véritable message de paix. C’est surtout vrai pour les religions monothéistes découlant de l’Ancien testament des Hébreux. Car, à partir du moment où une communauté prétend adorer le « vrai » dieu et détenir la « vérité révélée », elle ne peut que devenir intolérante. De l’intolérance à l’envie d’éliminer tout ceux et celles qui ne pensent pas de la même manière, il n’y a qu’un pas toujours vite franchi, même par le christianisme qui proclame pourtant « Aimez-vous les uns les autres ». Alors dans le cas du coran qui, lui, proclame « Tuez les infidèles partout où vous les trouverez » et autres maximes de « paix et de tolérance » on comprend aisément l’extrême dangerosité de ce texte et de la religion qui en découle, l’islam.

Si le bouddhisme a échappé à cette très fâcheuse tendance, c’est d’abord parce que son message est strictement athée. Ce n’est pas nous qui formulons cette affirmation, c’est une évidence reconnue par tous les spécialistes des religions et des cultures orientales. C’est ainsi que dans le « Grand Mémento » en deux volumes des éditions Larousse, on peut lire (tome 1, page 473), la mention suivante :
« …Le bouddhisme est « athée », il n’admet que des dieux temporaires. Tel homme, accumulant du mérite, renaît comme dieu ; lorsque son mérite est épuisé, il meurt dans le ciel et renaît dans une destinée inférieure. Le moteur de l’univers et de la transmigration n’est pas un dieu créateur-providence mais seulement l’acte, bon ou mauvais, de chacun des êtres vivants… C’est une « religion de joie » (J. Przyluski) en dépit du « pessimisme » qui entraîne les moines dans les voies du nirvâna. La plus grave erreur de nos devanciers a été de penser que le nirvâna de l’ancien bouddhisme est l’anéantissement. le moine s’efforce vers le nirvâna comme le chrétien vers la vie éternelle, avec joie et espérance… ».

Une telle vision du « divin » ne peut être que pacifique et tolérante. Elle s’oppose radicalement à la volonté de domination qui anime les monothéistes retranchés derrière leur alibi commode mais indéfendable. Comme le disait si bien Przyluski, le bouddhisme est une « religion de joie » mais aussi de paix intérieure et de paix universelle. A l’inverse, l’islam est une « religion de tristesse », une religion de guerre et de mort.

Les moines bouddhistes sont de vrais ascètes qui se passent parfaitement des gadgets de la vie dite « moderne ». Mais ils ne se comportent pas de manière hypocrite. Ils ne dénoncent pas le « progrès satanique » un jour pour s’en servir en douce le lendemain. Le dalaï-lama, « dieu vivant » des bouddhistes tibétains, se comporte humblement et modestement, comme n’importe quel moine. Il ne dénonce ni la photographie, ni le cinéma, ni la télévision mais n’y attache pas une grande importance. La voiture qui le transporte est modeste, juste confortable. Certains chômeurs ou Rmistes musulmans de France ou de Belgique se pavanent de façon ostentatoire dans des véhicules bien plus luxueux. Le dalaï-lama est un dieu vivant mais c’est aussi et surtout un exemple vivant. Rien à voir avec l’orgueilleux Mahomet et ses « successeurs ».

Nous sommes d’autant plus à l’aise pour émettre ces réflexions que nous sommes athées au sens le plus strict du terme (et non dans le sens bouddhiste que ce mot peut recouvrir). Nous n’avons pas pour objectif de comparer les mérites et les inconvénients des religions mais d’en démontrer les mensonges et les effets pervers, tant pour l’individu que pour l’humanité toute entière.

Cependant, puisqu’il apparaît que, de tous temps, l’être humain a tenté d’endiguer ses angoisses vis-à-vis de la vie et de la mort en s’inventant des divinités en tous genres, nous prenons acte du fait et nous conseillons à ceux et celles qui seraient « en manque de spiritualité », de se tourner vers le bouddhisme. C’est la seule pratique spirituelle qui, à défaut de prouver quoi que ce soit (les religions n’ont jamais rien prouvé du tout et ne reposent que sur des dogmes invérifiables), a au moins le mérite d’être une « religion de joie et de paix », une religion positive, bienfaisante et parfaitement inoffensive. Le dalaï-lama n’a jamais fait de prosélytisme mais, sur ce point-là de notre analyse, il ne nous contredira certainement pas.

Conséquence de ce conseil : citez les passages du coran dont jamais les musulmans ne font mention, exposez les notions que l'islam dissimule soigneusement (dhimmitude, Dar El sulh, etc...), expliquez qui fut réellement mahomet, révélez la face cachée de l'esclavage en terres d'islam, dénoncez les outrances et la dangerosité de l’islam auprès de vos parents, amis et connaissances ; expliquez ce que sont les « écoles » coraniques où est inculquée la « culture islamique »...
Et refusez de voter pour les partis et les personnalités politiques qui, par crasse ignorance, par idiotie ou par pur opportunisme (comme les prétendus « socialistes » , les « verts » et les « gauchistes » de mauvais aloi), déroulent le tapis rouge aux adeptes du coran, de la shar’ia et du djihad qui ne rêvent que d’une seule chose : anéantir la démocratie et l’humanisme !

Le député Belge Benoît Cerexhe (nous le citons lui mais nous aurions tout aussi bien pu en citer kyrielle d'autres) a beau appartenir au parti CDH qui se qualifie d’« humaniste » (sans doute à juste raison sous bien des aspects de son programme), il a quelque peu tendance à confondre « humanisme » et « bêtise humaine » : il n'a rien trouvé de plus « humaniste » que de proposer l’instauration, en Belgique, d’un jour férié pour… le ramadan... alors que le ramadan dure un mois et qu'il n'y a pas de jours fériés de ramadan dans les pays musulmans !.

Le député Belge Benoît Cerexhe propose l’instauration, en Belgique, d’un jour férié pour… le ramadan

Pas d'accord d'instaurer un jour férié pour le Ramadan
La proposition du députe bruxellois Benoît Cerexhe (cdH) d'instaurer un jour férié pour le Ramadan a suscité la protestation du député fédéral MR Philippe Monfils mais aussi celle de Richard Fournaux, lui aussi député fédéral mais dans les rangs même du cdH. Pour M. Foumaux, ce jour de congé provoquerait une augmentation du coût du travail pour les entreprises. Il relève par ailleurs le paradoxe existant entre la volonté de "déconfessionnalisation" de la vie publique souhaitée par certains parlementaires, alors que les mêmes s'attachent à réintroduire dans cette vie publique des notions comme la "promotion de la religion musulmane". Selon lui, "l'effort entrepris par un pays comme la Belgique pour améliorer l'intégration des personnes de nationalité étrangère vire à l'excès".
Pour Philippe Monfils, la proposition de M. Cerexhe est inspirée "par une démagogie préélectorale évidente à destination des Musulmans". Elle risque, selon lui, d'"être reçue par l'écrasante majorité des Belges qui n'adhèrent pas à cette religion comme une volonté d'imposer le rythme et la manière de vivre des Musulmans de Belgique à l'ensemble de la population".

Nous conseillons à ce député bruxellois de lire et relire le coran, de la première à la dernière page (ce qu’il n’a certainement jamais fait puisqu’il est catholique). Ca lui éviterait de passer pour un ignorant ou de sombrer dans la basse démagogie électorale. En tous cas, Benoît Cerexhe est de ceux qui sont prêts à ouvrir bien grandes les portes de la bergerie au loup qui attend patiemment l'opportunité d'égorger les moutons que nous sommes trop souvent !

En Belgique, le fossé ne cesse de s’accroître entre la population qui refuse le vote des étrangers à une très grande majorité et une classe politique corrompue et opportuniste qui, par pur calcul électoraliste, spécule sur les voix qui pourraient être « récupérées » auprès des « non autochtones ». Cette classe de politiciens « ripoux » s’efforce de minimiser les risques, pourtant bien réels et bien connus, que le vote des étrangers – essentiellement ceux qui sont de confession musulmane – ferait courir à nos démocraties fragilisées par l’incompétence et la corruption.

sondage, 70 % des Belges et 56,9 % des francophones refuseraient le vote étranger
« Sud Presse » - 27 octobre 2003

Selon un sondage, 70 % des Belges et 56,9 % des francophones refuseraient le vote étranger
Une majorité de citoyens belges, y compris de francophones, serait opposée à l'octroi du droit de vote aux personnes étrangères extra-européennes pour les élections communales. C'est du moins ce à quoi conclut un sondage effectué, auprès de 800 personnes (!). pour le compte des quotidiens Het Belang van Umburg et Gazet van Antwerpen. Ainsi, 70 % des Belges. 56.9 % des francophones et 79.6 % des Flamands seraient opposés à ce droit de vote.
1. Faible majorité chez les socialistes. Les militants du PS seraient majoritairement — mais de peu — favorables à la question (49.7 % de non) ; les militants spa s'y disent opposés (62.5 %).
Elio Di Rupo (PS) : "Un parti ne peut pas réagir sur base d'un sondage mais bien de son programme. Dans le nôtre, le droit de vote aux étrangers est bien inscrit et. pour rappel, nous avons gagné les élections. Je compare cette situation avec celle du président Mitterrand dans les années 80 au cours desquelles la peine de mort a été abolie alors que la majorité des Français étaient "pour".Aujourd'hui, l'opinion des Français est inversée."
SteveStevaert (spa) :"Nous savons que les gens sont contre. Mais un parti politique doit suivre son programme. Même s'il n'est pas populaire. Je pense aussi qu'avec le temps, l'opposition disparaîtra."
2. Non radical chez les libéraux.
Au MR. 84.7 % des sondés ont répondu non. Au VLD. on trouve 90 % de "non", ce qui reste moins qu'au VlaamsBlok(100%).
Antoine Duquesne (MR) : " Le MR a gagné les élections. Louis Michel a eu le record de voix francophones. et le droit de vote aux immigrés était dans notre programme. Il faut qu'on prenne conscience que ça ne concernerait qu'environ 100.000 personnes. Mais nous comprenons que la population s'inquiète. C'est pourquoi nous conditionnons l'octroi à une déclaration de respect à la Constitution."
3. Opposition francophone absente du sondage. Si leCD&V apparaît bien avec ses 74,5 % de contre. il n'y a aucune trace d'Écolo, du CDH ou d'Agalev : sur 800 personnes. le nombre de sondés se déclarant électeurs d'un de ces trois partis n'était pas suffisamment révélateur. ce qui atteste d'un échantillon trop limité...
Notez encore que le degré de refus varie, dans ce sondage, selon l'âge :
de 57.5% chez les 18-24 ans à 62,5% chez les plus de 65 ans. Et que le niveau de formation joue aussi : de 74.4 % chez les "bas niveaux" à 61.6 % chez les niveaux "plus élevés"

Une partie de la population étrangère est correctement intégrée mais il n’est pas possible, légalement, d’adopter une loi qui accorderait le droit de vote aux non musulmans et le refuserait aux zélateurs du coran. Une telle loi serait discriminatoire, donc illégale.

En Europe, il n'y a pas de moyens légaux d'accorder le droit de vote aux seules personnes issues de communautés qui ont une solide tradition démocratique : nous devons donc refuser le droit de vote à tous les ressortissants de pays hors communauté européenne.

  page précédente   page suivante