TUEZ ! 

Qui donc faut-il tuer ? les infidèles !
Et c'est qui, « les infidèles » ? : les non-musulmans !
Euh... vous êtes certain ? Mécréant, vois donc ce qui dit le Saint coran :

 Tuez-les  partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés. La tentation à l'idolâtrie est pire que le  carnage  à la  guerre . Ne leur livrez point de  combat  auprès de l'oratoire sacré, à moins qu'ils ne vous y attaquent. S'ils le font,  tuez-les . Telle est la récompense des infidèles.
Le Saint Coran, sourate 2, verset 187

 Etc... etc... 

Euh... oui, bon... mais ce n'est peut-être qu'une façon de s'exprimer, il ne faut pas le prendre au pied de la lettre, il faut l'interpréter...
Ignorant, ne sais-tu donc pas ce que disent les Savants dans les commentaires du coran traduit par l'Université d'Al Azhar ?
Voici ce qu'ils disent à propos du verset 4 de la sourate 47 (Lorsque vous affrontez les incroyants durant le combat, frappez leur cou).
« Ce verset précise les "cous" parce que le fait de frapper sur le cou est le moyen le plus sûr de donner la mort sans torture. Il a été prouvé que le cou, reliant la tête au corps, toute rupture dans le système nerveux rend tout le corps paralysé; si l'on coupe les artères et les veines, le sang s'arrête et n'arrive pas au cerveau aussi la mort survient-elle rapidement. »
De plus, Mécréant, ne sais-tu donc pas que le saint coran s'interprète en fonction du beau modèle donné par le prophète Mahomet ? Voici un exemple, parmi de nombreux autres, de ce que fit Mahomet afin de nous faire comprendre comment interpréter le coran :
Lors de la conquète de La Mecque il déclara : Dix personnes (dont 4 femmes dont il cita les noms, entre autres Ikrima ben Abi Jahl, Hind bent Otba, Meqias Ben Sababa Al Laïthi...) devront être tués. Certains de ceux dont le Prophète (saw) avait autorisé le meurtre furent tués, d'autres se convertirent.

 Abattez leurs têtes 
Le Saint Coran, sourate 8, verset 12

Le rituel musulman annuel de l'Aïd El Kebir impose aux adorateurs de Mahomet et de son coran d'égorger un mouton.

C'est le chef de famille qui effectue l'égorgement, en présence de tous les membres de la famille. Ainsi, tout enfant musulman assiste régulièrement à des égorgements, puis à son tour pratique lui-même, tous les ans, un égorgement.

Voir un animal se faire égorger, crier, se débattre, voir du sang gicler en abondance... un tel spectacle est loin d'être inoffensif, tout particulièrement dans le mental des enfants. Dès le plus jeune âge, l'éducation musulmane endoctrine les enfants afin qu'ils trouvent « normal » de pratiquer des égorgements au couteau. Pour l'islam, un bon musulman doit s'habituer à ce genre de spectacle et de pratique au plus tôt. De telles images se gravent profondément dans l'inconscient et la répétition annuelle de ce rituel d'égorgement va provoquer une association inconsciente irrémédiable avec la notion de mort violente tout en la banalisant.
Ainsi, lorsqu'un musulman va être amené à tuer, quel que soit le motif, mais plus particulièrement s'il s'agit d'un motif religieux, les images de mise à mort par égorgement avec un couteau vont s'imposer à lui, « instinctivement », comme une méthode connue, efficace, sûre et déjà expérimentée, à plusieurs reprises, non seulement par ce musulman lui-même mais par son père, son grand-père, l'ensemble de ses ancètres, ses connaissances et l'ensemble des pères, grand-pères et ancètres de ses connaissances. L'égorgement est, pour un musulman, une méthode intimement et inconsciemment associée au fait de tuer.

Contrairement aux non-musulmans, les musulmans utilisent plus « naturellement » l'égorgement pour tuer car ils sont habitués à cette technique grâce à la fête musulmane de l'Aïd El Kébir. Outre cette fête, l'égorgement d'un mouton est aussi une des obligations à accomplir lors du pèlerinage de La Mecque. C'est ainsi que la plupart des tueries organisées par des musulmans armés de fusils se terminent « inexplicablement » (aux yeux des non-musulmans) par des séances d'égorgement, exactement comme lors de la fête de l'Aïd El Kébir.

Cette notion d'égorger pour tuer est majoritairement absente de la mentalité non-musulmane, notamment occidentale.
Le sang n'apparait plus dans les religions occidentales. Dans la religion chrétienne, il a été remplacé depuis 2000 ans par du vin et la notion de tuer a complètement disparu : le vin est qualifié de « sang de l'alliance éternelle ». Pour trouver dans cette formulation la notion de tuer, il faut se lever tôt !
Les terroristes des années 70, Brigades Rouges et Action Directe, n'ont jamais égorgé aucun de leurs otages. Cela ne leur serait jamais venu à l'idée car ils n'avaient pas dans leur inconscient d'images d'égorgement : Aldo Moro, enlevé par les Brigades Rouges, a été tué par arme à feu.
Les films qui montrent des assassins tuant leurs victimes les montrent majoritairement pistolet à la main. Le couteau n'est guère utilisé que dans certains films de guerre, dans la main de soldats qui doivent éliminer une sentinelle, et la scène d'utilisation du couteau est plus souvent suggérée que montrée.
Cherchez bien dans votre mémoire : vous ne trouverez pas d'images d'égorgement, et très peu d'images de tuerie au couteau.
Par contre, si vous êtes musulman vous avez assisté à autant de séances d'égorgement que vous avez fêté d'Aïd El Kébir. Et de baptèmes : car pour les musulmans, un baptème doit AUSSI être célébré par un égorgement !
A 20 ans, tous les musulmans du monde ont au fin fond de leur caboche plus d'une douzaine de spectacles d'égorgement, associés au nom d'Allah, et l'idée qu'égorger c'est « normal ». A de rares exceptions près (comme les bouchers par exemple), un non-musulman du même âge n'a jamais assisté à une cérémonie d'égorgement et l'idée d'apprendre à égorger le répugne.

Si vient le projet de tuer, le non-musulman n'a pas le réflexe d'envisager l'égorgement car cette méthode est absolument étrangère à sa mentalité. C'est par contre une méthode qui fait parti intégrante de la mentalité des personnes de culture musulmane.

Lors du procés d'Omar Radad, jardinier marocain injustement accusé du meurtre sanglant de sa patronne, Mdme Marchal, un témoin de la défense déclarait au tribunal :
« Omar ne ferait pas de mal à une mouche ! ».
Et le président du tribunal rétorquait :
« Pourtant, il égorge un mouton tous les ans... »
L'islam a banalisé l'égorgement à tel point qu'il n'est plus associé par les musulmans à la notion de mort mais est devenu un simple rituel religieux parfaitement pacifique !
Le texte et les dessins ci-dessous proviennent d'un élève musulman de CM1 (environ 10 ans) :

La fin du ramadan: A la fin du ramadan, on doit couper un mouton ou une vache. Quand on coupe l'animal, on doit dire "bismilahmanirahim" et on lui coupe la tête. Nous devons partager avec les pauvres. Veysel

Source : http://cyberechos.creteil.iufm.fr/cyber17/Actualite/musulmane/fin.htm

Lorsque Brigitte Bardot qualifie les musulmans d'« égorgeurs de moutons », ce n'est que la constatation de la réalité. Il suffit de consulter une discussion au sujet de l'égorgement des moutons sur un forum musulman pour s'en rendre compte, et constater par la même occasion que le premier réflexe de ces égorgeurs de moutons ce n'est pas de comprendre la société dans laquelle ils vivent mais d'appliquer la méthode de Mahomet leur beau modèle : l'hypocrisie tant que l'on n'est pas assez fort pour imposer sa volonté par la violence. Combien de musulmans se posent-ils la question de savoir pourquoi au XXIème sicèle il est interdit de faire de la boucherie n'importe comment et n'importe où ? Combien savent qu'il y a de bonnes raisons à l'application de rêgles sanitaires pour la boucherie ? Combien d'ailleurs s'en soucient ? Combien ? Si peu qu'ils en sont négligeables. Reconnaître cela n'oblige pas à adhérer à l'ensemble des opinions de Brigitte Bardot mais sur ce point au moins elle a parfaitement raison.

Pour un non-musulman, égorger est un acte qui n'a rien d'habituel.
Pour un musulman, c'est une acte banalisé par l'islam et parfaitement intériorisé, de façon d'autant plus dangereuse que cette intériorisation est largement inconsciente.

Vous trouvez ce raisonnement excessif ?
Comparez donc les deux photos ci-dessous, vous constaterez que la différence ne vient que de la victime. Même cadrage, même geste, et même justification pour les deux personnes qui tiennent le couteau : c'est l'islam qui l'ordonne. Hasard ?

A votre avis, l'otage va-t-il être :
- « simplement et proprement » tué d'une balle dans la tête ?
ou bien va-t-il être
- d'abord égorgé, hurlant et se débattant dans une mare de sang comme un banal mouton de l'Aïd El Kebir, afin de pouvoir ensuite facilement abattre sa tête comme recommandé par le verset 12 de la sourate 8 du coran ?

Et pour ceux qui s'obstineraient à naïvement croire que "Cela n'a rien à voir avec l'islam" nous leur recommandons d'aller voir un florilège de vidéos islamiques « pacifiques et tolérantes ».

Pour les âmes sensibles qu'une vidéo d'égorgement répugnerait, voici quelques images plus soft (tout est relatif...) qui donnent cependant une bonne idée du culte rendu au sang dans la « religion d'amour de paix et de tolérance » islamique. Les musulmans ne pratiquent pas de telles mortifications en occident pour la princpale raison que les auto-mutilations y sont interdites. Par contre vous ne trouverez aucune autorité musulmane pour condamner ces pratiques. Il n'y a de toutes façons aucune autorité musulmane pour le faire puisque dans la religion musulamne, il n'existe seulement que des chefs locaux plus ou moins auto-proclamés ou cooptés.
Rappelons que l'église catholique condamne officiellement les quelques chrétiens trop zélés qui, aux philippines, participent à des reconstitutions de la crucifixion du christ où ils se font planter de vrais clous dans les mains et les pieds.

Tous les parents, même les animaux, protègent leurs enfants...

... en principe !