Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Femmes page 4

Quand le coran devient l’alibi des violeurs


Dans leurs éditions du 30 mai 2003, nos journaux ont fait état d’un « fait-divers » qui s’est déroulé dans un collège parisien, un « collège comme les autres » précisait « Le Parisien », ce qui n’a rien de bien rassurant compte tenu de la nature des faits. En l’occurrence, il s’agissait du viol en réunion d’une adolescente de 13 ans par quatre petits voyous âgés de 12 à 14 ans.

Pour sa part, le groupe belge « Sud Presse » avait choisi de titrer « Petits viols entre ados au cœur de Paris », comme s’il existait des petits, des moyens et des grands viols ! Le genre de titre qui tend à banaliser des comportements pourtant franchement crapuleux, même s’ils ont été commis par des adolescents.

On relèvera, par ailleurs, que la presse – dans son ensemble – s’est bien gardée de trop insister sur le fait que les quatre violeurs étaient tous originaires de la communauté arabo-musulmane et qu’ils s’étaient réfugiés derrière l’alibi – si commode – du coran pour justifier leurs forfaits. Leur cynisme était tel qu’il a étonné des policiers et des magistrats pourtant habitués à ce genre d’attitude. Les quatre « pseudo caïds » ont notamment affiché un mépris de la femme en se référant à l’islam qui « permet de punir les salopes ». C’est ce qui a fait écrire à la rédaction du « Parisien » que les quatre adolescents avaient « une vision de la femme qui fait froid dans le dos ».


Si l’article de « Sud Presse » débutait par un titre « douteux », il s’est avéré néanmoins intéressant pour l’encart qui avait été inséré à sa suite. C’est lui que nous reproduisons ci-après.

viols en réunion

UN PHÉNOMÈNE ISSU DES CITÉS EN DIFFICULTÉ
Les " tournantes " ou viols en réunion entre ados. souvent mineurs, sont un phénomène récurrent depuis quelques années. Selon un prof interviewé lors d'une émission "Envoyés spécial" (France 2) sur ce sujet, une fille sur deux en connaît une qui s'est "fait tourner" et la moitié des garçons connaissent un violeur de la sorte. Les tournantes, dites aussi "plans pétasses", sont nées dans les cités de banlieues en difficulté. Dans les quartiers immigrés, elles prennent la forme d'une punition pour les jeunes maghrébines qui ne respectent pas suffisamment l'Islam aux yeux des garçons. Les premières " affaires " de tournantes sont parues dans la presse française au printemps 2001. Depuis, elles se suivent et se ressemblent. De très jeunes adolescentes entraînées dans des caves d'immeubles par un copain, voire un petit copain, se font violer en série. Les agresseurs sont condamnés par des peines de prison ferme. Mais il apparaît souvent qu'ils n'ont même pas le sentiment d'avoir commis un délit...

On aura constaté – une fois encore - que le titre est plus que douteux. Car si le très inquiétant phénomène des « tournantes » s’est développé dans les « banlieues difficiles », il a bel et bien vu le jour au sein des communautés arabo-musulmanes qui, bien souvent, constituent l’essentiel de la population de ces cités.

Il est le résultat du mépris que les musulmans affichent pour les droits de la femme ainsi que des « prescriptions coraniques » que diffusent bon nombre d’imams dans les mosquées.

Article relatif à une émission diffusée par
la chaîne franco-allemande « Arte » (27
juin 2003) - Hebdomadaire « Télépro »
- Juin 2003
Cliquer dans l'article pour le lire

Article relatif à une émission diffusée
par la chaîne franco-allemande « Arte » le 27 juin 2003
Hebdomadaire « Télépro » - Juin 2003

Pour ces jeunes, l’islam est un alibi commode qui leur permet de donner une apparence religieuse à leurs instincts les plus vils et les plus bas. En fait - quoi que puisse laisser penser l’encart de presse reproduit ci-dessus – les jeunes violeurs savent parfaitement qu’ils commettent un délit. Mais ils se réfugient – comme tous les lâches de leur espèce – derrière l’alibi coranique. Ils espèrent ainsi passer entre les mailles du filet de la loi lorsqu’ils sont dénoncés et arrêtés. Le surnom commun de ces viols en réunion – « plan pétasse » - indique d’ailleurs clairement qu’il n’y a rien de religieux dans tout cela. Les petits salopards, sous un prétexte quelconque, décrètent qu’une fille n’est pas une « bonne musulmane » dans le seul but « de se la faire » ! Ils commettent leurs forfaits en parfaite connaissance de cause et prennent même un réel plaisir à transgresser les lois occidentales. Nous avons dit par ailleurs que, de plus en plus souvent, les jeunes musulmans affirment que seule la loi coranique leur est applicable et qu’il n’ont « rien à foutre » des législations et réglementations des « mécréants » !


L’article de Sud-Presse rappelait, en outre, que les viols d’adolescentes sont de plus en plus fréquents dans les agglomérations urbaines à forte concentration de populations issues de l’immigration. C’est ainsi qu’au début du mois de mai, deux gamins de 13 ans ont été incarcérés pour le viol d’une collégienne de 12 ans (dans le département des Yvelines). Au début d’avril, quatre autres jeunes de 15 et 16 ans avaient été inculpés du viol d’une adolescente dans la région de Perpignan.

Le phénomène des « tournantes » et des viols d’adolescentes n’a donc rien de marginal. Il tend même à se propager à l’ensemble des jeunes en difficulté, qu’ils soient ou non musulmans. L’attitude des arabo-musulmans vis-à-vis des femmes déteint aussi sur le langage des jeunes. Une expression comme « nique ta mère » est tirée du langage des jeunes beurs et ce n’est là qu’un exemple parmi bien d’autres. On n’en finirait pas de mentionner les nombreux effets désastreux que génère, pour les enfants et les adolescents non musulmans, la fréquentation quotidienne des mini caïds de banlieue.

Cette forme de contagion d’origine islamique ne semble pourtant pas inquiéter outre mesure les autorités compétentes qui, bien au contraire, s’efforcent de minimiser les choses et donnent des instructions à la presse et aux médias pour que l’on n’insiste pas trop sur l’origine réelle du problème, à savoir l’islam et le coran. C’est ainsi que la lâcheté des « bons musulmans » (celle qui consiste à se servir de l’alibi divin pour commettre des crimes et des délits) se trouve confortée par la lâcheté de nos dirigeants administratifs et politiques !


Il existe pourtant une solution à ce problème. Elle consisterait dans la création de centre spéciaux de rééducation, de réinsertion civique et sociale, spécialement conçu pour les délinquants mineurs, comme cela existe dans certains états des USA où ces centres sont gérés par l’armée et la « rééducation » confiée à des instructeurs militaires. L’ encadrement y est composé d'autant d’hommes que de femmes afin d’affirmer la notion de parfaite parité entre les deux sexes.


Cet exemple illustre, une fois encore, le caractère criminogène du coran et de l’islam. C’est pour cette raison que nous ne cessons d’affirmer que le coran mérite d’être considéré comme le livre le plus dangereux qui ait jamais été écrit et, qu’en tout état de cause, sa vente, sa diffusion et son enseignement devraient être interdits sur l’ensemble du territoire européen et ce, conformément aux législations en vigueur ainsi qu’aux conventions signées par les Etats-membres (dont la Convention européenne des droits de l’homme…et de la femme !).

L’enseignement du coran aux jeunes enfants et aux adolescents devrait être rigoureusement interdite en application du principe de précaution et du principe de correction à la source (Article 130R du Traité de l’Union). Leur santé morale et psychique est gravement menacée par les idées que ce texte véhicule, idées qui sont propagées, par les jeunes musulmans (eux-mêmes manipulés par leurs aînés), au sein des couches les plus défavorisées (donc les plus vulnérables) de nos populations.


Trouverons-nous un jour des députés nationaux et européens suffisamment courageux pour oser aborder ce grave problème sous l’angle législatif ? N’y aurait-il que les démagogues à la petite semaine de l’extrême droite fascisante pour clamer bien haut ce que tout le monde pense sans avoir le courage de le dire ?

L’espoir fait vivre… mais la longue attente fait mourir !

Le monde est une énorme pomme. Cette pomme est rongée de l’extérieur par l’ultralibéralisme et de l’intérieur par l’islamisme. Si nous n’y prenons garde, il n’en restera plus bientôt… que les pépins !

  page précédente   page suivante