Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Patriarcat & sexualité page 2
Plus tard, on retrouvera cette symbolique égyptienne chez les cabalistes juifs. Cest ainsi que le « Sepher Yetsirah », ouvrage majeur de la kabbale juive, enseigne quau début de la création étaient les « sephiroth » (pluriel de « sephira », la sphère en hébreu). Il nous dit aussi que « dieu » créa le monde par trente-deux voie mystérieuses qui seraient les vingt-deux lettres de lalphabet hébreu et des dix premiers nombres. On nous parle encore de « trois livres » qui permirent cette création ou, plus exactement, de trois « entités » sur la nature desquelles il nest fourni aucun renseignement digne de ce nom (doù le fait que rien nautorise à penser quil sagit de livres). On sait seulement quil sagirait de trois vocalisations possibles dun groupe de consonnes formant la racine « SFR ». Cest de cette unique indication que daucuns concluent quil sagit de « livres » (puisque la racine SFR peut être traduite par « livre » lorsquelle est considérée substantivement).
Les dix nombres sont symbolisés par dix sphères (sephiroth) ou « transformateurs dénergie ». Cest en ajoutant les 22 « authioth » (lettres de lalphabet ou « structures dénergie ») aux 10 sephiroth que lon trouve le nombre 32.
En hébreu ancien, le mot « sepher » pouvait être traduit de multiples façons. Il désignait à la foi un support décriture quelconque (livre, rouleau, tablette, ), létendue des connaissances, un champ daction ou dinfluence et la sphère au sens géométrique du terme. La cosmogonie du Sepher Yetsirah introduit la notion de trois niveaux de création (Sepharim) dans un monde qui est en perpétuelle mutation. Ce sont la « sphère des chiffres » où se situent les équations mathématiques de toute chose, la « sphère physico-chimique » où se situent les formules de la constitution des corps et de leur transformation et, enfin, le « Sipour », cette sphère où sinscrivent les évènements de la vie, de la mort et de lexistence.
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Le Sepher Yetsirah, et les ouvrages qui en découlent, ont profondément marqué la pensée juive laquelle, aujourdhui encore, est un mélange subtil de concret et dabstrait. Einstein et de nombreux physiciens juifs ont été marqués par cette fusion intime entre le matériel et limmatériel, le quotidien et le divin et, par-dessus tout, la « logique des nombres ». Cette logique se retrouve aussi chez des musiciens (les sons musicaux étant régis par des lois mathématiques tout autant que par une inspiration difficile à définir) et chez des médecins juifs (comme Freud). La religion juive ne pouvait être quabstraite dans son essence et concrète dans son quotidien. Elle ne pouvait aussi quêtre patriarcale compte tenu de limportance que le commerce et la banque tiennent dans la communauté israélite.
Les Arabes étaient des nomades et des commerçants, tout comme leurs cousins Hébreux. Mais ils navaient pas hérité des « secrets » de la grande civilisation égyptienne, pas plus que des méthodes denseignement qui étaient propres aux prêtres de Pharaon. Et lorsquils voulurent copier les textes sacrés des Juifs, ils le firent maladroitement, très maladroitement. Ils eurent toutes les peines du monde à interpréter la Torah et la Talmud mais ils leur fut impossible de décoder les textes kabbalistiques et notamment le Sepher Yetsirah. Dès le départ, lislam ne pouvait donc être quune « cotte mal taillée », un texte auquel on pouvait faire dire nimporte quoi et qui allait permettre de justifier les comportements les plus absurdes et les plus aberrants. Cest le dernier volume dune trilogie qui aurait été écrite par trois auteurs différents sur plus dun millénaire. Le premier tome (les textes hébraïques) ne manque pas dintérêt sur le plan historique, le second (le Nouveau Testament) est quelconque et le troisième (le coran) ne vaut pas un clou. Il en résulte que lensemble na rien dattrayant. Cest un peu comme ces « séries » cinématographiques qui commencent bien et finissent par sombrer dans le ridicule. La Torah, cest « Le Gendarme de Saint Tropez », le Nouveau Testament cest « Le gendarme se marie » et le coran cest « Le gendarme et les extraterrestres ». On trouvera peut-être la comparaison « hasardeuse » mais cest une comparaison qui en vaut bien une autre et qui à lavantage dêtre claire.
On est loin de Marcel Pagnol. Et pourtant, on continue à considérer cette navrante trilogie avec beaucoup plus dintérêt que les Marius, Fanny et César du truculent romancier provençal. Comme quoi, il ne faut pas avoir du talent pour écrire un best-seller. Un malade mental sachant à peine lire et débitant des âneries monumentales pourra parfaitement être à lorigine dun livre qui sera vendu par milliers et par millions pendant des siècles !
Lun des points communs entre la religion des Juifs et celle des Arabes réside dans le fait que « dieu » na ni visage, ni consistance, ni nom. Allah nest pas un nom au sens strict du terme et le grand nom de dieu (le tétragramme) ne peut être prononcé chez les Juifs (sauf par un rabbin une fois par an, la voix de celui-ci étant couvert par le tumulte des fidèles). Mais, fort curieusement, ce dieu « virtuel » a un sexe : il est de sexe masculin !
Et pourtant, si nous lisons bien les textes : au commencement était « LA » sphère, au début était « lénergie fondamentale » (mot féminin). Il nexiste donc aucune raison valable pour que le dieu unique des monothéistes soit de sexe masculin. En fait, il devrait être asexué puisquon nous dit quil nest pas humain et quil na, lui-même, été créé par personne. Unique exemplaire de la « génération spontanée », ce dieu unique na aucune raison dêtre sexué.
En réalité, les hommes qui ont inventé ce dieu unique ont trouvé commode den faire un personnage de sexe masculin et ce, afin de justifier leur volonté de domination. Un dieu « mâle » ne pouvait quavaliser les thèses selon lesquelles lhomme est supérieur à la femme. Ben voyons !
Les formes outrancières de culture patriarcale (comme la culture arabo-musulmane) ont des effets pervers en ce qui concerne le comportement sexuel et, par voie de conséquence, le comportement social.
Telle quelle est organisée, une communauté musulmane comporte, en fait, deux niveaux de structure bien distincts, bien séparés. Le niveau « supérieur », celui des hommes et le niveau « inférieur », celui des femmes et des enfants. Ces deux niveaux sociaux communiquent peu entre eux.
Léducation des enfants, garçons et filles, est confiée aux femmes. Les garçons nont accès au « niveau supérieur » quaprès la puberté. Dans un système très patriarcal, les garçonnets sont rapidement conscients de la nature des privilèges masculins. Et ils sefforcent, dès leur plus jeune âge, de le exercer sur la « clan des femmes » (mère et surs) auquel il est forcé dappartenir jusquà sa majorité sexuelle. Pour se défendre, la mère aura très souvent tendance à faire tout ce que Freud considérait comme la racine des problèmes sexuels fondamentaux. Si les expériences sexuelles de la femme ont fait delle une ennemie de lhomme (ce qui est généralement le cas pour les femmes musulmanes et, dans une moindre mesure, pour les femmes mariées à des Juifs très religieux), elle chercher à dominer son fils dans toutes les limites de son autorité. Elle se vengera notamment de larrogance masculine en étouffant, comme elle le peut, la virilité de lenfant mais, en prétendant agir pour « son bien ». Cest ainsi que si elle découvre quil se masturbe, elle le culpabilisera au maximum. Elle le menacera, par exemple, de lui couper la « petite chose » sil persiste dans ses pratiques « malsaines ». A linverse, une femme saine qui a vraiment aimé les hommes et qui en a été aimée ne trouvera rien danormal à ce quun jeune garçon se masturbe. Elle ne diabolisera pas lacte et ne culpabilisera pas son enfant. Le besoin de « châtrer » les enfants mâles est une caractéristique des cultures patriarcales, un caractéristique qui peut être à lorigine de comportements névrotiques ou psychotiques plus ou moins graves. Cest très souvent par réaction à leur éducation que les jeunes musulmans affichent un profond mépris de la femme et, trop fréquemment, en violeurs, agissant soit seuls soit en bande organisée lors de viols collectifs (qualifiés de "tournantes", afin que le mot viol n'apparaisse plus et que ce soit politiquement correct).
Certes, il y a malheureusement toujours eu des phénomènes de viols collectifs, et il y en a encore hélas, en dehors des quartiers que l'on qualifie de sensibles ou de zones de non-droit pour ne pas pas avoir à les nommer sous leur dénomination exacte de quartiers islamiques. Mais il reste que l'immense majorité de ces viols collectifs a bel et bien lieu dans ces quartiers islamiques. Alors, ces phénomènes de "tournantes" sont-ils liés à l'environnement islamique ou bien la religion musulmane n'a t'elle rien à voir avec cela ? Pour le savoir, comparons deux témoignages de victimes, l'une agressée en France, dans un quartier dont la population est majoritairement issue de l'immigration mahométane et où le droit républicain s'applique peu, l'autre agressée au Pakistan, dans un pays dont la population entière est majoritairement mahométane et où le droit islamique s'applique entièrement.
France Extrait du livre "Dans l'enfer des tournantes" Editions Denoël 2003 |
Pakistan Article "la justice tribale ordonne un viol collectif" Le Monde, vendredi 5 juillet 2002 |
« ils veulent me forcer à « faire des trucs » à plusieurs. Je panique, je m'affole, je suis en larmes. Je recommence à hurler, je les supplie de me laisser tranquille » | « J'ai touché leurs pieds. J'ai sangloté. Je leur ai dit que j'avais enseigné le coran aux enfants du village, de ne pas me punir pour un crime que je n'ai pas commis. Mais ils ont déchiré mes vêtements et m'ont violée un par un. » |
Charleroi tribunal correctionnel Dix ans pour le violeur en série II a toujours nié, même mis face à des éléments aussi probants que l'ADN. Il a nié, après avoir été reconnu par plusieurs de ses victimes, traumatisées à vie. Le tribunal ne lui a pas donné le moindre gramme de confiance et l*a condamné au maximum, ne retenant pas la moindre circonstance atténuante. Dix ans : une peine rarissime, en correctionnelle. Mahmmed Ez Zaafrani avait commis des agressions sexuelles d*une rare violence entre 1999 et 2001. Pas mois de cinq faits de viol commis tous de la même manière : la victime était suivie, puis entraînée dans un endroit désert, à l'abri des regards comme une ruelle ou un terrain vague et sauvagement violée. Parfois même menacée au cutter. Les victimes étaient terrorisées. et le restaient après leur agression au point de ne pas oser déposer plainte. Sauf une. La dernière en date. Ce qui a fait délier quelques langues. Le prévenu criait à une cabale montée contre lui. Mais les victimes ne se connaissaient pas entre elles et. de plus. n*osaient pas parler de leur agression. Tout au plus reconnaît-il, du bout des lèvres, avoir agressé une des victimes pour... lui voler ses clés de voiture. Sans plus. Pourtant on a retrouvé plus que des traces de sang. Les analyses scientifiques ont été impitoyables pour le prévenu qui avait été mordu à sang par la dernière victime. Le jugement rendu hier par la sixième Chambre extraordinaire, présidée parM.Maufroid. arappelé"l'ex-trême violence des agressions " et le fait que le prévenu "a été reconnu de façon formelle". Un prévenu doté d'une particulière mauvaise foi. qui maintenait ses dénégations après les analyses génétiques. Le tribunal a constaté le même modus operandi lors des agressions, de la part d'un individu "ayant une appétence particulière pour la sodomie ". Le prévenu, arrivé en Belgique en 1998, " n'a eu de cesse, depuis son arrivée en Belgique, de satisfaire à ses pulsions. Rien ne semble l'arrêter, il a agi en véritable prédateur, pourchassant pour son propre plaisir sans le moindre regret". Le tribunal a aussi précisé, dans l'évaluation du taux de la peine, "qu'il n'y a pas le moindre espoir d'amendement". Seule la peine maximale peut dès lors s'appliquer : 10 ans. P.ANT |
La séparation de la société en deux groupes bien distincts a aussi pour effet dinduire des comportements homosexuels, ce qui est assez fréquent chez les arabo-musulmans.
A lépoque de lempire ottoman, bien après le début de lislamisation, diverses tribus irano-turco-tartares célébraient encore la fête de Basm, un rite homosexuel au cours duquel les « Batscha » - jeunes garçons élevés et vêtus comme des filles - étaient mis à la disposition des hommes de la tribu. On sait, dautre part, quun grand nombre de califes (successeurs du prophète et commandeurs de croyants) étaient entourés de « mignons » qui leurs servaient desclaves sexuels. On verra également, dans la seconde partie de la présente étude, que le coran fait état de « jeunes garçons » qui font office desclaves au sein même du « paradis dAllah ».
De même, on trouve de nombreux témoignages dhomosexualité chez les femmes musulmanes, et pas uniquement dans les harems. Cest ainsi quAl Hassan Ibn Mohammed Al Wezaz Al Hassan raconte (dans son « Leo Africanus » écrit en 1526) quil existait, à Fez (Maroc), des groupes de femmes surnommées « sahhaqat » qui formaient une sorte de secte lesbienne. Elles jouaient un rôle de « guérisseur pour femme » et, en guise de salaire, elles se faisaient accorder des faveurs sexuelles. Elles invoquaient le fait que « les esprits » exigeaient ces faveurs. Mais bien souvent, les femmes fréquentaient les sahhaqat dans le seul but davoir des relations sexuelles avec elles. Elles feignaient dêtre malades et parvenaient parfois à entretenir une sahhaqat sous prétexte quelles étaient « possédées du démon » et que seule la présence de la sahhaqat pouvait la protéger du mal.
Sans aller jusquà ce genre dhomosexualité organisée, on rencontre encore, dans la société musulmane, de nombreux cas dhomosexualité, tant masculine que féminine. En Europe occidentale, les travestis et les homosexuels qui se prostituent reçoivent fréquemment la visite de clients qui sont de confession musulmane. En extrapolant les données statistiques disponibles, on peut calculer quil y a sans doute deux à trois fois plus dhomosexuels (confirmés ou non) chez les arabo-musulmans quau sein des populations non islamisées (Etats-Unis mis à part).
Transexuel(le?) dorigine maghrébine posant pour des
photos à caractère pornographique
en compagnie dun
homme également dorigine maghrébine.
Chez les Chrétiens, les effets pervers de la religion tendent à sestomper, exception faite pour quelques sectes qui prétendent, comme les Juifs orthodoxes et les musulmans, sen tenir à la lettre du « message de dieu ».
De nombreux prêtres catholiques ont été impliqués dans des affaires de pédophilie mais il ne faudrait pas croire que les dignitaires musulmans soient exempts de cette perversion.
Imam
licencié pour
absentéisme L'imam de la principale mosquée de Nîmes, agressé il y a quelques jours à la suite d'une rumeur d'attouchements, a été licencié par l'association gérant le lieu de culte, officiellement pour absentéisme, a-t-on appris hier auprès de l'association. L'imam Mohamed Khattabi, 42 ans, marié et père de trois enfants, avait déjà été privé de prêche après le scandale lié à la rumeur, qui est resté confiné à l'intérieur de la communauté musulmane, aucune plainte n'ayant été déposée à la police. |
Comme en témoigne l'article çi-dessus, si l'on entend peu parler d'imams ou d'ayatollahs pédophiles, c'est surtout que les musulmans ne souhaitent pas que cela se sache et ne portent pas plainte. Ils sont parfaitement conscients qu'il serait catastrophique pour leur religion qu'un dignitaire de l'islam soit amené à s'expliquer devant la justice républicaine et laïque car il ne manquerait pas de se défendre en se référant au « beau modèle » musulman : Mahomet, qui épousa l'une de ses femmes (Aïcha) alors qu'elle n'avait que six ans.
Cet article est aussi emblématique de l'hypocrisie qui règne dans le milieu journalistique, particulièrement dans les milieux soi-disant de gauche. Le titre de l'article est Imam
licencié pour
absentéisme alors qu'il aurait du être Imam soupconné d'attouchements licencié pour absentéisme. Si la personne incriminée avait été un prêtre catholique, le titre eut été sans l'ombre d'un doute "Un prêtre soupconné d'attouchements". Mais bien entendu, il faut être "tolérant" avec les "bons musulmans", tandis que l'on peut sans se gêner cracher sur les "mauvais chrétiens". Deux poids, deux mesures : il serait temps que les journalistes appellent un chat "un chat", qu'il soit musulman ou martien.
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Quand des prêtres catholiques abusent des enfants, il y a des lois et une justice qui va leur demander des comptes. Les mollahs SONT la loi, la justice et le gouvernement. Ils peuvent se laisser aller à leurs vices en public : qui pourrait les en empêcher ? |
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