Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Terrorisme page 3

n°24 (septembre 1986 pp. 157 à 160) de la revue Al-WahdaLes documents traitant des rapports entre la pensée islamique et la société américaine sont assez rares.

Nous avons cependant trouvé trace d’un article qui aborde ce thème. Ecrit par un certain Ibrahim FAQIH, il s’intitule « Le modèle américain et l’intellectuel arabe ». Il n’existe qu’en langue arabe.

Cet article a été publié à Rabat dans le n°24 (septembre 1986 pp. 157 à 160) de la revue Al-Wahda (couverture reproduite ci-contre).

On peut aussi lire « L’image des Arabes dans l’esprit des Américains » (en Arabe), un livre de 267 pages publiés par de Centre arabe de recherches et publications de Beyrouth, en 1987. Son auteur est un certain Mikhaël SOLEIMAN. C’est un ouvrage typiquement « pro Arabe » et « anti US ».

Cette double page introduisait le reportage Enfants d'Allah et de l'Amérique paru, en avril 2003, dans « L’Express »
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Cette double page introduisait le reportage Enfants d'Allah et de l'Amérique paru, en avril 2003, dans « L’Express ». Selon cet hebdomadaire, il y aurait, chaque année, entre 50.000 et 80.000 citoyens américains qui se convertiraient à l’islam. Ils se disent « en quête de spiritualité », alors même que l’islam est sans doute la moins « spirituelle » des trois religions monothéistes !

Aux Etats-Unis, ces « nouveaux convertis » sont considérés avec énormément de méfiance depuis les évènements de septembre 2001. La plupart d’entre eux sont effectivement des « ennemis de l’intérieur potentiels », tout comme en Europe occidentale.

En devenant des musulmans (autrement dit des « soumis »), ils deviennent perméables aux principes résolument antidémocratiques qui sont véhiculés par l’islam. Ils peuvent être aisément manipulés par les prétendus « religieux » qui prêchent le djihad, la haine des valeurs occidentales et la mondialisation de l’obscurantisme islamique. Et l’on sait, en outre que les nouveaux convertis de toutes les sectes (l’islam en est une) cherchent bien souvent à se mettre en évidence en faisant du zèle.

Cet aspect inquiétant des choses est bien résumé, dans l'article, par le dénommé Barry Danielian, un « converti » qui déclarait « J’aime l’idée de n’avoir à rendre de comptes qu’à mon créateur ». C’est le genre de « credo » qui circule dans les milieux ultra religieux islamiques (mais aussi chez les Juifs orthodoxes) et c’est un type de raisonnement extrêmement dangereux pour la société et même pour l’humanité toute entière.

Les convertis américains prétendent défendre l’idée d’une « autre Amérique », d’une sorte d’ « Ordre Nouveau » qui n’est pas sans rappeler les slogans des néo nazis. Les « néo musulmans » sont toutefois bien plus dangereux que les nazillons en tous genres. Ils se veulent « respectables » alors que les idées qu’ils véhiculent sont loin, très loin, de l’être. Que penser de cette archiviste de la bibliothèque de Harlem (voir article) qui déclarait « Quel sens ça a d’apporter la démocratie à des gens que l’on fait mourir sous les bombes ? » Bonne question sans doute mais, à l’instar de tous les fascistes, les musulmans posent les bonnes questions mais donnent les mauvaises réponses. Car ce n’est certainement pas grâce à l’islam que ce genre de problème va être résolu. Bien au contraire, c’est la peste venant au secours du choléra ! Et nous répondrons par cette autre question à cette archiviste ayant un coran à la place du cerveau : « Quel sens ça a de parler d'un dieu clément et miséricordieux en brandissant un livre qui prône la haine, l’intolérance et le crime ? »

Note : le caractère mensonger des arguments développés par les islamistes « blacks » apparaît, une fois encore dans cet article. Les Africains noirs ont été des milions à être réduits en esclavage par des esclavagistes musulmans nord-africains et arabes. C’est pour pouvoir bénéficier d’une vie moins misérable que celle imposée par le statut de dhimmis que les Africains soumis aux arabo-musulmans se sont convertis. Ils ont donc été islamisés de force comme d’autres, après eux, se sont convertis à la religion de leurs maîtres blancs (catholiques ou protestants). Le prétendu « retour à la religion des ancêtres africains » est donc une aberration et un contresens. En fait, La véritable religion de leurs ancêtres africains était l'animisme.

Les arguments des convertis d’origine hispanique ne sont évidemment pas plus recevables que ceux des Américains de race noire. Mais ils prouvent à quel point les « religieux » savant user des artifices de langage et des méthodes de manipulation propres à l’islam. Une chose est cependant certaine, l’islam américain ne diffère en rien des autres formes d’islam et c’est un mensonge supplémentaire que de laisser croire qu’il pourrait déboucher sur une « nouvelle identité musulmane ». L’islam, par essence, n’est pas réformable. Pour cela, les musulmans devraient modifier le contenu du coran et admettre, du même coup, qu’il n’est pas le « livre de dieu », le « livre inimitable ».

Nous n’aimons guère le « clan Bush », mais nous ne redirons jamais assez que les actions menées par les USA tiennent d’une stratégie politico-militaire qui dépasse très largement le cadre de ce clan. C’est une nouvelle croisade de l’Occident contre les menées subversives des dirigeants musulmans et des populations qu’ils manipulent. Et même si le terme « croisade » nous déplait, il nous faut admettre que ce conflit était devenu inévitable.

Article
paru dans le « Nouvel Observateur – 25 octobre 2003.
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Article paru dans le « Nouvel Observateur – 25 octobre 2003.

Et puisque ce conflit est devenu inévitable – non du fait des Occidentaux mais du fait des musulmans revanchards qui ont choisi de relancer la « guerre sainte » – il nous faut faire face avec le maximum de courage et d’efficacité. La « Xe croisade » ne concerne pas que les seuls Anglo-Saxons et leurs cousins d’Outre-Mer. Elle concerne tous les hommes libres de la planète. Elle ne concerne pas que les chrétiens et les juifs. Elle concerne tous les hommes et toutes les femmes qui ne sont pas « soumis » aux lois imbéciles du coran, y compris les athées que nous sommes.

Nous ne porterons pas la croix sur nos habits, comme les croisés de naguère. Mais nous ferons flotter bien haut le gonfanon rouge sang de la liberté d’opinion et de pensée. Car, comme le dit si bien un chanteur français  : vous n’aurez pas notre liberté de penser !

carte de la région dite « du croissant fertile »

Sur cette carte de la région dite « du croissant fertile », on réalise la position stratégique de l’Iraq au cœur même de la partie du monde qui est le berceau de l’islam et le foyer de la subversion islamique.

Outre sa capacité de production de pétrole, l’Iraq est une plate-forme stratégique de premier plan puisque l’on peut, depuis son territoire, atteindre aisément la Palestine et la Syrie, contrôler l’Iran des ayatollahs et intervenir très rapidement en Arabie saoudite. L’Iraq présente aussi l’avantage d’avoir une frontière avec la Turquie, le seul pays islamisé qui soit membre de l’OTAN (mais qui n’est plus un allié très sûr des Occidentaux depuis l’accession au pouvoir d’un parti islamiste).

C’est cette position géographique et géopolitique particulière qui a amené les dirigeants américains à envisager l’invasion de l’Iraq sous prétexte de renverser le régime de Saddam Hussein et de « restaurer la démocratie » dans un pays… qui n’a jamais connu de gouvernement démocratique au cours de sa longue histoire !

Le contrôle de l’Iraq est la clef d’une stratégie à long terme. Mais rien ne dit que les choses se dérouleront telles qu’elles ont été prévues par les stratèges de Washington. En envahissant l’Iraq, les Américains et les Britanniques ont ouvert toute grande la boîte de Pandore !

production de haschisch
production d'opium
L’Afghanistan est, avec la Birmanie, le Laos, l’Iran et le Pakistan,
l’un des principaux producteurs de drogues dures de la planète.

Est-ce vraiment un hasard si les plus gros producteurs d’opium sont aussi des pays dirigés par des fanatiques islamistes ou des régimes asiatiques totalitaires? Pour les dirigeants de ces pays, la drogue est une source de profits personnels et permet d’acheter les armes destinées à la « guerre sainte » ou au maintien des dictatures en place. Trafics de drogues, trafics d’armes et asservissement des peuples sont donc intimement liés depuis de nombreuses décennies.

Le « triangle d’or » de l’Asie utilise l’Afghanistan comme « plaque tournante » du commerce crapuleux de l’opium, lequel est dirigé vers des laboratoires situés en Turquie pour y être transformé en drogues dures destinés à des usages médicaux mais aussi, et surtout, à des usages illicites. On notera que G. Bush senior avait décrété une « guerre contre la drogue » (une de plus) en 1989, ce qui n’empêchera nullement les Etats-Unis de soutenir le régime en place au Pakistan et de favoriser l’accession au pouvoir des talibans en Afghanistan. Le démembrement de l’ex-URSS facilite également l’écoulement des drogues via le territoire des anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale.

pays d’Afrique
et d’Asie qui, dès le début des années 90,
avaient déjà commencé à exploiter des
laboratoires spécialisés dans les manipulations
génétiques.
Pays d’Afrique et d’Asie qui, dès le début des années 90, avaient déjà commencé à exploiter des laboratoires spécialisés dans les manipulations génétiques.

Sur la carte reproduite ci-dessus, on remarque le curieux intérêt manifesté par des régimes islamistes pour ce type d’activité et l’on constate que, contrairement à ce qui se passe dans la plupart des pays d’Europe occidentale, aucun de ces pays n’a cru utile de se doter d’un comité national d’éthique.

Il n’est pas interdit de penser que certains pays islamiques pourraient envisager la dissémination, dans l’environnement, d’organismes ayant subi des manipulations génétiques et qui pourraient, par exemple, contaminer gravement les récoltes ou détruire les animaux. Ce risque avait déjà été évoqué par Michel BARNIER, ancien ministre français de l’environnement (dans son ouvrage intitulé « Atlas des risques majeurs » édité en 1992). Comme les agents chimiques et bactériologiques, les OGM pourraient-ils, dans un proche avenir, être utilisés à des fins militaro-politiques ?

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