Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Philosophes page 2

Le philosophe d’expression française qui a le mieux cerné les spécificités de l’islam est sans nul doute Voltaire. Sa pièce de 1741 intitulée « (Le) Fanatisme ou Mahomet le Prophète », écrite dans la foulée des grands mouvements philosophiques du « siècle des Lumières », remet Mahomet à sa juste place : Un simple mortel, violent et fanatique.

La pièce de Voltaire, écrite il y a de cela plus de cent soixante ans, est d’une criante vérité et d’une brûlante actualité. Mais qui donc, par les temps qui courent, oserait la mettre en scène ?

Quel théâtre oserait mettre « (Le) Fanatisme ou Mahomet le Prophète » à son affiche ?

N’est-ce pas là l’aveu de notre faiblesse ?

En renonçant à monter une pièce de l’un de nos plus grands écrivains, nous ne faisons pas preuve de « tolérance ». Nous reculons devant l’obscurantisme et la force brutale, exactement comme les « collabos » du théâtre, du cinéma, de la littérature et de la presse qui se plièrent aux « interdits » du « docteur » Joseph Goebbels  et de la « Propaganda Abteilung ».

Il fut une époque, pas si lointaine, où les auteurs boulevardiers n’hésitaient pas à ironiser sur certains traits du « caractère arabo-musulman ».

A titre d’exemple, nous citerons une petite comédie de Claude Valmont intitulée « Ne me parle pas d’Allah ! ». Nous avons retrouvé ce texte dans le numéro d’août 1920 de la revue « Lectures pour tous » (Librairie Hachette).

Comme pour la pièce de Voltaire, on imagine assez mal qu’un directeur de théâtre ose monter une telle pièce. Il serait immédiatement traité de raciste, accablé de plaintes et expédié devant les tribunaux.

En reproduisant le texte de Claude Valmont, bien plus anodin que celui de Voltaire, nous tenons simplement à démontrer que l’on a pouvait, il y a moins d'un siècle railler des traits de caractère qui sont propres à certaines populations sans pour autant encourir les « foudres d’Allah » ni se faire houspiller par des musulmans braillant à l'« intolérance ». La France était encore il n'y a pas si longtemps le pays de la liberté de pensée et d’opinion, le pays du vaudeville et de l’humour caustique où l'on ne craignait ni dieu, ni diable et encore moins les musulmans. Les choses ont bien changé depuis quelques décennies mais pas en s'améliorant, tout au contraire : l'acceptation inconsciente d'une future dhimmitude sous couvert de tolérance à sens unique fait inconsciemment son chemin dans la mentalité Européenne.

On peut en dire tout autant chez les « intellectuels bien pensants » qui, par peur ou par carriérisme, se plient aux directives qui incitent à éviter les « sujets sensibles » ou, inversement, à développer des « sujets de complaisance » (comme les reportages ou les livres qui tendent à présenter l’islam de façon tronquée ou « rassurante »). C’est le genre d’attitude malhonnête qui prévaut, en France et en Belgique, dans le monde de la presse, de l’édition, de la radio, de la télévision et du cinéma (97).  C’est l’attitude typique des « intellos en chambre » qui pérorent à propos de sujets qu’ils ne connaissent pas et notamment de cet islam dont ils n’ont jamais étudié l’histoire et dont ils n’ont jamais lu le « livre inimitable » !


Il est temps, grand temps de réagir !


Voltaire était à la lumière et à la tolérance ce que Mahomet était à l’obscurantisme et au fanatisme.

Notons encore que la pièce de Voltaire a donné le jour à un substantif tiré du nom de l’un des personnages. Il s’agit du mot « séide » (98) qui désigne un « sectateur aveuglément dévoué » ou, de façon plus générale, un fanatique à qui l’on peut faire exécuter n’importe quelle besogne, y compris la plus vile.

Les SS étaient les séides d’Hitler tout comme les islamistes sont les séides de Mahomet et de ses successeurs. Ben Laden et les membres du réseau Al-Qaïda sont des séides par excellence.

Heinrich
Himmler et son état-major en 1932
Fanatiques parmi les fanatiques, les membres de la « SS noire » furent les séides d’Hitler et du nazisme
(Ici, Heinrich Himmler et son état-major en 1932).

Hadj Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem et Heinrich Himmler
Hadj Amin al-Husseini, le grand mufti de Jérusalem, en compagnie du nazi Heinrich Himmler, l'organisateur de l'extermination industrielle des Juifs. La photo est dédicacée par Himmler lui même :
"En souvenir au grand Mufti"
(Source : mémorial de Yad Vaschem, Israël)

musulmans faisant le salut nazi
Aujourd’hui, les séides de l’islam se comportent de plus en plus ouvertement comme ceux du IIIe Reich. Ils affichent la même intolérance, la même arrogance et le même mépris des opinions d’autrui et aussi de la vie d’autrui.

Le fanatisme religieux, plaie de l’humanité, a tué plus d’hommes, de femmes et d’enfants que toutes les armes des deux guerres mondiales. Et de tous les fanatismes religieux, celui des inconditionnels du coran est, de très loin, le plus dangereux.

Aujourd’hui, les grands criminels ne se nomment plus Hitler, Himmler ou Heydrich. Ils se nomment ben Laden et consorts. Et les seconds couteaux ne s’appellent plus Heichman mais Jahjah et Cie. Les islamistes, comme les nazis, sont dangereux du « chef » jusqu’à l’obscur exécutant. Car les « chefs » ne peuvent rien sans les « séides », sans les « sans grade » qui obéissent au doigt et à l’œil !

Si nous voulons débarrasser le monde libre de la menace islamique, nous devons éradiquer l’islam comme la mauvaise herbe des pelouses bien entretenues, jusqu’à la dernière pousse, jusqu’au dernier brin !

Michel
	Houellebecq et Philippe Sollers en 1998

Michel Houellebecq et Philippe Sollers en 1998. Il y a encore des écrivains « de gauche » lucides et courageux. Les pleutres de la politique feraient bien de prendre exemple sur eux !

Dans les milieux de la « social-démocratie bien pensante » - autrement dit chez les « socialistes à la petite semaine » et autres pseudos socialistes – il est de bon ton de se montrer « tolérant » vis-à-vis de l’islam et de ses dérives totalitaristes.

Cela est dû à plusieurs facteurs qui ont déjà été évoqués, à savoir :

Nous vivons une époque où les « hommes politiques » tiennent plus du chef comptable que du militant. La caste politique européenne est pauvre, très pauvre. On y trouve plus de magouilleurs et de carriéristes que de véritables défenseurs des libertés fondamentales.

C’est d’ailleurs par pur calcul politicien que les prétendus « dirigeants de gauche » ont renoncé à l’un des grands combats du socialisme authentique : la lutte anticléricale. En renonçant, dans les années 50-60 du siècle dernier, à combattre les velléités de pouvoir des dirigeants religieux, les socialistes ont permis aux islamistes – peu présents sur la scène politique avant la seconde guerre mondiale – de s’engouffrer dans la brèche.

Les grands noms du socialisme avaient pourtant indiqué la voix à suivre. Et parmi ces grands noms, celui de Jaurès, ce professeur de philosophie qui était la tolérance personnifiée mais qui n’en demeurait pas moins lucide pour autant. Outre son remarquable « Discours à la jeunesse » (Albi 1903), il nous a laissé de nombreux discours et articles qui demeurent d’une brûlante actualité. Il en est ainsi de son intervention relative à l’enseignement laïque (chambre des députés - 11 février 1895). En voici un extrait significatif :

« … ce qu’il faut sauvegarder avant tout, ce qui est le bien inestimable conquis par l’homme à travers tous les préjugés, toutes les souffrances et tous les combats, c’est cette idée qu’il n’y a pas de vérité sacrée, c’est-à-dire interdite à la pleine investigation de l’homme ; c’est cette idée que ce qu’il y a de plus grand, c’est la liberté souveraine de l’esprit ; c’est cette idée qu’aucune puissance – ou intérieure ou extérieure – aucun pouvoir et aucun dogme ne doit limiter le perpétuel effort et la perpétuelle recherche de la raison humaine ; cette idée que l’humanité dans l’univers est une grande commission d’enquête dont aucune intervention gouvernementale, aucune intrigue – céleste ou terrestre – ne doit jamais restreindre ou fausser les opérations ; cette idée que toute vérité qui ne vient pas de nous est un mensonge ; que, jusque dans les adhésions que nous donnons, notre sens critique doit toujours rester en éveil et qu’une révolte secrète doit se mêler à toutes nos affirmations et à toutes nos pensées ; que si l’idée même de Dieu prenait une forme palpable, si Dieu lui-même se dressait, visible, sur les multitudes, le premier devoir de l’homme serait de refuser l’obéissance ou de le traiter comme l’égal avec qui l’on discute, mais non comme le maître que l’on subit.

Voilà ce qui est le sens et la grandeur de notre enseignement laïque dans son principe, et bien étranges sont ceux qui viennent demander à la raison d’abdiquer, sous prétexte qu’elle n’a pas et qu’elle n’aura peut-être jamais la vérité totale ; bien étranges ceux qui, sous prétexte que notre démarche est incertaine et trébuchante, veulent nous paralyser, nous jeter dans la pleine nuit, par désespoir de n’avoir pas la pleine clarté… ».


Ainsi parlait, il y a plus d’un siècle, le plus honnête, le plus tolérant, le plus humaniste mais aussi le plus clairvoyant des penseurs socialistes. Il n’y a pas une virgule à retirer ou à ajouter. Son texte de 1895 pourrait être jeté à la face de nos piètres représentants d’aujourd’hui sans qu’il perde de sa vigueur et de sa pertinence.

Nous ne reproduirons pas la totalité de cette intervention assez longue mais nous invitons tous les défenseurs de la laïcité authentique à s’y référer. Mentionnons seulement ce passage qui cadre si bien avec la réalité de l’enseignement coranique : « …on n’essayerait pas d’obtenir du peuple, ni de ses maîtres, ni de ses enfants, une foi intime, profonde, mais on surveillerait toutes les libertés et tous les mouvements de l’esprit ; on exigerait des maîtres des apparences trompeuses, on fausserait toutes les paroles, toutes les attitudes et on essaierait ce crime : inoculer au peuple naissant l’hypocrisie religieuse… ».

Nous pourrions aussi citer l’intervention parlementaire du 21 avril 1905 relative à la séparation de l’église et de l’état. Jaurès y posait déjà les questions relatives à l’utilisation fallacieuse de la loi de 1901 par des structures religieuses. Il en résulta le vote de la loi de 1905 que les musulmans ne cessent de contourner de la manière qui a été exposée au chapitre 12.

Nous pourrions aussi évoquer les « Conseils aux jeunes », un discours prononcé par Jaurès le 22 janvier 1914 à l’occasion de la mort de Francis Pressensé (aux « Sociétés Savantes »). Il complète bien le « Discours à la jeunesse » de 1903 et on y trouve ce conseil prophétique « …Méfiez-vous de ceux qui vous mettent en garde contre ce qu’ils appellent les systèmes et qui vous conseillent, sous le nom de la philosophie de l’instinct ou de l’intuition, l’abdication de l’intelligence. Quand vous aurez renoncé à construire votre doctrine vous-mêmes, il y aura de l’autre côté de la route des doctrines toutes bâties qui vous offriront leur abri…Pour guider les hommes, il faut la lumière de l’idée, et il n’y a la lumière de l’idée que dans les partis qui, comme le socialisme, systématisent la réalité, en traduisent la formule. N’ayez pas peur d’être enfermé chez nous dans je ne sais quelle doctrine médiocre.

gravure anticléricalegravure anticléricale
Deux gravures anticléricales datant de la fin du XIXe siècle ou du début du XXe.

Le socialisme authentique exige une lutte sans merci contre l’obscurantisme religieux, de quelque nature qu’il soit.

Aujourd’hui, les « noirs corbeaux de la réaction catholique », les « calotins » de jadis, ne sont plus les principaux adversaires de la démocratie et de la paix dans le monde.

Ils ont été remplacés par les corbeaux, encore plus noirs et encore plus réactionnaires, de l’islamisme.

A la « peste noire » à succédé la « peste verte », une peste contre laquelle nous devons mener une lutte sans merci et sans relâche.

« Les religions sont l’opium du peuple » disait Karl Marx et sur ce point au moins il n'avait pas tort.

Cet opium il faudra bien le détruire définitivement un jour ou l’autre. Sans quoi, c’est lui qui détruira l’humanité !

Socialisme et religion étaient, sont et seront toujours incompatibles.

Le socialisme porte en lui l’humanisme et la profondeur philosophique qui doivent permettre aux hommes et aux femmes de demain de se passer de ces dieux que personne n’a jamais vu et que personne ne verra jamais. Et pour cause, puisqu’ils n’existent pas !

Toujours, toujours, la doctrine générale a été liée à des doctrines de philosophie générale. Saint-Simon, Fourier, Marx, Engels, Pressensé, tous ils avaient compris que les lois de l’évolution sociale étaient liées au drame du devenir universel… ».


Jaurès fut sans doute le dernier grand penseur socialiste de France. Après la première guerre mondiale ont vit les opportunistes et les carriéristes prendre peu à peu la place des leaders historiques tandis que la seconde guerre mondiale allait sonner le glas du socialisme authentique, laissant le champ libre aux fossoyeurs de la gauche européenne (style Mitterrand, Fabius, Strauss-Khan, Jospin …). Il en résulte que, de nos jours, on accorde plus de crédit aux théories fascisantes et anachroniques de l’islam qu’aux idéaux humanistes et égalitaires des rares intellectuels qui osent encore se réclamer du socialisme originel.

C’est là, dans cet effondrement des valeurs profondes du socialisme – miné de l’intérieur par des politico-politiciens - qu’il faut rechercher la faiblesse de nos démocraties européennes. Par pur intérêt électoraliste, ces fonctionnaires de la politiques ont abandonné toutes les références philosophiques et idéologiques qui faisaient la richesse du socialisme. Ils voulaient « ratisser large », récolter de voix partout où cela était possible et notamment chez les électeurs chrétiens. Ca, ce n’est pas du socialisme, c’est du populisme. Et l’on retrouve cette spéculation honteuse chez ceux qui flirtent avec les milieux musulmans dans le seul but d’obtenir un strapontin supplémentaire dans tel ou tel conseil, telle ou telle assemblée.

Voltaire nous a montré le vrai visage de Mahomet tandis que Jaurès nous a rappelé l’attitude à adopter face aux religions. Mais ni l’un ni l’autre n’ont imposé quoi que ce soit à leurs contemporains. Si nous croyons ce qu’il ont pu dire ou écrire, si nous suivons leurs conseils, c’est parce que nous le voulons bien, c’est parce que nous l’avons décidé en notre âme et conscience. Nous sommes aux antipodes du troupeau bêlant des « croyants » de l’islam et, de façon générale, des adeptes de toutes les religions qui imposent une croyance inconditionnelle dans un certain nombre de dogmes et de « livres ».
Nous, nous sommes des hommes libres et nous lutterons pour que nos enfants et nos petits-enfants puissent demeurer les citoyens libres de nations libres.

Nous n’avons pas de « prophètes » mais nous avons des « maîtres à penser », des « guides » que nous respectons pour la qualité de leur analyse, pour leurs valeurs humaines et pour les résultats qui découlent de l'application de leurs principes. Nous sommes des hommes et des femmes, pas des moutons de Panurge !

S’il se trouve d’autres hommes, d’autres femmes, qui sont prêts à se laisser mener à l’abattoir sans protester, au nom d’une idéologie injustifiable ou d’espérances chimériques, qu’ils y aillent, c’est leur droit le plus strict. Mais qu’ils y aillent seuls.

Qu’ils nous foutent la paix !

affiche
Au nom de la liberté, les socialistes dignes de ce nom doivent combattre la « soumission Mahométane » c'est à dire l'islam.

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