Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Communauté page 2

Le musulman, surtout s’il est Arabe, a toujours rêvé de conquérir le monde. C’est un guerrier, un conquérant, avant d’être un « homme de dieu ». Allah lui sert d’alibi lorsqu’il doit se justifier, expliquer son comportement. Et nous savons qu’à plusieurs reprises, les armées de l’islam ont tenté d’envahir l’Europe occidentale et centrale. L’Espagne fut le seul pays d’Europe qui eut à subir une longue domination musulmane mais il s’en fallut de peu que les armées ottomanes n’envahissent l’Autriche après avoir fait main basse sur l’Europe balkanique. Et nous savons ce qu’il est advenu de la domination musulmane dans les Balkans. Islamisées de force, les populations d’Albanie et de l’ex-Yougoslavie n’ont plus cessé de s’entre déchirer. Les guerres récentes de Serbie, de Bosnie et du Kosovo ne sont rien d’autre que la triste conséquence de l’islamisation forcée des peuples qui furent dominés par les armées de la « Sublime Porte ».

Les négriers en terres d'Islam, La première traite des Noirs VIIe-XVIe siècle, ISBN : 2-262-01850-2

Il en va de même dans les régions de l’Afrique qui ont eu, elles aussi, à subir le joug des musulmans en même temps que leurs écoeurantes pratiques esclavagistes. Car, de tout temps, le trafic des esclaves fut une spécialité des Arabes et des peuples arabisés (comme les Berbères du Sahara). Si le trafic « triangulaire » -entre l’Europe, l’Afrique noire et le « nouveau monde » - a si bien fonctionné entre le XVIe et le XIXe siècle, c’est parce qu’il était organisé – à l’intérieur même de l’Afrique – par des chefs coutumiers convertis à l’islam. Le coran mentionne l’esclavage comme quelque chose de « normal » et, pour ces chefs, il était « normal » de faire ce que dieu approuvait ! Les navigateurs européens, s’ils ont honteusement profité de ce trafic triangulaire, n’en furent pas les instigateurs. Ce sont les marchands musulmans qui se chargèrent de mettre en place ce trafic qui priva de liberté des dizaines de millions d’hommes, de femmes et d’enfants et en fit mourir plusieurs centaines de milliers (sans doute plus de deux millions) par le fait des maltraitances et du transport.

Les navires partaient des ports d’Europe avec de la verroterie et des marchandises de peu de valeur (parfois des armes) qui étaient échangées dans les ports de la côte occidentale de l’ Afrique contre du « bois d’ébène » (surnom donné aux esclaves par les marchands européens). Les cargaisons humaines étaient ensuite acheminées en Amérique du Sud (surtout au Brésil), aux Antilles et en Amérique du Nord, les « déchets » (les cadavres des morts) étant jetés à la mer sans aucune considération. Les navires revenaient ensuite en Europe chargés des produits exotiques qui étaient produits à très bon marché grâce au travail des esclaves. Tel fut le « commerce triangulaire » qui fit la fortune de plusieurs grands ports d’Europe (comme Bordeaux et Nantes pour la France).

Les descendants des esclaves africains ont demandé et obtenu que les pays concernés présentent des excuses. Mais il ne semblent pas avoir compris que ce commerce n’aurait pas pu avoir lieu s’il n’avait été organisé par des musulmans avec la « garantie du coran ». Il faudrait donc que les autorités islamiques soient sommées, elles aussi, de s’excuser. Mais comme l’islam n’a pas de véritable « tête », cela tient de l’impossibilité, d’autant que plusieurs pays musulmans (comme la Mauritanie ou le Soudan) autorisent encore des formes plus ou moins larvées d’esclavage !

Mosquée Trinité
Mosquée à Trinidad. Dans les îles des Caraïbes, les islamistes poussent adroitement leurs pions en tentant de séduire des populations déracinées et pauvres. Ce fut aussi le cas en Amérique du Nord avec une partie de la population noire (tels les Blacks Muslims). A Trinidad et Tobago, on estime qu’environ 6% de la population (essentiellement noire ou métissée) s’est déjà convertie à l’islam.

Le coran, tel qu’il nous est parvenu, est un ouvrage pervers qui autorise les interprétations les plus malsaines et les plus dangereuses qui soient. Avec l’omma – qui en est le prolongement socio-politique – il est le reflet d’un type de société qui aurait dû disparaître depuis très longtemps déjà. La société musulmane est une survivance du Moyen Age en plein XXIe siècle. En cela, elle diffère des sociétés dites « primitives » (indiens d’Amazonie, bochimans d’Australie,…) par le fait que son anachronisme est volontaire et ne résulte pas d’un isolement géographique. Les musulmans sont « passéistes » parce qu’ils sont nostalgiques du passé et ne veulent pas vivre dans le présent.

S’il avait pu être adapté, si les musulmans avaient accepté de reconnaître le caractère anachronique du coran et de la sunna (comme l’on fait la plupart des Chrétiens pour les textes bibliques), l’islam ne serait pas aujourd’hui une religion dangereusement obsolète. Il aurait notamment fallut admettre que les sourates dites « de Médine » n’ont rien de « sacré » mais constituent un simple code « de bonne conduite » et un recueil de coutumes qui n’a plus qu’une valeur historique.

Ramené à sa seule dimension théologique, épuré de ses appels à l’intolérance et à la guerre sainte, débarrassé de ses éléments anachroniques, le coran serait un livre acceptable (pour qui accepte la notion de monothéïsme), un livre « politiquement correct ». Mais pour les « bons musulmans », il ne serait plus le coran. Pour les Arabes conquérants et revanchards, le coran est un alibi bien commode pour justifier tous les mauvais coups (idem pour les Juifs de Palestine). Ils n’ont donc aucun intérêt à le modifier, à le « moderniser ». Une fois « épuré » de ses appels aux meurtre, le coran ne serait plus un alibi pour les terroristes !

Le problème paraît donc insoluble et, vu le caractère criminogène du coran, il ne reste qu’une solution : en interdire la vente, la diffusion et l’enseignement sur le territoire des pays appartenant à l’Union européenne. Il suffit pour cela de démontrer – et c'est ce qui est fait dans l'étude analytique – que le coran est dangereux pour la santé mentale. Dès lors, en vertu de l’article 130 R du Traité de l’Union européenne, il devient possible de déposer plainte auprès des instances juridiques de l’Union. C’est une application, parmi d’autres, du principe de précaution et du principe de la correction à la source.

L’Europe occidentale n’a pas à subir les effets pervers d’une religion qui refuse obstinément de faire amende honorable et de se réformer radicalement. Nous ne désirons pas remettre en question le droit, pour tout individu, de croire ou de ne pas croire en une quelconque divinité. Mais si les musulmans refusent de s’amender - ou de s’intégrer véritablement en renonçant à certaines pratiques – alors ils devront s’en aller ou accepter de subir les conséquences de leur comportement !

Une telle revendication implique, outre l’interdiction du coran dans sa version actuelle, de fermer les « écoles » coraniques car celles-çi ne sont que des centres de « lavage de cerveau » où l'on doit apprendre par coeur le coran dans sa version arabe. Ces mesures devront être maintenues jusqu'à parution d'une version civilisée du « livre inimitable » ayant abandonné ses versets criminogènes et archaïques car il ne peut y avoir un « islam de France » (et à fortiori un « islam d'europe ») que s'il y a d'abord un « coran de France », même si cela peut sembler à priori contradictoire et incompatible avec la nature même du coran et de l'islam. Une contradiction de plus ou de moins ne devrait pas être insurmontable pour une religion qui en accumule autant depuis si longtemps.

Ces mesures ne s’opposent aucunement à ce que les musulmans puissent s’intégrer valablement dans la communauté européenne, laïque et pluraliste. Libérés des incitations criminogènes et passéïstes du coran, les bénéfices que ces nouveaux musulmans tireront de leur intégration auront tôt fait de détourner les nouvelles générations du texte rétrograde, même si celui-çi subsiste encore un certain temps dans les mémoires des plus passéïstes.

A ce stade de notre analyse, nous devons nous intéresser à la notion de « musulman modéré » qui a la faveur de certains milieux « bien pensants », à gauche comme à droite. Cette notion est par trop ambiguë pour que nous ne nous y attardions pas quelques instants. Car il ne faut pas que nous nous laissions abuser par les artifices de langage, qu’il s’agisse de ceux des musulmans ou de ceux de certains Européens.

La notion même d’ « islam modéré » n’a aucun sens pour un musulman pratiquant pour qui le coran est le coran, l’islam est l’islam, un point c’est tout. Dès que l’on postule que le coran est la parole inaltérable et immuable de dieu, parler de « modération » est un non-sens. La profession de foi (chahâda) qui est exigée de tout « bon musulman » constitue une négation de la « modération » dans le sens où les Européens l’entendent habituellement. La chahâda implique, rappelons-le une fois encore, une totale soumission à un dieu supposé tout-puissant et à sa « parole révélée », le coran. On est là aux antipodes de la modération !

Un musulman peut être un honnête homme ou une vulgaire crapule. Mais il ne peut pas être « modéré ». S’il est modéré, au sens où nous l’entendons, c’est qu’il n’est pas un « bon musulman ». Il y a eu d'honnêtes membres du parti nazi (certains sont même reconnus « Justes parmi les nations » par l'Etat d'Israël) et d'autres furent de vulgaires crapules mais croire qu'il puisse exister un « nazisme modéré » sans référence à Hitler ni à l'antisémitisme est aussi absurdre que de croire qu'il puisse exister un « islam modéré ». Autant chercher la quadrature du cercle 

Le verset 67 de la sourate VI est l’un de ceux qui impose aux musulmans de ne jamais discuter avec les « incrédules ». Il dit : « Lorsque tu vois les incrédules entamer la conversation sur nos enseignements, éloigne-toi d’eux jusqu’à ce qu’ils entament une autre matière… ». C’est un exemple, parmi d’autres de l’intolérance de la pensée mahométane et de l’impossibilité d’entamer un dialogue honnête et sincère avec un « bon musulman ».

En outre, le coran impose aux croyants de n’entretenir aucune forme d’amitié avec les « infidèles ». Voyez ce que dit, par exemple, le verset 56 de la sourate V : « O, croyants ! Ne prenez point pour amis les Juifs et les chrétiens. Ils sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour amis finira par leur ressembler et dieu ne sera point le guide des pervers » !

On nage là dans l’intolérance la plus totale. Mahomet était-il à ce point convaincu de la faiblesse de ses « révélations divines » qu’il avait ainsi cru utile d’éloigner ses « fidèles » de ceux qui auraient pu en faire la démonstration ? Car lorsque l’on est certain de la justesse de ses propos, on ne craint pas de les confronter aux critiques de ses adversaires. Le musulman qui se retire derrière le coran pour refuser, comme le voulait Mahomet, de discuter du bien fondé de ses convictions est un homme faible et pour tout dire un lâche. Mais, comme il a été dit plus haut, il n’est pas impossible du tout que certains versets – comme celui qui vient d’être évoqué – aient été introduits dans le coran par la volonté du khalîfe Othman.

Quoi qu’il en soit, Mahomet fut le « haut-parleur de dieu » et ses adeptes se comportent comme de simples « écouteurs ». Ils écoutent et n’ont pas droit à la parole.

Cela aussi, il faut le dire haut et fort bien que ce soit une évidence, est l’une des faiblesses majeures de l’islam. Un musulman qui serait véritablement « modéré » accepterait de s’asseoir à la même table que des juifs, des chrétiens et des athées. Il serait prêt à défendre ses convictions mais aussi à entendre les critiques, à les analyser et, le cas échéant, à les prendre en considération. Mais, une fois encore, il sera regardé par les « bons musulmans » comme un traître. Et comme tel, il sera exclu de sa communauté, si ce n’est pire.

 Il ne peut donc pas y avoir de « musulmans modérés » ! CQFD
et encore moins d'« islamistes modérés » malgré ce qu'en dit la presse
. (41)

Si l’on considère l’histoire du monde musulman, toutes les tentatives visant à « adoucir » les mœurs islamiques – autrement dit à les humaniser et à les moderniser – ont été vouées à l’échec. L’une des plus connues fut celle de l’empereur indien Akbar qui fit construire Djami Masdjid, grande mosquée (terminée en 1575). C’est dans cet immense édifice qu’il prononça son fameux « sermon sur la tolérance universelle » (en 1579). Ce souverain humaniste et cultivé avait tenté de faire la synthèse de l’islam et de l’hindouisme. Mais il ne tarda pas à être déclaré hérétique par les autorités islamiques. Cet exemple démontre que même un empereur musulman n’a pas la capacité de réformer cette religion archi conservatrice. Comment pourrait-on, dès lors, croire que les autorités laïques des pays de l’Union européenne pourraient influer, d’une manière ou d’une autre, sur le cours des choses ?

Soyons sérieux et regardons les choses en face !

Il nous faut, d’autre part, nous garder des artifices de langage auxquels les musulmans ont recours. Il en va ainsi des notions de « bon musulman » et de « bonne musulmane ».

Comme il vient d’être dit, en islam le « bon musulman » c’est celui qui est de stricte observance, celui qui vénère le coran (42) – le « livre inimitable » -, celui qui se soumet totalement aux ordres de ceux qui parlent au nom d’Allah. Mais il existe des tas de nuances très subtiles que les non musulmans ont parfois bien des difficultés à discerner. C’est ainsi que pour un Saoudien, le « bon musulman » est celui qui respecte à la lettre les lois coraniques inhumaines qu’impose le wahhabisme, l’une des interprétations parmi les plus anachroniques et les plus abusives du coran.

L’Européen naïf aurait tendance à penser, à prime abord, qu’un « bon musulman » est un « musulman  bon », autrement dit un homme pieux qui fait le bien et qui désire la paix. En réalité, un tel homme serait, au regard de l’enseignement coranique, un « mauvais musulman ». En terre d’islam, l’ « homme pieu » est celui qui est toujours prêt à se battre pour « la gloire d’Allah » (43), autrement dit pour défendre et promouvoir la religion musulmane et ses principes surannés.


Mosquée d'Omar
Vue extérieure du « Dôme du Rocher » ou « mosquée d’Omar ». Le calife Omar, personnage brutal et vindicatif, avait été l’un des premiers adeptes de Mahomet et son « conseiller occulte ». Il poursuivi la guerre de conquête entamée par Mahomet et, lors de la prise d’Alexandrie par les troupes arabo-musulmane, il n’hésitera pas à déclarer, en brandissant le coran : « Brûlez les bibliothèques… leur valeur se trouve dans ce seul livre… ». C’est le genre d’attitude qui persiste, aujourd’hui encore, chez les islamistes les plus radicaux.
La « mosquée d’Omar » a été batie à l'emplacement supposé du temple de salomon pour en effacer le souvenir.

La curieuse mosquée de Sian, en Chine
La curieuse mosquée de Sian, en Chine.

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