Mahomet et la tradition islamique
Mahomet et la tradition islamique, recto Mahomet et la tradition islamique, verso

"Mahomet et la tradition islamique" a été publié par Emile Dermenghem en 1955, et 2003 pour le présent exemplaire, aux éditions du seuil.
ISBN 2-02-060543-0
(ISBN 1ere publication 2-02-000256-6)

Extraits :
A propos des recueils de hadiths :
- (...) conserver les enseignements et exemples de celui qui est « le meilleur modèle ». (p. 12)
- (...) effort touchant, ambitieux, mais dangereux pour fournir, d'après la vie d'un petit groupe d'hommes dans un coin perdu de l'Arabie du VIIe siècle, les sources du dogme, de la morale, du rituel, de la politique, de l'économie, de l'hygiène, de la jurisprudence d'une communauté visant à l'universalité (...) (p. 12)

A propos de Mahomet :
- Mahomet est à coup sûr un prophète de la lignée bibilique sémite : (...) guerrier, promouvant des massacres comme on en trouve tout le long de l'Exode, des Juges et des Rois (...) (p. 18)
- Dans la crise religieuse intense qui le dressa, aux environs de la quarantaine, contre le matérialisme païen (...) il en appela, du fond de sa conscience et de son inconscient, à la Réalité directe. Il fut exaucé par la descente en son coeur d'un Livre, une nuit. (p. 19)
- Cette Parole éternelle refléta les préoccupations de son transmetteur et celles de sa communauté d'une façon à la fois bouleversante, touchante, pathétique, parfois choquantes, qui nous présente, côte à côte et comme sur le même plan, les plus belles affirmations religieuses et mystiques, des rêgles précises mais sommaires et fragmentaires de politique et de morale (...) des exhortations à la patience et à la guerre sainte (...) (p. 19)
- Alors que tout pouvait lui faire croire [A Khadidja, sa première épouse] que son mari était malade et avait l'esprit dérangé (...) (p. 25)
- Mahomet était un homme sincère et véridique, charitable et généreux (...) (p. 25)
- Mahomet est à coup sûr un prophète de la lignée bibilique sémite : (...) guerrier, promouvant des massacres (...) (p.18)
- Mahomet n'aimait guère les poètes (p. 46)
- Mahomet était un homme sincère et véridique, charitable et généreux (...) (p. 25)
- Les trois milles musulmans mobilisés n'eurent plus qu'a écraser les Banou Qoraïzda qui furent atrocement massacrés ou réduits en esclavage. Les hypocrites comprirent et toute opposition cessa. (p. 50) (Note : merveilleuse démonstration de ce que signifie "la compréhension" chez les musulmans !)
- il convertit une troupe de génies invisibles qui avaient été émerveillés de l'entendre psalmodier le Coran sous un palmier; et c'est par la sourate LXXII qu'il apprit cette étonnate et consolante nouvelle (page 41) (Note : quand on est complètement frappa-dingue, on se console comme on peut... par exemple en voyant des Génies invisibles / Djinns)

A propos de l'ordre des sourates du Coran :
- les dernières dans le classement courant sont en gros les plus anciennes (p.27) (Note : appréciez la subtilité de la rédaction de cette phrase. Les plus anciennes sourates sont bien évidemment les premières sourates révélées par Mahomet, mais s'il avait écrit "les dernières sourates dans le Coran sont les premières qui furent révélées à Mahomet", l'absurdité de la rédaction du Coran eut sauté aux yeux de façon bien trop évidente !)

A propos des versets sataniques :
- Se déclenchèrent alors, - peut-être après un moment d'hésitation, un essai de conciliation syncrétiste, - les attaques virulentes contre les dieux de Qoraich : Hobal, abrité dans la Ka'ba et devant qui l'on consultait le sort avec un jeu de flèches, El-Lat, Al-Ozza et Manat, dont on faisait les filles d'Allah, inimaginable aberration. (page 31) (Note : là encore, appréciez la subtilité de la rédaction. S'il avait écrit "Mahomet récita des versets incorporant El-Lat, Al-Ozza et Manat en tant que filles d'Allah, puis se rétracta en affirmant que Gabriel lui avait révélé qu'il avait été trompé par Satan, d'où l'appelation de « versets sataniques » ", cela eut fait passer les versets du Coran pour ce qu'ils sont de façon bien trop évidente, à savoir, des créations issues du cerveau malade d'un bédouin qui fait sa crise de la quarantaine. Notons que ce texte date de 1955 époque où Salman Rushdie salissait encore ses couches, ce qui montre bien que cet épisode des versets sataniques est parfaitement connu et n'a jamais été établi comme imaginaire, contrairement à ce qu'affirment maintenant les musulmans. Le fait que les musulmans ne puissent rien démontrer sur ce sujet de façon indubitable, ni dans un sens ni dans l'autre, montre à quel point l'ensemble du Coran, transmis de manière identique à ces versets sataniques, est sujet à caution. Concernant un texte transmis oralement, cela n'a rien de vraiment surprenant...)

A propos de la guerre :
- la conscience musulmane place les valeurs spirituelles profondes plus haut que la guerre (p. 46) (Note : Les valeurs spirituelles de l'islam sont si profondes qu'elles sont bien cachées... Plus haut ou plus bas, ceci démontre surtout que la guerre fait partie intégrante des valeurs de la conscience musulmane, ce qui n'est pas le cas des démocraties ni de l'occident actuel. Certes, les démocraties font encore des guerres injustes, mais les dirigeants sont pour cela obligés de mentir à l'opinion publique. Et comme les mensonges n'ont qu'un temps, les dirigeants qui déclarent une guerre basée sur un mensonge se font le plus souvent virer aux élections suivantes. Selon la doctrine de l'islam par contre, la manipulation de l'opinion n'est pas nécessaire, ou du moins est grandement facilitée, puisque la guerre fait partie de la conscience musulmane)
- Mahomet alla châtier des bédouins qui avaient massacré un groupe de musulmans. (p.50) (Note : Mahomet ne massacre pas, il châtie... Mahomet n'est pas un criminel, ce sont les autres qui sont des criminels... Mentalité coranique typique : Mahomet étant un « beau modèle », lorsqu'il tue c'est forcément toujours parce qu'il a une bonne raison, comme l'indique le Coran. Ce n'est donc (!?) pas un criminel)
- La victoire [prise de La Mecque] eut lieu dans des conditions telles que ce fait historique est l'un de ceux qui font honneur à l'humanité (p.57) (Note : les "conditions" de la victoire ne sont pas exposées. Quelles furent-elles ? Mahomet ayant auparavant perpétré tant de massacres ailleurs qu'a La Mecque et attaquant finalement La Mecque avec une armée à ce point supérieure en nombre, les habitants terrorisés préférèrent ne pas combattre. Il n'y eu guère de combats et peu de morts. Comme pour la plupart des villes Françaises qui furent conquises par les nazis lors de la seconde guerre mondiale. DONC, selon la logique musulmane, les occupations de villes par les nazis, sans combats ou avec peu de morts, sont des faits historiques qui font honneur à l'humanité. Cherchez l'erreur...)
- Mahomet partit avec mille cinq cent fidèles pour faire le pèlerinage [à la Mecque]. Ils s'arrêtèrent à Hodaïbiya, les Qoraïchites ayant occupé le défilé qui commandait le territoire sacré. Des pourparlers s'engagèrent. Mahomet céda. (...) Le sens politique de Mahomet lui faisait comprendre le prix d'une modération qui allait lui permettre de cueillir sans peine le fruit bientôt mûr [la ville de La Mecque]. (p. 51) (Note : Mahomet est le « beau modèle » selon les musulmans. L'histoire nous enseigne donc que selon le modèle musulman, la modération politique a pour but de permettre la mise en place de la suprématie militaire. Par conséquent, pourparler avec des musulmans quand on est en position de force est une erreur qui va se retourner contre soi. Il faut donc étouffer dans l'oeuf toute tentative expansioniste musulmane à brève échéance sinon c'est la défaite totale à longue échéance. Face à l'islam, la modération politique et la magnanimité, vertus démocratiques et chrétiennes par excellence, sont deux faiblesses dont l'histoire nous montre que, face aux musulmans, ce sont des faiblesses fatales. Comme pour la ville de La Mecque. Plus près de nous, l'Algérie nous a montré que l'histoire avait raison : la modération politique et la magnanimité ont permis aux musulmans de remporter des élections. On a vu la suite : une guerre civile aux portes de l'Europe. Idem en Bosnie, idem en tchétchénie. Il faut être une triple buse pour croire qu'il y a des raisons [lesquelles d'ailleurs ?!] de penser que cela sera différent à l'intérieur des frontières de l'Europe.)

A propos de la vie sexuelle de Mahomet :
- [Mahomet] s'était fiancé avec la très jeune et très jolie Aïcha (p.52) (Note : très jeune, c'est quel âge ? Le texte ne le précise pas, mais l'histoire a retenu le fait. Savez-vous quel âge avait Aïcha quand Mahomet, qui avait alors dépassé la quarantaine, s'est fiancé avec elle ? 14 ans ? Non, moins... 12 ? Non, moins... 10 ? Non, moins... 8? Non, moins... 7 ans ?! Non, encore moins : 6. Aïcha avait SIX ANS quand Mahomet s'est fiancé avec elle. Elle était si jeune qu'il a en fait attendu trois ans avant de coucher avec elle ! Mahomet était pédophile et il est le « beau modèle » selon les musulmans.)
- [Mahomet] avait épousé la pieuse (Note : qui aime se pieuter ?) Saouda, (...) Aïcha (...) Hafça (...) zeineb (...) Ohod (...) Oum Selma (...) Rihâna et Câfiya (...) Oumm Habîba (...) Maïmoûna (...). Il eut aussi deux ou trois concubines (pages 52-53) (Rappel pour ceux qui dorment au fond près du radiateur : Mahomet est le « beau modèle » selon les musulmans.)
- non sans quelque hésitation [Mahomet épousa] la belle Zeineb, femme de son fils adoptif Zeid, que celui-ci répudia. Une révélation précisait que (...) Dieu avait décidé de mariage pour qu'il fût clair qu'on avait le droit d'épouser une femme répudiée par son fils adoptif (p. 52) (Note : quel tragique destin que celui de prophète de l'islam. Etre obligé par dieu à épouser une belle femme qui habite déjà dans sa famille. C'est terrible, surtout pour quelqu'un qui a déjà cinq ou six femmes. Le texte est rédigé de telle sorte que l'on dirait que le fils de Mahomet a répudié sa femme de sa propre initiative et que seulement ensuite une révélation a ordonné a Mahomet de l'épouser alors qu'il n'y songeait pas le moins du monde. Ce n'est pas ce que l'histoire a retenu : Mahomet a fait pression sur son fils adoptif pour qu'il répudie Zeineb, puis il déclara que c'était Dieu qui lui ordonnait d'épouser Zeineb; L'intervention de Dieu tombait à pic afin que l'on ne dise pas qu'il était le dernier des salauds et un obsédé de la baise.)
- Une révélation précisait que Mahomet n'était le père d'aucun homme (ce qui sanctionnait l'exclusivité de la mission prophétique, le renoncement à avoir un successeur de son sang) (p. 52) (Note : la rédaction du texte donne l'impression que Mahomet a volontairement renoncé à avoir des enfants, et en particulier un fils. Ce serait entièrement faux de penser cela, bien que le texte soit effectivement habilement rédigé pour ne pas le dire mais manipuler le lecteur et lui faire penser cela. Mais en réalité, Mahomet eut des enfants, dont un fils, Ibrâhîm. Par contre tous moururent naturellement en bas âge (sauf une seule fille, Fâthima, qui épousa Ali et eurent deux enfants, Hassân et Hossaïn, seuls descendants de Mahomet). Selon les critères de l'époque, n'avoir pas d'enfants faisait de Mahomet une toute petite bite. Selon vous, quelle est l'explication la plus simple :
A/ Dieu a décidé d'envoyer l'ange Gabriel expliquer à Mahomet qu'étant le dernier des prophètes il ne devait pas avoir d'enfants.
ou
B/ Le « beau modèle » musulman était trop taré pour produire des marmots viables et il s'est inventé une explication à la con pour ne pas avoir à assumer le fait d'être une toute petite bite.
Le débat est ouvert...)

A propos des symptomes des révélations :
- [Mahomet] en recevait les fragments dans des états seconds (...) il frissonnait et tremblait, se faisait généralement couvrir d'un voile ou d'un manteau, sous lequel on l'entendait souffler, gémir, pousser des cris rauques. Il en sortait en sueur (...) tension musculaire (...) transes (...) face rouge (...) il entendait des bruissements, des tintements et un discours confus (pages 38-39) (Note : Y'a plein de Mahomets dans les hopitaux psychiatriques, on devrait tous les libérer et arréter de leur donner des médicaments comme ça on aurait plein de prophètes et chacunn pourrait choisir le sien : liberté de religion totale. En plus, avec un peu de chance, on pourrait peut-être avoir la suite du Coran en direct à la télé !)
- L'effort devait être grand pour passer à l'état de discours logique et intelligible (page 39) (Note : z'êtes certains qu'il a fait cet effort là, votre prophète ? M'est plutôt avis que le Mahomet était une grosse feignasse et qu'il a pas trop re-potassé ses notes parce que question discours logique et intelligible, il a encore du pain sur la planche.)

Etc.. etc...
Ce livre, qui pourtant date de 1955, époque où la présence musulmane en Europe n'était pas un sujet de société, est le parfait exemple de l'ouvrage qui veut glorifier Mahomet et l'islam mais qui ne réussit à cacher ni la sordide réalité de la vie de ce bédouin mentalement dérangé ni l'archaïsme, la violence, l'hypocrisie et la fourberie de la doctrine despotique qui s'est matérialisée sous forme d'un long délire à épisodes dont les symptômes furent un monologue indigeste vomi aux gré des crises psychotiques de son taré d'auteur pendant plus de vingt ans, à savoir : le Coran.