Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Démocratie page 2

La Belgique :
premier euro-vaccin anti-islamique ?
ou première « terre d’islam » d’Europe occidentale ?

En Belgique, lors d'élections législatives en 2003 puis européennes en juin 2004, l’extrême droite a continué sa percée dans des régions qui furent le berceau de la démocratie européenne. C’est ainsi que le FN a réussi a faire élire un député à Charleroi, région sinistrée sur le plan industriel et social où les arabo-musulmans s’imposent un peu plus chaque jour avec la complicité d’un parti socialiste corrompu jusqu’à la moelle. Aujourd’hui, dans les rues commerçantes du centre-ville, les « muslims » tiennent le haut du pavé et font comprendre aux « autochtones » qu’ils ne sont plus les bienvenus dans ce qu’ils considèrent à présent comme leur « territoire ». Même le salon de thé Van Hove de la rue Neuve, jadis fréquenté par une clientèle BCBG, est devenu un repaire de « muslims » qui y squattent les tables à longueur de journée.

Un dessin extrait d'un tract pour un parti d'extrème droite qui, à défaut de proposer les bonnes solutions, sait poser les bonnes questions...
Un couple de belges se promène en belgique, au milieu d'une foule d'arabes.
Un arabe : tu as vu ces deux là ?
Un autre arabe : hé oui mon frère, il y a encore des belges qui refusent de s'intégrer.
Dessin extrait d'un tract pour un parti d'extrème droite Belge qui, à défaut de proposer les bonnes solutions, sait poser les bonnes questions... sur lesquelles les autres partis pratiquent la politique de l'autruche en laissant pourrir la situation, quand ils ne pratiquent pas déjà la collaboration.

Tel est le résultat de la politique purement démagogique menée, depuis plus de 25 ans, par une bande de voyous en cols blancs, par des individus qui se prétendent « socialistes » mais qui ne sont que des opportunistes de bas étage et des prévaricateurs professionnels.


Une telle politique, à Charleroi comme ailleurs, fait l’affaire des maffieux en tous genres et notamment des maffieux musulmans. Les mosquées et les « centres islamiques » fleurissent dans les communes défavorisées. On y prêche la haine et l’on y organise des réseaux terroristes visant à déstabiliser les fragiles démocraties européennes (comme l'a montré le procès des réseaux islamistes de Bruxelles dont la « vedette » fut l’ancien footballeur tunisien Nizar Trabelsi ).

Nizar Trabelsi Tarek Maaroufi
Si Nizar Trabelsi (à gauche) a une tête à faire peur, Tarek Maaroufi (à droite) pourrait, à priori, apparaître comme « inoffensif ». Ces deux Tunisiens implantés en Belgique étaient pourtant parmi les « têtes pensantes » du réseau al-Qaîda. Ils ont aussi été parmi les organisateurs de l’assassinat du commandant Massoud. C’est Maaroufi qui a recruté et envoyé en Afghanistan deux autres Tunisiens qui ont participé à l’assassinant du leader de la lutte contre les talibans. Maaroufi était aussi un spécialiste de la fabrication de faux documents et il avait déjà été condamné en 1995 (trois ans de prison avec sursis) pour sa participation dans un trafic d’armes au profit des islamistes algériens.
Pour sa part, Trabelsi est impliqué dans des projets d’attentats terroristes contre des bases de l’OTAN où sont entreposés des ogives nucléaires (notamment la base de Kleine Brogel en Belgique). Mais il est également accusé de fabrication de faux documents et de recrutement de mercenaires musulmans pour l’Afghanistan.
Ces deux crapules ne méritent qu’une seule chose : la détention (jusqu'a éradication de l'islam). Maaroufi – qui a acquis la nationalité belge – devrait, en outre, en être déchu. Il n’est pas admissible qu’un tel individu puisse continuer à être présenté comme « belge » ou comme citoyen européen !

On laisse faire dans les écoles, on laisse faire dans les mosquées, on laisse faire dans les cités. Trop occupés à se remplir les poches et à se battre pour des strapontins, les politiciens « de carrière » laissent pourrir la situation et persistent à flatter la communauté arabo-musulmane dans la perspective d’une modification des lois électorales qui accorderait le droit de vote à tous les ressortissants étrangers. C’est un calcul strictement opportuniste dont nous savons qu’il est stupide et extrêmement dangereux.

Stupide, il l’est par le fait que, si jamais le droit de vote était accordé aux arabo-musulmans, ceux-ci voteraient pour LEURS candidats. Le 20 février 2004, la Belgique vote la loi pour le vote des étrangers. Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergolIls n’hésiteraient même pas à présenter des listes entièrement contrôlées par les milieux islamistes (comme cela a été proposé par la Ligue Arabe Européenne et comme cela semble déjà se manifester à Bruxelles).
Les « partis traditionnels » seraient donc, in fine, les « dindons de la farce » et, par delà, le peuple lui-même.

Nous en tenons pour preuve les articles qui ont été publiés par la presse turque à l’occasion des élections législatives belges du 18 mai. Ils mettaient en évidence la présence de nombreux Turcs sur les listes (Turcs ayant acquis la nationalité belge) et incitaient leurs lecteurs a voter pour ces candidats, véritables « pions » disséminés sur l’échiquier politique belge. Mais, bien entendu, il est rare (très très rare) qu’un citoyen belge ait l’occasion (et la possibilité) de lire la presse turque ou arabe !

article publié par la presse turque à l’occasion des élections législatives belges du 18 mai 2003
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La presse turque s’est beaucoup intéressée aux élections belges
et à la présence de ressortissants d’origine turque sur certaines listes
Pazartesi – 12 mai 2003

Dangereux, l'opportunisme des politiciens l’est aussi puisque nous savons que les musulmans - fourbes tout comme celui qui est pour eux le « beau modèle » : Mahomet - ne cessent de pousser leurs pions en profitant des faiblesses et des carences de nos systèmes dits « démocratiques ». Ils se font allouer des locaux gratuits pour leurs mosquées et leurs « écoles » coraniques (principaux foyers de contagion islamique) et ils obtiennent même que des bibliothèques communales (comme celle de Charleroi) disposent de sections en langues turques et arabes. Des sections où le coran sera en bonne place, parmi d’autres ouvrages faisant l’apologie de l’islam et de ses principes dangereusement antidémocratiques. Et tout cela avec l’argent des contribuables belges (la plupart des ressortissants arabo-musulmans étant non imposables) !

Il s’agit là d’un détournement de fonds publics caractérisé car les Turcs (pas plus que les collectivités parlant l’Arabe) n’ont pas à bénéficier d’avantages culturels de ce type, d’autant qu’ils savent parfaitement se payer des mosquées et des « écoles » coraniques. Ils peuvent donc, de la même façon, se payer des bibliothèques en langue turque qui ne soient pas à la charge d’une collectivité qui ne lit pas le Turc et qui ne s’intéresse en aucune manière à la littérature ottomane ou islamique. Il est en outre scandaleux que la section turque de la bibliothèque communale de Charleroi ait été installée dans une section dédiée à Marguerite Yourcenar car il est peu vraisemblable que Marguerite de Crayencour (dite Yourcenar) ait approuvé le fait qu’une bibliothèque portant son nom puisse servir de centre de propagande pour les thèses islamiques que propage la communauté turque de Belgique.

MARCHIENNE-AU-PONT, À LA BIBLIOTHÈQUE, Une section en langue turque
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Article du groupe Sud-presse
11 juin 2003

Ne nous voilons pas la face (laissons ça aux musulmanes !), Nous sommes bel et bien confrontés à une invasion islamique de l’Europe, une invasion « en douceur » (comme, en fait, l'immense majorité des invasions historiques) mais bien réelle qui se fait avec la complicité active de ceux- là mêmes qui sont l’objet de l’invasion ! Nous allons jusqu’à payer les envahisseurs par le biais des allocations sociales que nous leurs allouons généreusement. C’est comme si les Indiens d’Amérique du Nord avaient accordé des RMI, des Minimex ou des allocations familiales aux colons européens venus les dépouiller de leurs terres et les assassiner ! Cette comparaison n’a rien d’excessive. Elle illustre bien la réalité des faits. Car c’est souvent avec l’argent des « aides sociales et culturelles » que les nouveaux envahisseurs parviennent à s’organiser au nez et à la barbe des « autorités ». ce n’est que dans un second temps, lorsqu’ils sont déjà organisés et implantés, que des aides « extérieures » (notamment celles qui émanent des mouvements islamistes saoudiens) leurs sont attribuées.

Ce n’est qu’en fermant définitivement le robinet des « aides » en tous genres que nous commencerons à endiguer la nouvelle invasion de l’Europe par les arabo-musulmans. C’est une mesure facile à adopter mais qui, bien entendu, exige un minimum de courage politique, un courage que n’ont pas les voyous qui continuent à exercer une sorte de « dictature politique » (larvée mais bien réelle) sur certaines régions de l’Union européenne (comme Bruxelles et la Wallonie).

Le cas de la Belgique - pays politiquement malade et en voie de décomposition – est emblématique de ce qu’est la nouvelle conquête arabo-musulmane. Les islamistes portent des coups là où l’adversaire est le plus faible, tout comme ils l'ont fait en s'attaquant à Byzance et aux autres états frontaliers de l'arabie au temps de Mahomet, états qui eux aussi étaient en voie de décomposition. Les Byzantins discouraient sur « le sexe des anges » quand les musulmans les ont envahis. Les Belges eux, discourent sur « l'islam modéré ». En Europe, la Belgique est indéniablement le « maillon faible » du système, exactement comme l'était Byzance pour le moyen-orient. Les islamistes ont bien compris que ce pays était une position idéale pour développer leurs réseaux d’influence et leurs organisations criminelles. Le pouvoir politique – dont nous avons déjà dit qu’il était gravement corrompu – est totalement inopérant face aux réseaux musulmans tandis que Bruxelles occupe une place stratégique sur l’échiquier européen et mondial.


Comprendre ce qui se trame en Belgique, c’est comprendre les axes majeurs de la stratégie arabo-musulmane. C’est comprendre comment ils comptent s’y prendre pour conquérir l’Europe, sans guerroyer ouvertement, avant que n’arrive l’an 2050.

Car tel est leur plan, leur objectif . Se rendre maîtres du territoire européen par une infiltration insidieuse et prendre le pouvoir « légalement » en infiltrant peu à peu les institutions. C’est ce que firent Adolf Hitler et ses « nazis » entre 1920 et 1933 !

Il est donc de notre devoir de combattre les arabo-musulmans (et leurs complices) comme nos pères et nos grands-pères combattirent le fascisme, le nazisme, le pétainisme, le rexisme, le franquisme et le stalinisme. C’est un devoir que nous devons à leur mémoire mais c’est aussi un devoir que nous avons vis-à-vis des générations futures.

Nous l’avons dit et nous ne cesserons de le redire : nous sommes des démocrates et des pacifistes. Mais nous ne voulons pas d’une « Europe pluriculturelle » où les musulmans viendraient nous imposer leurs prétendues « traditions » et leurs principes de vie dangereusement rétrogrades. Nous voulons une Europe laïque – authentiquement laïque -, démocratique – authentiquement démocratique -, une Europe ouverte au progrès et aux lumières de la science. L’islam n’a pas sa place dans une telle Europe et si les musulmans ne veulent pas le comprendre et l’admettre de plein gré, il faudra bien que nous leur fassions comprendre – par la force s’il le faut – qu’ils doivent se plier à « nos » principes ou … retourner appliquer leurs principes coraniques dans leurs déserts !

Il nous faut dénoncer, haut et fort, la stratégie du « cheval de Troie » qui est mise en œuvre par les musulmans au cœur même de l’ Europe occidentale. La Grande-Bretagne a fini par reconsidérer ses vieux principes de « liberté de parole » tandis que la France commence à réagir après près de vingt années de « laisser faire » (imputable à une gauche dite « plurielle » mais aux conceptions très « singulières » !).

La Belgique - qui se prétend « pays européen par excellence » - est en train de se décomposer pour laisser le champ libre à tout ce que la planète peut compter de maffieux et de voyous. De Charleroi à Anvers en passant par Bruxelles, on se trouve confronté aux mêmes problèmes, aux même drames, à la même détresse d’une population qui n’ose plus sortir dans la rue. Un humoriste belge amateur a produit, il a y déjà plusieurs années, un disque 45 tours dont l'une des faces comportait une chanson résumant bien la situation : la police est débordée !

disque 45 tours la police est débordée
La police est débordée !

Format MP3 - 2' 52 - 338 Ko
Diffusion libre avec l'aimable autorisation de l'auteur.

Tel est le résultat, navrant s’il en est, du « pluriculturalisme à la belge ». C’ est le pire exemple que l’on puisse citer, c’est l’exemple à ne suivre sous aucun prétexte !

Le cheval de Troie des musulmans, nous devons le détruire une fois pour toutes puisque nous ne pouvons pas le reconduire à la frontière. Nous devons le détruire partout où il se trouve, partout où il s’est introduit, partout où il se cache. C’est la priorité des priorités car si nous ne réussissons pas à mettre un terme à cette manœuvre sournoise, ce sont nos enfants et nos petits-enfants qui auront à supporter les effets désastreux de notre défaite. Et Charles Martel n’en finira plus de se retourner dans sa tombe !

Le cheval de Troie des islamistes, nous devons le réduire en bois d’allumettes avant de le réduire en cendres, quitte à réduire identiquement en cendres ceux qui se sont cachés dans ses flancs ainsi que ceux et celles qui, par pur opportunisme, par carriérisme et par intérêt personnel, ont laissé faire impunément depuis plusieurs décennies. Le temps n’est plus aux palabres et aux mansuétudes. Le temps est à l’action et aux décisions courageuses. Le socialisme, le vrai, doit retrouver sa vitalité et sa cohésion dans le combat que les européens vont devoir mener contre les forces des ténèbres mahométanes. C’est le même combat que celui que nos grands pères menèrent contre l’obscurantisme clérical et nos pères et mères contre la barbarie nazie. C’est le combat éternel pour la liberté !


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Article de la presse quotidienne belge (Sud Presse)
relatif aux opérations menées, en territoire français,
contre les groupes terroristes musulmans
(18 juin 2003).

Le conflit qui se dessine entre le monde dit « occidental » et le monde islamique ne peut plus guère être évité. Il est beaucoup trop tard pour adopter les mesures « préventives » qui auraient dû être prises depuis fort longtemps par nos dirigeants politiques. Nous sommes donc contraints de n’envisager que des mesures « correctives », voire carrément des mesures de guerre. Car nous sommes d’ores et déjà en guerre.

Cette guerre nous ne l’avons pas voulue. Elle nous est imposée par les musulmans qui persistent, en vertu de la charia et du djihad (donc du coran), à vouloir imposer leur vision archaïque et antidémocratique du monde à la partie du monde non islamique (celle qu’ils nomment sans ambiguïté le « pays de la guerre » ou «där al-Harb »). C’est une guerre malsaine, une guerre qui n’ose pas dire son nom mais c’est une guerre qui sera sans merci et qui, comme le disait le juge Bruguière, risque de durer plusieurs décennies. Si nous la perdons, l’Europe deviendra d’abord une sorte d’ « annexe » du monde arabo-musulman avant d’y être incorporée purement et simplement. Car, contrairement aux Etats-Unis, aucune barrière naturelle ne nous protège de l’invasion.

Ce conflit résulte, en fait, de la profonde incompréhension qui existe entre les deux cultures qui régissent la majeure partie du monde depuis plus d’un millénaire : la culture occidentale et la culture orientale. Elles sont radicalement opposées et totalement incompatibles. Elles ne peuvent cohabiter sur un même territoire, hormis temporairement avant que n'éclate le conflit (comme ce fut le cas en Bosnie).

Cette incompréhension découle, non seulement de la trop grande différence de mentalité et de culture mais aussi du fait que les occidentaux, comme les musulmans, se prennent pour le nombril du monde, pour les seuls détenteurs de la « vérité suprême ». Sur ce plan-là, notre structure d’enseignement est à peine meilleure que celle des musulmans. Nous n’enseignons que ce qui nous concerne et nous ignorons superbement le reste. D’où notre totale méconnaissance du monde arabo-musulman. Le présent site Internet a d’ailleurs été conçu de manière à remédier, tant soit peu, à cette grave lacune. Il a pour but de fournir aux occidentaux les principales « clefs » qui devraient leur permettre d’appréhender l’islam, l’islamisme et la culture arabo-musulmane, domaines totalement hermétiques pour le commun des Européens.

Mais il ne s’agit pas seulement de connaître des clefs de décodage. Il faut encore que nous reconsidérions rapidement quelques-uns de nos concepts, notamment ceux qui nous amènent à relativiser, voire carrément ignorer, tout ce qui n’est pas « occidental ».

A titre d’exemple, nous citerons nos cartes de géographie, celles qui ornent les murs de nos écoles européennes. Elles demeurent établies sur le modèle dit « de Mercator », géographe flamand (de son vrai nom Gerhard Kremer) qui imagina, aux environs de l’an 1569 le système de projection portant son nom.

Or, la projection de Mercator fausse totalement notre conception du monde.
En effet, cette projection – conçue par un Européen pour des navigateurs européensfausse les rapports de superficies entre pays et continents.
Cela a pour effet principal de laisser croire que l’Europe – qui occupe le centre de la carte – est nettement plus grande qu’elle ne l’est en réalité.
planisphère de MercatorEn outre, les deux tiers de la surface des cartes Mercator sont occupés par l’hémisphère Nord cependant que l’hémisphère Sud n’en occupe qu’un tiers. L'équateur de Mercator n'est pas au centre de la carte mais au deux tiers.
On en arrive ainsi à des aberrations géopolitiques laissant supposer que l’Europe est plus étendue que l’Amérique latine. Or, dans la réalité, l’Europe ne représente que 9,7 millions de km² pour 17,8 millions en ce qui concerne l’Amérique latine. De même, nos cartes nous montrent un Groenland immense, plus grand que l’Amérique latine. Et pourtant, le Groenland est neuf fois plus petit que la partie Sud du continent américain !

Le plus grave, c’est que nos enseignants ne mettent pas leurs élèves en garde contre ces anomalies. Le plus souvent, ils ne savent pas eux mêmes que les cartes Mercator sont fausses et archi-fausses !

Et pourtant, depuis 1974 nous disposons d’une planisphère « corrigée » (une projection plane d’une sphère engendre inévitablement des déformations) respectant les rapports de superficies.

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