Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Argent page 3

barquette de viande Halal Le « business halal » est une source de profits considérables pour les musulmans les plus astucieux (comme pour certains Juifs avec les produits Kacher). A elle seule, les Ets « Doux » (Finistère) exportent chaque année entre 130.000 et 180.000 tonnes de poulets « halal » vers l’Arabie saoudite. En échange, les Saoudiens exportent vers la France (et toute l’Europe) leur conception du « bon islam » et de la subversion organisée.

Devinez qui est perdant dans cette affaire ?

article publié dans la presse belge (Sud Presse) en date du 17 décembre 2002

Cet article a été publié dans la presse belge (Sud Presse) en date du 17 décembre 2002. Il nous apprend que le soit-disant « exécutif des musulmans de Belgique » a décidé d’exploiter, lui aussi, le « filon » des produits halal. Avec pour but avoué d’ « inonder les grandes surfaces » et de vendre cette merde à tout le monde, musulmans ou non musulmans.

On nous dit même que le seul fait de « transformer » un aliment serait de nature à la « purifier ». Ainsi donc, selon les escrocs qui couvrent les activités du commerce halal, il suffirait de « transformer» la viande de porc pour qu’elle devienne aussi pure que l’agneau qui vient de naître. Même les Juifs n’y avaient pas pensé !

Les musulmans, de Belgique ou d’ailleurs, prennent vraiment les gens pour des cons !

L’article de « L’Express » se termine sur différentes informations relatives aux influences qu’exercent les nations islamiques sur les musulmans installées en France. C’est ainsi que nous apprenons que l’ancien recteur de la mosquée de Paris (Dalil Boubakeur) est, en fait, un salarié du gouvernement algérien. Il bénéficie, en outre, d’un statut de diplomate. Les 80 imams agréés par la mosquée de Paris sont, eux aussi, des agents de l’Etat algériens. La mosquée percevrait ainsi quelques 4 millions de FF (par an) du gouvernement algérien. Et son recteur, qui se fait le chantre d’un « islam de paix et de tolérance » se déclare prêt à accepter l’argent des Saoudiens. L’intolérance au service de la tolérance ? Contradiction encore, contradiction toujours !

Le 4 octobre 2002, tout ce que la France compte comme « sommités musulmanes » se trouve rassemblé à l’hôtel Hilton de Paris. Tout ce petit monde est venu écouter religieusement le dénommé Abdallah bin Abdul Mushen al-Turki, ancien ministre saoudien des affaires religieuses et membre à part entière du « clan des Saoud ». Il est à présent le secrétaire général de la LIM (ligue islamique mondiale), cette pseudo ONG créée en 1962 à la Mekke avec, pour seul objectif, la promotion mondiale du wahhabisme (voir le chapitre 6) et de la « guerre sainte » contre les « infidèles ». On ne peut donc que sourire lorsque la LIM se trouve qualifiée d’ « organisation non gouvernementale ». En vertu de l’omma, elle est, tout au contraire, une émanation directe du pouvoir saoudien.

L’homme à la barbe blanche (tête couverte) est le très dangereux secrétaire-général de la LIM, le saoudien Abdallah al-Turki

La « table des personnalités » lors d’une réunion organisée par la LIM à l’hôtel Hiton de Paris. L’homme à la barbe blanche (tête couverte) est le très dangereux secrétaire-général de la LIM, le saoudien Abdallah al-Turki.

Lors de la réunion de Paris Al-Turki dira notamment : « la Ligue étudie tous les projets de construction qui lui sont soumis en France, distribue des ouvrages sur l’islam, tente de s’occuper des minorités musulmanes du pays et souhaite entretenir un bon dialogue avec le gouvernement français… ». Le discours est le même dans tous les pays qu’il visite et la LIM essaye, par la même occasion, de mettre un pied dans tous les organismes qui sont censés s’occuper des communautés musulmanes. Elle dispose d’agents actifs au sein du « comité français du culte musulman » où elle se trouve représentée par Salah Djemaï, son avocat-conseil qui est aussi l’un des administrateurs de la mosquée de Mantes-la-Jolie, un édifice construit avec des fonds libyens (en 1981) mais qui a rejoint le camp des Saoudiens depuis 1997. C’est d’ailleurs Abdelaziz, l’un des fils du roi Fadh qui a inauguré le vaste « centre culturel islamique » qui se trouva accolé à la mosquée. Et le 30 septembre 2000, la LIM rachetait cet ensemble immobilier (pour 1 franc symbolique et les frais de notaire) pour y installer ses « bureaux », autrement dit son centre de propagande pour l’Europe occidentale. Depuis lors, la LIM contrôle l’ensemble des activités islamiques de Mantes-la-Jolie.

La LIM contrôle identiquement la mosquée d’Evry où elle a injecté plus de 9 millions d’euros entre 1984 et 1995, l’argent ayant été versé par la banque islamique de Djeddah (Arabie saoudite). La LIM paie aussi les impôts fonciers de la mosquée et des locaux commerciaux qui y sont rattachés (dont une boucherie halal) pour un montant d’environ 90.000 euros par an. Autrefois contrôlée par le Maroc, la mosquée d’Evry est à présent l’un des fiefs du wahhabisme (voir le chapitre 6) en Europe occidentale. Et les demandes de financement affluent sur le bureau d’Abdulaziz Sarhan, le représentant de la LIM à Paris (qui porte la tenue saoudienne traditionnelle et ne parle pas un mot de Français). En deux ans, une trentaine de demandes ont été reçues de Pontoise, Colmar, Saint Quentin, Marseille,… A Lyon, la rutilante mosquée du boulevard Pinel a été financée à 90% par un don personnel du roi Fadh… environ 4 millions d’euros !

La conquête de l’Europe par les islamistes n’est donc, en aucune façon, une « vue de l’esprit ». Cette conquête a commencé depuis une bonne dizaine d’années et, à ce jeu là, les Saoudiens sont actuellement les plus forts… car ils ont des ressources financières quasiment inépuisables. Et pour quelques milliers d’euros, les musulmans implantés en Europe sont prêts à se soumettre encore un peu plus à la tyrannie coranique. Ils sont prêts à favoriser l’implantation du wahhabisme (voir le chapitre 6), la forme la plus aboutie des mises en application des préceptes pervers et inhumains du coran.

Les Saoudiens posent leurs jalons les uns après les autres et rares sont ceux qui réagissent, qui sonnent le tocsin, surtout dans le monde musulman où la règle de la « soumission » demeure incontournable. Leur politique ne se limite pas à financer les mosquées, ils s’intéressent aussi de très près aux écoles confessionnelles et à tout ce qui, de près ou de loi, concerne les musulmans. Comme le fait remarquer la rédaction de « L‘Express », il est à peu près impossible, chez eux, de savoir ce qui provient de dons personnels, de fondations privées, d’organismes islamiques et même de ressources gouvernementales. L’Arabie saoudite est même le pays qui consacre la part la plus importante de son PIB à des actions d’ « aide au développement », étant bien entendu que cet état islamique pur et dur ne s’intéresse qu’à un seul développement, celui du wahhabisme (voir le chapitre 6) et de leurs intérêts dans le monde.

Outre la LIM (ligue islamiste mondiale), le gouvernement saoudien (autrement dit la famille des Saoud) peut compter sur toute une série d’organismes comme l’ « International Islamic Relief Organization » (IIRO) qui dispose d’un budget annuel de 500 à 600 millions de dollars. Ses objectifs sont clairs : elle fait passer la promotion du wahhabisme (voir le chapitre 6) bien avant les secours aux musulmans démunis. Et bien que l’on n’ait pas encore fait figurer l’IIRO sur la triste liste des organisations qui financent le terrorisme islamiste, il paraît évident qu’elle entretient des relations avec des terroristes et notamment avec le réseau al-Qaïda de ben Laden. Aux Etats-Unis, des plaintes ont été déposées contre al-Turki, trois autres membres de la famille royale saoudienne, des banques et des organismes saoudiens dans le cadre des attentats du 11 septembre 2001.

Partout dans le monde, l’argent des Saoudiens pollue les esprits et menace la paix. En France, l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France qui regroupe 250 associations et en contrôle plus ou moins 300 autres) prône un « islam moderne » qui se nourrirait de références fondamentalistes inspirées des très dangereuses théories des « Frères musulmans »(91) mais aussi et surtout de l’argent des puants « rois du pétrole ». D’ores et déjà, l’administration de l’UOIF (10 salariés et une centaine de bénévoles) est financée par l’argent sale des Saoudiens (1,5 million d’euros par an). Et Lhaj Thami Breze, son principal dirigeant ne chache pas ses ambitions : acquérir en vingt ans pour plus de 10 millions d’euros de patrimoine immobilier qui rapporterait, chaque mois, plus de 100.000 € de dividendes. Ce même dirigeant signe régulièrement des « tazkiya » à destination des financiers de la péninsule arabique. Ces lettres de recommandation sont une référence directe au coran et confère une « respectabilité religieuse » aux opérations qu’elles couvrent.

Ce système subtil est organisé par un certain Yusuf al-Qardawi, référence spirituelle de l’UOIF qui n’hésite pas à émettre des fatwas (sentences islamiques) ayant pour objet de régenter la vie des musulmans d’Europe occidentale. Imprégné des théories égyptiennes héritées des « Frères musulmans »(91), il a ses entrées chez les banquiers saoudiens et auprès d’Abdallah al-Turki (le « patron » de la LIM). On estime qu’ al-Qardawi est membre des « conseils religieux » d’une quinzaine de banques islamiques (établies en Egypte, Arabie saoudite, émirats, Pakistan et Suisse).

L’Express dévoile encore qu’une prétendue « ONG » saoudienne est accusée d’avoir confondu les fonds récoltés au titre de la zakat avec ceux destiné à financer le djihad. Et de citer la « Al-Haramain Charitable Foundation » qui a collecté 55 millions d’euros en 1999 (essentiellement dans les pays du Golfe persique). Avec cet argent, elle a financé des « juristes wahhabites » et financé des sites de propagande sur Internet. Elle a aussi fait imprimer des quantités considérables de pamphlets et fait distribuer 20.000 « voiles islamiques » un peu partout dans le monde. Enfin, elle a aidé la construction de 950 mosquées et écoles coraniques à la condition qu’on y enseigne la doctrine wahhabite. Mais l’on soupçonne surtout cette structure de propagande d’avoir fait transiter, par le canal du réseau Al-Qaïda, quelques 74.00 dollars destinés aux auteurs du sanglant attentat de Bali (12 octobre 2002).

Encore très discrète en France et en Europe, cette organisation criminelle essaye pourtant de s'y implanter. Elle a notamment financé, à hauteur de 20.000 €, une pseudo « association caritative » de la région parisienne nommée « chemin droit » (9, rue de Joinville à Saint Denis). Le président de cette structure subversive – un ressortissant pakistanais possesseur d’un passeport britannique - a été récemment mis en examen pour avoir recruté des jeunes militants islamistes en vue de les envoyer dans des camps d’entraînements installés au Pakistan. Il est aussi soupçonné d’avoir aidé le terroriste Richard Reid lors de sa tentative d’attentat contre le vol Paris-Miami (22 décembre 2001). L’Express pointe aussi le doigt vers une mosquée du boulevard Paul-Vaillant-Couturier (Paris) qui abrite les activistes pakistanais du mouvement « Tabligh », un courant intégriste qui prétend « réislamiser » les immigrés qui s’écartent du « droit chemin » décrit par le coran. Il n’empêche que cette « association » plus que douteuse (et très « discrète ») bénéficie d’une reconnaissance officielle depuis 1972 et participe au processus officiel de « consultation » !

A la fin de l’article de l’Express, on peut lire cette mention : « La France, pays d’Europe comprenant la plus forte minorité musulmane sur son sol, a le droit de lui demander une adhésion sincère au principe de laïcité… ». En fait, la France a le droit et le devoir d’ imposer cette adhésion. Elle n’a pas à quémander. Il est vrai que ce pays paye aujourd’hui très cher sa politique de colonisation. On peut aussi en dire autant de la Grande-Bretagne. Mais les générations présentes et à venir n’ont pas à supporter les effets pervers des erreurs qui ont été commises aux XVIIIe et XIXe siècles. Actuellement, nous ne devons rien, ni aux Maghrébins, ni aux Turcs, ni à personne d’autre. Il nous appartient donc de leur imposer le respect de nos lois et de nos usages. Ces lois et ces usages ne sortent pas de l'esprit malade d'un bédouin analphabète, agressif et pédophile. Ellles sont le résultat d'un lent et douloureux processus d'essais et erreurs. Si elles ne sont pas parfaites, elles ont le mérite d'avoir évité les guerres depuis près de cinquante ans entre les pays qui partagent peu ou prou ces lois et ces usages. Et si les lois et usages qui assurent la paix et la prospérité ne plaisent pas aux musulmans, qu’ils s’en aillent ou qu’ils s’apprêtent à subir les conséquences de leur incivilité !

L’Europe demeurera européenne et laïque. Il n’y a pas de place chez nous pour l’islam, les lois coraniques et toutes les absurdités qui en résultent. Les Européens ne sont pas des bédouins. L'Europe n'est pas un désert. Nous n’avons rien à négocier ni quoi que ce soit à concéder aux idolâtres d'une météorite. Ou bien les musulmans se plient à nos lois communes et à nos règles de vie, plus que suffisantes pour leur permettre d'aduler leur bédouin modèle et de s'extasier sur ses délires psalmodiques, ou bien nous les bouterons dehors, dussions-nous pour cela devoir tirer les oreilles des « autorités » ou agir tandis qu'ils ferment tacitement les yeux.

Et si le mois de septembre semble avoir une signification particulière pour les assassins d’allah, nous leur opposerons le mois d’octobre qui fut celui de la victoire de Charles Martel et du duc Eudes sur les Sarrazins.

Nous ne voulons pas d'une guerre Occident contre Islam, même « sainte », car nous sommes profondément pacifistes. La stabilité de l'Europe, et du monde Occidental, depuis un demi-siècle le démontre amplement. Mais « pacifiste » ne signifie pas « stupide » ou « passif », et encore moins « soumis », en tous cas pas aux yeux des athés européens que nous sommes. Comme nous l’avons dit par ailleurs – et s’il le faut vraiment – l'Europe répondra à la violence par la violence. Mais avec discernement, jamais de façon aveugle et criminelle. Pour ceux qui la subiront, notre violence rationnelle sera bien pire que leur violence aveugle, car personne ne leur exprimera de la compassion.

Les objectifs à détruire et les individus à éliminer sont connus. Il s’agit uniquement de foyers virulents et de quelques crapules notoires.

quelques crapules notoires

Nous frapperons « fort et haut » sans gaspiller notre énergie en nous attaquant à des objectifs mineurs. Ben Laden et la voyoucratie islamique n’ont pas le monopole des « actions d’éclat ».
Sans compter qu'il y aussi en Europe des « ONG » qui savent où trouver le matériel et les appuis nécessaires pour mettre en aplication des méthodes d’actions « non conventionnelles » qui risquent de surprendre pas mal de monde par leur efficacité « chirurgicale ».


Marketing Mahométan :


L’opportunisme islamique – qui ne connaît pas de limites – profite de la situation actuelle pour lancer toute une série de produits « islamisés » visant à concurrencer les produits occidentaux.

C’est ainsi que viennent d’apparaître des « cocas islamiques » baptisés « Mecca Coca » et « Muslim Up ». Ils sont évidemment destinés à concurrencer une célèbre boisson américaine que les jeunes musulmans ne dédaignent pas de consommer abondamment.

On aura remarqué que la première marque fait allusion à la Mekke tandis que la seconde est, en sus, un véritable cri de guerre « « musulmans en avant » !

A quand la « purée Mouslim, la purée la plus pure » et la « lessive MOUSSama, lave les djellabas plus blanc que blanc, même tâchées de sang » ?

Article publié
par la presse belge (Sud Presse - 29 mars 2003)

Le « coca de la ségrégation religieuse » ! Article publié par la presse belge (Sud Presse - 29 mars 2003).

Des bouteilles de 1,5 l de « Muslim Up » et de « Mecca Cola », deux copies de Coca-Cola produites en FranceDes bouteilles de 1,5 l de « Muslim Up » et de « Mecca Cola », deux copies de Coca-Cola produites en France.

Les producteurs de ces boissons prétendent qu’une partie des bénéfices sera versée à des associations caritatives, soit 10 % pour des « œuvres palestiniennes pour l’enfance » ( du genre « écoles coraniques », par exemple ?) et 10 % pour des « œuvres européennes ». D’ores et déjà, la plupart des associations caritatives chrétiennes ont fait savoir qu’elles refuseraient de tels dons.

Comme indiqué dans l’article, cette limonade qui met « l’économie au service de l’idéologie » est une idée de Toufik Mathlouthi, directeur de « Radio Méditerranée ». On a enregistré plusieurs appels au boycott de ces « produits de la haine » (notamment sur Internet). Il conviendrait d’y ajouter le boycott de Radio Méditerranée et de toutes les activités commerciales détenues par la famille Mathlouthi.

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