Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Libération ? page 6

Les islamistes dits « radicaux » savent parfaitement que leur prétendue religion n’est qu’une forme odieuse de répression des libertés humaines. Ils le savent tellement bien qu’il leur arrive de plus en plus fréquemment de s’en défendre. Dans un article publié, en août 2003, par l’hebdomadaire français « L’Express » (Grenade : la Reconquista de l’islam – n°2719 – 14 août 2003), on pouvait lire des propos recueillis auprès d’un individu de nationalité espagnole qui se fait appeler Malik Abderahman depuis qu’il s’est converti à l’islam (il s’appelle Ruiz et est issu d’une vieille famille catholique). Il déclarait notamment « Notre islam n’a rien à voir avec le nazisme. Ni d’ailleurs avec les talibans, promoteurs d’une société misogyne. L’islam wahhabite n’est pas, non plus, le bienvenu chez nous… il n’y a pas aujourd’hui de vrai régime islamique, car tous pratiquent l’usure… ». C’est, une fois encore, un discours qui se veut « rassurant » et qui use d’artifices de langage. Car la secte musulmane des « morabites », à laquelle se rattache la nouvelle mosquée de Grenade (celle que fréquente le dénommé Ruiz) est un fort curieux melting-pot où se retrouve, à côté d’anciens catholiques, une mouvance issue de l’extrême gauche et du mouvement anarchiste. Cela peut, à priori, paraître curieux mais nous devons nous souvenir que bon nombre de « collabos » notoires et de nazillons étaient aussi issus de la gauche et de l’extrême gauche (Pierre Laval était issu de la SFIO, Jacques Doriot avait été communiste, Benito Mussolini avait été militant socialiste, etc…). Les « gauchistes à la petite semaine » ont toujours été tentés par le chant des sirènes fascisantes !

Le journaliste de « L’Express » rappelle d’ailleurs que la secte des musulmans morabite revendique ouvertement le patronage d’un gugusse qui fut jadis « comédien hippy ». Il s’agit de l’Ecossais Ian Dallas qui s’est converti à l’islam sous le nom d’Abdelkader al-Morabit. Ce clown, qui n’est pas très éloigné d’Amin Dada, professe un anticapitalisme virulent (qui plaît aux gauchistes primaires et handicapés du cerveau) et il a maintes fois été accusé, par la presse britannique, de se complaire dans des « dérives antisémites ». Il entretiendrait d’ailleurs des relations avec les partis néonazis de Grande-Bretagne.


Enfin, il n’est pas inutile de rappeler que les « morabites » étaient des guerriers islamiques que l’on postait aux avant- gardes dans une sorte de fortin rudimentaire nommé « ribat ». Ils avaient pour mission d’attaquer les renforts des forces ennemies. C’est le nom de ces « combattants de la foi » qui fut utilisé pour désigner la monnaie des musulmans d’Espagne (le « morabitin »). Et c’est ce même nom qui est utilisé par cette « avant-garde de l’islam » qui a, à présent, pignon sur rue juste en face de l’Alhambra de Grenade !

Les morabites d’Espagne se disent partisans d’un « islam rigoriste » car, comme la plupart des convertis de la dernière heure, ils se veulent plus musulmans que les musulmans. Cependant, malgré le très lourd faisceau de présomptions (et de preuves diverses) qui pèse contre eux, ils crient au scandale, à l’intolérance et à la conspiration quand on les accuse de pratiquer une politique nettement fascisante. Nous ne connaissons que trop bien la vieille tactique de la « victimisation » pour encore nous laisser prendre à ce piège grossier !

Un mot encore pour dire que la nouvelle mosquée de Grenade, érigée avec l’approbation du roi d’Espagne en personne, a été financée par des fonds venus des Emirats arabes et de Libye (sa construction a été estimée 4 millions d’euros) et confiée à un imam marocain qui ne parle pas un mot d’Espagnol. L’ambition des morabites est clairement affichée : « Nous voulons que Grenade devienne un lieu de rencontre pour les musulmans d’Europe… » a déclaré Ruiz qui n’a pas fait mystère de sa volonté de pratiquer un prosélytisme tout azimuts. La nouvelle mosquée de Grenade ambitionne même de devenir un « foyer d’enseignement et de rayonnement de la loi de l’islam, un nouvel Al-Azhar… ». Les morabites sont d’ores et déjà très actifs en Afrique du Sud, au Mexique et au Royaume-Uni (où ils cherchent à ouvrir une « école » dans les Highlands).


Ce nouveau foyer de l’islamisme radical en Europe occidentale a de quoi nous inquiéter. Il ne faut pas prendre cette menace à la légère car les sectes de ce genre disposent de fonds très importants et sont habilement manipulées par les cénacles islamistes que l’on retrouve aussi derrière al-Qaïda et d’autres réseaux de propagande (dont la chaîne de télévision du Qatar) dont la mission consiste à fanatiser les esprits faibles, à recruter des activistes potentiels et à les téléguider vers des actions terroristes liées au djihad.


GrossDeutchland

Le « Grand islam planétaire » dont rêvent les musulmans n’est pas sans rappeler le « GrossDeutchland » qui fut à l’origine de la seconde guerre mondiale. Comme les nazis - qui voulurent « reconquérir » les territoires présumés germaniques (la « mère patrie ») en annexant l’Autriche, les Sudètes, la Prusse orientale, l’Alsace,… avant de faire main basse sur le reste de l’Europe et une partie de l’Asie et de l’Afrique – les musulmans veulent « reconquérir » l’Espagne et quelques autres territoires européens (Europe centrale) qu’ils considèrent comme « terre d’islam ». De là, ils comptent conquérir le reste du vieux continent, un continent dont ils rêvent de piller les richesses depuis plus de mille ans. Et la « reconquista musulmane » (pour utiliser le terme qui figure dans l’article de l’Express ») pourrait être le point de départ d’une nouvelle guerre mondiale, celle qui opposera l’ Occident démocratique à l’islamisme, autrement dit au fascisme arabo-musulman.



Par le fait du message coranique, les musulmans sont majoritairement imperméables aux principes et aux idéaux de la démocratie. Ceux qui prétendent le contraire sont des menteurs, des ignorants, ou de dangereux utopistes, qui n’ont jamais lu le coran.

Si les Allemands ou les Japonais ont pu se « corriger » après la seconde guerre mondiale, s'ils ont pu se « rééduquer à la démocratie » en assez peu de temps, c’est parce qu’ils n’étaient pas, eux, imperméables à ces principes. Ils ne se référaient pas, depuis des siècles, à un prétendu « livre saint » qui leur enseignait la haine et les poussaient au crime. La guerre ne fut qu'un intermède, un monstrueux cancer social qui pris naissance, et fut éradiqué, en l'espace de trente ans.

Pour les musulmans, le problème est fondamentalement et radicalement différent : leur cancer n'est pas d'ordre social mais religieux, donc fondamentalement irrationnel, et ils font corps avec lui depuis plus de mille ans, bientôt presque un millénaire et demi.
Aussi longtemps qu’ils subiront, dès leur plus jeune âge, le lavage de cerveau et le bourrage de crâne islamique, ils ne seront JAMAIS accessibles aux principes et aux idéaux qui sont les nôtres. Et l’histoire est là pour nous le démontrer.

Même l’URSS, avec son organisation totalitaire et sa puissante armée, n’a pas réussi à effacer les traces indélébiles que l’islam a laissé sur les populations qui étaient soumises à son administration. Sitôt le régime soviétique disparu, les oiseaux de mauvaise augure ont refait leur apparition pour prêcher une nouvelle guerre sainte. Nous avons déjà mentionné le cas de la Tchétchénie où la guerre de religion (car c'est bien de cela qu'il s'agit) a repris de plus belle depuis la disparition de l’URSS. Bien avant la révolution de 1917, les musulmans tchétchènes voulaient déjà la peau des Russes orthodoxes et ce, au nom du djihad. Les chefs de guerre tchétchènes étaient d’ailleurs, pour la plupart, des imams qui prêchaient dans les mosquées. Et la situation est demeurée la même malgré 75 ans de communisme et d’efforts visant à éradiquer l’islam de l’URSS. Elle est même sans doute plus grave aujourd’hui qu’elle ne l’était au XIXe siècle car les musulmans de l’ex URSS sont convaincus du fait que l’effondrement du communisme est un «signe divin » qui leur impose de reprendre le combat contre les « infidèles » et les « mécréants ».

Les musulmans n’adhèreront jamais d’eux mêmes aux principes de la démocratie. S’ils ne leur sont pas imposés, ils ne les respecteront JAMAIS. C’est pour cette raison que les seuls régimes islamiques qui se sont rapprochés du système de gouvernement des pays occidentaux étaient (ou sont encore) des dictatures à tendance socialiste (Egypte sous Nasser, Iraq, Syrie, Libye, Tunisie). On a vu, dans le cas de l’Algérie, qu’un système de gouvernement « à l’européenne » était incapable de fonctionner correctement.

Réciter crée une forte dépendance, ne commencez pas

Les Occidentaux doivent donc cesser de rêver tout éveillés. Les arabo-musulmans ne peuvent pas s’auto-diriger selon notre modèle politique et social. Et il ne le pourront pas aussi longtemps que le coran et l’islam continueront à produire leurs effets pervers sur des populations qui vivent dans un état permanent de terreur religieuse. Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’une terreur aussi permanente et omniprésente que celle qui régnait en Allemagne sous la botte hitlérienne. Une terreur qui commence à coups de trique dans les « écoles » coraniques, qui se poursuit au sein de la « communauté musulmane (famille, village, ville,…)» et qui trouve son aboutissement dans le système de gouvernement politico-religieux des nations islamisées.


Si nous nous avérons incapables – et ça a été le cas jusqu’à présent – de soigner le mal par la racine, c’est-à-dire en interdisant strictement l’enseignement de l’islam et la diffusion du coran, nous ne parviendrons JAMAIS à régler le conflit endémique qui oppose l’islam à l’Occident. Telle est la réalité, la triste réalité mais la stricte réalité. Le reste n’est que bla-bla et compagnie. Et l’on ne guérira pas le monde avec de vaines paroles.

Fi donc de ces « Appel aux citoyens musulmans de France épris de paix, de justice et de laïcité », comme celui que l’on pouvait encore lire, en mai 2003, dans le n° 315 de l’hebdomadaire « Marianne ». Un musulman qui n’a pas renié sa foi ne peut, en aucune façon, se dire « laïc ». Il ne peut pas, non plus, avoir le culot de parler de paix et de justice. Il est lié par le coran – et par sa profession de foi - à tous les crimes qui ont été commis, qui se commettent et qui se commettront encore (hélas) au nom des divagations mahométanes.

Comme nous l’avons dit par ailleurs, les seuls « musulmans honorables » sont ceux qui ont clairement et ouvertement renié l’islam. Ce sont ceux et celles qui, à l’instar de Taslima Nasreen, n’ont pas eu peur de dénoncer les errements et les mensonges de cette pseudo religion et de son pseudo « livre sacré ». Mais du même coup, ils ne sont plus « musulmans ». Ils sont simplement redevenus des hommes et des femmes libres, de vrais « citoyens du monde ».

Les autres - les prétendus « intellectuels » qui « prêchent la bonne parole » mais se gardent bien de dénoncer l’absurdité et la dangerosité du message coranique – ne sont que des jean-foutre ou des manipulateurs (souvent les deux à la fois) !

extrait d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003 extrait d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003
extrait d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003
extrait d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003
extrait d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003

Quelques extraits d’un dossier consacré par « Marianne » aux « Complices de l’islamisme » - n° 315 – Mai 2003

Contrairement au port d'une croix, d'une étoile, d'une kippa, etc..., qui signale un certain lien du fidèle à son Dieu, lien qui ne regarde que lui et n'interpelle pas les autres, le foulard signifie pour celles qui le portent décence et pudeur. Le message qui s'ensuit pour les autres filles ou enseignantes, c'est que, elles, manquent de pudeur et de décence. C'est donc un jugement implicite et péjoratif sur les autres. C'est cela qui fait problème.

Et là on touche un point singulier de l'islam :
son Livre parle des autres, tout comme le voile et le foulard « parlent » des autres (qui ne le portent pas et qui donc sont impudiques). Et que dit-il des autres, notamment des gens du Livre, juifs et chrétiens ? Que ce sont des pervers et des stupides. Et cela, malgré les rares versets de tolérance, pèse beaucoup aux musulmans, surtout s'ils ne le connaissent pas. C'est que leur discours fondateur pointe les autres comme des mauvais ; mais ça ne doit pas se dire, surtout en Europe ; ça se couvre donc d'un gros discours langue de bois sur l'extrême tolérance... Car c'est bien d'elle que l'islam a besoin de la part des autres.

Extrait d’un article signé Daniel Sibony.

A toutes fins utiles, nous rappellerons que le terme « islamisme » est, dans la langue française, strictement synonyme de « religion musulmane ». Nous osons croire que monsieur J-F Khan, en sa qualité d’éditeur responsable de « Marianne » (et d’auteur de nombreux livres), connaît aussi bien la langue française que nous et qu’il n’est pas de ceux qui essayent d’opposer subtilement la notion de « bons musulmans » à celle de « méchants islamistes » !

La date était fixée. Les Marocains devaient élire leurs conseillers municipaux en juin prochain. Le roi Mohammed VI a changé d'avis : les élections auront lieu en septembre. Si tous les partis politiques et le gouvernement lui ont conseillé ce report, c'est qu'il y avait péril en la demeure chérifienne. Marrakech, Fès, Agadir et surtout la grande métropole de Casablanca, prévoyait-on, allaient basculer dans l'islamisme. La Nouvelle Tribune, journal modéré, a pourtant jugé la mesure insuffisante : différer l'échéance de trois mois ne fait que reculer (légèrement) la menace. « Le report aurait dû être beaucoup plus important, souligne l'éditorialiste. Plusieurs années, par exemple. Le temps de permettre à une nouvelle génération politique d'émerger. »
Le parti islamiste que tous redoutent, le Parti pour la justice et la démocratie (PJD, « islamiste modéré »), est présidé par Abdelilah Benkirane, qui, en début d'année, s'était illustré par une déclaration originale. « Oussama ben Laden, avait-il dit, est un fervent croyant, un homme issu de la pure culture islamique. Il y a mille et une raisons aux attentats du 11 septembre [2001]. N'oubliez pas que les Etats-Unis sont en train de cautionner des crimes contre l'humanité et de massacrer tout un peuple à longueur de journée, » A ce commentaire, de nombreux Marocains éclatèrent de contentement sur les sites Internet. Radwan : « Vive Ben Laden et ses compagnons. Seul l'islam régnera. Son étendard s'étendra sur le monde entier, que ce monde le veuille ou non. Car le Créateur l'a ainsi décidé. Tous ceux qui veulent un islam à l'occidentale verront leur tête tomber. L'avenir appartient aux véritables hommes, pas aux femmelettes... »

Début d’un article consacré à l’islamisme marocain – Par Guy Sitbon pour « Marianne » - n° 315 – Mai 2003

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