Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Libération ? page 5

Un imam au parlement belge.


A la suite de la nomination d’une député flamande au poste de ministre en juillet 2003, son suppléant – un ressortissant turc ayant acquis la nationalité belge – a été nommé député.

Résidant à Gand, il enseigne la religion islamique dans plusieurs écoles et il exerce les fonction d’imam dans une mosquée. Sa première déclaration à la presse a été pour dire qu’il allait « œuvrer » pour obtenir la reconnaissance officielle des mosquées par les instances étatiques belges.

Cet individu ne semble pas être au courant du fait qu’un député se doit de représenter l’ensemble des électeurs de sa circonscription et pas seulement la minorité dont il est issu !

Cet exemple – qui n’a rien d’une « blague belge » - illustre bien les dangers qui résultent de la présence de ces « corps étrangers » au sein des partis politiques d’Europe occidentale. Il démontre clairement que la politique – purement démagogique – de certaines formations politiques qui se prétendent « de gauche » (comme le PS, le verts ou certains micro partis d’extrême gauche) est une politique hasardeuse allant à l’encontre des principes fondamentaux de l’équité et de la démocratie.

Mitterrand accueille Fadh ibn Abd-el-Aziz le
15 avril 1987

Qui se ressemble, s’assemble ! Mitterrand accueille Fadh ibn Abd-el-Aziz le 15 avril 1987. Le détenteur de la francisque de Pétain, personnage retors de l’histoire contemporaine de la France, érait fait pour s’entendre avec le protecteur du fascisme wahhabite. La France républicaine et laïque n’a d’ailleurs jamais hésité à voler au secours de la mère patrie des dictatures islamiques. Ce fut le cas en 1979, lorsque la France aida les Séoud à « réduire » les insurgés qui s’étaient emparés de la grande mosquée de La Mekke. Il est vrai que la bande à Saoud a toujours été considérée comme un très bon client pour l’industrie française de l’armement ainsi que pour divers autres secteurs économiques (c’est ainsi que la Sté Bouygues qui a construit la majeure partie de l’aéroport de Riyad).

Les nations occidentales ne jouent les « redresseurs de torts » que dans les pays où elles n’on pas d’intérêts économiques majeurs ou dans ceux où elles ont, au contraire, intérêt à renverser le régime en place. Les préoccupations « humanitaires » ne viennent qu’en troisième position, après les objectifs militaires et financiers.


On peut toutefois se demander quelle mouche a piqué le gouvernement espagnol lorsque, en 1987, il a autorisé le financement, par l’Arabie saoudite, d’un centre destiné à la diffusion de la culture islamique en Europe. Construit à Madrid par la société de travaux publics « Dragados », ce foyer de propagande wahhabite à coûté 1,5 milliard de pesetas aux Saoudiens, lesquels n’ont pas par habitude d’investir à fonds perdus.

Ce projet émanait de la fameuse « Ligue islamique mondiale » (LIM, voir chapitre 12) et c’est le roi Juan Carlos en personne qui aurait recommandé la cession, par la ville de Madrid, d’un terrain de 10.000 m² de superficie. Le complexe comprend une mosquée, une « école » coranique, des salles de conférence, une bibliothèque, un cimetière musulman et une zone résidentielle. Un autre cimetière réservé aux musulmans a été implanté à Marbella, dans le sud-est de l’Espagne.

Cette implantation du wahhabisme en Espagne a été un premier coup de poignard dans le dos de l’Europe occidentale. Elle est en contradiction avec le principe de réciprocité qui est à la base du droit européen. Car ce n’est pas demain la veille que des églises ou des temples chrétiens seront construits (ou réouverts au culte) dans les pays arabo-musulmans. Surtout pas en Arabie saoudite et dans le reste de la péninsule arabique.

Nous devons donc exiger que les « centres islamiques » implantés en Europe occidentale – en particulier ceux qui ont été financés par l’Arabie saoudite – soient fermés et démantelés. Nous savons, en effet, que ces centres sont des pouponnières et des points de ralliement pour apôtres du djihad.


Les quatre piliers de l’islamisme…

Nombreux sont ceux et celles qui connaissent les « cinq piliers de l’islam » mais rares sont ceux et celles qui connaissent les quatre piliers de l’islamisme, autrement dit, les organismes internationaux qui permettent à l’islamisme de progresser dans sa conquête du monde.

Ces organisations sont :


Pour évoquer ces quatre organismes, nous reproduisons l'article qui leur a été consacré, en mars 1987, par la revue « Arabies » (mensuel du monde arabe et de la francophonie édité par la « Société de conseil en communication » - 4, rue de la Cure - Paris 16e). Le style de cet article est supposé « neutre » puisque la revue « Arabies » se voulait proche des instances gouvernementales. En fait, elle était résolument « pro Arabe ». Ce document déjà ancien contient cependant des éléments d’information intéressants, notamment sur le plan historique et structurel.

On voit notamment que ces quatre organismes sont interconnectés entre eux de façon étroite, un peu comme les quatre mousquetaires de Dumas. Ils sont, en fait, les quatre facettes d’un ensemble dont les objectifs sont conformes à la notion de base de l’islam : l’oumma (comme le rédacteur de l’article le rappelle d’emblée).

Notes : On aura remarqué que l’auteur de l'article – le dénommé Ghassan Abou-Riché – reconnaît que les quatre organismes sont financés quasi totalement par les revenus pétroliers, autrement dit par les régimes islamiques de la péninsule arabique (Arabie saoudite et émirats du golfe persique). On voit aussi que ces organismes ont pour objet de « restaurer la solidarité islamique », autrement dit l’unité de l’action politico-religieuse des musulmans.

On retrouve ici le concept de « communauté islamique mondiale » qui hante les musulmans et les incite à la guerre sainte au nom de la prétendue « universalité de l’islam ». Les prétendues « possibilité de rencontres avec les chrétiens » ne sont qu’un leurre puisque, de toute façon, les musulmans n’ont pas le droit de discuter de leur religion avec des non musulmans. On aura remarqué que la LIM « couvre » les activités d’organismes dont les objectifs sont loin, très loin, d’être « transparents » !

Au stade où nous en sommes de notre réflexion – et compte tenu des éléments d’information dont nous disposons – il faut être d’une mauvaise foi typiquement arabo-musulmane pour nier le fait que l’islam soit, depuis ses lointaines origines, une machine de pouvoir, une machine de répression, une machine de guerre.

Aux « cinq piliers » traditionnels de l’islam - la profession de foi (chahadah), la « prière » (« salah » qui est, en fait, un acte d’adoration), le jeûne du ramadan, l’aumône légale (zakât) et le pèlerinage à La Mekke (Hadj) – il faut bien évidemment y ajouter le djihad qu’un très grand nombre de musulmans considèrent comme une obligation religieuse à part entière.


A propos du djihad, il nous faut, à nous Occidentaux, sortir de « notre » logique afin de comprendre ce qu’est cette « obligation de guerre sainte ». Car il ne s’agit aucunement d’une guerre telle que nous la concevons habituellement. Elle n’a rien à voir avec un combat structuré et rationnel comme ceux auxquels les militaires occidentaux ont été formés et conditionnés.

Il existe, certes, des structures plus ou moins floues qui servent de « base » (« Qaïda » en arabe. Al Qaïda = La Base) au djihad planétaire mais ces structures, ou réseaux islamiques, ne sont que des « guides » dont le rôle se limite essentiellement à la propagande, au recrutement et à la formation des « combattants de la foi ». Ce ne sont pas des « états-majors » au sens classique du terme. Le djihad ne se concrétise pas en batailles et ne répond pas à un plan de guerre véritablement préconçu et suivi à la lettre. Le djihad est avant tout une « guerre personnelle » que tout musulman se doit, en vertu des « révélations » mahométanes, de mener contre tous ceux qui ne veulent pas se soumettre à la dictature du coran.

Le djihad se conduit à la manière des « razzias » bédouines, par petits groupes de combattants - et même, très souvent, par des individus isolés – sans concertation, sans « plan de bataille ». Comme les bédouins qui razziaient les villes côtières de l’Arabie, les « combattants de la foi » peuvent surgir n’importe où et n’importe quand. Et c’est bien là qu’est le danger, un danger que les Américains et les Britanniques avaient totalement négligé lorsqu’ils se sont décidés à envahir l’Iraq avec leurs troupes. Aucune armée, si bien équipée et entraînée soit-elle, ne peut lutter efficacement et durablement contre une guerre menée dans ces conditions. C’est une situation encore bien pire que celle que les GI’s avaient pu rencontrer au Vietnam. En mettant les pieds au Moyen-Orient et en libérant les vieux démons locaux (notamment ceux de l’islam chiite que Saddam Hussein avait su contenir à sa manière, autrement dit à la manière arabo-musulmane), les anglo-américains ont rouvert la boîte de Pandorre. Et nul ne sait qui pourra la refermer, ni quand on pourra la refermer !

Il est impératif que nous cessions de regarder le monde arabo-musulman par le tout petit bout de notre lorgnette et avec nos yeux d’Occidentaux « modernes ». Ce monde est un monde figé dans une culture dangereusement archaïque et qui vit d’illusions et de fantasmes, notamment le fantasme du prétendu « âge d’or de l’islam » (dont nous savons qu’il n’a jamais existé que dans l’imagination fertile des historiens musulmans) que le djihad contribuerait à faire renaître.

Les Arabes, il est vrai, n’avaient pas de véritable histoire avant Mahomet. Tous les livres d’histoire sont d’accord sur ce point. Il existe une très riche préhistoire de l’Egypte, de la Nubie ou de la Mésopotamie mais pour la péninsule arabique, qui se situe entre ces deux foyers de culture, on ne trouve aucune trace d’un passé historique digne d’un quelconque intérêt. Il faut sans doute voir là l’origine de la frustration des Arabes. Leurs cousins Hébreux n’avaient pas non plus grand chose à raconter sur le plan strictement historique mais ils avaient su s’inventer une légende dorée sur tranche qu’ils avaient consignée dans leur « livre sacré » : la bible.

Nous avons vu comment Mahomet, dont la jeunesse fut nourrie de mythes judéo-chrétiens, inventa le coran de toutes pièces en se basant sur l’Ancien testament. L'éloquence et le talent de manipulateur dont fit preuve Mahomet, et non point une quelconque intervention divine, firent que ses pseudo révélations eurent pour effet de galvaniser un peuple jadis sans histoire et de le lancer dans l’aventure de la « conquête du monde ». Aux Arabes, Mahomet avait promis gloire et fortune avec, en prime, un magnifique séjour éternel taillé sur mesure pour les brutes qu'il avait sous ses ordres, le paradisiaque lupanar « d’Allah ». En échange, il n'avait exigé « que » leur soumission aveugle à sa récitation (le coran). Et rien n’a changé depuis lors. Le monde arabe s’est figé dans une attitude vieille de mille cinq cents ans et il continue à rêver de conquêtes, de razzias et de riches butins.
Le monde arabo-musulman est drogué depuis quinze siècle et sa drogue se nomme « Al Coran ».

le coran des éditions Maxi-livres, format poche, rectoMein KampfMein Kampf version arabe

« Al Coran » et « Mein Kampf »… même « combat » ? On peut répondre oui sans aucune hésitation. Dans le discours de Mahomet, comme dans celui de Hitler, on retrouve la même intolérance, la même haine de tous ceux qui ne veulent pas adhérer à la « doctrine », la même incitation au meurtre des « impurs », les mêmes volontés de discrimination, et notamment envers les juifs. Mahomet avait voulu faire de ses « muslims » une nouvelle « race élue ». Hitler n’avait pas agi autrement. Tous deux furent des assassins sans scrupule, des malades mentaux parvenus aux plus hautes sphères du pouvoir.


Mein Kampf et le Coran : Mein Korampf Tout ce que l’on peut nous raconter à propos d’un « islam de paix et de tolérance » n’est que balivernes et calembredaines. La guerre, la discrimination et l’intolérance sont inscrites,  noir sur blanc , dans tous les exemplaires du coran. Elles le sont comme elles le furent également dans « Mein Kampf » (Mon combat) d’Adolf Hitler.
Mais il subsiste une différence notoire – notoire et « kolossale » - entre Mein Kampf et le coran :
En Europe, Mein Kampf est actuellement soumis à des restrictions concernant la vente et la diffusion tandis que le coran se trouve dans les rayons de toutes les librairies, à partir de 3 sous l’exemplaire !

Et si le livre de Hitler est interdit en Europe, il est par contre en vente dans les pays arabes où il est toujours un succès de librairie : Mein Kampf tient la sixième place au palmarès des best sellers arabes palestiniens.

Insigne de la division SS musulmane HandscharDepuis la seconde guerre mondiale et la mise sur pied de la brigade musulmane SS Handschar (insigne ci-contre) par le grand Mufti de Jérusalem, oncle de Yasser Arafat, il existe des liens historiques entre nazis et musulmans militants que l'on passe soigneusement sous silence.


Le coran est le seul ouvrage incitant à la guerre, au meurtre, à la discrimination et à la ségrégation qui soit en vente libre dans les pays qui, pourtant, prétendent lutter contre toutes les formes de fascisme !
 
L’islam est la seule forme de fascisme qui ait réussi à se développer avec la bénédiction des Nations-Unies et même d’une bonne partie du clergé catholique !
 
L’islam « de paix » n’existe pas et l’islam n’est pas « réformable ». Vouloir « réformer » l’islam est aussi ridicule et prétentieux que si, dans les années 30, on avait voulu réformer le nazisme pour en faire un système politique « acceptable » (politiquement correct, comme on dirait de nos jours).
 
Pour se débarrasser du nazisme, il a fallu une guerre longue et meurtrière. Il en sera probablement, et malheureusement, de même pour l’islam.

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