Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Maison cachée page 2

A propos de fascisme, il nous faut encore mentionner un troisième article publié dans la « Chronique de l’année 2001 ». Intitulé « Splendeur et misère de la Qaïda », il est dû à la plume d’Alexandre Adler, le journaliste et historien bien connu.

Cet article retrace le parcours, désormais bien établi, du saoudien Ussama ben Laden et de ses plus proches complices. Nous en retiendrons essentiellement l’extrait reproduit ci-dessous :

L'islamisme politique est révolutionnaire conservateur à la manière des fascismes européens naissants avec lesquels il entretient de très bonnes relations. Il est né à la fin des années 20 en Egypte, puis en Turquie et en Iran après 1945, au Pakistan en 1947, dès la fondation de cet Etat musulman de l'Inde, puis de manière plus sporadique au Maghreb, dans le Croissant fertile. Enfin, il a atteint le monde malais au début des années 70.

Il est clair que tous les analystes sérieux, qu’ils soient journalistes, historiens, théologiens ou généraux, sont forcés d’admettre l’extrême dangerosité de l’islamisme, autrement dit, de la religion musulmane.

L’islamisme ne peut être que réactionnaire puisqu’il se fonde sur un texte, le coran, qui est lui même un monument d’intolérance et de passéisme. L’islamisme, n’ayons pas peur des morts, est une forme de fascisme fondé sur une intolérance religieuse qui sert de paravent à une volonté politique, celle de conquérir le monde au profit de la seule communauté arabo-musulmane. C’est clair comme de l’eau de roche quand on a lu le coran et que l’on possède un minimum de connaissances en ce qui concerne l’histoire des Arabes et des musulmans depuis que Mahomet a érigé son peuple en « détenteur de la vraie foi ».

Les islamistes, opportunistes par nature, ont mis en place toutes sortes de réseaux dont le but ultime est la conquête de la « maison de la trêve n°1», à savoir l’Europe occidentale et centrale. Certains de ces réseaux visent à noyauter les milieux politiques de gauche tandis que d’autres ciblent les milieux de droite. Ils visent surtout à éliminer ceux et celles qui se mettraient sur leur route.

Le maire socialiste de Montpellier, Georges Frêche, en sait quelque chose. Il est devenu l'une des « bête noire » des musulmans de France, de Navarre (et d'ailleurs) depuis qu’il a eu le (rare) courage de dire bien haut qu’il ne croyait absolument pas à l’intégration, au sein de la république française, d’un islam qui « mélange la politique et la religion ». C’est un fait évident pour tous ceux et celles qui connaissent la culture arabo-musulmane mais, dans le monde politique européen, ce genre de prise de position demeure rarissime.

Les manœuvres dont a été victime Georges Frêche permettent de mieux saisir le jeu subtil des cénacles « néo islamistes », comme celui qui est dirigé par le dénommé Tariq Ramadan, agent double de l’islamisme radical dont nous avons déjà évoqué le rôle plus que douteux.

Les basses manœuvres politiciennes des islamistes prétendument « modérés » illustrent parfaitement l’analyse d’Arnaud de Foucauld, notamment en ce qui concerne la « maison de la trêve ».


Au risque d'imiter le coran en nous répétant un peu « lourdement », nous ne dirons jamais assez que l’islam n’est pas « réformable » puisqu’il se fonde sur un texte, le coran, qui, lui-même, ne peut être réformé en aucune façon.

Il ne peut y avoir d’islam sans le coran. C’est une évidence incontournable. Or l’islam est fondé sur l’inaltérabilité et le caractère « éternel » des pseudo révélations de Mahomet. Donc si les musulmans acceptaient de revoir le contenu de leur « livre inimitable », ils admettraient, du même coup, qu’il n’a pas été dicté par un dieu quelconque (ou par un ange « directeur de la communication ») et que les autorités musulmanes (califes et religieux en tous genres) ont berné leurs parents, leurs grand-parents, leurs arrières grands-parents, leurs arrières-arrières grand-parents, leurs arrières-arrières-arrières grand-parents etc… depuis près de 1500 ans.

 Que les musulmans touchent à une seule virgule du coran 
 et tout leur système s’effondre ! 

C’est la que réside le « mystère » du coran et de l’islam. Un mystère qui ne résiste cependant pas bien longtemps à une analyse un tant soit peu logique.

L’islam n’existe que par le coran et par l'enseignement coranique, cette forme odieuse de lavage de cerveau et de bourrage de crâne dont nous avons déjà évoqué tous les dangers, tant pour les individus qui y sont soumis que pour l’humanité toute entière.


L’islam n ‘est pas plus réformable que ne l’était le national-socialisme d’Adolf Hitler et d’Henrich Himmler. Nous nous sommes débarrassés du nazisme après une courte période d’aveuglement politique. Les Ramadier, et autres Chamberlain, avaient cru, naïvement, que l’on pouvait « composer » avec « monsieur Hitler ». On sait ce qu’il est advenu par la suite : Hitler n'a tenu aucun de ses engagements malgré la « tolérance » et les reculades des démocraties face à ses violences. Bilan : déclenchement de la deuxième guerre mondiale.
Ne renouvelons pas cette erreur en imaginant naïvement que l’on peut « composer » avec l’islam. Nous devons à présent tout mettre en œuvre pour nous débarrasser identiquement du fascisme mahométan. La tâche sera rude, très rude mais nous pouvons en venir à bout. La sagesse populaire ne dit-elle pas qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire et que la foi déplace les montagnes ?

Notre foi à nous, ce n’est pas celle des « béni oui oui » qui se réfugient derrière l’alibi divin pour dissimuler la grande pauvreté de leurs arguments. Notre foi, c’est celle des hommes libres qui brandissent, non point un quelconque « livre inimitable » mais la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, celle-là même qui s’oppose, à chaque ligne, à chaque mot, à la tyrannie coranique.

C’est cette déclaration qui est le fondement de notre action et de notre combat. Née en France, dans la foulée de la révolution de 1789, elle a inspiré toutes les démocraties et a servi de base pour tous les textes qui, par la suite, ont confirmé les droits inaliénables des hommes, des femmes et des enfants.

Pour toutes les personnes que la chose intéresse, tous les textes fondamentaux relatifs aux droits de l'homme se trouvent réunis dans un gros ouvrage qui a été publié et diffusé par la Fédération Française des Clubs Unesco (127, rue Marcadet à Paris).


La déclaration adoptée en date du 16 août 1789 est universellement connue. Nous ne vous ferons pas l’injure de la reproduire in extenso. [ note du webmaster : si, on va faire cette injure aux internautes...] On peut s’en procurer le texte par ailleurs.
Rappelons seulement que ses deux premiers articles stipulent que

1 - « les hommes naissent libres et égaux en droits »
et
2 - « le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme ».

Et le texte de préciser :

« Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression ».

L’article 10 stipule, par ailleurs, que :

« nul ne peut être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre établi par la Loi ».

Il est complété par l’article 11 qui insiste sur le fait que

« la libre communication des pensées et opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi » .

Concernant l’article 2, celui qui parle du but de toute association politique, nous constatons qu’il est nié par les associations politiques musulmanes comme, par exemple, celle des « néo islamistes ». En effet, toute association politique qui se déclare fondée sur le coran (et qui commence ses réunions en lisant des sourates), se trouve, de facto, en opposition avec cet article. Elle doit donc, en vertu des règles de droit, être dissoute.

La déclaration des
Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, Panneau anonyme conservé au musée Carnavalet (Paris)

La déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 – Panneau anonyme conservé au musée Carnavalet (Paris). 

La France, drapée de tricolore (à gauche), a brisé les chaînes du despotisme sous l’augure de la Loi et de la Raison (à droite). Le manteau bleu est encore orné des fleurs de lys de la royauté car Louis XVI règne toujours lorsque cette déclaration est adoptée par l’Assemblée nationale.

L’article XVI stipule que « Toute société, dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de constitution ». C’est le cas pour la société musulmane.

L’article VI stipule, par ailleurs, que « la loi est l’expression de la volonté générale ». Il ne peut donc y avoir de «loi divine ».

La déclaration des droits de l'homme et du Citoyen sera complétée ultérieurement par La déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne.

Ce texte fondamental, avec ses 17 articles, a inspiré la rédaction d’un très grand nombre de textes ultérieurs, notamment la Constitution de 1791, la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791) la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de l’an I (26 juin 1793), la déclaration des droits et des devoirs de l’homme et du citoyen du 5 fructidor an III (22 août 1795), la constitution belge de 1830, la constitution française de 1848, le texte constitutif des Etats-Unis mexicains (5 février 1917), la déclaration des droits du peuple travailleur et exploité (Russie, 17 janvier 1918), la constitution allemande de 1919 (dite « de Weimar »), le « discours des quatre libertés » (F.D. Roosevelt, 6 janvier 1941), la charte de l’Atlantique (14 août 1941), la charte du conseil national de la résistance (15 mars 1944), la charte des nations Unies (26 juin 1945), la Déclaration universelle des droits de l'homme (10 décembre 1948), la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (4 novembre 1950), la constitution française de 1958, la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale (adoptée par les nations Unies le 21 décembre 1965, entrée en vigueur le 4 janvier 1969), etc, etc… A propos de cette dernière convention, on notera avec grand intérêt que parmi les pays non signataires on trouvait, outre les Etats-Unis (qui ne signent jamais rien), l’Arabie Saoudite et la Turquie.

Ce texte de 1965, stipulait que les Etats signataires devaient condamner toute forme de propagande et de diffusion d’idées fondées sur la supériorité d’une race ou d’un groupe (y compris les groupes religieux), l’incitation à la discrimination raciale et à la violence, et dissoudre les organisations encourageant une telle propagande. On comprend aisément pourquoi l’Arabie Saoudite et la Turquie n’avaient pas voulu signer !


Nous n’en finirions pas d’énumérer les textes, anciens ou récents qui visaient ou visent à défendre les droits fondamentaux de la personne humaine, droits qui sont niés par le coran et l’islam, comme nous l’avons démontré dans les différents chapitres qui précèdent.

Ces textes condamnent implicitement l’islam et nous serions bien inspirés de nous y référer au lieu de perdre notre temps en vaines discussions sur les lois à adopter ou à ne pas adopter. Tout a été dit, tout a été écrit, et a prouvé son efficacité à améliorer le sort de ceux qui s'en réclament, contrairement au coran qui n'a jamais prouvé autre chose que sa capacité à engendrer sa propre diffusion par la violence de ceux qui s'en réclament. Il ne nous reste qu’à faire appliquer les textes à la lettre, et c'est bien l'une des rares attitudes où nous avons franchement intérêt à être aussi bornés que les musulmans quand il s'agit de s’en tenir à la lettre du coran.

Et que l'on ne vienne pas nous taxer d'« intégristes des droits de l'homme » : les chirugiens ne sont pas des « intégristes du bistouri », les menuisiers ne sont pas des « intégristes de la raboteuse », les boulangers ne sont pas des « intégristes du pétrin ». Tous ces gens font comme nous, ils utilisent simplement les outils qui ont démontré leur efficacité concernant la tâche à accomplir. Et concernant la tâche de vous permettre, homme et femme, de vivre paisiblement sans qu'on vous emmerde à aller lever votre cul vers le ciel cinq fois par jour avec un barbu qui vous gonfle à vous brailler dans les esgourdes, il se trouve que la déclaration des droits de l'homme à largement plus prouvé son efficacité que le résultat d'un long délire à épisodes dont les symptômes furent un monologue indigeste vomi aux gré des crises psychotiques de son halluciné d'auteur pendant plus de vingt ans, j'ai nommé : le coran.

Tous les textes dérivés de la déclaration de 1789 (il en existe plus d’une cinquantaine) nous confortent dans notre action. Nous agissons conformément au droit en vigueur, conformément aux conventions nationales et internationales. Ni plus, ni moins. Notre action s’inscrit dans le contexte de l’article 11 de la déclaration de 1789, celui qui a fait de la libre communication des pensées et opinions l’un des droits les plus sacrés de l’humanité. Et l'un des plus efficace pour assurer la paix et le progrès.

«Je ne sais pas si la liberté de la presse doit être accordée, mais si on l’accorde, elle doit l’être sans limite».
Jean Le Rond d’Alembert

Que les naïfs qui défendent le coran et l'islam au nom de « l'anti-racisme » et de « l'amitié entre les peuples » aillent donc librement exprimer leurs revendications antiracistes et amicales dans un état islamique. Qu'ils aillent défendre la bible, le message de Raël, la Révélation d'Arès, les annales de Mormon, ou ce qui leur plaira, au Soudan, au Pakistan, en Arabie Saoudite... Une simple revendication leur vaudra un minimum de dix ans de prison dans les geôles infâmes du régime saoudien ou des émirats. Qu'ils aillent donc dans les régions islamisées de la planète s'assurer qu'ils ont bien raison de penser que nous nous trompons. (ceux qui cherchent une idée de crime parfait l'ont trouvée...)


Question de mots…


Nous avons vu, à maintes reprises, que les arabo-musulmans sont passés maîtres dans l’art de jouer sur les mots et avec les mots.

L’article reproduit au début du présent chapitre revenait sur cet aspect du problème à propos du mot « djihad » que certains petits malins persistent à présenter sous son étymologie ancienne, histoire de brouiller les cartes.

Or, ce qui nous intéresse, c’est le sens usuel des termes employés, non leur sens étymologique.

Il en est d’ailleurs de la langue arabe comme de toutes les langues du monde. C’est ainsi qu’en Français, pas mal de mots ont un sens qui ne concorde pas du tout avec leur sens primitif. A titre d’exemple, nous citerons « sophistiqué » et « carrossier » dont le sens usuel (perfectionné à l'extrème / qui fabrique ou répare des carrosseries) diverge totalement de leur sens étymologique (de même nature qu'un raisonnement qui n'est logique qu'en apparence / qui fabrique ou répare des carrosses).
Et même si le mot « Djihad » devait être uniquement compris dans son sens étymologique, alors ce serait l'ensemble des mots du coran qui devraient être compris dans leur sens étymologique, et non pas « Djihad » seulement, ce qui nous ramènerait à une lecture encore plus littérale et archaïque du coran, si cela est possible.

Avec un terme arabe tel que «Djihad », peu nous importe de savoir que son sens primitif et étymologique est « effort ». Ce qui nous intéresse, c’est le sens qui lui est donné de façon usuelle. Et ce sens, c’est bel et bien « effort militaire et/ou personnel demandé aux musulmans pour défendre et propager l’islam » ce que l'on condense habituellement en « guerre sainte ».

Tel est le sens effectif de ce terme, et ce depuis… le VIIe siècle !

Notons encore que le Djihad se manifeste actuellement sous deux formes distinctes mais complémentaires. La première est la « voie dure » et consiste dans des actions violentes, crapuleuses, militaires ou terroristes. La seconde est la « voie douce » qui s’appuie sur la très forte démographie des communautés arabo-musulmanes.

Les autorités religieuses de l’islam – qui continuent à favoriser la polygamie – encouragent les jeunes musulmans, (dé)formés par les écoles coraniques, à aller s’installer dans la « maison de la trêve » pour y créer des communautés islamiques fortes qui doivent, à terme, constituer la « base » (al Qaïda) du Djihad « intérieur », celui que les musulmans entendent mener de l’intérieur même des pays du bloc occidental.
Tous les musulmans ne sont pas venus dans le but d'un Djihad « intérieur » puisqu'en fait la majorité sont venus pour des raisons économiques. La question qui se pose est : de quel côté cette communauté basculera-t-elle quand elle sera suffisamment nombreuse pour que les « intégristes » décident qu'il est désormais de leur devoir de choisir la « voie dure » ? Pour le savoir il suffit de regarder de quel côté se rangent la majorité des responsables musulmans lorsque certains de leurs « frêres » sont impliqués dans des affaires crapuleuses, ce qui est aisé puisqu'il n'y a que deux côtés : celui de la défense des victimes et celui de la défense des crapules.

Ce Djihad « larvé » - sans nul doute le plus sournois - est déjà très largement entamé dans la plupart des pays qui font partie de l’Union européenne. Il s’est organisé autour d’une mouvance islamique qui se prétend « laïque » pour mieux leurrer les citoyens et les décideurs qui ne sont pas valablement informés en ce qui concerne la culture arabo-musulmane.

En France, la plupart des associations musulmanes dites « laïques » sont des repaires pour les agents dormants de l’intégrisme. On peut notamment citer le cas, bien connu, du mouvement des « néo islamistes » ou de l’association des étudiants musulmans de France. En Belgique, on mentionnera des groupes tels que la « LAE » (Ligue Arabe Européenne). En Grande-Bretagne, les musulmans se sont à ce point déjà implantés dans les grandes villes qu’ils y ont recréé de véritables « ghettos islamiques » où l’islam règne en maître autour des mosquées construites à grands frais. A tel point qu’un quartier de Londres a été rebaptisé « Londonabad » !
Et sur internet, on parle déjà de Francarabia ou d'Eurabia.

En réalité, le principal moteur de la conquête arabe fut religieux. La prise de butin, l'occupation de territoires n'étaient qu'accessoires dans un projet visant à répandre la « vraie religion » sur le monde. Mahomet promettait en effet le paradis au combattant qui mourrait pour sa foi au cours d'une guerre sainte (Djihad). La conquête a permis aussi de maintenir la cohésion de la communauté constituée autour du Prophète et soudée par les principes de l'islam. Les successeurs de Mahomet — les califes — et les cadres de l'armée, tous issus des tribus de Médine et de La Mecque, formaient un groupe de Fidèles attachés à la personne du Prophète. Ils incarnaient ainsi la permanence de son message. C'est pourquoi certains historiens considèrent que, dans le contexte particulier de l'islam naissant, la guerre de conquête était partie intégrante du message de Mahomet. Elle devait permettre d'attacher le croyant à sa communauté et à son Dieu. Ainsi s'expliqueraient la force et l'intrépidité des conquérants arabes.

Le texte reproduit ci-dessus est extrait d’un ouvrage publié par le groupe « Sélection du Reader’s Digest » (« How Did it Really Happen » - 2000. Version française, « Les plus célèbres mystères de l’histoire », publiée en 2002).

Cette analyse américaine est assez correcte en ce sens qu’elle insiste bien sur le fait que, dès les premiers temps de l’islam, la « guerre de conquête » (Djihad) faisait partie intégrante du discours de Mahomet et de ses prétendues « révélations divines ». Le Djihad est bel et bien le « pilier caché » de l’islam, tout comme la « dar el-sulh » en est la « maison cachée ».

Cette forme d’analyse n’est pas propre aux Américains. C’est la seule conclusion logique que l’on puisse tirer d’une étude du coran et des textes relatifs à la religion musulmane.

LES INVASIONS ARABES
Dès sa naissance en Arabie, l'islam fut plus qu'une religion Ce fut également un système de gouvernement et une force militaire. Aux VIIe et VIIIe siècles, les troupes arabes venant d'Egypte déferlèrent à travers le Maghreb. Les envahisseurs introduisirent la langue arabe et la religion islamique, qui allaient devenir deux éléments dominants de l'identité maghrébine.

Ce texte figure en tête de l’un des chapitres du livre « Les Arabes : islam et islamistes » de Daniel Hourès. Il énonce cette vérité qui est connue de tous les spécialistes, à savoir qu’en vertu de la notion d’ « oumma », l’islam est un système politique et social fondé sur le totalitarisme religieux.

Ce système se décline selon différentes « formules » et selon les régions du monde qui sont visée par l’hégémonie musulmane. On distingue essentiellement la « méthode forte » (guerre ouvert, attentats, assassinats, oppression-répression,…) et la « méthode douce » qui se fonde sur le double langage, la manipulation et l’infiltration. La première méthode est celle des états islamisés et des réseaux terroristes (type « al Qaïda »). La seconde est celle illustrée par les menées subversives des prédicateurs style Tariq Ramadan. Dans la réalité des faits, ces deux méthodes se complètent et visent le même objectif : imposer le totalitarisme islamique à l’ensemble de la planète.

Nous ne pouvons que déplorer l’attitude d’une « pseudo gauche » qui a cru utile d’accueillir à bras ouvert les zélateurs du coran, dont Tarik Ramadan, lors du rassemblement des « altermondialistes » au Forum Social Européen fin 2003. Comme Tarek Ramadan, le sieur Bové et ses petits copains ont montré leur vrai visage : celui de démagogues sans scrupules, prêts à s’acoquiner avec n’importe qui et n’ayant qu’un petit pois en guise de cervelle. Le fait que chez José Bové ce petit pois soit sans OGM ne change rien à l'affaire !

Tous unis contre l'ennemi libéral mais...
FSE : le Fourre-tout
Pacifistes et partisans de la violence, étatistes et autogestionnaires, laïques et pro-islamistes... Les contradictions internes du mouvement altermondialiste n'ont jamais été aussi criantes
[...] Les trotskistes anglais du Socialist Workers Party dépêchant une militante voilée dans les débats, artisans d'une convergence entre l'islam militant, « la religion des opprimés », et les révolutionnaires. « Nous ne sommes pas sûrs d'aller au prochain FSE de Londres si ces gens-là ont la mainmise sur l'événement avertit Fargeau. Nous devons maîtriser ce qui se fait en notre nom. » [...]

Le « Nouvel Observateur » - n°2037 – 20 novembre 2003

Cet extrait de l’article du « Nouvel Obs’ » est significatif des dérives très graves qui affectent le mouvement dit « altermondialiste », dont nous avons toujours dit qu’il ne pouvait être considéré comme un interlocuteur politique digne d’intérêt. On en peut que sourire devant l'incommensurable ignorance et la naïveté de ces « trotskystes d’opérette » qui qualifient l’islam de « religion des opprimés » alors même que, par essence, par vocation, et surtout par le coran (que ces révolutionnaires de tribune n'ont manifestement jamais lu), elle est la « religion des oppresseurs » !

L’extrême gauche, tout comme certains groupuscules qui végètent au sein de cette gauche dite « plurielle » (aux méthodes pourtant si « singulières ») – par exemple les « verts » - a adopté une attitude démagogique particulièrement dangereuse. Il n’est cependant pas étonnant que cette « pseudo gauche » puisse s’entendre avec les islamistes car il y règne une absence de lucidité et un dogmatisme qui n’est pas très éloignée de ce que l’on observe chez les musulmans. Ne dit-on pas : Qui se ressemble, s’assemble ?

L'émission de Daniel Mermet sur France-Inter, « Là-bas si j'y suis », vendredi 14 novembre [2003], a été un révélateur. Cette émission culte s'est transformée en une ode à [Tarik] Ramadan, entonnée par Mermet lui-même, José Bové, la syndicaliste du Groupe des Dix Annick Coupé, et le philosophe de la LCR Daniel Bensaïd. La scène a outré Michèle Dessenne, secrétaire générale d'Attac, et militante féministe. Alors qu'elle pressait Ramadan sur l'égalité entre hommes et femmes, elle a vu ses amis la contrer, et expliquer tranquillement que l'antiféminisme islamique était, au fond, un petit problème ! Dessenne s'est demandé jusqu'où allait le choix stratégique d'une alliance entre islamistes et gauchistes radicaux. Elle n'est pas la seule. « On a marginalisé la défense des femmes de banlieue pour valoriser délibérément des islamistes, rageait une prof de fac, jeune vétéran d'Attac et militante à SUD. Et certains refusent d'entendre quand des propos antisémites sont tenus autour de nous. Il faut clarifier ce que nous sommes, et quelles alliances nous voulons nouer. » Alors que le Forum social couronnait [Tariq] Ramadan, Attac s'est engagé auprès du mouvement Ni putes ni soumises. Le FSE, au-delà des apparences, a attisé les contradictions internes du mouvement alter-mondialiste. Il aura donc été utile.
CLAUDE ASKOLOVITCH

Le « Nouvel Observateur » - n°2037 – 20 novembre 2003

Remarque : A propos de l’émission de Daniel Mermet, ce n’est pas la première fois que l’on observe une dérive « pro islamiste » chez cet animateur, sans que l’on sache ce qui motive cette tendance pour le moins outrancière à diffuser, sur l’antenne de France-Inter, des propos grossièrement mensongers.

Comme le journaliste du « Nouvel Observateur » le fait remarquer, les « gauchistes radicaux » en sont arrivés à considérer l’antiféminisme islamique comme un « point de détail » sans trop d’importance ! Il s’agit pourtant d’atteintes graves à l’intégrité de la personne humaine et aux droits fondamentaux qui sont reconnus et attestés par des dizaines de conventions internationales ! ! !

Tariq Ramadan, pour sa part, considère identiquement que la lapidation à mort des femmes accusées d’adultère mérite seulement un moratoire (suspension provisoire) pour déterminer s'il convient ou non de continuer à l'appliquer. Ainsi, au XXIème siècle, il y a encore des gens qui se définissent comme intellectuels et modérés mais qui ne savent pas s'il convient ou non de tuer des femmes à coups de cailloux, « ni trop gros ni trop petits afin que la mort ne survienne pas trop vite et que l'agonie soit douloureuse » conformément à la Sunnah, tradition de paix et de tolérance inhérente à la religion musulmane !

On se trouve là devant des individus qui font peu de cas des droits et des libertés des individus, autrement dit devant des individus, hommes ou femmes, qui ne méritent que le mépris. Ces gens-là, il faut les ignorer, agir comme s’ils n’existaient pas. Il ne faut surtout pas leur donner la possibilité de parler devant un micro ou de paraître devant une caméra. Et il ne faut surtout pas, lorsque l'on est un ministre de l'intérieur comme Mr Nicolas Sarkozy, négocier en direct à la télévision des compromis sur la laïcité avec ces personnes qui ne sont ni élus ni même de nationalité française ! Ignorer tous les Tariq Ramadan est la méthode la plus efficace, non point en opposant une fin de non-recevoir à leurs sollicitations mais bien au contraire en motivant ce refus par des citations du coran, leur livre saint, et d'épisodes de la vie de Mahomet, leur modèele, qui justifient pleinement un refus.

Comme Tareq Ramadan, il existe bien d'autres « taupes » de l’islamisme. Leur jeu consiste à infiltrer les institutions des nations qui constituent la « maison de la trêve », à miner le pouvoir politique en place par la création de groupes islamisants et de structures communautaristes. C’est un jeu pervers, fondé sur ce double langage que manient si bien les musulmans formés dans les écoles coraniques.

Ceux et celles qui, sans être musulmans, se font ou se feront les complices actifs ou passifs de ces manœuvres antidémocratiques doivent être regardés comme des « collabos », au même titre que ceux et celles qui se firent les valets de l’Allemagne nazie. Et ils devront, dorénavant, être traités comme tels.

L’Europe n’est pas – et ne sera pas – la « maison de la trêve ». L’Europe est la maison des Européens, des vrais Européens qui respectent le droit européen et les droits fondamentaux et UNIVERSELS de TOUS les hommes et de TOUTES les femmes.

Le coran et l’enseignement coranique n'auront pas droit de cité en Europe !

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