Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Libération ? page 4

En France, les statistiques de 1994 indiquaient que 23% de la population se déclarait ouvertement athée. A la même époque, 36 % des 18/24 ans se déclaraient « sans religion », 27% se disaient « incroyants » et 24 % rejetaient l’idée de l’existence d’un dieu. Les chiffres doivent être du même ordre en Belgique.

Les athées et autres « sans dieu » sont donc très largement majoritaires dans la plupart des pays de l’Union Européenne. Pour leur part, les « croyants » ne représentent que des minorités au sein de la population de l’Union Européenne. Ces minorités sont cependant très actives tandis que la majorité non croyante est inorganisée et fort curieusement absente des débats. Et nous savons que de toutes les minorités, la minorité islamique est à la fois la moins représentative et la plus active. C’est celle qui fait le plus de bruit et qui a le plus d’audience auprès des médias. C’est une situation à la fois anormale et inadmissible.

A la fin de l’année 2002, les médias ont répercuté le fait que de la peinture a été lancée contre la façade de la grande mosquée de Lyon, tachant celle ci de bleu, blanc, rouge. Les « autorités » ont aussitôt mobilisé des forces de police importantes pour « protéger » la mosquée tandis que l’individu qui en est le recteur se mettait à se « protester » devant les caméras en parlant d’ « intolérance religieuse ». On croit rêver !

Ainsi donc ce « barbouillage » bleu, blanc, rouge – qui tient bien plus de la blague de potache que d’un attentat digne de ce nom – serait un « acte d’intolérance » et une « agression contre l’islam » alors même que les mosquées de Lyon sont connues pour être des repaires de terroristes qui, lorsqu’ils s’attaquent à leurs « ennemis », se servent de vraies bombes - de bombes qui tuent et qui mutilent - pas de bombes de peinture ! La médiatisation à outrance qui a été faite de ce fait-divers sans intérêt contraste avec le silence dont on entoure les méfaits qui sont commis journellement par des musulmans et même, bien souvent, par des musulmans « très pieux » !

Il y en a marre du « cœur des lamentations » et autres manœuvres abusives de victimisation qui s’opèrent avec la complicité des médias, de la presse et des « autorités irresponsables » (politiciens, fonctionnaires et magistrats qui se comportent en vils démagogues et en pleutres). La farce n’a que trop duré. La majorité silencieuse des athées et des « sans religion » doit relever la tête et retrouver sa voix. Elle doit remettre, à leur juste place, les arrogants et vaniteux « propagateurs de la foi » et leur bras armé, les « apôtres de la guerre sainte ». Leur juste place est dans les geôles et dans les asiles d’aliénés, pas devant les caméras de télévision ni dans les « groupes de concertation » ou autres « conseils du culte ».

Basta, basta, basta ! Si ces énergumènes ne ferment pas leurs grandes gueules de leur plein gré, nous la leur fermerons de force. Nous sommes venus à bout de la barbarie nazie, nous ne baisserons pas pavillon devant les guignols de l’islam !

Quant à ceux qui veulent « croire » sans déranger personne, sans faire de prosélytisme et sans s’opposer aux lois, us et coutumes des nations démocratiques de l’Union européenne, ils ne nous dérangent pas. Car pour nous, la tolérance n’est pas un vain mot !

Fermons les mosquées, dangereux lieux de rassemblement de terroristes, de complots, d'endoctrinement, d'abrutissement coranique ! Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergolMais que l’on ne se méprenne pas. Notre patience et notre tolérance a des limites. Et ces limites sont sur le point d’être franchies.

Verra-t-on, un jour, sous nos latitudes, des bulldozers occupés à raser les habitations et les mosquées ayant abrité des terroristes, comme en Palestine ? Ce n’est pas à souhaiter mais ce n’est pas non plus inimaginable. L’équilibre politique de l’Europe demeure fragile et le comportement imbécile de la communauté musulmane risque fort d’entraîner des « retours de flammes » aux effets difficilement prévisibles. Et, comme il a été dit par ailleurs, on sait que, dans de tels cas, ce sont souvent les innocents qui paient pour les fauteurs de troubles.

La guerre dans le Moyen-Orient pourrait aussi bouleverser les données du problème. Car si nos prévisions sont exactes, le remplacement du régime irakien actuel par un gouvernement « pro américain » ne serait que le début d’une grande opération de « nettoyage » qui aurait pour but final de débarrasser le monde du wahhabisme, donc du régime saoudien qui est lui-même est au cœur des manœuvres visant à propager la « guerre sainte ».

Privés de leurs principaux appuis financiers, les milieux islamistes seraient déstabilisés mais, comme tous les groupements fortement fanatisés, ils se lanceraient sans doute dans des opérations relevant du « baroud d’honneur ». Et quand on sait que certains réseaux islamiques détiennent des armes de destruction massive (notamment le groupe al-Qaïda), cela n’augure rien de bon pour les années à venir. Un tel mécanisme est, en fait, un « mécanisme d’escalade dans la terreur » qui pourrait produire ses effets jusqu’aux environs de 2010 (et peut-être même au delà de cette date). Nous sommes donc d’accord avec Henry Troyat qui, lors d’une récente interview (sur France Inter), se disait très inquiet à propos de l’année 2003.


carte postale de 1916, l’aigle terrassé par la république

Cette carte postale de 1916 peut encore resservir en 2003, d’autant que l’aigle terrassé par la république se présente sous la forme d’un croissant. C’est l’islam représenté sous l’aspect d’un oiseau de proie, d’un prédateur de liberté, tandis que Marianne symbolise le triomphe du droit contre la terreur et le fanatisme.

Nous aussi nous sommes inquiets. Depuis un demi siècle, l’Europe occidentale avait connu une paix à peu près généralisée (si l’on excepte quelques conflits très localisés : Irlande du Nord, pays basque,…). Mais voici que le spectre de la guerre se profile à nouveau à l’horizon, une guerre insidieuse, une guerre sournoise menée par des lâches au nom d’une chimère divine et d’un prophète de pacotille. Les nouveaux ennemis du monde libre ne brandissent pas « Mein Kampf » ou le « petit livre rouge » de Mao. Ils brandissent le coran au nez et à la barbe des autorités légales.

Pour combattre ces fanatiques, il faut avoir lu le coran, de la première à la dernière page, sans omettre un seul verset car on ne peut battre définitivement les musulmans qu'en allant sur leur propre terrain et en retournant contre eux leurs propres armes.

Nous devons déjouer les pièges qui nous sont tendus par les mouvements musulmans dits « radicaux », « intégristes », « fondamentalistes » ou « néo-islamistes ». C’est sous ces différents vocables – et quelques autres parfois très anodins – que se cachent les « soldats de la foi » qui veulent régenter le monde à grands coups de versets et de fatwas.


Lentement mais sûrement, leur stratégie commence à se dévoiler (à défaut de leurs pauvres femmes). C’est ainsi que dans son édition du 17 avril 2003, l’hebdomadaire « L’Express » a publié une enquête intitulée : « Néo-islamistes : stratégies pour noyauter la République ». Ce dossier révèle au grand jour les moyens mis en œuvre par les réseaux qui sont d’ores et déjà bien implantés dans les grandes villes de France et qui manoeuvrent de manière à influencer le pouvoir politique et les institutions françaises.

« L’Express », article >« Néo-islamistes : stratégies pour
noyauter la République » du 17 avril 2003
« L’Express » du 17 avril 2003
« Néo-islamistes : stratégies pour noyauter la République »

La rédaction de L’Express a réussi à se procurer un exemplaire de l’un des « manuels de lobbying » qui circule dans les milieux islamistes : un CD-Rom pirate… un disque apparemment banal qui, à première vue, ne contient que des chansons de Carla Bruni. Mais en réalité, il dissimule des instructions destinées aux cadres du réseau « Veni, vedi, vici », autrement dit à une soixantaine d’activistes triés sur le volet pour opérer sous le couvert de la mouvance des « Etudiants musulmans de France » (EMF) et de l’ « Union des Organisations islamiques de France » (UOIF), cette dernière ayant réalisé un « score significatif » lors des élections vaudevillesques de l'illusoire « Conseil français du culte musulman ». Le ton adopté par les propagandistes qui ont réalisé le CD-Rom crypté est arrogant et triomphaliste. Ce document est aussi, comme le notent Jean-Marie Amat et Yves Benoit (qui ont mené l’enquête pour L’Express), d’une grande froideur tactique. Il révèle, une fois de plus, une volonté de pouvoir, un opportunisme écoeurant et un indéniable machiavélisme politique.


Nous avons cru utile de reproduire le texte de cet article très intéressant et remarquablement documenté car il s’agit là d’une pièce très utile pour la compréhension de la machinerie politico-religieuse que les musulmans mettent en œuvre à l’insu du grand public et des autorités compétentes de l’Union européenne. La France n’est pas, loin s’en faut, le seul pays visé. C’est le monde occidental, c’est le monde libre tout entier, qui est visé. Ce sont nos droits fondamentaux que les islamistes veulent remettre en question au nom de leurs principes anachroniques et archaïques. Nous ne dirons jamais assez qu’islam et démocratie sont des termes antinomiques et définitivement incompatibles. Là où est l’islam, il ne peut y avoir de démocratie. Là où est la démocratie, il ne peut y avoir de place pour l’islam !

On aura remarqué que les « néo-islamistes » - tout comme les « néo-nazis » auxquels ils s’apparentent – sont très nettement influencés par des méthodes qui furent jadis celles d’une certaine droite ultranationaliste. Ils se présentent d’ailleurs en détracteurs de la gauche. Ils reconnaissent également que leurs méthodes s’inspirent de celles mises en œuvre par des mouvements sionistes, ce qui n’étonnera pas ceux qui savent que les musulmans ont toujours envié (et copié) leurs cousins israélites. C’est la persistance de la vieille rivalité historique entre « fils d’Israël » et « fils d’Ismaël ».

Mais l’on retrouve essentiellement le double langage propre aux islamistes ainsi que leur aptitude à la duplicité. Le «didacticiel de formation » du réseau « Veni, vidi, vici » (Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu) n’est rien d’autre qu’une méthode de manipulation extrêmement sournoise. On retrouve aussi l’antijudaïsme primaire qui est propre à la religion musulmane depuis sa fondation.

Rappelons, à ce propos, que contrairement à ce qu’écrivent la plupart des journalistes, l’attitude de l’islam vis-à-vis du judaïsme ne relève aucunement de l’antisémitisme puisque les Arabes – pionniers de l’islam – sont des Sémites au même titre que les Juifs. Les Juifs le savent d’ailleurs parfaitement et se gardent bien de taxer les musulmans d’antisémitisme. L'islam est anti-juif, ou antijudaïque, mais pas anti-sémite.

Cette précision étant renouvelée, nous constatons néanmoins que c’est au sein de la communauté musulmane que l’on trouve aujourd’hui le sentiment anti-juif le plus développé. Dans un petit article intitulé « L’antisémitisme, un mal français ? », le journaliste Eric Conan (L’Express – 17 avril 2003) a d’ailleurs évoqué ce fait évident à propos d’un livre récemment publié aux éditions Robert Laffont. Il s’agit de « Une histoire personnelle de l’antisémitisme » de Nicolas Weil. Eric Conan a relevé, fort à propos, que Nicolas Weil est animé d’une obsession qui le détourne de la réalité. Et il précise : « Son obsession pousse l’auteur au déni de la réalité : il ne consacre que quelques lignes gênées à l’antisémitisme (sic) réel – aujourd’hui principalement d’origine islamique – dans lequel il ne veut voir qu’ « une forme d’ingestion par les jeunes des banlieues d’une bonne dose d’antisémitisme français traditionnellement mêlé aux sources arabo-islamique de la haine antijuive ». A croire que fermer les yeux suffise pour rêver. »

Nous sommes parfaitement en accord avec cette critique. Il faut être le dernier des niais – ou de très mauvaise foi – pour prétendre que la haine antijuive des arabo-musulmans de banlieues trouve une quelconque origine dans « l’antisémitisme français traditionnel » !


La haine des Arabes envers les Juifs remonte à une époque à ce point lointaine que la France, en tant que nation, n’existait pas encore. Et l’antisémitisme français (et pour tout dire Européen) s’est nourri de rancoeurs très diverses vis-à-vis de la communauté juive comme on peut s’en rendre compte en parcourant les « décrets infâmes » adoptés sous le régime napoléonien (voir chapitre 15).

On connait le sort réservé aux infidèles... mais connait-on le sort réservé aux autruches ? Dessin de Steph Bergol, http://www.ifrance.com/stephbergol L’attitude de Weil – et de la plupart des intellectuels juifs – relève manifestement d’une forme d’hypocrisie mais aussi d’une crainte d’être pris pour cibles par les islamistes. La communauté juive d’Europe – bien que puissante sur le plan financier – est très peu représentative face aux musulmans qui s’implantent de plus en plus nombreux dans nos pays. Le rapport de force n’est pas en faveur des Israélites et ils le savent. Ils préfèrent donc adopter un profil bas et ressasser de vieilles théories éculées sur l’antisémitisme supposé « traditionnel » des Européens, lequel ne se manifeste pourtant que très sporadiquement depuis la dernière guerre mondiale. Ils font mine d’ignorer la menace islamique qui est pourtant bien plus réelle et bien plus grande (107).

En cela, ils s’alignent sur les autorités politiques européennes qui pratiquent allègrement la « politique de l’autruche » (à ne pas confondre avec la politique de l’Autriche). Mais, comme nous l’avons déjà dit par ailleurs, la peur a toujours été un mauvaise, très mauvaise, conseillère !

La présente étude historique et géo-politique présente un caractère général. C’est une (longue...) introduction qui permet d’appréhender les multiples facettes de la problématique arabo-musulmane.

L'autre partie ne concerne que le coran, ce prétendu « livre inimitable ». L'étude analytique du coran montre surtout que c'est le livre le plus bête et le plus dangereux que l’on puisse trouver parmi ceux qui sont en vente libre dans les librairies. Un livre qu’il faut néanmoins avoir lu pour se rendre compte par soi-même à quel point il peut être une menace pour l’humanité. Nous ne demandons pas à être crus sur parole. Contrairement aux musulmans nous réclamons que notre étude analytique soit mise en doute par nos lecteurs et qu'ils vérifient par eux-même ce que nous affirmons. Il n'y a d'ailleurs rien de plus simple puisqu'il suffit de se procurer un exemplaire du coran. (Le moins cher semble être le coran à 4 euros distribué dans les boutiques Maxi-Livres - publicité gratuite !)
Et nous sommes confiants que la toute grande majorité des lecteurs arrivera à la même conclusion que nous.


Pour en terminer avec le dossier turc :

Les documents qui sont reproduits à la fin de ce chapitre 14 sont extraits du dossier que l’hebdomadaire français « L’Express » a consacré à la problématique « Europe-Turquie ». Il s’agit de quelques prises de position à propos de cette affaire qui n’a pas fini de faire couler l’encre et qui sera, à n’en pas douter, un sujet d’intense polémique pour les années à venir.

Nous tenons, par l’intermédiaire du présent site Internet, à féliciter la rédaction de « L’Express » pour son courage rédactionnel et la qualité de ses articles relatifs à l’islam, au terrorisme islamique ou à la question turque.

Les rédacteurs de « L‘Express » font honneur au métier de journaliste comme Michel Houellebecq a fait honneur à la noble profession d’écrivain. C’est devenu suffisamment rare pour être souligné. Quant au courage des « politiques », il est tellement rare qu’on peut se demander s’il est encore de ce monde !

En ce qui nous concerne, nous réaffirmons que plus aucune décision ne doit être prise en matière d’élargissement de l’Union européenne sans que la totalité des citoyens concernés ait été dûment et démocratiquement consultée par voie de référendum. Car s’il est normal que les « prétendants » soient consultés, il est encore plus normal que les citoyens des pays qui sont déjà membres de l’Union soient, eux aussi, appelés à donner leur avis. Ils ont le droit de rejeter l’adhésion de tel ou tel prétendant si telle est leur volonté, exprimée librement dans le cadre des principes élémentaires de la démocratie. Toute autre manière de régler le problème devra être assimilé à une dictature politico-technocratique et combattue comme telle.

Une Europe forte et unie ne peut se concevoir que sur la base d’une saine démocratie, d’une démocratie authentique et directe, émanant des citoyens, non des politechnocrates. Une Europe construite envers et contre les peuples européens ne serait pas viable et porterait en elle les germes d’une révolte. Il en serait de même pour une Europe ouverte à tous les vents et surtout au « vent mauvais » d’un islam conquérant !

Il nous incombe donc de poser les paravents qui s’imposent et ce, sans perdre une seule minute. Car l’ennemi est déjà dans nos murs !


Dans le cas particulier de la Turquie, il ne devrait même pas y avoir de consultation populaire puisque ce pays ne réunit pas les conditions de base pour adhérer à l’Union européenne. Mais si un referendum venait à poser clairement la question d’une éventuelle adhésion de la Turquie, il ne fait aucun doute que cette adhésion serait rejetée par la toute grande majorité des citoyens européens.

Admettre la Turquie au sein de l’Union européenne, ce serait y faire entrer un énorme « cheval de Troie » (108). Ne soyons pas les Troyens du IIIe millénaire, ne soyons pas les cocus de l’histoire !

L’Europe
avec ou sans la Turquie ?

Dans le dossier que « L’Express » a consacré au débat sur le thème « L’Europe avec ou sans la Turquie ? » (12 décembre 2002), On trouve l’avis négatif d’Alain Besançon, historien, membre de l’Institut de France, et l’avis, également négatif, de Claude Allègre, homme de sciences et ancien ministre de la gauche française. Claude Allègre, qui a toujours prôné le « parler vrai », donne raison à Valéry Giscard d’Estaing et à Helmut Kohl. Son analyse est excellente en tous points. Nous le rejoignons totalement en ce qui concerne la nécessité du débat et du referendum.
Les « contre », de Giscard d’Estaing à Allègre, appartiennent à tous les courants politiques.

couverture du livre la Turquie dans l'Europe, Un cheval de troie islamiste ?L'écrivain et conférencier bon connaisseur de l'islam, Alexandre del Valle, a consacré un livre à ce sujet, intitulé "la Turquie dans l'Europe" et sous titré "Un cheval de troie islamiste ?".

N’oublions pas le massacre des Arméniens…

A propos de la Turquie, il est bon de rappeler que les Ottomans ont massacré un très grand nombre d’Arméniens de confession chrétienne qui voulaient se libérer de l’oppression musulmane. Selon la légende, les Arméniens (ou « Haïkans ») descendraient de Haïk, arrière-petit-fils de Noé. En réalité, le peuple des Ourartous (autre nom des Arméniens) aurait une origine thraco-phrygienne. Ils seraient passés des Balkans à l’Anatolie orientale au VIe siècle avant notre ère. Ils seraient aussi apparentés à des peuples du Caucase du Sud (comme les Azéris). En l’an 480 avant notre ère, ils combattent à Marathon en qualité de vassaux de Xerxès. De l’an – 334 à l’an – 190, ils constituent une nation autonome dans l’empire d’Alexandre et dans l’Etat des Séleucides et, en –190, le général grec Artaxias proclame l’indépendance de l’Arménie qu’il baptise « Artaxata ». Vers l’an –80, Tigranne le Grand, descendant d’Axtaxias, conquiert une partie des rives de la mer Caspienne. Il prend le titre de « roi des rois » et prend Tigranocerta pour capitale.

Dès –69, le royaume passe sous protectorat romain. Entre 114 après JC, il devient un province romaine à part entière et ne retrouve son autonomie qu’en l’an 135 (capitale Artaxata). En 287, le royaume des Arméniens s’allie aux troupes romaines pour combattre les Perses sassanides. Dès la fin du IIIe siècle, les Arméniens adhèrent au christianisme sous l’influence de St Grégoire (dit « L’illuminateur ») et cette religion devient la religion officielle. En l’an 387, l’Arménie est coupée en deux. La partie Ouest du pays passe sous le contrôle de l’empire byzantin tandis que la partie Est ou « Pansarménie » (capitale Dwin) est occupée par les Perses. C’est en Pansarménie que Mesrob Matchots invente l’alphabet arménien, en 405. Au VIe siècle, les Arméniens adoptent le monophysisme et rompent avec Byzance. A cette époque, l’Arménie est un pays d’environ 250.000 km² de superficie. Sa population était de l’ordre de 12 à 15 millions d’habitants.

C’est en l’an 654, bien avant l’islamisation, que les Arméniens choisissent le protectorat arabe contre celui des empereurs byzantins. En 1022, ils seront à nouveau réuni à l’empire byzantin mais en 1071, celui-ci est envahi par les armées musulmanes, provoquant l’exode des Arméniens. Entre 1137 et 1175, le royaume arménien indépendant de Cilicie (aussi nommé « petite Arménie ») s’allia aux Croisés pour combattre en Terre Sainte. Il sera détruit en 1375 par les mamelouks. Son dernier roi fut Léon VI de Lusignan. Jusqu’au XVIIe siècle, les Ottomans exercent le pouvoir en Grande Arménie, laissant les Perses récupérer la partie Est de l’ancien royaume. Dans les deux cas, les chrétiens d’Arménie sont sous le joug de la loi islamique et, de ce fait, considérés comme des « dhimmis ». En 1828, l’Arménie sous contrôle perse est annexée à la Russie selon les conditions du traité de Turkmantchaï.

La première insurrection arménienne, en zone turque, se déroule à Zeytoun en 1859 et, en 1860, le sultan accorde une constitution nationale distincte aux Arméniens, sans cependant reconnaître leur indépendance. De fait, les Arméniens continuent à subir le joug islamique. En 1877 et 1878, les populations des régions de Bayazid, Diadin et Alachkert sont exterminées. Au cours de la même année 1878, les Turcs cèdent Kars et Ardahan aux Russes tout en promettant l’autonomie aux Arméniens placés sous leur contrôle. Le 13 juillet 1878, ils signent, à Berlin, un traité qui promet des réformes mais ne parle pas d’autonomie. Selon une vieille habitude musulmane, les Turcs usent du « double langage ». Ils promettent des réformes en faveur des Arméniens, mais, dans la pratique, ils vont mener une politique intensive de « désarménisation », entre 1878 et 1894.

Le 1er juin 1890, une émeute fait une centaine de morts à Erzurum. D’autres émeutes ont lieu à Istanbul. Dans le même temps, le comité Tasnaksutian s’efforce de fédérer les mouvement d’opposition du Caucase.. En 1892 et 1893, des émeutes secouent les villes de Kayseri, Yozgat, Corum et Merzifon. En 1894, les Turcs massacrent une partie de la population de sassoun. Il s’ensuit des troubles à Istanbul, en 1894 et 1895. Les massacres de populations arméniennes vont alors s’amplifier jusqu’en 1896. Le 25 décembre 1895, jour de Noël, 3.000 Arméniens sont brûlés vifs dans la cathédrale d’Ourfa.

Le caractère religieux des exterminations massives de populations arméniennes par les Turcs ne fait aucun doute. Le but ultime de ce « Djihad » génocidaire était d’éliminer tous les citoyens non-musulmans résidant dans les territoires soumis à la juridiction turque, donc à la loi islamique, afin d'obtenir une population politiquement homogène.
Rien qu’en 1895, ce sont au moins 300.000 Arméniens – hommes, femmes et enfants – qui seront exterminés tandis que 50.000 autres se convertiront à l’islam pour avoir la vie sauve.
On comprend dès lors l'extrème embarras des Turcs : reconnaître le génocide arménien équivaudait automatiquement à reconnaître l'islam coupable d'incitation au meurtre. Ce serait par voie de conséquence désigner officiellement l'ensemble des musulmans contemporains comme des personnes coupables d'appartenir à une religion incitant au meurtre !

Les massacres continueront pendant tout le premier quart du XXe siècle. C’est ainsi que le 1er avril 1904, entre 20.000 et 30.000 personnes sont massacrées à Adana. La population arménienne était estimée à environ 5.860.000 personnes à la fin du XIXe siècle (vers 1885). 3.788.000 Arméniens étaient soumis au joug turc, les autres étant administrés par la Russie. 3.211.000 Arméniens étaient chrétiens pour seulement 2.072.000 qui s’étaient convertis à l’islam pour échapper au pénible statut de « dhimmi ». 341.000 étaient de confessions diverses ou sans religion.

En 1915, les soldats arméniens servant dans l’armée turque sont désarmés. Beaucoup d’entre eux seront fusillés. Le 20 avril de cette même année, les révoltés de Van instaurent un gouvernement arménien provisoire ayant à sa tête Aram Manouguian. Aussitôt, les autorités turques font arrêter et déporter en masse les intellectuels, les notables et autres résidents arméniens. Sur environ de 2 millions de personnes arrêtées, plus de la moitié seront exterminées, en route ou dans les camps de concentration. Selon le « Tribunal des peuples » qui a siégé à Paris du 13 au 16 avril 1984, seuls quelques 600.000 Arméniens ont réussi à survivre à ce génocide, soit 1.400.000 victimes. Les Turcs, pour leur part, parlent de « seulement » 300.000 victimes. La plupart des survivants quitteront la Turquie pour s’installer en Europe ou en Amérique du Nord.

En 1918, la Turquie vaincue (elle était l’alliée de l’Allemagne et de l’Autriche) reconnaît le traité instaurant le nouveau découpage de l’ancien royaume d’Arménie. Ce qui modifie peu le sort des Arméniens, rescapés des massacres, qui continuent à être administrés par les Turcs. Actuellement, et sur quelques 66 millions d’habitants, les Arméniens de Turquie ne sont sans doute pas plus de 50.000.

La Turquie a donc bel et bien mené une politique d’extermination et d’assimilation forcée de nature essentiellement religieuse et principalement à l’encontre des minorités chrétiennes. Cette politique était conforme à la volonté de domination politico-religieuse qui s’inspire du système arabo-musulman. Cette volonté a persisté sous le régime laïque instauré par le général Kemal et elle réapparaît depuis peu sous l’influence des musulmans radicaux et intégristes qui incitent par ailleurs à la surnatalité. On estime qu’en 2025, la population turque devrait avoir atteint (ou dépassé) le seuil des 90 millions, cependant que ce pays serait dans l’incapacité d’en faire vivre correctement plus de 55 millions. Le « solde » de population est donc destiné à migrer, majoritairement vers les pays de l’Union européenne. D’où la volonté affichée par les autorités turques d’intégrer ladite union afin de faciliter les transferts de population et, par delà, l'islamisation progressive de l’Europe occidentale et septentrionale. Car pour les Turcs – comme pour la plupart des autres migrants originaires des pays islamisés (donc conditionnés par le lavage de cerveau et le bourrage de crâne des « écoles » coraniques) – il n’est pas question de s’intégrer dans la société occidentale mais d’y implanter des communautés islamiques qui continueront à vivre selon les lois de l’islam et s’efforceront, in fine, d’islamiser le monde non musulman (le « Dar-el-Sulh ») conformément à ce qui découle de l’enseignement du coran et de la sunna.

Si nous n’y prenons pas garde dès aujourd’hui, nous risquons d’être tous des Arméniens d’ici quelques décennies, des « dhimmis » dans notre propre pays !

Les crimes de l’islam… « à la turque »

Parmi les principaux crimes commis par les dirigeants de l’empire ottoman – dont nous devons rappeler qu’ils s’érigèrent en « successeurs du prophète et commandeurs des croyants » (califes) - il faut mentionner celui, trop peu souvent cité, qui consistait à enlever de très jeunes enfants aux familles chrétiennes (soumises au joug ottoman) pour les « islamiser » de force et en faire des « soldats d’Allah » destinés, in fine, à combattre sauvagement leur communauté d’origine.

Abrutis par le lavage de cerveau et le bourrage de crâne qui est spécifique aux écoles dites « coraniques », ces pauvres enfants devinrent les redoutables « janissaires » (du turc « yeni tcheri » : nouvelle troupe) qui constituèrent le corps d’élite de l’armée turque jusqu’au début du XIXe siècle.

C’est le sultan Orkhan-Ghazi (1326-1360, premier sultan de l’empire ottoman) qui, le premier, ordonna d’arracher des enfants chrétiens à leurs familles afin de les convertir de force à l’islam. Ces enfants (ou jeunes adolescents) étaient « triés » selon leurs capacités physiques et intellectuelles et répartis en plusieurs catégories. Un petit nombre était destiné à la cour du sultan pour le service des « pages ». Certains d’entre eux étaient vêtus comme des filles et devaient assouvir les bas instincts sexuels des dignitaires. Il s’en trouva quelques-uns qui surent tirer avantage de cette position pour devenir eux-mêmes des dignitaires du régime.

Toutefois, la plus grande partie de ces enfants volés était affectée à un corps d’infanterie placé sous l’autorité directe du sultan, sorte de « garde spéciale ». Au départ, le corps des janissaires comptait entre 10.000 et 12.000 hommes puis il augmenta jusqu’à dépasser le nombre de 140.000 fantassins. Il devint alors difficile de contrôler cette armée dans l’armée (ce fut aussi le cas pour les mameluks d’Egypte), si bien que les janissaires finirent par refuser de participer aux expéditions lointaines, préférant jouer un rôle actif dans les combines politiques et les révolutions de palais. 

En 1826 – tandis que le sultan Mahmut II tentait de tenir tête aux forces coalisées (France, Russie, Angleterre) - l’armée turque fut réorganisée et plus de 15.000 janissaires furent exécutés sous prétexte de rébellion et de corruption. Dans la foulée, le corps des janissaires fut supprimé.

De 1326 jusqu’au milieu du XVIIe siècle, c’est par centaines de milliers que des enfants chrétiens furent arrachés à leur famille, par ordre du « commandeur des croyants », au nom de Mahomet et de son coran. Pendant cinq siècles, la haine des Turcs vis-à-vis des chrétiens s’est exprimée de cette manière, la plus infâme qui soit. Cette haine se concrétisera jusqu’au XXe siècle, par toutes sortes d’autres crimes, dont le massacre des Arméniens (voir paragraphe précédent).

On ne connaît, dans l’histoire, qu’un seul autre régime qui se soit comporté de la sorte : celui des dirigeants de l’Allemagne nazie . Ils firent admettre dans les « lebensborn » de la SS des enfants non Allemands (Polonais, Tchèques, Serbes,…) mais jugés « purs » sur le plan des critères raciaux du nazisme. Certains de ces enfants étaient des orphelins mais d’autres furent arrachés à leur famille. On cite habituellement le chiffre de 80.000 enfants qui furent ainsi « nazifiés » par le Lebensborn.

Le corps des janissaires est une honte pour la Turquie et pour l’islam. Une honte qu'il sera difficile d'effacer, même par d’éventuelles excuses des dirigeants turcs. D’autant que ces excuses sont tout ce qu'il y a d'improbable car la Turquie, bien loin d’avoir honte, semble être fière de ce passé crapuleux. C’est ainsi que l’armée turque a reconstitué une musique militaire portant la tenue des janissaires et jouant les musiques de l’ère ottomane.

Et ce sont ces gens-là que l’on voudrait admettre au sein de l’Union européenne ? De qui se moque-t-on ?

janissaire SSjanissaire

A gauche, le «SS Schellenbaum» qui était porté en tête des fanfares. C’était, à l’origine, l’emblème de commandement des janissaires. On retrouve aussi un symbole de l'islam dans l'emblème de la division musulmane de la Waffen SS : le sabre recourbé à l’orientale.
A droite, une estampe de 1720 représentant un fantassin du corps des janissaires de l’armée turque.

On ne s’étonnera donc pas du fait qu’il y ait eu « rapprochement » entre les nazis et les musulmans, dont les dirigeants turcs, dès l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler et pendant toute la durée de la seconde guerre mondiale.

La « musique des Janissaires » de l’armée turque (membre de l’OTAN) participe régulièrement à des défilés, partout dans le monde, sans que personne ait jamais protesté.

Que dirait-on si l’armée allemande actuelle reconstituait la musique de la « Leibstandarte Adolf Hitler » pour la faire participer aux grandes parades militaires (comme les « Tatoo » britanniques) ?

Va-t-on continuer longtemps à tolérer que les lois soient différentes pour les nations occidentales et pour les nations islamisées ? Va-t-on laisser les arrogants Ottomans narguer le monde civilisé et imposer ses volontés aux hommes libres ? Va-t-on ouvrir les portes de l’Europe démocratique à un peuple qui glorifie un passé fait de crimes et d’atteintes persistantes aux droits les plus élémentaires de l’être humain ?

Cette parenthèse relative au corps des janissaires indique clairement qu’il existe bel et bien une étroite relation de parenté entre l’islamisme et le national-socialisme, cette sorte de religion athée, (dans sa forme la plus absolue, celle de l’Ordre SS).

carte de l’Europe politique

Cette carte de l’Europe politique (Encyclopédie Microsoft Encarta) montre que la plus grande partie du territoire de la Turquie est située en Asie (tout comme pour la Russie, n°43). Cela démontre, si nécessaire, que la Turquie n’est pas un pays européen et n’a donc rien à faire dans l’Union européenne.
L’Europe politique ne concerne donc que les Etats numérotés de 1 à 42.
Le Vatican, bien que considéré comme un Etat souverain, n’est cependant qu’une propriété privée de l’église catholique (le Vatican ne dispose d’aucune structure démocratique qui permettrait de reconnaître ce « pays lilliputien » comme un Etat à part entière). Le nombre effectif des nations constituant l’Europe politique et susceptibles d’adhérer à l’Union Européenne est 41. Il convient cependant de rejeter d’office la candidature des pays dont la population est majoritairement musulmane (comme l’Albanie et certaines parties de l’ex-Yougoslavie), ce qui réduit le nombre des candidatures « acceptables » à environ 36.

Les grosses bombes rouges indiquent les secteurs géographiques où le risque de « contamination islamique » est maximum. Les petites bombes indiquent les pays de l’Union qui sont déjà fortement contaminés par le fait de l’immigration et de diverses manœuvres de noyautage et d’intoxication.

A partir de l’année 2003, le fait d’admettre un nouvel Etat au sein de l’Union Européenne – sans consultation préalable de l’ensemble des citoyens et citoyennes de l’Union – devra être considéré comme un acte hostile susceptible d’entraîner de provoquer la légitime colère desdits citoyen(ne)s. Les dirigeants de l’Union Européenne supporteront alors l’entière responsabilité des troubles qui pourraient en découler. Il convient, en outre, de reconsidérer fondamentalement la structure de l’Union Européenne en optant pour une fédéralisation fondée sur des régions linguistiques et culturelles avec, à terme, la disparition des « états nations » et la mise en place d’un véritable gouvernement européen ayant à sa tête un président élu (pour 4 ans) au suffrage universel.

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