Le coran et l'islam, Etude historique et géo-politique > Conclusions page 2
Lislam, dès le départ, ne sest pas présentée comme une « religion nouvelle » ou comme une «religion différente » (par rapport à celles qui existaient avant les prétendues « révélations » de Mahomet). Lislam sest toujours présentée comme la seule et unique « vraie religion », comme la « vraie foi », comme la « foi unique et universelle ». Cest ce qui explique son arrogance, son intolérance et son agressivité.
Cest aussi ce qui explique son rejet de toute innovation, de toute forme denseignement qui contredirait ses dogmes et ses principes de vie. Les musulmans craignent par-dessus tout lenseignement de la philosophie et des sciences dites « exactes ».
Il ne faut pas négliger cet aspect de leur « guerre sainte », dautant que certains « écolos de base » commencent à émettre des théories passéistes qui se fondent sur une vision idéalisée du « mode dautrefois » et sur une diabolisation de la science. Et lon commence à entendre des discours pseudo-écologistes selon lesquels lécologie et lislam pourraient sassocier pour « défendre la planète en péril ». Pour les « ayatollahs de lécologie » (aussi barbus et inquiétants que leurs homologues musulmans), le vert de lislam pourrait faire bon ménage avec le leur. Autrement dit, « le vert est dans la pomme » !
Affiche de mai 68 signée Costa. La légende dit « Il faut empêcher que le ver de tous les pouvoirs puisse dévorer le fruit et détruire le jardin ». Nous ne voulons pas du ver de lislam chez nous. Il a déjà pourri un tiers de la planète. Préservons les deux tiers qui sont encore plus ou moins préservés de ce dangereux parasite. Ne laissons pas à lextrême-droite le privilège de lutter contre le péril qui nous menace. Car si elle pose souvent les bonnes questions, elle fournit rarement les bonnes réponses !
Lécologie (la vraie, la scientifique) et la défense de lenvironnement relèvent dune démarche citoyenne qui doit demeurer rationnelle. Il faut, en tout état de cause, séparer le bon grain de livraie, en loccurrence les véritables écologistes des hurluberlus de tous poils qui voudraient que le monde entier vive dans des tentes dindiens et séclaire à la lampe à pétrole.
Lalliance des écolos et des islamistes, cest un peu celle de la chèvre et du choux. Et nous vous laissons deviner qui mangera qui dans cette affaire !
En tous cas, il est des alliances politiques qui sont véritablement « contre nature » (sans jeu de mot). Cest le cas pour les écolos et les islamistes comme cest le cas pour les pseudo trotskystes belges (ceux du PTB) et les voyous de la LAE. Nous nous devons donc de les dénoncer publiquement et vigoureusement.
Nous nous devons aussi et surtout de nous opposer à la participation des non européens à toutes les formes de scrutins, du niveau municipal au niveau européen. Le risque politique est beaucoup trop grand et, de toute façon, nous devons nous baser sur la notion de réciprocité ou plutôt de non réciprocité. Nous navons pas à conférer, à des résidents non européens, des droits qui seraient refusés aux Européens dans les pays dont ils sont originaires. Cest du droit politique élémentaire et il ny a pas à discuter sur ce point. Nous devons être fermes sur ce point et ne céder, en aucune façon, aux arguments démagogiques de ceux qui ne pensent quà une seule chose : flatter les populations issues de limmigration afin de récolter leurs suffrages !
La présente « riposte informatique » est destinée à contrebalancer les offensives « géocathodiques » menées par les islamistes radicaux via la chaîne de télévision que lon surnomme la « CNN arabe » : Al-Jazira.
Il nest pas interdit de penser, en effet, que les réseaux fondamentalistes ont mis en place une véritable « stratégie de limage » visant à damer le pion aux puissants médias américains. Dans un article doctobre 2001 (Nouvel Observateur n° 1929), Jean-Gabriel Fredet notait que : « Le but du terrorisme est de terroriser. Objectif atteint grâce à la mise en scène de cette dramaturgie sanglante, offerte en direct à des centaines de millions de spectateurs... Le déploiement des trois « personnages » (ben Laden et ses deux lieutenants) devant un décor hautement symbolique dans limaginaire des fidèles une anfractuosité de rocher - renvoie à limage de la grotte (chère aux « hachachin ») et à la fuite à Médine de Mahomet, cest-à-dire à lhégire, moment fondateur de lislam dont ben Laden se veut le meilleur serviteur. Simple, manichéenne, la cassette concentre en une minute tous les ingrédients capables denflammer les musulmans et de les contrôler dans une campagne contre les « infidèles ».
Le journaliste du « Nouvel Obs » a parfaitement cerné les appels du pied qui visent à établir un parallèle entre ben Laden et le « Vieux de la montage » (voir notre chapitre consacré aux schismes et aux sectes). Ben Laden a su jouer avec les décors et les allusions que les musulmans savent décoder mais qui échappent aux Occidentaux nayant pas une bonne connaissance de lislam et du monde arabo-musulman. Aujourdhui, il a même cessé de paraître devant les caméras. Il se contente de messages sonores quen parfait opportuniste, il distille en fonction des évènements. Il se pourrait quil soit blessé ou malade mais, de toute façon, son clan cherche à lériger en « personnage mythique », en « immortel », comme le firent les fils et successeurs dHassan ben Sabbah. En agissant de cette façon, ceux qui aspirent à la succession de ben Laden espèrent bénéficier de ce mythe pour poursuivre leur sale boulot.
En ce qui nous concerne, nous ne cherchons pas profiter des médias et dInternet pour entretenir une vision falsifiée des faits (comme cest le cas pour la quasi-totalité des site Web gérés par des musulmans). Notre but est dinformer pas de déformer !
Comme nous lavons indiqué dans notre page davertissement, nos sources, les informations et les éléments dappréciation qui figurent dans la présente étude sont vérifiables. Elles vont des encyclopédies, aux magazines de la presse francophone en passant par des ouvrages historiques, des essais philosophiques, des traités de géopolitique ou de simples témoignages. Sans oublier le coran que nous avons lu et relu dun bout à lautre à de très nombreuses reprises (et dans différentes traductions, n'optant pour une que parce qu'il faut bien faire un choix, que la traduction de Kasimirski est la plus répandue et qu'elle est finalement tout à fait équivalente aux autres).
Les musulmans ne peuvent pas en dire autant. Leur doctrine repose sur un seul livre, sur un ouvrage plus que douteux qui a fait lobjet de manipulations sous le califat dOthman, un prétendu « recueil de révélations » dont tous les analystes sérieux savent quil nest rien dautre quun très mauvais plagiat de la torah et du talmud (plus quelques bribes de textes chrétiens) avalisant la théorie du « dieu unique » et consignant les us et coutumes des bédouins du VIIe siècle. Ca, cest la réalité, la stricte réalité. Et nous verrons, dans la seconde partie de cette étude, que les prétendues « preuves » de la nature divine du coran ne sont que des calembredaines qui feraient rire un enfant de dix ans !
Dans un dossier déjà cité du « Nouvel Observateur » (voir chapitre 5), Darius Shayegan a bien résumé le problème à sa manière, à la manière de quelquun qui a vécu les contradictions de lislam « de lintérieur » tout en ayant une solide formation philosophique et historique. Il déclarait notamment : « Vous parlez de diversité de civilisations. Mais à mon avis, il ny a quune seule civilisation dans le monde et cest la civilisation mondiale, moderne, universelle je ne dirai même pas occidentale car elle fait partie de nous, quelle reflète aussi une certaine sensibilité de notre temps, et qui nest plus celle du Moyen Age. Avec le retour de Khomeini en Iran, on a commencé à voir des scènes, des images, que personne narrivait plus à supporter : les flagellations, les martyres, les fontaines de sang, Cette explosion de larchaïsme dans le moderne, proprement insupportable pour des hommes du XXe siècle, explique lémigration massive. Ces gens ne fuyaient pas parce quil ny avait plus de libertés individuelles ces libertés nexistaient pas avant la révolution. Ils fuyaient un monde archaïque qui offensait leur sensibilité.
Là, je me pose une question : pourquoi lAsie, qui est de confession bouddhique et confucéenne, supporte-t-elle mieux la modernité que ne le fait lislam ? Pourquoi lislam a-t-il tant de problèmes avec les valeurs considérées comme universelles, et quil regarde comme occidentales ?
Il y a dabord la rivalité de lislam avec la chrétienté. Il y a ses échecs historiques. Et puis, il y a le fait qu'il n'a jamais voulu faire lapprentissage de la modernité. Je vous donne un exemple précis : lère Meiji, au Japon, a commencé en 1868. La même année, le chah iranien a entamé des réformes. Au Japon, ces réformes ont abouti. En Iran, jamais. Les résistances ont été les plus fortes.
Je crois que le monde islamique doit vraiment entamer son autocritique et casser les tabous. Aucun imam nose faire une lecture critique du coran. Alors que la modernité a commencé au XVIIe siècle avec la critique de la bible et des écritures. Arrive un moment où il faut prendre du recul. Se demander doù viennent les blocages ? Pourquoi faisons-nous toujours les mêmes erreurs ? Et cesser de dire : cest la faute des Américains, des Russes, des Anglais,... ».
Cette analyse est dune très grande rigueur intellectuelle. Cest celle dun « honnête homme », dun homme libre qui refuse de bêler avec le troupeau.
Mais lheure est bien loin dêtre à lautocritique chez la grande masse des musulmans, la masse « moutonesque » des « soumis » (littéralement, c'est ce que veut dire « musulman » en Arabe). Bien au contraire, cest souvent larrogance qui est de mise. Ce nest pas demain la veille quun imam se risquera dans une « lecture critique » du coran, ce prétendu « livre sacré » qui relève de limposture pure et simple.
Les Américains, mais aussi les Britanniques et quelques autres peuples anglo-saxons, ont bien compris que le monde libre se trouvait confronté à une situation dont nous ne pourrons pas sortir par le dialogue et les « bonnes manières ». En face de nous, nous avons un adversaire le monde arabo-musulman qui refuse toute forme de dialogue et pousse les masses au conflit.
La guerre en Iraq est la conséquence de cette attitude absurde, une attitude totalement irrationnelle qui résulte dune volonté politique sappuyant sur des principes archaïques et antidémocratiques. Cette guerre est sans doute une mauvaise réponse à un problème bien réel mais, in fine, ce sont les dirigeants islamistes qui en portent la responsabilité. Et cest, hélas, le petit peuple du troupeau des « moutons soumis » qui paie les pots cassés !
Et si le « livre sacré » des musulmans relève de limposture, que dire de ces « terroristes islamiques » qui ne sont, bien souvent, que des détraqués ou de vulgaires délinquants ? Que dire, par exemple, de ce Mouloud Bouguelane, ce jeune « beur » qui se retrouva impliqué dans les crimes de la « bande de Roubaix » ? Et que dire de ces prétendus « militants islamistes » dont le parcours ressemble à sy méprendre aux « anarcho-gangsters » du début du XXe siècle ?
Nous avons dit et répété que notre ennemi nétait pas le petit commerçant turc ou maghrébin, pas plus que louvrier immigré qui travaille dur sur un chantier pour une croûte de pain. Ceux-là sont les « cocus du système ».
Nos vrais ennemis sont les « religieux » mesquins, intolérants, belliqueux et stupides. Ce sont aussi les roitelets du pétrole qui pavanent dans les palaces et dans leurs Rolls tout en finançant les fauteurs de troubles et les assassins. Ce sont dabord ceux-là que nous devons mettre hors détat de nuire.
Nos ennemis ne sont pas dans les palais du gouvernement de Bagdad et au sein du peuple irakien. Ils sont à la Mekke, à Médine, à Riyad, à Jérusalem et dans les « temples » du monde entier, quils sagisse déglises, de synagogues ou de mosquées. Nos ennemis se nomment Yahvé, Jéhovah ou Allah !
Nous avons dit que les « musulmans de base » ne sont pas nos ennemis mais nos frères en humanité. Nous ne pouvons pas leur reprocher dêtre les victimes dune religion inique, intolérante et criminelle qui leur est imposée par une communauté qui refuse de souvrir à la modernité et qui senferme dans ses fantasmes. Et même si cest une tâche difficile, nous devons tenter de les convaincre de leur erreurs, les amener à reconnaître le très dangereux anachronisme de leur religion.
Mais nous ne devons pas, pour autant, céder à la tentation de cliver lislam en deux catégories : le bon islam et le mauvais islam. Car si lon trouve des tas de braves gens parmi les musulmans « de base », lislam lui - ne peut jamais être « brave », conciliant ou modéré. Lislam est lislam et cest une religion dangereuse, très dangereuse. Nous ne devons pas oublier sur ce point essentiel.
Comme nous lavons déjà dit par ailleurs, tous les membres du parti nazi nétaient pas des tueurs et des crapules. On en connaît même qui furent considérés comme « Justes » par les Juifs et par lEtat dIsraël (voir lexemple de Schindler). En fait, une assez grande majorité de membres du parti-national socialiste des travailleurs allemands (parti dit « nazi ») étaient des gens « ordinaires » qui avaient pris leur carte sous la pression des évènements, un peu comme les musulmans qui nadhèrent à lislam que pour se plier aux coutumes familiales et communautaires.
Cette comparaison peut, à priori, paraître choquante. Et pourtant, elle se fonde sur la réalité. Tous les nazis nétaient pas des criminels et tous les musulmans ne sont pas des terroristes. Et pourtant, il ne viendrait à lidée de personne de parler de « nazisme modéré » ! Alors, pourquoi parlerions-nous d « islam modéré » ?
Cest là une démonstration de dialectique qui ne plaira pas à tout le monde mais notre but nest pas de plaire à tout le monde et cette analyse est confirmée par d'autres. (on pourra lire à ce propos l'excellent ouvrage « le totalitarisme islamiste » d'Alexandre Del Valle).
On nous dira que certaines vérités ne sont pas bonnes à dire mais nous répondrons du tac au tac par la définition du courage de Jean Jaurès, telle que nous lavons reproduite.
Et nous poursuivrons notre chemin du pas tranquille de ceux qui ont conscience davoir fait leur travail en hommes libres, en hommes qui continueront à chanter : « Il nest point de sauveur suprême, ni dieu, ni césar, ni tribun » !
Quon se le dise au fond des ports, dise au fond des ports (dixit G. Brassens).
Lettre de lecteur Le Nouvel Observateur
n° 1926 4 octobre 2001
Quelques citations à méditer...
A titre de comparaison,
quelques-uns des propos tenus
par Mahomet dans son « coran » : |
Où est la barbarie, en Occident ou en terre dislam ? Où est lintolérance, en Occident ou en terre dislam ? Où est la méchanceté, en Occident ou en terre dislam ? Où est la haine, en Occident ou en terre dislam ? Où est le vice, en Occident ou en terre dislam ? |
Nous savons par avance ce que lon pourra dire, en bien ou en mal, à propos de la présente étude. Une chose est cependant certaine, elle sera perçue comme « dérangeante » (par les musulmans mais aussi par des non musulmans). Pourtant, elle na rien d« inconvenante ». Notre analyse historique et géopolitique est objective et inattaquable. Il en va de même pour létude analytique du texte du coran qui constitue l'autre partie de notre travail. Nous citons nos sources et nous nous basons sur des éléments qui ne peuvent guère être contestés. Lorsque nous accusons le coran dêtre criminogène, nous nous appuyons sur le texte tel quil a été transmis depuis le VIIe siècle.
Nous ne sommes pas les seuls à dénoncer lextrême dangerosité du message coranique. Il se trouve même des personnes - nées en terre dislam de parents musulmans pour oser le dire sans se cacher. Cest le cas pour Taslima Nasreen, la courageuse femme de lettre, née au Bengladesh en 1962, qui fait lobjet dune fatwa de mort pour avoir dénoncé lislam dans ses livres.
Dans un entretien accordé à lhebdomadaire français « LExpress » (numéro du 10 avril 2003), elle a renouvelé ses accusations, lesquelles concordent parfaitement avec les nôtres. Celle qui a risqué sa vie pour dénoncer le sort peu enviable des femmes soumises aux lois iniques de lislam nhésite pas à accuser le coran dans son ensemble et sa résultante : le « vrai islam ». Et de préciser : « Cest bien lislam, le vrai islam, lauthentique islam, qui prescrit de tuer les apostats et les incroyants. Le coran dit même que lon peut tuer les juifs et les chrétiens et que, si on se lie damitié avec eux, Allah promet lenfer ».
Taslima Nasreen vit actuellement près de Stockholm et, dans sa petite maison, un buste de Voltaire trône en bonne place. Cette femme courageuse mérite notre estime et notre respect. Elle a su garder la tête haute au sein dune communauté qui affiche un mépris profond pour la femme et pour la vie des êtres humains. Là où Salman Rushdie à fini par se rétracter (le courage nétant pas la vertu première de l'auteur du roman « Les versets sataniques » qui fut, lui aussi, condamné à mort pour outrage à lislam), Taslima Nasreen persiste et signe malgré les très graves menaces qui pèsent sur elle.
Plus loin, Taslima Nasreen accuse clairement Mahomet de pédophilie en le désignant comme un «abuseur denfant ». Cest évident mais les musulmans refusent habituellement dadmettre cette réalité. Et à propos des « fondamentalistes » et autres « musulmans radicaux », la gynécologue devenue écrivain indique bien quils nexistent que parce que le coran existe et est considéré comme émanant de dieu, donc intangible pour les temps passés et à venir. Et elle ajoute : « En réalité, les fondamentalistes peuvent justifier leurs crimes du seul fait que ce texte est considéré comme saint ». Cest bien ce que nous avons démontré et affirmé : le coran permet à tous les cinglés de la terre de commettre des crimes contres les individus et contre lhumanité en se retranchant derrière ce livre imbécile. Cest pour cette raison que nous considérons comme incompréhensible lattitude des autorités qui tolèrent la vente, la diffusion et lenseignement dun ouvrage explicitement criminogène et de tous les ouvrages qui en découlent (114).
Et lorsque la journaliste de LExpress demande à Taslima Nasreen si elle na pas peur de dénoncer aussi vigoureusement la religion musulmane, elle répond simplement : « Pourquoi aurais-je peur, puisque je dis la vérité ? Même au Bengladesh, je parlais de cette manière et je navais pas peur. Le coran ne dit rien sur la vérité du monde. Il ne permet pas la mise en uvre des droits de lhomme, de la démocratie, de la liberté dexpression. Il est plein didées fausses sur lunivers » . Le courage de Taslima Nasreen est le courage simple de ceux qui savent quils disent la vérité. Cest le courage dont parle Jean Jaurès dans son « Discours à la jeunesse ». Cest le nôtre.
Nous avons cru bon de faire état de lopinion de Taslima Nasreen pour terminer ce chapitre consacré aux « conclusions » découlant de l'étude historique et géo-politique du coran et de l'islam. Car cest lopinion dune femme qui a vécu le problème de lintérieur, qui a souffert personnellement et qui fut la confidente dun grand nombre de femmes soumises à la dictature dun coran dont elle admet quil némane pas de dieu mais dun simple mortel qui a voulu imposer « sa » loi en se servant de lalibi divin. Le dernier mot revient ainsi à une victime du coran parlant au nom dautre victimes.
Et ce nest que justice.
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