Comprendre l'islam. Mots clés
Comprendre l'islam. Mots clés, recto Comprendre l'islam. Mots clés, verso

"Comprendre l'islam. Mots clés" a été publié par Quentin Ludwig en 2004 aux éditions Eyrolles.
ISBN 2-7081-3510-4

Ce livre est un des plus beaux exemples de ce qui se fait de mieux en matière de manipulation, d'a-priori, de mensonge par omission, et parfois aussi de mensonge tout court.
A ce titre, il devrait servir de modèle dans les écoles de propagande musulmane ou de livre de chevet pour les journalistes qui ne connaissent rien à l'islam mais qui ont pour ordre de donner de cette religion une image «pacifique et tolérante».
A la suite du sommaire çi-dessous, nous analysons quelques exemples significatifs. En fait, l'immense majorité des chapitres sont littérallement truffés, essentiellement, de manipulations et de mensonges par ommission. Les citer tous reviendrait quasiment à recopier plus de la moitié de l'ouvrage et les analyser équivaudrait à réécrire un autre livre.
Globalement, on peut estimer que cet ouvrage comporte 50% d'informations exactes, les 50% restant se distribuant sur une échelle allant de « entièrement faux » à « en partie vrai »
Les éditions Eyrolles publient essentiellement des livres techniques et scientifiques. Il est absolument évident que cet ouvrage a été « pondu » à la hâte dans le seul but de « faire du fric » sur un sujet « à la mode ». Aucune relecture digne de ce nom n'a été effectuée, à moins que ce ne soit seulement par des propagandistes musulmans ou des ignorants. Il s'agit là d'un exemple tout à fait significatif d'une dérive mercantile d'un éditeur par ailleurs d'un excellent niveau dans son domaine de compétence, qui n'est certes pas celui de l'irrationnel, de la superstition ni de la religion.
 Mesdemoiselles, mesdames et messieurs des éditions Eyrolles, nous vous décernons le carton rouge à cinq croissants verts des collabos de l'islam par incompétence. 

Sommaire
Introduction.................................. 7
Mots-clés.................................... 13
L'abattage rituel............................ 14
Abraham...................................... 16
L'abrogation ................................ 18
Les aliments et les interdits alimentaires... 20
L'apostasie.................................. 24
L'arabe (langue et écriture)................. 26
L'Arabie préislamique........................ 32
Les arts islamiques et l'image .............. 38
L'associationnisme .......................... 42
Les banques islamiques....................... 44
Le calendrier................................ 48
Le calife ................................... 50
La charia (ou sharia) ....................... 52
Le chiisme .................................. 58
Le christianisme et l'islam ................. 66
Les confréries (tarîqa) ..................... 74
Le Coran .................................... 78
Les dhimmis.................................. 86
Les dogmes .............;.................... 88
Les dynasties de l'Islam .................... 90
Les écoles juridiques........................ 94
L'esclavage.................................. 98
La femme en Islam .......................... 100
Les hadîths ................................ 106
L'ijtihâd .................................. 100
L'imâm ..................................... 112
L'islam de France........................... 114
L'islamisme ................................ 116
Le jihâd ou djihâd ......................... 120
Les juifs................................... 122
Le kâlam ou la théologie de l'islam ........ 124
Khadîja : la première épouse du Prophète ... 127
Les lieux saints de l'Islam ................ 128
Mahomet..................................... 132
La mosquée (masjid)......................... 144
Les noms de personnes ...................... 148
Les pèlerinages............................. 152
Les Piliers de la religion islamique ....... 156
Les prières................................. 158
Les prophètes .............................. 162
Le Ramadan ................................. 166
Les schismes................................ 170
La sexualité................................ 174
Le soufisme................................. 178
Les sourates ............................... 182
La Sunna.................................... 184
Le sunnisme................................. 188
Les symboles et objets du culte musulman ... 190
La umma ou communauté des croyants.......... 198
Les versets sataniques ..................... 200
le voile ................................... 202
Annexes..................................... 207
Table chronologique ........................ 207
Bibliographie............................... 209
Notes....................................... 212
Index ...................................... 215
Table des matières ......................... 221

Analyse de quelques mensonges et manipulations que l'on trouve à profusion au fil des chapitres :

Introduction
« La différence d'opinion au sein de mon peuple est un signe de la générosité de Dieu. » (Coran)
(page 9)
Pure invention ! Cet extrait, qui constitue la première phrase du premier chapitre, est cité comme étant un verset du Coran. C'est un mensonge, ce verset ne vient pas du coran, il vient... de l'imagination de l'auteur ! Pour qui connait un tant soit peu le coran, il est évident que cet extrait n'est pas du tout dans le ton de ce livre, d'une part, et d'autre part on constate que l'auteur ne donne ni la référence du chapitre (sourate) d'où proviendrait ce verset, ni bien entendu le numéro de ce verset dans la sourate. On constatera pourtant que pour TOUS les versets du coran cités dans ce livre (le plus souvent à la fin des chapitres) les références de ces versets sont effectivement données. Pour TOUS les versets... SAUF celui donné au tout début de l'introduction, verset qui, comme par hasard, résume le CONTRAIRE de ce que prône le coran.
Il s'agit là d'un mensonge patent forgé dans le dessein de manipuler le lecteur afin de lui donner d'emblée une bonne image de l'islam, une image de religion tolérante, ce qui est une image certes politiquement correcte mais qui a un "léger" inconvénient : c'est une image entièrement FAUSSE !
On notera d'ailleurs que les versets cités en fin des différents chapitres, pour illustrer les notions exposées dans ces chapitres, ont toujours été soigneusement sélectionnés parmi les versets les plus consensuels relatifs au sujet du chapitre tandis que les versets les plus violents, intolérants, agressifs etc..., et qui expriment exactement le contraire de ceux qui ont été choisis pour illustration, sont eux systématiquement passés sous silence, ce qui constitue un mensonge par omission délibéré et continue tout au long du livre.
Il est particulièrement représentatif de constater que l'auteur a choisi de recourir au mensonge et à la falsification d'entrée de jeu et qu'il a été incapable de trouver, dans les plus de six mille versets du coran, un verset qui exprimerait peu ou prou ce qu'il a essayé d'exprimer avec ce verset totalement inventé. Cela en dit long sur le contenu du coran, la mahonnêteté de l'auteur et l'incompétence de comité de lecture de l'éditeur.
Nous ne possédons pas la version du coran utilisée par l'auteur (traduction de R. Balchère, Maisonneuve et Larose, Paris, 1999). Si vous la possédez, nous vous invitons à rechercher le verset incriminé et à nous donner ses références ainsi que le contenu des versets qui l'encadrent. Nous sommes bien tranquilles que vous allez perdre votre temps et que vous ne trouverez rien.
Si vous ne disposez pas de cette version, nous vous invitons à une petite expérience édifiante : rechercher le mot « opinion » à l'aide de votre traitement de texte habituel dans les versions "texte brut" des différentes traductions du coran disponibles sur ce site : kasimirski, Hamidullah et Chouraqui... Vous constaterez à quel point la notion "opinion" est utilisée dans le coran pour exprimer exactement l'opposé d'un quelconque "signe de la générosité de Dieu". Nous vous suggérons de commencer votre recherche du mot "opinion" dans la version Hamidullah qui est la version du coran préconisée par les musulmans francophones (tandis qu'ils crachent sur la version de kasimirski) : vous allez être si surpris du résultat de la recherche effectuée par votre logiciel de traitement de texte que vous allez probablement penser que votre ordinateur a un problème. Essayez : L'expérience en vaut réellement la peine...
D'une manière plus générale, vous pouvez constater que pour simplement analyser la première phrase de ce livre (17 mots...), il a fallu déjà écrire plusieurs paragraphes : cela vous donne une idée de l'extraordinaire « richesse » de ce livre !


L'homme occidental (même cultivé et bien informé) n'a jamais ouvert le Coran (d'ailleurs qu'irait-il y lire sans une formation préalable ?)
(page 9)
Il ne sert à rien de lire le Coran sans une bonne préparation. Sans quoi l'ouvrage est difficilement compréhensible. L'idéal étant donc de commencer par la lecture d'une introduction au coran.
(page 82)
Manipulation ! L'auteur tente ici de faire croire que l'on ne peut pas comprendre le coran sans une « formation » ou une « introduction » préalable. C'est FAUX ! Il suffit de savoir LIRE pour lire le coran. Pas besoin de la moindre « formation » ou « introduction », qui sera le plus souvent une « déformation » du genre de celles proposées par les soi-disant « écoles coraniques ». L'auteur tente ici ouvertement de dissuader le lecteur d'aller lire le coran dans le seul but d'empécher celui-çi de se faire sa propre opinion indépendante. Car l'auteur sait parfaitement qu'en lisant le coran on tombe sur des passages d'appel au meurtre des non-musulmans, d'intolérance, de sexisme, d'incitation à la haine des juifs, de discrimination etc... toutes choses « politiquement incorrectes » que l'auteur va s'évertuer à cacher au fil des chapitres qui vont suivre.
Le coran n'est pas « difficilement compréhensible ». Quand on lit le coran, il est tout au contraire facile de comprendre que c'est un livre contradictoire, agressif, violent, intolérant, c'est à dire un livre à l'image de la personnalité et de l'histoire de son auteur, Mahomet.


A bien lire le coran, l'inégalité homme/femme n'est pas aussi évidente qu'il y parait (pour ne prendre qu'un exemple, si la femme reçoit toujours une plus faible part d'un héritage, c'est parce qu'elle ne doit jamais - théoriquement - subvenir à l'entretien de la famille)
(page 9)
Mensonge et manipulation ! Il suffit de lire le coran et l'on tombe sur le verset suivant :
Les hommes sont supérieurs aux femmes en raison des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au-dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises ; elles conservent soigneusement pendant l'absence de leurs maris ce que Dieu a ordonné de conserver intact. Vous réprimanderez celles dont vous aurez à craindre l'inobéissance ; vous les reléguerez dans des lits à part, vous les battrez ; mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand. (SOURATE IV (4) LES FEMMES, verset 38)
Dans le coran, l'infériorité de la femme est inhérente à sa nature, Allah Legrand en a décidé ainsi. Point. Et la femme reçoit des parts moindres lors de l'héritage parce que Allah Legrand en a aussi décidé ainsi. Point final.


la « vraie » guerre sainte est celle que l'individu doit mener contre lui-même.
(page 9)

Mensonge ! Mensonge tellement grossier que l'adjectif vraie est mis entre guillements par l'auteur lui-même ! Un terme a un vrai sens ou un faux sens, il ne peut pas avoir un « vrai » sens. Une telle contorsion d'écriture est typique du double langage arabo-musulman. Pourquoi l'auteur n'a-t-il pas écrit tout simplement : la vraie guerre sainte est celle que l'individu doit mener contre lui-même. Réponse : parce que cela aurait été un mensonge flagrant vu que le terme de guerre sainte a un double sens : un sens peu mis en pratique et peu codifié, dont le coran ne parle quasiment pas (combat philosophique contre soi) et un sens énormément mis en pratique et bien codifié, dont le coran parle en permanence (combat militaire contre les non-musulmans). En mettant le mot vraie entre guillements, l'auteur peut toujours affirmer qu'il ne ment pas puisque le terme est entre guillemnt et ne doit pas être pris au sens de "véritable". Cela est subtil mais c'est à ce genre de subtilité que l'on reconnait les Arabo-musulmans et leurs sbires lêche-babouches.
Qui plus est, l'auteur se contredit lui-même, sur le modèle du coran, page 120 :
[le Jihâd] désigne « l'effort de guerre » devant être entrepris contre les infidèles (kâfirs) pour étendre les territoires islamisés. Cette extension des territoires islamisés est prévue par le coran et la guerre est donc légale.
Puis l'auteur utilise la tactique de la fausse dépréciation pour tenter de faire croire que la guerre sainte n'est pas une notion importante dans l'islam :
Cette « guerre légale » est appelée par l'islam le jihâd mineur (ou « jihâd des corps ». Ce jihâd est bien moins important que le jihâd majeur ou « jihâd des âmes », lequel est un combat contre soi-même, contre ses passions. Lorsqu'il parle de jihâd, Mahomet fait souvent référence au jihâd majeur
Nous vous suggérons de lire le coran et de faire la comparaison entre le nombre de fois où Mahomet parle de « combat contre soi » et le nombre de fois où Mahomet parle de « combat contre les autres » : vous constaterez que vous aurez bien du mal à trouver les passages de « combat contre soi » tandis que vous serez rapidement écoeuré par la multiplicité des passages appelant au « combat contre les autres », d'autant que si vous n'êtes pas musulman, les autres c'est... VOUS !
Enfin, l'auteur utilise la technique du retournement de l'accusation afin de faire passer Mahomet pour... une malheureuse victime obligée de faire la guerre par les méchants non-musulmans :
on notera également qu'avant l'hégire (l'expatriation de Mahomet), seul le jihâd majeur (jihâd des âmes existait ; le jihâd mineur étant né d'une exigence guerrière.
C'est faux ! Mahomet a fui La Mecque parce que ses prétentions à devenir le grand chef sur la base de ses hallucinations commençait à tellement faire suer ses compatriotes qu'ils avaient fini par arriver à la conclusion que pour le bien de tous il était préférable de trucider l'halluciné. A La Mecque, Mahomet n'avait tout simplement PAS les moyens d'être violent car il était en minorité. Il ne préchait pas le « combat contre soi », il préchait la soumission à son autorité. Il suffit de lire la sourate 111, qui est une des premières de la période Mecquoise, pour constater que Mahomet n'appelle pas au combat contre soi mais prône la violence et la vengeance vis à vis de ceux qui refusent son autorité. Une fois à Médine, Mahomet n'a pas été obligé de faire la guerre, il a délibérement CHOISI de faire la guerre, en attaquant les caravanes mecquoise, dans le seul but de se venger du fait que les sages mecquois ne voulaient pas d'un danger public comme lui parmi eux, et surtout pas pour dirigeant.


De nombreux concepts musulmans, ainsi extraits de leur contexte, ne signifient plus rien. [...] Comment traitait-on, au VIIème siècle les femmes dans nos campagnes ?
(page 9)

Manipulation ! Les concepts musulmans du XXIème siècle ont exactement la même signification qu'ils avaient au VIIème siècle, et c'est bien là le problème car nous ne sommes plus au VIIème siècle. En occident on ne traite plus les femmes comme au VIIème siècle et de plus, même au VIIème siècle l'esclavage en Occident n'était pas une composante de la civilisation, même si le sort de certaines y était peu enviable. Inversement, du fait qu'il est mentionné par le coran, et à de nombreuses reprises, l'esclavage a toujours été une composante de l'islam. L'auteur utilise ici une technique bien connue des musulmans, le retournement de l'accusation, mais si l'on reformule en langage clair ce qui est écrit, l'absurdité du raisonnement apparait dans toute sa splendeur : "au XXIème siècle l'islam traite les femmes au moins aussi bien que les Occidentaux les traitaient au VIIème siècle, donc les Occidentaux n'ont pas de raison de se plaindre".


Nous arrêtons là notre analyse de cette première page, mais il faut savoir que quasiment TOUTES les phrases auraient pu faire l'objet de critiques semblables à celles que nous avons developpées. Et il ne s'agit là que de la première page d'un ouvrage qui en comporte plus de... 200 ! Doublez le volume de l'analyse de cette première page, multipliez par 50% de 200, c'est à dire 100, et vous aurez le volume de commentaires nécessaires à rectifier la prodigieuse accumulation de manipulations et de mensonges contenus dans ce livre.
Nous n'irons pas jusque là, le lecteur qui aura parcouru le présent site internet pourra faire ces commentaires lui-même. Nous allons toutefois donner quelques autres exemples, piochés de çi de là, car nous ne pouvons pas nous contenter d'affirmer que tout ce livre est un chef d'oeuvre de double langage sans apporter un peu plus de preuves que l'analyse de quelques lignes d'une seule page, même s'il s'agit de la première.


[les musulmans] récitent le coran en langue arabe « pure »
(page 12)

Mensonge ! Mensonge tellement grossier que l'adjectif pur est mis entre guillemets par l'auteur lui-même ! Une telle contorsion d'écriture est typique du double langage arabo-musulman. Pourquoi l'auteur n'a-t-il pas écrit tout simplement : [les musulmans] récitent le coran en langue arabe pure. Réponse : parce que cela aurait été un mensonge flagrant vu que l'arabe du coran est un arabe... archaïque. Pire qu'une langue morte : une langue morte toujours utilisée dans le cadre d'une religion (dont dérivent aussi les systèmes politique, militaire, juridique etc..) mais dont le sens de certains mots a été ni plus ni moins que perdu au fil des siècles ! Vous avouerez qu'écrire que le coran utilise un langage archaïque ne serait pas très flatteur pour l'islam. En mettant le mot pur entre guillements, l'auteur peut toujours affirmer qu'il ne ment pas puisque le terme est entre guillemets et ne doit pas être pris au sens de "exempt de termes incompréhensibles". Cela est subtil mais c'est à ce genre de subtilité que l'on reconnait les Arabo-musulmans et leurs sbires lêche-babouches.


Islamisme : jusqu'à ces dernières années, ce terme désignait l'étude de la civilisation musulmane.
(page 12)

Mensonge ! Le terme Islamisme a TOUJOURS désigné la religion musulmane elle-même, parfois les pays pratiquant l'islam, mais JAMAIS l'étude de la civilisation musulmane. Islamisme a toujours été un parfait synonyme de Islam ou de musulman(s). Il suffit de consulter la définition de ce mot dans le dictionnaire Larousse du début du XXème siècle ou de consulter les définitions du terme Islam dans les dictionnaires des années 50, 60 et du début des années 70 pour s'apercevoir que, contrairement à ce qu'affirme l'auteur, le terme islamisme n'a JAMAIS désigné l'étude de la civilisation musulmane.
Concrètement, ce n'est que depuis le milieu des années 70, c'est à dire depuis que les arabo-musulmans tiennent l'Occident « par les couilles » avec leur pétrole (et l'argent qui en provient leur permettant de mettre en oeuvre l'islam sans que l'occident ne puisse piper mot) que le terme Islamisme est employé pour faire CROIRE que l'islam n'est pas ce qu'il est.
L'utilisation du terme Islamisme pour masquer la réalité de l'islam s'est accrue à la toute fin du XXème siècle sous l'effet d'un autre « serrage des couilles » de l'Occident : la natalité pléthorique des populations d'origine arabo-musulmane immigrées en occident fait que les hommes politiques préfèrent lécher les babouches de ceux qu'ils croient leurs futurs électeurs plutôt que de prendre les mesures nécessaires pour tuer dans l'oeuf la régression sociale que prépare la lente éclosion de futures populations arabo-musulmanes s'apprétant ouvertement à revendiquer voire à imposer par la violence l'application des concepts islamiques et l'abandon progressif des notions de droit de l'homme au bénéfice des lois imbéciles du coran.


l'essentiel de la polémique concernant l'abattage rituel réside dans l'opposition du monde occidental à ce mode d'abattage des animaux
(page 15)

Manipulation ! Non, l'essentiel de la polémique ne vient PAS du monde Occidental. L'essentiel de la polémique vient du monde arabo-musulman qui, en occident, s'oppose à l'application des rêgles sanitaires élémentaires telles que définies pour éviter que n'importe qui fasse n'importe quoi n'importe où et n'importe comment en ce qui concerne l'abattage d'animaux. Nous ne sommes plus une société de bédouins nomades de l'an 600 qui peuvent égorger des moutons n'importe où dans le désert, nous ne sommes pas des Arabes de l'an 1000 qui peuvent égorger des moutons dans la cour de leur kasba et les laisser crever sous les yeux de tous les enfants de la smala, nous ne sommes pas des Perses de l'an 1200, nous ne sommes pas des turcs du 19ème siècle ni même des Afghans ou des Pakistanais des zones tribales de la fin du XXème siècle.
Nous sommes des Occidentaux du XXIème siècle et nous ne voulons pas que des arabo-musulmans massacrent des animaux en toute anarchie, dans des conditions sanitaires déplorables, se fassent refiler des animaux malades car ils n'ont pas les moyens vétérinaires de les contrôler, filent à bouffer des cochonneries à toute leur famille (que nous devrons soigner par la suite...) et bazardent les os et la peau des animaux massacrés dans les bennes à ordure avec pour résultat d'empuantir et d'attirer la vermine.
L'auteur utilise ici une technique bien connue des musulmans, le retournemant de l'accusation : dans ce cas, on peut résumer son discours en disant : si les musulmans ne respectent pas les rêglements Occidentaux, c'est la faute des occidentaux qui font des rêglements !
Non, ce n'est pas la faute aux occidentaux si les musulmans veulent s'obstiner à massacrer des animaux n'importe comment : c'est la faute aux musulmans eux-mêmes qui refusent d'appliquer des rêgles élaborées dans le but de ne plus être confrontés à des tas de problèmes dont on connait pourtant les solutions permettant de les éviter.


Rappelons qu'Abraham est enterré à Hébron (en palestine), où son tombeau est vénéré tant par les juifs que par les musulmans
(page 16)

Mensonge et manipulation ! On ne dispose d'aucune preuve historique de l'existence d'Abraham, et il n'est certes pas enterré à Hébron puisqu'il n'a peut-être jamais existé. Il y a à Hébron l'un des nombreux tombeaux supposés du personnage biblique dénommé Abraham, qui a peut-être existé mais dont il n'existe strictement AUCUNE trace historique en dehors de la Bible, qui n'est PAS un document historique, mais un simple recueil d'histoires dont on a démontré que certaines sont historiques tandis que d'autres sont totalement inventées.
A la façon dont la phrase est rédigée, on dirait qu'il n'y a aucun doute sur l'existence d'Abraham et que si l'on va à Hébron on va pouvoir éventuellement sortir le cadavre d'Abraham de son tombeau à la manière de la momie de Ramsès II pour une analyse ADN ou un scanner ! Ceci donne l'impression, totalement fausse, que le coran, qui parle d'Abraham, repose effectivement sur des bases historiques et sur l'histoire d'un personnage réel, ce qui n'est en fait qu'un a priori sans fondement historique, et plus simplement, jusqu'à preuve du contraire, un emprunt de Mahomet à la bible des juifs pour légitimer sa religion.
L'affirmation que ce tombeau est vénéré tant par les juifs que par les musulmans n'est là que pour légitimer à nouveau l'islam : c'est un procédé manipulatoire grossier du genre "si les juifs y croient, c'est que c'est vrai, donc si les musulmans y croient aussi c'est que le coran est vrai". Désolé, mais les juifs croient quelque chose qui n'a jamais été prouvé donc ceux qui croient la même chose... croient uniquement quelque chose qui n'a jamais été prouvé. Point.


Cet édifice cubique de 15 mètres de côté [la Kaa'ba] a été choisi par Mahomet pour devenir le lieu vers lequel se tournent les musulmans (pour la prière, pour le pèlerinage, pour l'abattage des animaux, etc...)
(page 16)
ce n'est que par la suite [...] que Mahomet décida que dorénavant la direction (qibla) de la prière serait celle de La Mecque
(page 17)

Double lapsus révélateur ! Voici le verset du coran qui établi que les musulmans doivent se tourner vers La Mecque :
Nous t'avons vu tourner incertain ton visage de tous les côtés du ciel ; nous voulons que tu le tournes dorénavant vers une région dans laquelle tu te complairas. Toume-le donc vers la plage de l'oratoire sacré. En quelque lieu que vous soyez, tournez-vous vers cette plage. Ceux qui ont reçu les Ecritures savent que c'est la vérité qui vient du Seigneur, et Dieu n'est point inattentif à leurs actions. (SOURATE II (2), LA GENISSE, verset 139)
On voit clairement que, selon le coran, ce n'est pas Mahomet qui parle , c'est Allah.
Oui mais voilà, à force d'essayer de masquer la réalité par des demi-mensonges, l'auteur fini par se perdre lui-même dans ses propres contradictions et son véritable opinion apparaît ici : Dans le coran, ce sont les décisions de Mahomet qui sont exprimées, et non celles d'un quelconque Allah Legrand.
Toutes les manipulations et les mensonges accumulés dans les pages précédentes (sans compter les suivantes) prennent leurs sens avec ce lapsus qui montre que l'auteur est soit parfaitement incompétent (il ne connait pas le coran) soit parfaitement hypocrite (il connait le coran, pense que c'est Mahomet l'auteur mais veut faire croire le contraire...).


Les chapitres (ou sourates) sont rangés selon leur longueur. personne ne peut expliquer ce qui a présidé à ce choix
(page 17)
Le Coran n'est pas chonologique. Personne ne peut, à l'heure actuelle, expliquer cette disposition particulière des versets.
(page 82)

Mensonge ! L'explication est parfaitement connue, mais la donner obligerait l'auteur à parler des soi-disant « écoles coraniques », et cela, l'auteur n'y tient surtout pas ! Donc, exit l'explication. En fait, on sait parfaitement pourquoi les sourates sont rangées selon leur longueur : c'est pour faciliter l'apprentissage par coeur du coran dans les soi-disant « écoles coraniques ».
On constatera à l'occasion de ce mensonge que les « écoles coraniques » ne font pas partie du sommaire, ce qui confirme la volonté délibérée de mentir (ou alors l'auteur est complètement incompétent). Les « écoles coraniques » sont une des clés de la propagation de l'islam, mais révéler leur fonctionnement pourrait nuire à la future implantation de ces centres de lavage de cerveaux. Donc motus et bouche cousue, quitte à mentir éhontément pour ne surtout même pas faire allusion au fait que l'enseignement du coran se fait sur la base de l'apprentissage par coeur.


La loi (charia) est très stricte sur les preuves à fournir ; rendant ainsi l'application de ces peines [fouet, amputation, mort] quasi impossible.
(pages 25)
La mort pour une nuit d'amour, une main coupée pour une pomme volée, des coups de fouets pou deux fois rien. [...] est-ce fréquent dans le croit musulman ? la réponse est non. En efet, le droit pénal coranique prévoit des preuve très difficiles à obtenir.
(pages 53)

Mensonge ! La loi sur les preuves à fournir est on ne peut plus laxiste puisqu'il n'y a PAS besoin de fournir de preuves ! Il suffit de consulter le coran à ce sujet :
Ceux qui accuseront leurs femmes et qui n'auront d'autres témoins à produire qu'eux-mêmes jureront quatre fois devant Dieu qu'ils disent la vérité, (sourate XXIV (24), verset 6).
Est-il vraiment difficile de prouver le vol d'une pomme quand le voleur est pris en flagrant délit sur un marché ? Non, au contraire, il n'y a rien de plus simple. Et c'est une main en moins pour le voleur.
Quand on sait que c'est la mort qui attend une femme accusée d'adultère, estimer que "jurer quatre fois devant Dieu que l'on dit la vérité" constitue une loi très stricte sur les preuves à founir, c'est être un sale menteur. Ou le dernier des imbéciles ignorant en matière d'islam.
Affirmer que l'application de ces peines est quasi-impossible, c'est être souverainement ignorant, ou alors un pervers qui se délecte en méprisant la réalité de toutes ces femmes et ces hommes, fouettés, amputés ou tués à coups de cailloux pour trois fois rien dans tous les pays islamiques.
Dire que l'application de la charia n'est pas fréquente dans le monde musulman est un encore plus gros mensonge, si c'est possible : ce qui n'est pas fréquent, c'est que les journalistes européens parlent des victimes de l'application de la charia ! Et si dans certains pays musulmans, cela est effectivement rare, cela signifie d'abord que cela EXISTE, ce qui est déjà une insulte au fait que nous soyons au XXIème siècle, et cela signifie SURTOUT que ce pays musulman est principalement une DICTATURE pro-occidentale qui a mis en sommeil les délires coraniques de la populace pour tâcher de suivre, tant que faire se peut, les (lents...) progrès de la civilisation que le coran et l'islam entravent maladivement depuis maintenant un bon millénaire.
Il faut noter que les positions de l'auteur en ce qui concerne la charia, les coups de fouet, les mutilations et les condamnation à mort par caillassage (lapidation) sont exactement celles de Hani Ramadan, petit fils du fondateur de la confrérie des frères musulmans, et qui dirige, avec son frère, le très médiatisé Tarik Ramadan, le centre islamique de Genève.


Dans l'introduction de son cours de langue arabe (Paris, 1846), J.F. Bled de Braine écrit : l'arabe « est une des langues vivantes les plus faciles à apprendre, les plus simple à écrire, les plus aisées à prononcer [...] peut être apprise sans maître, et avec plus de succès que dans l'étude de l'italien »
(pages 26)

Mensonge, mensonge et re-mensonge ! L'arabe, une des langues les plus simples à écrire, vraiment ?
Vous connaissez l'alphabet latin à 25 lettres. L'alphabet arabe en comporte trois de plus, soit 28.
Et ces lettres s'écrivent différemment selon qu'elles soient au début, à la fin ou à l'intérieur d'un mot. Et si elles sont isolées, elles s'écrivent encore différemment. Au total cela nous fait donc 28 x 4 soit 112 symboles différents ! On est loin des différences entre les é, è, ë ou ê du français, sans parler de l'anglais qui pour sa part ne comporte pas d'accent.
L'arabe, une des langues les plus aisées à prononcer, vraiment ?
Ecoutez donc quelques phrases en arabe, en l'occurrence la sourate 95 du coran...
A votre avis, l'arabe est-il vraiment plus facile à écrire, à prononcer et à apprendre que l'italien ?!
Il faut aussi remarquer que l'avis du sieur J.F. Bled de Braine date de... 1846, oui, vous avez bien lu :mille huit cent quarante six ! Plus de 150 ans en arrière, plus d'un siècle et demi en arrière ! La conclusion s'impose : depuis plus d'un siècle et demi, personne, absolument personne, n'a émis un jugement aussi favorable sur la langue arabe. Il faut croire donc que depuis un siècle et demi, soit il n'y a eu que des imbéciles pour apprendre l'arabe, soit cet ancien jugement est complètement dépassé, ou peut-être était-il déjà loufoque à son époque. Comme le coran.


kitab = le livre
(pages 29)

un livre (un kitab) renfermait ces commandements divins [la bible des juifs]
(pages 37)

Sachant de plus que la première sourate du coran s'intitule Fatiha al kitab, à votre avis comment se dit "livre" en arabe ?
Réponse de l'auteur : les arabes utlisent le mot mushaf, qui désigne un livre
(page 78)

C'est ce qui s'appelle une bonne vieille contradiction. Comme dans ce bon vieux (ou plutôt ce mauvais vieux) coran.


Le coran est la référence de la langue arabe, comme, dans une certaine mesure, Dante est la référence de la langue Italienne et pouchkine la référence de la langue russe : ce sont des monuments littéraires sur lesquels la langue s'est construite.
(page 30)

Bémol : Dante n'est pas la SEULE référence de la langue italienne alors que le coran est la SEULE référence de la langue arabe. L'italien existait bien avant Dante, d'autres auteurs ont écrit avant lui et après lui, l'Italien est une évolution d'une langue (le latin), qui contenait voyelles et consonnes, l'italien n'est ABSOLUMENT PAS une langue qui s'est construite à partir de la prose de Dante, ni dans "une certaine mesure" ni dans une autre ! Idem pour Pouchkine et le russe.
L'auteur tente ici de faire croire qu'il y a des points communs entre la façon dont le coran a influencé la langue arabe et la façon dont les auteurs classiques ont influencé les langues Occidentales. C'est entièrement faux. Le coran, et lui seul, a créé la langue arabe écrite, et quasiment toute la littérature arabo-musulmane découle du coran.
A l'opposé, aucun texte unique n'a créé aucune des langues occidentales et aucun texte unique n'a engendré toute la littérature Occidentale. Les langues et la littérature Occidentales ont des racines qui se perdent dans la nuit des temps, qui ont pour source l'imaginaire des populations, la variété des contributions d'une multitude d'auteurs. Langues et littératures européennes sont TOTALEMENT en opposition avec la langue et la littérature arabo-musulmane qui n'ont qu'une seule et unique source, le coran, issu d'un seul auteur, Mahomet, inspiré d'un seul thème, la dictature théocratique. (Il y a des exceptions, bien entendu, par exemple les contes des milles et une nuits, mais ces derniers sont principalement une compilation d'histoires venant de populations qui n'étaient pas musulmanes : Perse, Chine etc...).
En réalité, il n'y a rien de plus opposé que la littérature Occidentale et la littérature arabo-musulmane : à la diversité de l'inspiration Occidentale s'oppose l'incroyable pauvreté, à quelques anciennes exceptions près, de la littérature arabo-musulmane soumise au misérable carcan du coran et de l'islam.


La loi du talion (« oeil pour oeil, dent pour dent ») [...] est une disposition d'amour et non de haine
(page 32)

Mensonge ! La loi du Talion est l'exemple même d'une loi archaïque basée sur la violence. La notion de responsabilité en est totalement absente. Que vous creviez l'oeil de quelqu'un par accident ou volontairement, la punition est la même. La loi du Talion est peut être une disposition d'amour pour les arabo-musulmans mais certainement pas pour les Occidentaux, et autant le dire franchement : l'amour inspiré du Talion, l'Occident le laisse bien volontier aux arabo-musulmans.
Comme le coran.


Apparu très tôt dans sa maturité [...], sans aucune période intermédiaire, l'art islamique (tout comme l'extraordinaire expansion de l'islam) constitue une des énigmes de cette civilisation.
(page 38)

Mensonge, mensonge ! En premier lieu, l'art islamique n'est pas "apparu" : l'art islamique n'est que celui de la mosaïque, c'est à dire l'art des pavages, que ce soit sur le sol ou les murs.
L'art de la mosaïque est né en Grèce, s'est répandu sur tout le pourtour de la méditerranée par l'intermédiaire des Romains et a été développé par les Byzantins. Ce n'est qu'après avoir écrasé militairement l'empire Byzantin que les musulmans ont utilisé cet art. Ils l'ont à leur tour perfectionné pour l'amener à son plus haut point en Andalousie puis au Maroc.
L'art islamique n'est absolument pas une énigme (sauf pour les ignorants ou les propagandistes) : il a été mûri par plusieurs civilisations et les musulmans se sont contentés d'en récolter les fruits. Tout comme Mahomet a récupéré des morceaux de la Bible pour pondre son coran, tout comme les mathématiciens arabo-musulmans ont récupéré les chiffres indiens (que l'on appelle maintenant "arabes") pour développer le calcul, les artistes ont récupéré l'art de la mosaïque chez les Byzantins car c'était le seul art non figuratif exploitable du fait que l'islam interdit les images figuratives.
Si, à partir de l'emprunt fait à Byzance, il n'y a pas eu de périodes intermédiaires, cela provient de l'obligatoire complexité découlant de la simplicité des principes de base des méthodes géométriques de pavage. Le pavage ne connait que les additions de formes géométriques simples : triangle, carré, pentagone, hexagone, octogone etc..., toutes figures qui s'obtiennent avec une équerre et un compas, figures dont les traits peuvent se superposer selon deux modes uniquement (dessus / dessous) et qui peuvent avoir une plus ou moins grande épaisseur, différentes couleurs, voire représenter non plus de simples bandes mais des fleurs, des branches, des fruits stylisés. Si les possibilités de composition sont infinies et le résultat complexe à l'oeil, la technique de base n'est pas aussi sophistiquée qu'il y parait.
En fait, l'art islamique ne peut être QUE complexe, par addition obligatoire d'un grand nombre de figures simples, car sinon... il n'y aurait que de bêtes figures géométriques sans attrait esthétique aucun !
Il n'y a donc aucune mystère à la maturité immédiate de l'art islamique : quand on copie, on copie forcément directement les meilleurs résultats, pas les essais ratés, et ces résultats ne peuvent être autrement que complexes, par conception, tout comme un carré a forcément quatre côtés, par conception.
Si les artisans arabo-musulmans ont poussé à ce point la complexité, ce n'est nullement le reflet d'un quelconque génie insuflé par l'islam, mais bien par défoulement, contraints et forcés qu'ils étaient de canaliser leur talent dans rien d'autre que des figures géométriques sous peine... de mort ! Pour voir les artisans musulmans atteindre leur maturité sans période intermédiaire, rien n'a été en effet nécessaire de plus qu'une bonne menace de mort islamique, pacifique et tolérante, interdisant les images figuratives.
Question subsidiaire : Vous connaissez Rembrant, Toulouse Lautrec, Picasso. Citez un peintre musulman célèbre.
Question piège : vous connaissez Le Penseur de Rodin, Le David de Michel Ange. Citez un sculpteur musulman célèbre.
Question de repéchage : vous connaissez Bach, Mozart, Beethoven. Citez un musicien musulman célèbre.
En ce qui concerne l'extraordinaire expansion de l'islam, elle n'est un mystère que pour les ignorants, ou les faux ignorants qui écrivent des bouquins pour lécher les babouches des musulmans. L'expansion de l'islam est due à la combinaison de deux facteurs : la violence et l'esprit de conquète inhérents au coran et à Mahomet, la décadence dans les empires frontaliers de l'arabie auxquels les arabo-musulmans se sont attaqués. Quant ils se sont frottés aux Francs, dont la civilisation n'était pas atteinte d'une décadente mollessse, les arabo-musulmans ont pris la pâtée à Poitier, et depuis, ils l'ont encore sur l'estomac.


Concernant la polygamie, le Coran la restreint à quatre épouses
(page 57)

Mensonge par omission! Voici exactement ce que dit le coran :
Si vous craignez d'être injustes envers les orphelins, n'épousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu. Si vous craignez encore d'être injustes, n'en épousez qu'une seule ou une esclave. (SOURATE IV (4) LES FEMMES, verset 3)
Donc les musulmans qui ne craignent pas d'être injustes envers les orphelins peuvent épouser plus de quatre femmes. La seule restriction est l'exemple de Mahomet. Mahomet eut bien plus de quatre femmes à la fois (au total il en eut quatorze), mais dont quatre femmes libres, les autres étant des esclaves. L'exemple de Mahomet étant le modèle qui sert à clarifier le Coran (puisque Mahomet, selon les musulmans, est parfait par essence) un musulman peut avoir au maximum quatre femmes libres et autant de femmes esclaves qu'il le souhaite (mais pas plus que Mahomet). L'esclavage n'étant plus actuellement possible, au grand regret de certains (sauf dans certaines parties de pays islamiques particulièrement obscurantistes, tels le Soudan), les musulmans ne peuvent plus avoir que quatre femmes au maximum. Le nombre de quatre n'est PAS un précepte du Coran comme tente de le faire croire l'auteur : le nombre de quatre est une RESTRICTION imposée au monde arabo-musulman par l'Occident qui a aboli l'esclavage.


comme chez les chrétiens, on peut rencontrer, lors des pèlerinages, des groupes de flagellants
(page 61)

Manipulation ! L'auteur tente de faire croire que les pratiques d'auto-mutilation sont identiques chez les musulmans et chez les chrétiens, et donc par extension qu'il n'y a pas grande différence entre musulmans et chrétiens. Les rares flagellants (personnes qui se fouettent elles-mêmes) chrétiens se rencontrent lors des processions de la semaine sainte en Espagne, et ils se fouettent plutôt symboliquement et fort mollement, étant de plus habillés d'une robe de bure relativement épaisse qui les protège bien. Les musulmans (chiites) eux se fouettent torse nu jusqu'au sang en récitant des verset du coran pour entrer en transe. Il n'y a rien de comparable entre l'action symbolique des pénitents de la Santa Semana et les excités chiites qui se mutilent collectivement le dos avec des fouets dont les lanières sont bardées de lames de rasoir puis qui barbouillent complaisamment les enfants avec le sang qui coule de leurs blessures !
Rappelons que le vatican condamne régulièrement les Philipins qui se font volontairement crucifier lors des célébrations de la passion du christ.


si la chrétienté médiévale avait su que les musulmans considèrent la thora et l'Evangile comme des écriture révélées et que, selon le message du coran, les Juifs et les chrétiens - en particuliers les prêtres et les moines - doivent être respectés à cause de leur foi, et libres dans leur culte, bien des polémiques théologiques et bien des conflits sanglants auraient pu être évités.
(page 66)

Mensonge et manipulation ! L'auteur utilise ici une technique bien connue des musulmans, le retournement de l'accusation : c'est la faute à l'occident soi-disant ignorant s'il y a eu des conflits avec les musulmans.
Il est vrai que les musulmans considèrent la thora et l'Evangile comme des écriture révélées, mais il considèrent surtout ces écritures PERVERTIES par les chrétiens et les juifs, d'où l'appellation "pervers" qui désigne juifs et chrétiens.
O croyants! ne prenez point pour amis les juifs et les chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour ami finira par leur ressembler, et Dieu ne sera point le guide des pervers. (Sourate V (5), verset 56)
Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son Apôtre ont défendu, et à ceux d'entre les hommes des Ecritures qui ne professent pas la vraie religion. Faites-leur la guerre jusqu'à ce qu'ils payent le tribu de leurs propres mains et qu'ils soient soumis. (SOURATE IX (9), verset 29)

Maintenant que vous savez ce que dit exactement le coran, croyez-vous vraiment que cela aurait évité des conflits ? En fait, c'est tout simplement CE QUE DIT le coran qui provoque des conflits.
Il est FAUX de dire que selon le message du coran, les Juifs et les chrétiens - en particuliers les prêtres et les moines - doivent être respectés.
En fait selon l'islam, Juifs et Chrétiens doivent être rackettés et il doit leur être imposé le statut de dhimmis, c'est à dire le statut de sous-citoyens. C'est un privilège (!) qui leur est accordé (par rapport aux non-chrétiens et non-juifs, à qui l'islam ne propose que la conversion où la mort) parce que Dieu leur a donné les Ecritures. Mais du fait que Juifs et Chrétiens ont perverti le message divin (notamment en supprimant, selon les musulmans, tous les passages annonçant l'arrivée de Mahomet), ils doivent être humiliés.
En ce qui concerne plus particulièrement les moines, il suffit de se reporter à l'affaire de l'assassinat des moines de Tibéhérine pour voir ce que donne concrètement la notion de respect des moines selon l'islam.


« [Les chrétiens] ne devraient-ils pas considérer le coran comme une parole de dieu et mohamed comme l'un de ses envoyés ? »
(page 72)

Absurdité ! Cette déclaration est due à un prètre catholique, le père Michel Lelong. Nous ne sommes pas étonnés que l'auteur cite ce recruteur de l'islam, nous avons déjà eu l'occasion d'analyser certaines déclarations du père Michel Lelong, le spécialiste des affirmations absurdes. Car ce que dit le père Michel Lelong ce n'est ni plus ni moins, une fois traduit en langage coranique, que la chose suivante :
[Les chrétiens] ne devraient-ils pas considérer un livre où il est écrit "ne prenez point pour amis les juifs et les chrétiens" et "Quand vous rencontrez les infidèles, tuez-les jusqu'a en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits." ainsi que "Les mois sacrés expirés tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade", entre autres préceptes, comme une parole de dieu et Mahomet, un bédouin qui a fait massacrer des juifs, baisé une gamine de neuf ans, assassiné des rivaux pour leur piquer leur femme, trahi sa parole, organisé des meutres, avalisé l'esclavage etc... comme l'un des envoyés de Dieu ?
Avouez qu'une fois traduit en langage coranique, la suggestion du père Michel Lelong perd franchement de son intérêt, et la qualification d'islamologue du père Michel Lelong aurait tendance à se muer vers le qualificatif sans doute plus adéquat de "collabo lêche-babouches".


il existe de nombreuses convergences entre les deux religions [l'islam et le christianisme]
(page 72)

Manipulation ! Lorsqu'un élève Untel rend un devoir copié sur son voisin Telautre, on ne dit pas qu'il existe de nombreuses convergences entre les devoirs de Untel et de Telautre, on dit qu'il est évident, en comparant les devoirs, que ce petit con de Untel a copié sur son voisin Telautre, plus doué que lui. On peut dire cela parce que le devoir de ce petit con de Untel reprend des éléments du devoir de son voisin Telautre, mais avec des fautes que son voisin Telautre, lui, n'a pas faites ! C'est exactement le cas pour Mahomet et son coran qui n'est qu'un couscous des doctrines juives pimenté d'éléments pompés aux chrétiens. Kasimirski ne se génait par pour l'écrire, en note de bas de page, dans sa notice biogaphie sur Mahomet en introduction de sa traduction du coran en 1840 :
il suffit de comparer les récits du Koran sur l'histoire des Juifs et de leurs prophètes avec ceux de la Bible, pour se convaincre qu'ils ne viennent pas directement d'un homme versé dans les Ecritures, et que ce ne sont que les réminiscences dans lesquelles le faux et l'apocryphe sont presque toujours à côté du vrai et de l'authentique.
Il est vrai qu'a cette époque, Kasimirski ne risquait pas de se faire incendier sa voiture, de se recevoir une caillasse sur le coin de la tronche ou de se voir décerner une fatwa de condamnation à mort par un ayatollah Iranien, Pakistanais ou autre pays civilisé, pour blasphème envers le prophète.


etc... etc...